La beauté de l’apparence


Nous attachons tellement d’importance à l’apparence d’une personne et pourtant, ce qui se cache sur cette apparence  n’est pas nécessairement le reflet de ce qui fait une personne. Sans compter qu’avec les années l’apparence fini par changer pour devenir moins attrayants pour ceux qui ne savent pas regarder en profondeur

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La beauté de l’apparence


    

La beauté de l’apparence est seulement un charme de l’instant ; l’apparence du corps n’est pas toujours le reflet de l’âme.


George Sand

Le Saviez-Vous ► Les licornes ont failli disparaître à la fin du Moyen Âge


Les licornes, il y en a partout, en bibelots, jouets, dessins, images sur diverses choses, et même à la télé ou sur le web. L’histoire de l’origine de la licorne est pourtant la cause de beaucoup d’effusion de sang sur des bêtes comme les éléphants, les narvals et les morses à cause de leurs défenses en ivoire. Depuis l’antiquité, on donnait aux licornes des pouvoirs extraordinaires ou encore des symboles comme la pureté, la virginité. L’ignorance durée des siècles avant qu’on comprenne qu’en fait, les licornes n’existent pas.
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Les licornes ont failli disparaître à la fin du Moyen Âge


Détail de la tapisserie La dame à la licorne, «La vue» (fin du XVe siècle), exposée au musée de Cluny. | Salix via Wikimedia Commons

Détail de la tapisserie La dame à la licorne, «La vue» (fin du XVe siècle), exposée au musée de Cluny. | Salix via Wikimedia Commons

Pauline Guéna

Ne souriez pas: même les espèces d’animaux imaginaires peuvent s’éteindre –ou presque.

Parmi les animaux mythiques qui hantent l’imaginaire occidental comme oriental, de l’Antiquité jusqu’à l’époque moderne, aucun n’a sans doute connu le succès de la licorne.

On la rencontre dans l’Antiquité grecque et romaine, dans l’Orient musulman ou l’Occident chrétien. Elle fait même son grand retour aujourd’hui en tant que jouet, ainsi que parmi les symboles de la communauté gay. Pourtant, les licornes avaient disparu pendant un moment, à la fin du Moyen Âge.

Goût de l’ivoire

Le succès des licornes vient en partie de l’intérêt des sociétés méditerranéennes pour l’ivoire. Les Romains raffolent de ce matériau, qu’ils obtiennent surtout par les défenses d’éléphant.

Ils n’en manquent pas: à l’époque, l’Empire romain s’étend jusqu’en Afrique du Nord, où les troupeaux d’éléphants sont nombreux et où les défenses mesurent jusqu’à deux mètres de long, une taille que des siècles de chasse sélective, privilégiant les spécimens à longues défenses, a fini par réduire aujourd’hui.

Le goût de l’ivoire gagne par la suite aussi bien l’Orient musulman que l’Occident carolingien. Les jeux d’échecs, les boîtes ouvragées ou encore les autels portatifs sont souvent ornés de sculptures d’ivoire très fines.

Bientôt, dans le nord de l’Europe, un autre type d’ivoire commence à circuler: les défenses de morse. Du Xe au XIIIe siècle, le climat se réchauffe, ce qui permet aux Scandinaves de s’implanter dans de nouveaux espaces.

Ils s’installent d’abord en Islande, où la population de morses décroît rapidement. Puis ils fondent des colonies au Groenland, où ils organisent des expéditions estivales de chasse et rapportent à leurs campements quelques morses entiers, mais le plus souvent de simples têtes. Ils les laissent pourrir un temps, puis en extraient les précieuses défenses pour les exporter.

C’est un commerce de grande ampleur: en 1327 débarque à Bergen un navire chargé de 527 défenses. Les défenses sont alors travaillées dans des ateliers à travers toute l’Europe. Au Nord, une certaine Margret hin haga est ainsi connue comme le «meilleur tailleur d’Islande». Le matériau est aussi utilisé en Angleterre, en Allemagne et jusqu’en Castille.

On ne manque donc pas d’ivoire au Moyen Âge; mais quand on en a les moyens, on préfère celui des licornes.

Narvals échoués

Dans les textes médiévaux, les licornes sont parées de toutes les qualités. Animaux sauvages, vivant dans les bois, elles sont réputées parfaitement pures et souvent assimilées au Christ. On finit par imaginer qu’elles ne peuvent être approchées que par de jeunes vierges, les seules à les égaler en pureté.

Leurs longues cornes délicatement enroulées sur elles-mêmes ont une grande valeur: on les place dans les trésors des cathédrales aux côtés des reliques, on en fait des symboles de pouvoir ou on les ouvrage pour les insérer sur des épées. Bien sûr, ces cornes qui s’accumulent dans les trésors des rois et des évêques d’Europe ne sortent pas de nulle part.


La pure et chaste licorne repose sur la Vierge Marie: psautier de la fin du XIIIᵉ siècle. | Collection de Michel Francou

En fait, les principaux chasseurs de licornes sont probablement les Scandinaves du Groenland. En remontant vers le nord à la recherche des morses, ils suivent le même chemin que les narvals, ces mammifères marins dont les mâles possèdent une longue dent en pointe torsadée et fragile.

Les narvals ne s’échouent que rarement sur les côtes européennes. En revanche, au Groenland, il leur arrive souvent de s’échouer sur la glace, notamment lorsqu’ils tentent d’échapper à des orques. Là, leur dépouille s’abîme, si bien que lorsque les Scandinaves les trouvent en été, ils ne comprennent pas forcément à quel type d’animal ils ont à faire.

Ils n’ont donc pas besoin d’inventer des histoires pour vendre leurs prétendues cornes de licorne: le goût pour l’ivoire et la réputation de l’animal imaginaire suffisent.

D’ailleurs, certaines histoires s’amendent peut-être: en 1539, sur une carte de la Scandinavie réalisée à la demande d’un archevêque suédois exilé en Italie, on distingue entre les bateaux et les monstres une petite licorne marine, dont la tête et la corne sortent discrètement de l’eau dans le nord de l’Atlantique. C’est une indication précieuse, à une époque où les licornes sont déjà en train de disparaître.

Les opérations des Scandinaves au Groenland se compliquent dès la fin du XIIIe siècle: le climat se refroidit, et quelques degrés suffisent à mettre leur mode de vie en danger. Au milieu du XIVe siècle, les navigations se sont réduites; au début du XVe siècle, les colonies scandinaves du Groenland disparaissent.

Objets rares

Au début du XVIe siècle, lorsqu’Albrecht Dürer dessine un morse, son modèle est une tête conservée dans du sel en tonneau. Il n’a donc plus une idée très précise de l’apparence de l’animal.

Avec la fin de la grande chasse au morse, l’approvisionnement en dents de narval s’arrête aussi. Il reprend au XVIe siècle, lorsque les royaumes de France et d’Angleterre entrent en compétition pour conquérir l’Amérique du Nord et, espèrent les navigateurs, trouver un passage vers le Pacifique.

Alors que les navigations se multiplient vers le Nord, ils découvrent des populations préservées de morses, ainsi que quelques narvals, encore associés aux licornes. Au siècle suivant, leur véritable nature sera définitivement identifiée.

Entre la fin du XIIIe siècle et le XVIe siècle, l’Europe se tourne à nouveau vers l’ivoire d’éléphant; les cornes de licorne deviennent des objets rares. À Venise, au début du XVIe siècle, deux Grecs apportent une corne de «monoceros», ornée d’argent et de pierres précieuses, qui aurait appartenue au dernier empereur byzantin: une véritable merveille.

Quelques décennies plus tard, Elizabeth Ière d’Angleterre paie au prix fort une autre corne dont elle fait un symbole de sa virginité. Partout, le prix des cornes de licorne augmente, car l’accès aux vrais animaux a pratiquement disparu.

Certes, les licornes ne se sont pas véritablement éteintes. Mais le léger refroidissement du climat a limité l’accès aux prétendues cornes et entraîné une survalorisation culturelle de ces objets, au moment même où ils devenaient inaccessibles. Finalement, les prix montent, du fait même de l’ignorance des acheteurs.

Et nous, quelle image projetons-nous sur les derniers spécimens des espèces en voie d’extinction? Les voit-on vraiment pour ce qu’ils sont, les représentants d’une biodiversité à protéger, ou plutôt comme des licornes, si merveilleux et lointains que leur futur ne nous concerne pas directement?

Ce texte est extrait du livre Actuel Moyen Âge II de Catherine Kikuchi, Pauline Guéna, Florian Besson, Tobias Boestad, Simon Hasdenteufel et Maxime Fulconis, paru aux éditions Arkhê.

http://www.slate.fr/

Un groupe dénonce la publicité alimentaire ciblant les enfants


Il y a 40 ans des lois ont été faite pour protéger les enfants d’être la cible de la publicité à la télévision, mais on constate que cette loi est contournée dans les emballages, les vitrines, étalages et promotions. 90 % d’entre eux sont des aliments ultra-transformé en sucre, sel ou gras. En plus, il est démontré que le marketing alimentaire serait une des causes à l’obésité
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Un groupe dénonce la publicité alimentaire ciblant les enfants

PHOTO AP

La Coalition Poids a recensé 469 emballages de produits alimentaires ciblant les enfants dans différents commerces.

Les entreprises alimentaires se servent des exceptions de la loi pour cibler les enfants québécois avec leurs publicités de collations, de boissons sucrées et de céréales, déplore la Coalition québécoise sur la problématique du poids qui redoute les effets négatifs sur leur santé.

STÉPHANIE MARIN
LA PRESSE CANADIENNE

Sur une période de six mois, elle a recensé 469 emballages de produits alimentaires ciblant les enfants dans différents commerces et note que 90 % d’entre eux sont des aliments ultra-transformés riches en sucre, en sel ou en gras.

La Coalition a dévoilé lundi une analyse qui constitue, selon elle, un « portrait de la publicité alimentaire aux enfants ».

Elle affirme qu’il s’agit d’un premier état de situation depuis l’adoption au Québec, il y a 40 ans, des articles 248 et 249 de la Loi sur la protection du consommateur qui interdisent la publicité commerciale ciblant les enfants de moins de 13 ans, notamment les annonces à la télé et sur le web.

Malgré cette interdiction, elle a constaté que les entreprises se servent d’autres moyens pour arriver à leurs fins comme les vitrines, les étalages et les emballages pour faire la promotion de leurs produits, car ils bénéficient d’exceptions prévues dans la loi.

Les trois catégories d’aliments les plus visés par la publicité aux enfants sont des aliments du quotidien : les collations, les céréales et les produits laitiers.

Les commerces de détail alimentaires comme les supermarchés regorgent de publicités pour les enfants, soutient l’organisme. Entre octobre et avril — et en excluant les gommes, les chocolats et les bonbons — la Coalition Poids dit avoir recensé 469 emballages de produits alimentaires ciblant les enfants. Plus de la moitié des emballages affichent un personnage populaire auprès des bambins comme la Pat’Patrouille, les Minions ou autres personnages d’Avengers ou de Disney pour les rendre attirants auprès de leur jeune clientèle.

« Il devient difficile pour les parents de faire l’épicerie avec les enfants sans qu’ils soient constamment bombardés de publicités les ciblant, attirant ainsi leurs demandes répétées pour obtenir des produits qu’autrement ils n’auraient pas demandés », souligne Corinne Voyer, directrice de la Coalition Poids.

Et puis, dans la très grande majorité des cas, il s’agit d’aliments ultra-transformés.

« On est pas du tout dans la valorisation d’aliments sains », a commenté en entrevue Mme Voyer.

Il est très bien documenté que la publicité aux enfants va influencer leurs habitudes alimentaires, qu’ils risquent de traîner toute leur vie, explique Mme Voyer.

« On est face à une épidémie d’obésité, même chez les enfants. Il y a plusieurs travaux notamment de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé) qui démontrent que le marketing alimentaire a un rôle à jouer dans la crise d’obésité qu’on connaît ».

Quant à la restauration rapide et aux restaurants familiaux, les entreprises font de nombreuses offres de jouets avec le repas pour enfants. Très souvent, ils sont associés à des films, des émissions ou des séries de jouets populaires pour enfants, a relevé la Coalition. Mme Voyer souligne avoir vu des publicités destinées aux enfants lors d’activités familiales, comme les fêtes hivernales.

Les enfants sont vulnérables face à la publicité qui les cible, car ils sont incapables de reconnaître les intentions commerciales du marketing. En effet, ils ne comprennent la vraie nature de la publicité qu’au début de l’adolescence, soit vers 11-12 ans, peut-on lire dans le rapport.

La Coalition souhaite qu’Ottawa adopte une loi pour encadrer encore plus la publicité destinée aux enfants.

La Coalition Poids réunit les appuis de plus de 550 partenaires issus du monde scolaire, municipal, de la santé, de la recherche, de l’environnement, de la nutrition et de l’activité physique.

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É.-U.: près de 1700 prêtres et membres du clergé criminels sous le radar


Des prêtres, laïcs, diacres bref des membres du clergé qui ont quitté l’Église pour continuer les agressions sexuelles et qui n’ont jamais été inculpés. Parmi eux, ils ont choisi de travailler avec des victimes d’agressions sexuelles, des enfants à risques, professeurs, bénévoles. Certains vont même adopter des enfants !! À noter que ce n’est pas contre le catholicisme, mais des gens qui ont utilisé la foi pour leur propre vice ainsi que ceux qui n’ont pas dénoncé et ont caché ces délinquants sexuels. Il en existe malheureusement dans toutes les religions dans tous les domaines et dans tous les pays, c’est une vraie plaie
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É.-U.: près de 1700 prêtres et membres du clergé criminels sous le radar

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

Près de 1700 prêtres et autres membres du clergé considérés par l’Église catholique romaine comme « accusés de manière crédible d’abus sexuels » sur des enfants vivent sous le radar sans aucune surveillance des autorités religieuses ou des forces de l’ordre, des décennies après la première vague de scandale sur les abus commis par des membres du clergé aux États-Unis, selon une enquête de l’Associated Press.

ASSOCIATED PRESS

Ces prêtres, diacres, moines et laïcs enseignent maintenant les mathématiques au collège. Ils conseillent les survivants d’agression sexuelle. Ils travaillent en tant qu’infirmiers et font du bénévolat dans des organisations à but non lucratif visant à aider les enfants à risque. Ils habitent à côté des terrains de jeux et des crèches. Ils adoptent et s’occupent d’enfants.

Et depuis qu’ils ont quitté l’église, des dizaines de ces personnes ont commis des crimes, dont des agressions sexuelles et des crimes reliés à la possession de pornographie juvénile, selon l’enquête de l’Associated Press.

Une récente initiative des diocèses catholiques à travers les États-Unis qui ont décidé de publier les noms de ceux qu’ils considèrent comme des accusés crédibles a ouvert la voie à un problème de taille : comment surveiller et retrouver les prêtres qui, souvent, n’ont jamais été inculpés criminellement et, dans de nombreux cas, ont quitté l’église ?

Chaque diocèse a sa propre façon de définir ce qu’il considère comme un « accusé de manière crédible », et les allégations vont de conversations inappropriées et d’étreintes non désirées à la sodomie forcée et au viol.

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Un mannequin à l’effigie de Greta Thunberg pendu sous un pont de Rome


C’est vraiment pitoyable !!! Des gens, auraient-ils peur pour avoir autant de méchanceté à l’égard de Greta Thumberg? Cette simulation de pendaison avec un mannequin représentant cette jeune adolescente est franchement nulle. Pourquoi cela les dérange temps ? Une adolescente qui a commencé tout seule dans son coin a réussit a rallié son école, sa ville, son pays et a réussit alors qu’aucune a fait une grêve le même jour, pour la même cause et presque partout, l’évènement a été pacifique (il y a eu quelques méfaits, mais très isolé) David Suzuki est mondialement reconnu n’a pas réussit a en faire autant.
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Un mannequin à l’effigie de Greta Thunberg pendu sous un pont de Rome

PHOTO AFP

Alice, la «Greta italienne», pose devant une affiche de Greta Thunberg lors d’une marche pour le climat à Rome le 22 mars à Rome.

(Rome) Le parquet de Rome a ouvert une enquête pour menaces aggravées après la découverte d’un mannequin à l’effigie de la jeune militante pour le climat Greta Thunberg pendu sous un pont de la ville.

AGENCE FRANCE-PRESSE

Postée sur les réseaux sociaux, la photo du mannequin portant deux tresses semblables à celles de la jeune militante suédoise de 16 ans montre également un écriteau attaché au parapet du pont sur lequel est écrit en anglais «Greta is your god» (Greta est ton dieu).

L’image a aussitôt fait réagir la classe politique, la maire de Rome Virginia Raggi exprimant sur Twitter la «solidarité» de sa ville envers la famille de Greta Thunberg et le patron du Parti démocrate Nicola Zingaretti condamnant la «violence macabre» d’un geste dont les auteurs «ne respectent pas les idées qu’ils ne partagent pas».

Voir l'image sur Twitter

Greta Thunberg a lancé il y a un an Fridays For Future, mouvement appelant les élèves du monde entier à sécher les cours le vendredi pour défendre le climat

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États-Unis: interrogations sur la «stabilité» du pays sous Trump


Quand j’étais jeune, ma grande soeur m’avait offert 2 livres, dont un était l’histoire des civilisations. J’ai remarqué que les civilisations qui étaient fort socialement, économiquement et militairement finissaient à l’apogée de leurs forces finissaient par décliner. C’est le même sentiment que j’ai avec les États-Unis, le déclin américain surtout si Donald Trump reste au pouvoir pour un deuxième mandat. Plusieurs personnes autant Américains qu’étranger doivent surement sentir cette instabilité du pays
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États-Unis: interrogations sur la «stabilité» du pays sous Trump

États-Unis: interrogations sur la «stabilité» du pays sous TrumpPhoto: Chip Somodevilla/Getty ImagesDonald Trump

L’ancien directeur de la CIA John Brennan, connu pour ses critiques virulentes de Donald Trump, s’est interrogé dimanche sur la stabilité des États-Unis sous sa présidence, en l’accusant de corrompre les institutions du pays.

M. Brennan, qui était en poste sous l’ancien président Barack Obama, a averti dans une interview sur la chaîne NBC que «les principes démocratiques sur lesquels ce pays est fondé (étaient) en train de s’éroder».

Interrogé sur la manière dont la CIA pourrait évaluer la stabilité du gouvernement, il a affirmé que «nous le considérerions comme un gouvernement très corrompu qui est sous l’emprise en ce moment de ce puissant individu qui a pu corrompre les institutions et les lois de ce pays».

«Je pense que ce n’est plus une démocratie si un autocrate (…) l’a entre ses mains», a-t-il ajouté.

Accusant les républicains d’être «malléables», M. Brennan a aussi jugé qu’«au vu de la polarisation du pays, il y a juste une énorme instabilité politique ici qui consume le gouvernement en ce moment».

«Donc oui, je pense qu’il y a une vraie question autour de la stabilité», a-t-il affirmé.

Ces propos interviennent alors que M. Trump est menacé par une procédure de destitution pour avoir demandé au président ukrainien Volodymyr Zelensky, lors d’un appel téléphonique le 25 juillet, de l’aider à rassembler des informations compromettantes sur le démocrate Joe Biden, bien placé pour l’affronter en 2020.

M. Trump avait révoqué l’an dernier l’habilitation secret défense de M. Brennan, qu’il a qualifié de «pire directeur de la CIA de l’histoire de notre pays».

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Une étude pour protéger les oiseaux des collisions avec des surfaces vitrées


25 millions d’oiseaux meurent à cause des surfaces vitrées au Canada. Il semble que l’automne soit plus propice à ce carnage. Ce qui me surprend par contre, ce sont les maisons résidentielles qui sont le plus dangereux pour eux
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Une étude pour protéger les oiseaux des collisions avec des surfaces vitrées

Un oiseau jaune, mort dans une main.

La chercheuse en sciences de la conservation du parc Assiniboine Laura Burns estime que l’automne est la saison où les oiseaux se cognent le plus contre les vitres.

PHOTO : GRACIEUSETÉ / GENIVA ANDERSON

Radio-Canada

Chaque année, 25 millions d’oiseaux meurent à travers le Canada en heurtant des surfaces vitrées. À Winnipeg, le parc Assiniboine a lancé un projet avec l’Université du Manitoba et l’Université de Winnipeg pour déterminer quels sont les bâtiments les plus meurtriers. 

Depuis six ans, des chercheurs parcourent le parc Assiniboine à la recherche d’oiseaux morts qui se seraient cognés contre les vitres des bâtiments. Il y a quelques semaines, des groupes d’étudiants et de professeurs des universités de la ville leur ont emboîté le pas.

Ils arpentent les rues du centre-ville et le campus de l’Université du Manitoba pour collecter des données et élargir le champ de recherches de l’étude.

Ces informations permettront, espèrent-ils, de comprendre quels types d’oiseaux sont le plus touchés par ce problème et de déterminer comment prévenir ces collisions. 

« Les grands bâtiments en verre sont très dangereux, à cause de la surface qu’ils représentent, mais les données collectées en Amérique du Nord montrent que c’est surtout sur les fenêtres de maisons résidentielles que les oiseaux se cognent »,  dit la spécialiste en sciences de la conservation du parc Assiniboine Laura Burns, qui prend part au projet

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