Pardon


Sommes-nous trop poli ? C’est probablement juste un réflexe !

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Pardon





Suis-je bête, souvent, de dire pardon, par réflexe, alors que c’est moi qu’on vient de bousculer!


Jacques-André Bertrand

Truc Express ►Comment éplucher une citrouille sans se couper?


À cette période de l’année, il y a des citrouilles partout. Elles servent de décoration pour ceux qui fête l’Halloween, malheureusement, c’est un des fruits qui est le plus gaspillée, car on ne sait pas ou bien, on ne prend pas le temps de le préparer.
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Comment éplucher une citrouille sans se couper?

 

Comment éplucher une citrouille sans se

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Vous ne connaissiez peut-être pas LE meilleur truc.

Par Philippe Lépine

Elle est ronde, ferme et sa peau épaisse, ondulée et rigide. La citrouille ne se laisse pas éplucher facilement. Voici comment faire pour la couper en cubes sans y laisser un doigt.

La méthode la plus efficace

 1. Couchez-la sur le côté, le pédoncule à l’horizontale, puis tranchez-la en deux avec un couteau de chef. Ainsi, elle sera plus stable.

2. Avec une cuillère à soupe, retirez les graines et filaments à l’intérieur.

3. Couchez l’intérieur de la citrouille face contre le plan de travail, coupez chaque moitié en tranches.

4. (Facultatif) Pour de beaux cubes, retirez la partie fibreuse restante avec un petit couteau

5. Inclinez la tranche sur le côté, puis coupez la peau, non pas d’un trait en essayant de faire un parfait mouvement de demi-lune, mais en tranchant chaque angle un à un (comme illustré ci-dessous). Ainsi, vous gaspillerez moins de chair. 

Comment éplucher une citrouille sans se

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Citrouille 2 façons

En tranches ou en cubes :

  • Rôtis, grillés, bouillis en accompagnement,
  • Ragoûts, currys, bouillis,
  • Farce (pour viandes),
  • Soupes,
  • Salades.

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En purée :

  • Potage,
  • Desserts (tarte, muffin, pain),
  • Pâtes farcies, gnocchis, risottos,
  • Sauces, trempettes,
  • Smoothies,
  • Confitures.

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3 faits méconnus

1. Bien qu’on s’en serve davantage comme légume, la citrouille est un fruit.

2. La citrouille n’est pas un potiron, ce sont des courges ou cucurbitacées différentes. Les citrouilles appartiennent à l’espèce «Cucurbita Pepo», comme la courgette, tandis que les potirons – à la chair plus douce et sucrée – font partie de la famille «Cucurbita maxima», comme le potimarron. Elles se distinguent normalement par leur pédoncule. Celui de la citrouille est rigide, filamenteux avec des angles précis, alors que celui du potiron est plus souple et cylindrique. De plus, si la citrouille est inévitablement ronde et orange, le potiron peut aussi être ovale, rougeâtre et même parfois vert.

3. La citrouille se conserve plusieurs mois après la cueillette. Une fois coupée, par contre, il faut la consommer la semaine qui suit. Ne pensez donc surtout pas à manger votre citrouille décorative d’Halloween!

Choisir la bonne

Comment éplucher une citrouille sans se

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Il n’y a pas de bonne ou mauvaise citrouille. Le plus important, c’est évidemment qu’elle soit orange et ferme. Plus elle est lourde, plus elle risque d’être charnue.

Si elle a des taches superficielles, le goût n’en sera pas affecté. Par contre, si une meurtrissure est plus profonde, vaut mieux la laisser de côté.

Bien que vous ayez tendance à vous emparer du plus gros fruit à l’épicerie, en cuisine on préfère les citrouilles plus petites. Elles sont plus sucrées, moins humides, plus fermes, et ses saveurs plus concentrées

.https://quebec.huffingtonpost.ca/

Notre survie est à risque : une preuve qui date d’il y a 66 millions d’années


Il y a eu des épisodes difficile pour la vie sur terre à cause des changements climatiques. Aujourd’hui, même si les causes sont différentes, nous sommes en plein dedans et il n’y a pas 56 solutions pour freiner les conséquences qui attendent les générations suivantes.
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Notre survie est à risque : une preuve qui date d’il y a 66 millions d’années


Patrick de Bellefeuille
Présentateur et expert en changements climatiques

Notre survie est à risque : une preuve qui date d’il y a 66 millions d’années.

Les scientifiques ont découvert les preuves que l’acidification des océans peut entraîner un effondrement massif des écosystèmes marins. On savait déjà que les océans voyaient leur pH se modifier par nos émissions de CO2 et que les risques pour les coraux étaient vraiment réels. Plusieurs spécialistes craignent qu’avec la disparition des coraux, qui abritent les plus petites espèces de poissons, la chaîne alimentaire soit grandement affectée.

Quand le passé tire la sonnette d’alarme

En analysant des petits coquillages emprisonnés depuis 66 millions d’années dans les sédiments des profondeurs des océans, les scientifiques ont pu déterminer que l’impact de la météorite, qui a rayé les dinosaures de la surface de la Terre, avait également acidifié les mers au point où 75 % de la vie marine avait disparu. Les causes de l’acidification d’aujourd’hui sont bien différentes de celles de l’ère du Mésozoïque. À cette époque, c’est la pulvérisation de roches contenant des sulfates et du carbone qui a acidifié les mers. Aujourd’hui, c’est la quantité de CO2 que nous émettons qui a le même effet sur le taux du pH des océans.

Une catastrophe annoncée, mais encore évitable

Cela nous permet de conclure que si nous continuons de laisser les océans se modifier de la sorte, les impacts peuvent devenir irréversibles. Lors de la disparition des dinosaures, les chercheurs ont estimé que le pH des océans avait chuté de 0,25 unité. Résultat ? L’effondrement des écosystèmes marins provoqué par la disparition du 3/4 des organismes vivants dans les mers. Ils ont également déterminé que si rien n’est fait pour diminuer nos émissions, le pH des océans chutera de 0,4 unité d’ici la fin du siècle. Ce qui est largement supérieur aux valeurs du Mésozoïque.

Selon Michael Heneman, chercheur au Centre de géoscience de Potsdam, « si 0,25 était assez pour précipiter une extinction si massive, on doit craindre une valeur de 0,4 et prendre le problème très au sérieux ».

Nos océans : grands producteurs d’oxygène

Non seulement la chaîne alimentaire sera grandement affectée, mais notre atmosphère aussi. Pour éliminer du CO2, les forêts sont un allié de taille. Mais, dans les océans, on retrouve des micro-organismes végétaux appelés phytoplancton. Leur mécanisme de photosynthèse produit de grandes quantités d’oxygène. On parle souvent des forêts comme étant le poumon de la Terre, c’est vrai, mais on oublie souvent que la photosynthèse du phytoplancton produit plus de 50 % de l’oxygène sur Terre, tout en se nourrissant de notre CO2.

https://www.meteomedia.com/

Trump serait-il arrêté s’il tirait sur quelqu’un? Débat surréaliste à New York


Une bonne question, enfin, dit qu’elle arrive en retard de plus de 3 ans quand Donald Trump prétendait en 2016 qu’il pouvait impunément tuer quelqu’un en pleine rue et il ne perdrait aucun électeur. Les avocats ne veulent pas donner les documents demandés soit son rapport d’impôts, pourquoi il aurait des passes droit. Faut-il croire qu’il a vraiment quelque chose à cacher qui pourrait mettre en péril sa présidence ?
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Trump serait-il arrêté s’il tirait sur quelqu’un? Débat surréaliste à New York

Trump serait-il arrêté s’il tirait sur quelqu’un? Débat surréaliste à New YorkPhoto: Tom Pennington/Getty ImagesLe président des États-Unis, Donald Trump

Donald Trump est-il au-dessus des lois au point que personne ne l’arrêterait s’il tirait sur quelqu’un en pleine rue à Manhattan? La question paraît saugrenue, mais a été posée jeudi au maire de New York, qui a tranché sans hésitation.

«Quiconque tire sur quelqu’un sera arrêté. Je me fiche de savoir s’il s’agit du président des États-Unis ou de quelqu’un d’autre», a répondu le maire démocrate, Bill de Blasio, lors d’un point de presse.

«On l’arrêterait. C’est aussi simple que ça», a renchéri Benjamin Tucker, un des chefs de la police new-yorkaise, au milieu des rires.

L’échange suivait des propos tenus mercredi par un avocat du président devant des juges fédéraux de Manhattan, qui doivent déterminer si le président américain est obligé d’obéir à une injonction du procureur de Manhattan, qui réclame des déclarations d’impôts de Trump.

Les avocats du président refusent de communiquer ces documents, faisant valoir que, tant qu’il est en fonction, Donald Trump ne saurait être poursuivi pour aucun délit.

Un des juges a demandé mercredi aux avocats si cela vaudrait même dans le cas où le milliardaire new-yorkais tirerait sur quelqu’un sur la très célèbre 5e Avenue de Manhattan, référence à ses déclarations pendant la campagne présidentielle de 2016.

«Je pourrais être au milieu de la 5e Avenue et tirer sur quelqu’un, je ne perdrais pas d’électeur,» s’était alors vanté l’ancien magnat de l’immobilier.

Dans ce cas, «personne ne pourrait rien faire?» a interrogé le juge. «C’est correct», a répondu un des avocats, William Consovoy.

La réponse a été contestée, par le maire de New York, anti-Trump notoire, mais aussi par des experts en droit qui soulignent que l’immunité dévolue au président ne vaut, selon la jurisprudence, que pour les actions qu’il prend dans le cadre de ses fonctions officielles.

Bien qu’originaire du quartier du Queens, à New York, Trump est très impopulaire dans la métropole américaine. Les manifestations sont fréquentes devant son ancien domicile, la Trump Tower, située sur la 5e Avenue près de Central Park.

https://journalmetro.com/

Patient bizarre : il voit tout rétréci de 30 %


L’infarctus cérébral est un type d’AVC. Pour ce patient, les conséquences sont assez étranges. Ce qui est plus bizarre est selon sa vision, les choses paraissant plus petites que la réalité. Ce qui doit être assez étrange dans la vie de tous les jours. Acheter un gilet XL au lieu de M, les distances plus courtes (je ne comprends pas qu’il conduit encore une auto.). Les portes lui paraissent plus basses. Bref, c’est toute une adaptation.
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Patient bizarre : il voit tout rétréci de 30 %


Suite à un infarctus cérébral, un patient de 64 ans a été atteint d’un trouble de la vision très étrange : tous les objets lui semblent plus petits de 30 %. Une distorsion qu’il a appris à compenser, non sans mal, dans sa vie quotidienne.

Le 28 décembre 2017, un homme de 64 ans nommé DN est admis en urgence à l’hôpital avec une hémiplégie du côté gauche. Onze jours auparavant, le patient s’était plaint d’une baisse de vue temporaire, suite à laquelle une IRM avait été pratiquée. Cet examen avait alors révélé un infarctus cérébral dans la partie droite du lobe occipital et le lobe pariétal. Le 28 décembre, les médecins constatent que l’infarctus s’est étendu à une plus large partie du cerveau, provoquant l’hémiplégie.

Chérie, les rideaux ont rétréci !

C’est alors que DN s’aperçoit d’un phénomène étrange : tout son environnement lui apparaît rétréci. Il achète par erreur un T-shirt XL qu’il croyait de taille M. Les portes lui paraissent trop petites pour les franchir et les rideaux du salon lui semblent tellement courts qu’il s’imagine que sa femme a dû les passer à la machine à laver. Dans la rue, toutes les distances sont également raccourcies. En comparant la taille des objets et des personnes avec celles dont il se souvient, il constate que tout est 30 % plus petit. DN s’aperçoit aussi qu’il a des problèmes avec le champ visuel côté gauche. Lorsqu’il essaye de lire, il saute des phrases entières parce qu’elles sont situées sur la page gauche. En revanche, il ne souffre pas d’autres séquelles neurologiques : sa mémoire et ses capacités cognitives sont intactes.

La lésion dans le lobe occipital et le lobe pariétal à droite explique la déficience visuelle du champ visuel gauche, ce dernier étant projeté dans l’hémisphère droit du cerveau. © Nils van den Berg et al., Neurocase, 2019

La lésion dans le lobe occipital et le lobe pariétal à droite explique la déficience visuelle du champ visuel gauche, ce dernier étant projeté dans l’hémisphère droit du cerveau. © Nils van den Berg et al., Neurocase, 2019

    Une baisse de la vision à gauche, compensée par un rétrécissement global de la réalité

    Pour mieux comprendre cette étrange distorsion, Nils van den Berg et ses collègues de l’université d’Amsterdam ont fait passer divers tests visuels à DN. Lors d’une étude dont les résultats ont été publiés dans Neurocase, ils lui ont par exemple demandé d’estimer la taille de différents cubes, qu’il a évaluée en moyenne à 73 % de leur taille réelle. D’autres tests ont montré que DN avait également du mal à appréhender les formes et les objets en mouvement, mais uniquement dans le champ visuel gauche. Les médecins suggèrent que la vision globalement « rétrécie » provient d’un phénomène de compensation, où l’œil droit essaie de contrebalancer la mauvaise vision du champ visuel gauche.

    « Le résultat donne une apparence plus petite aux objets, mais qui reste une représentation symétrique et compréhensive de la réalité », explique Nils van den Berg.

    La lésion de DN dans le lobe occipital droit expliquerait la distorsion du champ visuel gauche, ce dernier étant projeté dans l’hémisphère droit du cerveau.

    Micropsie et « Alice au pays des merveilles »

    Le mal dont souffre DN est rare mais pas unique : cela s’appelle une métamorphopsie, un trouble de la vision caractérisé par une déformation des images. Il en existe plusieurs sortes. Celui de DN, où les objets apparaissent plus petits, est la micropsie. Il existe la forme inverse, la macropsie, où les objets sont grossis. Dans le « syndrome d’Alice au pays des merveilles », les patients souffrent d’une dissociation leur faisant croire que leurs propres membres sont allongés ou déformés. Décrits dans la littérature scientifique, ces cas font le plus souvent suite à des commotions cérébrales, mais leur origine exacte demeure encore très floue.

    Trois mois après son infarctus cérébral, DN va mieux. Il retrouve peu à peu l’usage de son bras gauche. Il continue en revanche à voir le monde en plus petit mais s’en accommode. Il compare les objets inconnus avec ceux qui lui sont familiers pour estimer leur taille, et lorsqu’il fait du vélo ou qu’il conduit une voiture, il reste collé près du trottoir pour ne pas risquer une collision.

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Suite à un infarctus cérébral, un patient de 64 ans voit tous les objets rétrécis de 30 % de leur taille réelle.

  • Ce trouble, appelé micropsie, s’explique à la fois par la lésion cérébrale et par un phénomène de compensation entre les deux champs visuels.

  • Le patient a appris à estimer la taille des objets en les comparant pour se débrouiller dans la vie courante.

https://www.futura-sciences.com

À 9 ans, ce petit peintre russe vend ses œuvres au profit d’un refuge pour animaux


Il a juste 9 ans et il a du talent. Il peint pour des animaux de compagnie sur demande en échange ses clients doivent fournir de la nourriture ou fourniture à un refuge animalier. Si a cet âge, il a le souci  des autres  alors on ne peut qu’espérer un bel avenir pour lui.
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À 9 ans, ce petit peintre russe vend ses œuvres au profit d’un refuge pour animaux

Crédits : Pavel Abra­mov/Insta­gram

par  Adrien Gingold

À Arza­mas, en Russie, le jeune Pavel Abra­mov réalise des portraits d’ani­maux de compa­gnie. L’ar­tiste de neuf ans les cède contre de la nour­ri­ture et des four­ni­tures desti­nées à un refuge pour animaux, raconte le Tele­graf. 

Avec sa mère, Ekate­rina Bolsha­kova, Pavel a eu l’idée du projet « Kind Paint­brush » il y a envi­ron un an, après avoir perdu son chien. Pour hono­rer la mémoire de Barsik, il a décidé de prendre le pinceau.

Gestion­naire du groupe « De quoi un petit volon­taire est-il capable ? » sur le réseau social russe VK, Pavel fait le portrait de vrais animaux de compa­gnie, en échange de quoi leurs maîtres s’en­gagent en faveur du refuge et aident à amélio­rer la qualité de vie des pension­naires.

Les commandes pleuvent de tout le pays et ses œuvres ont déjà été expo­sées en Espagne et en Alle­magne.

Source : Tele­graf

https://www.ulyces.co

Déchets plastiques: une poignée de multinationales polluent la planète


Parmi les multinationales les plus pollueuses sont Coca-Cola, Nestlé, Pepsico et bien d’autres. Ils devront se dépêcher de changer les choses pour faire face a la pollution du plastique plus rapidement qu’ils le disent, car pour le moment, cela ressemble plus a du blabla et avec tout l’argent qu’ils font, ils devraient mettre la main dans leurs pour payer le nettoyage. De plus ce qui est choquant parmi ces 3 pollueurs, c’est qu’ils gaspillent des ressources pour faire des produits qui n’ont rien de bon pour le corps et la santé et rendent addictes et malades.

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Déchets plastiques: une poignée de multinationales polluent la planète

(Manille) Des dizaines de milliers de déchets plastiques polluant la planète sont générés par une poignée de multinationales dont Coca-Cola, Nestlé ou encore Pepsico, a assuré Break Free from Plastics, une coalition mondiale d’ONG, dans un rapport publié mercredi à Manille. 

AGENCE FRANCE-PRESSE

Cette coalition internationale composée de 1475 organisations écologistes, dont Greenpeace, reproche à ces multinationales de se dédouaner, pour la plupart, de la responsabilité du nettoyage de la pollution due à leur activité. 

Des volontaires de la coalition ont collecté près d’un demi-million de déchets plastiques lors d’une «Journée mondiale du nettoyage de notre planète» coordonnée dans 51 pays il y a un mois, dont 43% de marques reconnaissables.

Pour la deuxième année consécutive, Coca-Cola s’est classé au premier rang des pollueurs avec 11 732 déchets plastiques collectés dans 37 pays sur quatre continents cette année.

Parmi les dix principaux producteurs de déchets plastiques collectés figurent aussi Nestlé (4846), Pepsico (3362), Unilever (3328), Procter & Gamble (1160), Philip Morris (2239) ainsi que Mars, Colgate-Palmolive, Perfetti Van Mille et Mondelez International, selon le classement de la coalition. 

Si nombre de pays asiatiques déversent leurs déchets dans les océans, «les véritables responsables du gros de la pollution plastique en Asie sont les multinationales dont les sièges se trouvent en Europe et aux États-Unis», souligne le rapport.

Nestlé a répondu qu’il travaillait sur des solutions visant à «rendre de tels rapports obsolètes».

«En tant que première compagnie mondiale pour l’alimentation et les boissons, nous savons que nous avons un rôle important à jouer dans l’élaboration de solutions durables pour lutter contre la problématique des déchets plastiques», a déclaré un porte-parole dans un communiqué.

«Il est totalement inacceptable que les emballages (plastiques) finissent comme déchets dans l’environnement et nous travaillons dur pour rendre tous nos contenants soit recyclables soit réutilisables d’ici 2025», a-t-il ajouté.

Coca-Cola et Pepsico, à l’instar de Nestlé, ont indiqué qu’ils allaient rendre leurs emballages recyclables, réutilisables ou compostables d’ici 2025. Les géants de la boisson se sont également retirés de l’organisation américaine de l’industrie du plastique. 

«Changer la façon dont la société fait, utilise et jette les emballages est un objectif complexe et nous y prenons part», a dit un porte-parole de Pepsico.

«Nous voulons aider à élaborer un système où l’emballage plastique ne devient jamais un déchet», a-t-il ajouté.

Coca-Cola, de son côté, a dit dans un communiqué qu’il cherchait à empêcher les déchets plastiques de finir en mer, ce qu’il qualifie «de problème mondial crucial». «Chaque fois qu’un de nos emballages termine dans les océans, ou là où il ne devrait pas, est inacceptable pour nous», a-t-il souligné.

Créditant les marques de reconnaître généralement leur rôle dans la propagation de cette pollution, la coalition des ONG juge qu’elles «s’acharnent à promouvoir de fausses solutions pour répondre au problème». 

La promotion du recyclage est leur manière de faire porter la responsabilité aux consommateurs, ajoute-t-elle, précisant qu’à peine 9% de la totalité des matières plastiques produites depuis les années 50 ont été recyclées.

«Les entreprises continuent de tirer profit de l’abondante production de plastique à usage unique tandis que partout dans le monde, les collectivités sont obligées d’en supporter le fardeau», a regretté Break Free from Plastics, qualifiant cette situation d’«inacceptable».


https://www.lapresse.ca/