Tout avoir


On nous fait croire que pour être heureux, il faut posséder beaucoup de choses souvent inutiles. Quel leurre ! La simplicité est une meilleure approche pour être heureux
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Tout avoir



Les hommes veulent tout avoir, et ils se rendent malheureux par le désir du superflu ; s’ils voulaient vivre simplement et se contenter de satisfaire aux vrais besoins, on verrait partout l’abondance, la joie, la paix.


Auteur : Fénelon

Contraint de courir sur un tapis roulant, ce chat use d’un stratagème


Cinder est un chat en surpoids. Le vétérinaire lui fait faire un peu d’entraînement physique sur un tapis roulant. Cinder n’est vraiment pas content de cette initiative, malgré tout, il fait un tout petit effort pour satisfaire son tortionnaire. Blague à part c’est triste quand même
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Contraint de courir sur un tapis roulant, ce chat use d’un stratagème

Le Saviez-Vous ► Caviar, Kinder Surprise… Ces 11 aliments sont tout simplement interdits dans certaines parties du monde


Si on visite certains pays, on prend contact avec les coutumes, l’environnement et l’alimentation. C’est une découverte de saveurs, de présentations d’aliments. Certains aliments, nous pouvons le retrouver dans nos commerces, alors que d’autres non. Ceux qui sont interdits le sont pour des raisons de santé, d’environnement, de protection animale.
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Caviar, Kinder Surprise… Ces 11 aliments sont tout simplement interdits dans certaines parties du monde

  • Caviar, Kinder Surprise... Ces 11 aliments sont tout simplement interdits dans certaines parties du monde

  • Vous ne pouvez pas en trouver dans certaines régions du monde. Wikimedia Commons

    La nourriture fait partie intégrante d’une culture. Ce que l’on mange peut refléter nos préférences personnelles, mais aussi notre nationalité, il est donc logique que le contenu de nos caddies et de nos menus varient beaucoup selon notre origine. Certains aliments volontiers consommés dans un pays sont parfois totalement bannis d’un autre, pour des raisons de santé, sociales et environnementales. Voici quelques aliments controversés et parfois illégaux dans certains États.

    Les Etats-Unis ont banni l’importation de caviar de Béluga pour des raisons environnementales

    Caviar de béluga Goruppa/ iStock

    Le caviar de Beluga est un aliment onéreux qui peut valoir jusqu’à 200 dollars par once. Le caviar de béluga iranien est le genre de caviar le plus cher au monde et est composé d’oeufs d’esturgeon de béluga. Néanmoins, il est illegal aux Etats Unis depuis 2005 car il fait partie des espèces sérieusement menacées. Des années de surpêche ont conduit à un fort ralentissement de la population mondiale d’esturgeon de béluga et à une hausse du prix de son caviar.

    Les M&M’s sont interdits de séjour en Suède pour cause de litige de marque.

    M&Ms. Wikipedia Commons

    La Suède a interdit la vente de M&M’s en 2016 car un tribunal a estimé que le packaging de la célèbre confiserie ressemblait à celle d’un autre bonbon au chocolat — My by Marabou.

    Cette dernière est également marketée avec la lettre « m » en minuscule et appartient à Mondelez International, qui a les droits de marque exclusifs en Suède. Techniquement, M&M’s peut toujours être vendu en Suède si Mars modifie son packaging et son marketing, mais il semblerait que cela ne soit pas le cas.

    Singapour a interdit la vente de chewing-gums il y a des décennies

    Chewing gum. Paramount Pictures

    Malgré ce que l’on pourrait penser, il n’est pas illégal de mâcher du chewing-gum à Singapour mais en trouver n’est pas une mince affaire. En 1992, Singapour a proscrit la vente et l’importation de chewing-gums afin de garder l’espace public exempt de ce genre de détritus, même si l’acte de manger un chewing-gum n’a lui pas été proscrit. En 2004, cette interdiction a été en partie levée pour les chewing-gums dentaires et ceux à la nicotine.

    L’huile riche en safrole donne son goût à la « racinette » (une boisson gazeuse québécoise) mais est interdite aux Etats-Unis

    C’est l’huile riche en safrole qui donne son arôme à la boisson appelée “racinette”. iStock

    Les recettes traditionnelles de « racinette » recommandent l’ajout d’huile riche en safrole, un ingrédient qui est désormais lié au développement de cancer, de lésion hépatique, et autres effets toxiques. Selon la dose, l’huile peut également causer des hallucinations et des vomissements. Les Etats-Unis ont prohibé son utilisation dans les années 1960. Aujourd’hui, pour donner du goût à la racinette, on y ajoute d’autres ingrédients plus naturels.

    Les colorants artificiels ont été interdits dans cinq pays d’Europe

    Colorants artificiels. Scott Bolster/Shutterstock

    Les colorants artificiels sont autorisés dans de nombreux endroits dans le monde, y compris aux Etats-Unis, mais certains de ces additifs créés par l’homme ont été interdits dans des pays d’Europe tels que l’Autriche, la Finlande, la Norvège et le Royaume-Uni. Une étude reconnue par certaines agences alimentaires de ces pays ont lié ces colorants alimentaires à certains problèmes sanitaires, y compris l’hyperactivité chez les enfants. Beaucoup de ces colorants interdits par les pays européens sont toujours autorisés dans les aliments et médicaments aux Etats-Unis.

    Les oeufs Kinder Surprise sont interdits en Amérique

    Kinder eggs. Getty Images

    Les oeufs Kinder Surprise sont adorés des enfants en Europe mais sont interdits aux Etats-Unis car ils ne respectent pas la charte de l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA en anglais) contre les objets placés dans des aliments. Cette restriction a pour but réduire le risque d’étouffement par accident. Les Etats-Unis permettent néanmoins la vente des oeufs Kinder Joy, qui ne contiennent aucun objet.

    La production de foie gras est interdite dans beaucoup de pays

    Foie gras. Emma Fierberg/INSIDER

    Le foie gras est un met très apprécié en France et produit via le gavage d’oie et de canards. Cela implique l’utilisation d’un tube afin de nourrir les canards et les oies en maïs gras dans de grandes quantités, afin que les animaux développent un foie élargi et gras. Ces foies sont ensuite retirés et vendus. La production de foie gras a été bannie du Danemark, de la Finlande, de l’Allemagne, de l’Italie, de l’Argentine, de l’Australie, de l’Inde et du Royaume-Uni grâce aux efforts de groupes de protection des animaux qui luttent contre le gavage et le considèrent cruel et inhumain. Il est toujours possible de l’importer, ils restent donc toujours en vente dans certains magasins. La Californie a interdit la production et la vente de foie gras.

    Le fugu est un poisson toxique dont la consommation est très contrôlée aux Etats-Unis

    Fugu sashimi. tsuda / Flickr

    Le fugu est un type de poisson apprécié pour son goût mais craint pour ses organes potentiellement toxiques. Même s’il est totalement inoffensif lorsqu’il est préparé correctement, une mauvaise préparation peut entraîner la mort par empoisonnement au tétrodotoxine. Une fine tranche du foie de fugu peut en contenir assez pour tuer un adulte en une heure. Puisqu’il n’y a pas d’antidote à la tétrodotoxine, la FDA a aux Etats-Unis établi des règles très strictes en ce qui concerne le fugu. N’importe quel restaurant voulant servir ce poisson-lune doit se le procurer via un importateur bien spécifique à New York et il est importé de manière très limitée. Tous les autres imports sont bannis.

    Il est illégal d’importer du haggis aux Etats-Unis depuis les années 1970

    Haggis. Tess Watson/Wikimedia Commons

    Le haggis est un plat écossais savoureux fait de poumons, foie et coeur de mouton, agrémenté d’épices, d’avoine et d’oignon. Il est traditionnellement cuit dans l’estomac du mouton, même si la plupart des haggis sont aujourd’hui préparés dans des enveloppes artificielles. Le haggis a été interdit d’importation en 1971 lorsque le département de l’Agriculture des Etats-Unis a décrété que les poumons de bétail étaient impropres à la consommation humaine.

    Importer de l’akée frais aux Etats-Unis est illégal, mais s’il est congelé ou mis en conserve, vous pouvez.

    De l’akée et du poisson salé. Fanfo/Shutterstock

    L’akée est un genre de fruit que l’on trouve en Afrique de l’Ouest, en Amérique du Sud, dans le sud de la Floride et dans certaines parties des Caraïbes. C’est le fruit national de la Jamaïque où il est habituellement servi avec de la morue salée. Même si ce fruit est riche en vitamine A et en zinc, il est impossible d’importer de l’akée frais est aux Etats-Unis car ses graines contiennent de l’hypoglycine A, une toxine qui peut causer des vomissements, un coma, et la mort. Même si le taux d’hypoglycine dans les graines d’akée mûr est assez bas pour que le fruit soit consommé, manger le fruit frais avant qu’il n’arrive à maturation peut être très dangereux. Les Etats-Unis autorisent néanmoins sont importation si le fruit est congelé ou mis en conserve afin d’être vendu.

    Vous pouvez manger des ailerons de requin dans de nombreux pays asiatiques mais pas dans 12 États américains

    Soupe d’ailerons de requins greenwatermelon/ iStock

    Les ailerons de requin sont utilisés dans certaines parties de l’Asie pour faire de la soupe, mais la diminution des populations de requins a conduit les Etats-Unis à interdire la vente de ses requins dans douze États. Les ailerons de requin sont retirés alors que le requin est toujours en vie, l’animal est ensuite rejeté à la mer où il meurt. La vente de soupe de requin est maintenant illégale dans douze États américains. Mais l’Institut du bien-être animal (Animal Welfare Institute) a déclaré au National Geographic qu’on peut pourtant toujours en trouver dans dix de ces douze États. En 2012, la Chine a interdit la consommation de soupe de requin lors de banquets officiels du gouvernement.

    Version originale : Business Insider / Sophia Mitrokostas

    https://www.businessinsider.fr/

    L’intelligence artificielle s’invite dans vos toilettes


    L’intelligence artificielle s’intéresse à nos étrons, surtout que l’on sait maintenant que notre microbiote intestinal est une mine d’information sur notre état de santé en général. Des chercheurs sont en quête de photos d’excréments humains sur une base volontaire pour les classifier et créer ainsi une base de données qui pourraient être utilisées par tout le monde dont ceux qui souffre de problèmes gastriques.
    Nuage


    L’intelligence artificielle s’invite dans vos toilettes


    Fabrice Auclert
    Journaliste

    C’est parfaitement anonyme et aussi très sérieux. Des chercheurs du MIT et une startup ont créé la première intelligence artificielle capable de diagnostiquer les problèmes intestinaux. Sur la base du volontariat, les internautes peuvent envoyer des photos de leurs selles pour compléter cette immense base de données et entraîner l’IA.

    L’intelligence artificielle est de plus en plus présente au quotidien, grâce notamment au développement de l’apprentissage automatique et du deep learning, qui lui permet d’analyser le monde et d’y apporter de nouvelles solutions. Après avoir maîtrisé des jeux vidéo, créé des vidéos réalistes ou encore complété des recherches, l’IA s’attaque désormais aux fèces humaines.

    Les excréments sont une véritable mine d’informations médicales. L’aspect visuel permet de renseigner sur l’état de la flore intestinale, le régime alimentaire, et apporte des informations sur les dysfonctionnements et maladies du système digestif. Un groupe de chercheurs souhaite créer un outil capable d’analyser automatiquement les images des selles pour évaluer la santé des patients. Le projet est une collaboration entre des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT), Auggi, un coach virtuel pour la santé intestinale sous forme d’application, et Seed, une start-up concentrée sur la santé du microbiome.

    Les internautes appelés à contribuer pour la science

    Pour créer une intelligence artificielle capable de diagnostiquer les problèmes intestinaux, les chercheurs ont d’abord besoin d’une banque d’images conséquente des selles humaines. Ils ont d’abord commencé leurs recherches en créant de fausses selles à partir de pâte à modeler. Ensuite, ils ont parcouru le web à la recherche d’images réelles, et ont trouvé leur bonheur sur des forums en ligne, comme Reddit, où de nombreux utilisateurs discutent de leurs fèces et partagent des photos… Cependant, le matériel disponible était loin d’être suffisant.

    Les chercheurs ont donc lancé une nouvelle campagne #GiveAShit qui demande à tous les internautes d’envoyer des photos de leurs matières fécales. Le nom est un jeu de mots sur l’expression anglaise qui signifie « se soucier » ou « faire attention à », et qui se traduit littéralement par « donner une merde ». Concrètement, il faut se rendre sur seed.com/poop/ avec son smartphone, car le site refuse les images en provenance d’un ordinateur. Appuyez sur le bouton « I accept the DARE », puis renseignez votre adresse e-mail, le moment de la journée à laquelle vous déféquez habituellement, et prenez une photo de votre étron, ou demandez un rappel dans la période indiquée.

    Un site internet, visible depuis son téléphone mobile, permet d'envoyer les photos de sa grosse commission. © Seed Health

    Un site internet, visible depuis son téléphone mobile, permet d’envoyer les photos de sa grosse commission. © Seed Health

      Une base de données de 100.000 images de fèces

      Les images sont anonymisées, puis analysées par une équipe de gastro-entérologues, qui les classifient parmi l’une des sept catégories de l’échelle de Bristol. Les chercheurs espèrent ainsi créer une base de données de 100.000 images qui serviront d’entraînement pour l’intelligence artificielle. L’IA devra apprendre seule à les classifier sur l’échelle de Bristol pour atteindre les mêmes résultats que les médecins.

      Les chercheurs espèrent ainsi créer un outil de diagnostic accessible à tous, et qui pourrait être notamment utilisé par les patients souffrant de problèmes gastriques.

      « Ils s’efforcent chaque jour à prendre des décisions sur quoi manger et la quantité d’exercice physique nécessaire pour maîtriser leurs symptômes. Il est essentiel de construire cette base de données et de développer ces outils de surveillance simples pour permettre à ces patients de le faire de chez eux, » a indiqué David Hachuel, cofondateur d’Auggi.

      CE QU’IL FAUT RETENIR

    • Nos excréments, par leur forme et leur couleur, en disent beaucoup sur notre santé.

    • Des chercheurs ont décidé de créer une immense base de données pour faciliter le diagnostic.

    • Une IA va apprendre, seule, à classifier la matière fécale pour épauler les médecins.

    https://www.futura-sciences.com/

    Des chiens renifleurs découvrent des sépultures vieilles de 3000 ans en Croatie


    On le sait que les chiens peuvent être une grande aide dans divers domaines. Sans oublier leur flair qui est d’une très grande utilité. En Croatie, des archéologues ont mené des expériences avec des chiens. Ils devaient trouver des sépultures récemment trouvé, mais les ossements, artefacts et le sol environnant ont été retiré. Ils ont réussi haut le nez !! Plus encore, ils ont même trouvé des tombes datant de 800 ans sur des sites qui n’avaient pas été défrichés.
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    Des chiens renifleurs découvrent des sépultures vieilles de 3000 ans en Croatie


    Des chiens renifleurs découvrent des sépultures vieilles de 3000 ans en Croatie© Arterra / Getty Images

    Par Emeline Férard –

    En Croatie, des archéologues proposent une nouvelle technique pour mettre au jour des sites inconnus : faire appel à des chiens renifleurs. Au cours d’une expérience, ces derniers auraient permis de découvrir cinq nouvelles tombes sur un site préhistorique.

    L’excellent sens de l’odorat des chiens n’est un secret pour personne. Selon les estimations des scientifiques, leur olfaction présenterait une précision au moins 10.000 fois supérieure à celle des humains. Une supériorité qu’ils doivent notamment à un nombre de récepteurs olfactifs bien plus nombreux (jusqu’à 300 millions) et une aire cérébrale consacrée à l’analyse des odeurs bien plus développée.

    Grâce à leur sens, les chiens sont capables de traquer une piste odorante sur de grandes distances et de détecter des produits à la senteur indétectable pour nous. Une capacité devenue un outil particulièrement utile. Les animaux sont aujourd’hui utilisés pour renifler des substances illicites, des explosifs, des victimes de catastrophe, des disparus ou encore, de façon plus expérimentale, des maladies.

    C’est toutefois une casquette plus insolite que des archéologues veulent leur confier, celle de renifleurs de sépultures. En Croatie, une équipe a mené une expérience pour mettre à l’épreuve des chiens dans la recherche de restes humains vieux de milliers d’années. Et les résultats publiés dans la revue Journal of Archaeological Method and Theory se sont avérés plutôt concluants.

    Quatre chiens à la recherche de tombes

    La mission n’est pas totalement inédite pour les chiens. Il existe déjà des individus spécialisés dans la détection de cadavres.

    « Les chiens de détection de restes humains (en anglais HRD) sont fréquemment utilisés dans les affaires criminelles », expliquent les auteurs dans leur rapport. « Cependant, ils sont moins fréquemment employés pour détecter des sépultures historiques ».

    Au cours de leur expérience menée en 2015, les archéologues ont mis à l’épreuve quatre chiens sur le site funéraire de la colline fortifiée de Drvišica en Croatie. Un an auparavant, des fouilles avaient permis de mettre au jour quelques tombes remontant au VIIIe siècle avant notre ère. Mais l’équipe soupçonnait que d’autres pouvaient se cacher au même endroit.

    C’est ainsi qu’ils ont commencé à travailler avec Andrea Pintar, une éthologue spécialisée dans l’utilisation de chiens entrainés à détecter des restes humains. Lorsque les animaux – trois malinois et un berger allemand – sont arrivés sur place, ils ont été conduits là où des sépultures avaient été découvertes. Celles-ci n’étaient toutefois pas visibles et aucune indication de localisation n’avait été fournie à leurs gardiens.

    Les chiens ont été capables de découvrir les trois tombes, bien que les restes humains, les artéfacts et le sol environnant aient été retirés Selon Vedrana Glavaš, professeur assistante à l’Université de Zadar et auteur de l’étude, il est probable que la roche poreuse avait absorbé suffisamment d’odeur liée à la décomposition pour que les détectives canins soient encore capable de la détecter.

    Dans un second temps, l’équipe a été menée vers une autre zone où aucune découverte n’avait encore été faite mais où la présence de sépultures était soupçonnée. Les chiens ont indiqué plusieurs sites, révélant cinq nouvelles tombes avec des coffres funéraires contenant les os de plusieurs individus. Les restes humains remonteraient à 800 ans avant notre ère mais on ignore tout de l’identité des défunts.

    Des détecteurs plus précis et moins destructeurs

    Vedrana Glavaš, interrogée par IFLScience, a assuré que c’est la première fois qu’une étude scientifique documente l’utilisation de chiens pour la recherche archéologique sur le terrain. Une méthode qui serait à la fois plus précise, moins destructrice que les techniques traditionnelles et moins coûteuse que les nouvelles technologies comme les lasers.

    « Cette méthode est excellente parce que les chiens localisent l’odeur d’un corps humain décomposé, qui est spécifique aux êtres humains. Aucune autre créature ne sent comme un humain », a expliqué la spécialiste à Total Croatia News.

    Si par manque de temps et d’argent, tous les sites désignés par les renifleurs n’ont pu être fouillés, d’autres expériences en Croatie et en Allemagne auraient abouti à des succès similaires.

    Cette étude « démontre que les chiens HDR représentent un outil précieux pour localiser des sépultures comparé à toutes les méthodes de recherche archéologique non-destructrices », d’après le rapport. Les archéologues pourraient ainsi les utiliser dans des contextes divers, a estimé Vedrana Glavaš pour The Guardian. « Je pense que les chiens pourraient résoudre leurs problèmes ».

    https://www.geo.fr

    Le mur frontalier avec le Mexique facilement scié, Trump minimise


    Un mur qui devrait coûter des milliards de dollars aux Américains, ne semble pas être à la hauteur de sa fonction. On peut le scier ou même faire des trous dans le béton armée avec des outils pas trop cher .. Tout cet argent qui aurait pu être mis ailleurs.
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    Le mur frontalier avec le Mexique facilement scié, Trump minimise

    PHOTO CHRISTIAN CHAVEZ, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS

    « Nous avons un mur très puissant », a déclaré M. Trump.

    (Washington) Le président américain Donald Trump a minimisé samedi des informations selon lesquelles des trafiquants ont franchi le « mur » frontalier avec le Mexique en le sciant facilement à l’aide d’outils accessibles à tous.

    « Nous avons un mur très puissant », a déclaré M. Trump aux journalistes à Washington. « Le scier et une chose, mais il est facilement réparable », a-t-il ajouté.

    Le quotidien Washington Post a rapporté samedi que des contrebandiers en provenance du Mexique s’étaient introduits aux États-Unis ces derniers mois en perçant des trous dans de nouvelles sections du mur frontalier, faites de béton et d’acier, à l’aide de scies disponibles dans le commerce de détail pour environ 100 dollars.

    Promesse phare de la campagne 2016 du magnat de l’immobilier, la construction du mur tout au long de la frontière mexicaine peine à se concrétiser, le Congrès refusant de débloquer les fonds nécessaires à son financement.

    https://www.lapresse.ca/

    En Chine, des cochons vivants sont utili­sés dans des crash tests de sièges pour enfants


    Certain, c’est cruel, a quoi qu’ils pensent de prendre des cochons pour les lancer tout droit vers un obstacle pour tester des sièges d’enfants. C’est inadmissible de prendre des animaux même avec des médicaments pour atténuer le stress. Plusieurs cochons ont souffert avant de mourir.
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    En Chine, des cochons vivants sont utili­sés dans des crash tests de sièges pour enfants


    par  Adrien Gingold

    Vague d’in­di­gna­tion en Chine, où 15 cochons vivants ont été utili­sés par des cher­cheurs pour être les cobayes de crash tests.

    Sept d’entre eux sont morts sur le coup, les autres ont succombé à leurs bles­sures moins de six heures après le choc. Les défen­seurs des droits des animaux du monde entier accusent les cher­cheurs de cruauté, écri­vait The Inde­pendent vendredi 1er novembre.

    Les quinze petits animaux n’avaient même pas deux mois, ils sont tous décé­dés des suites de ces tests fatals de sièges pour enfants. Sur les images, on peut voir que les cochons sont placés et atta­chés dans un siège avant d’être proje­tés avec violence contre un mur. Les cher­cheurs se sont justi­fiés en affir­mant que le comité éthique avait approuvé cette déci­sion. Ils expliquent que ces cobayes ont été choi­sis pour leur morpho­lo­gie ressem­blant à celle d’un enfant de six ans. Ils leur ont égale­ment admi­nis­tré un anes­thé­sique afin de réduire leur stress.

    L’as­so­cia­tion PETA, par l’in­ter­mé­diaire de sa porte-parole Anne Meinert, a ferme­ment dénoncé ces pratiques :

    « Lais­ser des animaux intel­li­gents et sensibles comme les porcs s’écra­ser sur les murs lors de tests à grande vitesse en Chine est tout simple­ment cruel. Cela entraîne des frac­tures, des ecchy­moses internes, des lacé­ra­tions et d’hor­ribles morts. »

    L’ONG a égale­ment commenté avec bon sens que la morpho­lo­gie des animaux n’avaient rien à voir avec celle d’un jeune enfant, comme prétendu par les cher­cheurs.

    Source : The Inde­pendent

    https://www.ulyces.co/

    Retrouver des personnes disparues en épluchant le web



    Voilà une activité utile est instructif en même temps qu’un organisme au Québec organise dans le but de retrouver des personnes disparues. Au lieu de pirater les as en informatique exploitant leur savoir faire pour éplucher le web.e. C’est une compétition, plus les indices sont utiles pour les policiers, plus cela donne des points.
    Nuage


    Retrouver des personnes disparues en épluchant le web


    Les mains en gros plan d'un jeune homme qui utilise un téléphone cellulaire.

    Le Hackfest a lieu les 1er et 2 novembre à Québec.

    PHOTO : GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO / BOMBUSCREATIVE

    Joëlle Girard

    Des pirates informatiques au grand cœur mettent leur talent à profit afin de retrouver des personnes disparues.

    Pour la deuxième année consécutive, le Hackfest de Québec est l’hôte ce samedi d’une compétition inusitée. Des experts en cybersécurité, et autres adeptes du piratage éthique, mettent leur talent au service de la police pour retrouver des personnes disparues. Si la technique est nouvelle, elle a toutefois déjà fait ses preuves.

    Fondé il y a environ un an et demi, Trace Labs est un organisme à but non lucratif de Vancouver qui s’est donné comme mission d’utiliser le renseignement de sources ouvertes (OSINT) afin d’aider les corps policiers à relancer des enquêtes non résolues et, au bout du compte, localiser des personnes disparues.

    Le concept est plutôt simple : il s’agit d’extraire des données accessibles au public sur Internet, de les analyser, puis de s’en servir pour obtenir des renseignements qui peuvent aider à retrouver des disparus. Ces données, les participants les trouvent un peu partout : sur les médias sociaux, sur le web caché (dark web) ou le web invisible (deep web), dans des bases de données en ligne du gouvernement ou d’entreprises, par exemple. Les possibilités sont infinies.

    C’est très gratifiant de pouvoir mettre à profit nos compétences pour aider concrètement des gens, affirme Rae Baker, qui est étudiante au baccalauréat en sécurité et analyse de risques à l’Université d’État de Pennsylvanie.

    Mme Baker est bénévole pour Trace Labs et a pris part à plusieurs événements de l’organisme, comme participante, organisatrice ou juge.

    L’idée de retrouver de véritables personnes m’a attirée dès le départ. J’ai toujours été fascinée par les histoires policières et ce genre de chose, alors de pouvoir y prendre part, en quelque sorte, sans faire partie d’un corps de police, ça m’a tout de suite paru excitant.

    Une technique qui a porté ses fruits

    En dépit du sérieux qu’imposent de telles enquêtes, il s’agit bel et bien d’une compétition où l’on couronne des gagnants. Les participants gagnent des points lorsqu’ils arrivent à fournir certaines informations au sujet des personnes disparues, de leurs amis, de leurs activités, etc. Plus les informations sont susceptibles d’aider à retrouver la personne, plus elles valent un nombre important de points.

    Mme Baker se souvient notamment d’un cas, lors de l’événement de Trace Labs qu’elle a organisé sur son campus.

    Un des participants a trouvé un commentaire sur Airbnb dans lequel un hôte affirmait que la personne disparue avait loué sa maison. Et c’était la dernière fois que cette personne avait été vue, lors de son séjour dans la maison en question. Le participant a remporté beaucoup de points, et il a fini par gagner.

    Une information de ce type peut sembler anodine, mais encore faut-il savoir la trouver. Or, souvent, les corps de police ne disposent pas des ressources nécessaires pour y arriver. En ce sens, l’initiative de Trace Labs est accueillie de manière très positive par les forces de l’ordre.

    Les forces policières sont très enthousiastes à l’idée de travailler avec nous, parce que c’est un nouveau moyen pour elles de mettre la technologie à profit pour tenter de résoudre leurs enquêtes, explique Adrian Korn, directeur des opérations de renseignement de sources ouvertes et des initiatives stratégiques chez Trace Labs.

    Nous avons vu par le passé que des renseignements que nous avions fournis ont mené à la réouverture de plusieurs disparitions non résolues. Adrian Korn, directeur des opérations chez Trace Labs

    Je ne peux pas vous donner un nombre exact concernant les dossiers que nous avons contribué à régler, mais il y en a eu au moins trois ou quatre au cours de la dernière année, précise M. Korn, qui tient à spécifier que les corps policiers ne peuvent pas toujours leur offrir de rétroaction sur leur travail étant donné la confidentialité des enquêtes.

    Des cas « fascinants »

    Rae Baker affirme que l’expérience peut être parfois troublante pour les participants.

     On trouve plein de détails au sujet d’une personne et des circonstances de sa disparition, le genre de choses qu’on ne devrait pas normalement savoir. […] C’est fascinant de remonter le fil des événements et de comprendre ce qui s’est passé.

    Lorsque j’étais juge au Defcon de Las Vegas, un participant a découvert qu’un jeune homme disparu avait en fait rejoint un gang de rue. Grâce aux médias sociaux, on a pu voir avec qui il passait du temps, quels tatous il s’était fait faire, et on a ainsi déterminé qu’il était probablement devenu membre des Crisp, un gang de rue de Los Angeles.

    Les raisons pour lesquelles des gens disparaissent sont très diverses, explique Mme Baker.

    On a des gens qui échappent à des relations abusives, des adolescents qui fuguent, des enlèvements d’enfants, des cas de trafic d’êtres humains.

    Selon elle, les cas les plus difficiles à résoudre sont ceux qui concernent les enfants, parce qu’ils laissent moins de traces en ligne. Ils n’ont pas d’emplois donc pas de profil LinkedIn. Ils n’ont pas non plus de prêt auto ni d’hypothèque. Ils utilisent peu Facebook et se tournent vers des médias sociaux comme Snapchat ou TikTok, où ils ne laissent pas de traces. Ou encore ils verrouillent leur profil.

    Adrian Korn explique pour sa part que les cas qui représentent les plus grands défis sont ceux qui remontent à plusieurs années.

     Lorsque la personne est portée disparue depuis plus de deux ans, il faut vraiment fouiller pour trouver de l’information.

    Ce n’est toutefois pas impossible d’y arriver, précise-t-il. Une fois, un de nos participants a trouvé une vidéo YouTube dans laquelle une personne disparue se trouvait dans un véhicule. En la mettant sur pause, il a réussi à noter l’immatriculation du véhicule. On a fait suivre l’information à la police, qui a pu rouvrir son enquête alors que la personne était disparue depuis plus de deux ans.

    « Réaliser l’impossible »

    Samedi, lors du Hackfest de Québec, les participants à l’événement de Trace Labs pourront travailler sur six cas différents. Des représentants du Service de police de la Ville de Montréal seront présents afin de collecter les informations jugées pertinentes.

    Michaël Giguère, qui étudie en cybersécurité à l’École Polytechnique de Montréal, en sera à sa première participation à une compétition du genre.

     J’ai eu un coup de cœur en découvrant ce que fait Trace Labs en juillet dernier, a-t-il expliqué.

    Ça m’a vraiment dépassé de voir que des gens avaient pensé à fonder un organisme pour utiliser le pouvoir de l’OSINT et générer des pistes d’enquêtes assez solides pour permettre de réaliser l’impossible : retrouver des personnes disparues parfois depuis des années.

    Je me suis dit qu’il fallait absolument que je participe à ça.

    htthttps://ici.radio-canada.ca