La Maladie


Quand une maladie nous frappe, l’attitude face à la vie est importante, elle nous permet soit de stagner et de se plaindre ou d’avancer au jour le jour

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La Maladie



Chaque matin, malgré la maladie qui me ralentit, je choisis de m’adapter selon mes capacités


Martine Sed

Le Saviez-Vous ► Que mangeaient les Hommes préhistoriques ?


Les hommes préhistoriques n’étaient pas végétariens, ils mangeaient beaucoup de viande, par contre, ils se nourrissaient aussi de pollen, et autres végétaux.
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Que mangeaient les Hommes préhistoriques ?

Mammouth

Les mammouths constituaient une part importante de l’alimentation des hommes préhistoriques de la culture du Gravettien.

VHB / SCIENCE PHOTO LIBRARY

Les chercheurs ont reconstitué le régime alimentaire des hommes préhistoriques grâce à l’analyse de restes trouvés près des foyers.

« Les hommes du Paléolithique étaient plus carnivores que nous, explique le paléoanthropologue Antoine Balzeau. Cependant, on a trouvé des pollens, des restes de végétaux et des pierres chauffées indiquant qu’ils mangeaient des plantes, et pas seulement crues. Pour les faire cuire à l’eau, comme ils n’avaient pas de récipients allant au feu, ils plongeaient des pierres brûlantes dans le liquide pour le réchauffer. »

https://www.sciencesetavenir.fr/

Cruciaux pour Trump, les sénateurs républicains fidèles… mais distants


Il semble que Donald Trump parle d’un risque d’accusation sachant que les républicains se font plus silencieux pour le défendre. Même si 2 de ces républicains ont dit tout haut qu’il était inadmissible les demandes d’aide étrangères pour des enquêtes sur un candidat démocrate. Cependant, il faudrait au moins 20 républicains pour arriver à des accusations et l’argent pour Donald Trump en vue de sa réélection risque d’être un moyen pour faire taire les langues.
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Cruciaux pour Trump, les sénateurs républicains fidèles… mais distants


PHOTO KEVIN LAMARQUE, REUTERS

Donald Trump et Joni Ernst

Ils détiennent la clé de l’avenir politique de Donald Trump, menacé par une procédure de destitution : malgré de (très) rares voix critiques, les sénateurs républicains semblent encore garantir la survie du président américain. Mais leur soutien se fait cette fois plutôt discret, parfois même embarrassé.

ELODIE CUZIN
AGENCE FRANCE-PRESSE

C’est en visite dans leurs circonscriptions que les sénateurs, en pleines vacances parlementaires, ont été surpris par les derniers rebondissements en date de l’affaire ukrainienne, qui a précipité l’ouverture par les démocrates de cette procédure explosive. 

« Vous restez là, silencieuse, et votre silence le soutient », a lancé, sous les applaudissements, une électrice à la sénatrice républicaine Joni Ernst lors d’une réunion publique, jeudi dans son État de l’Iowa.

« Je ne peux pas parler pour lui », a répondu la sénatrice, assise, l’air grave. « Mais vous pouvez parler pour vous-même », l’interrompt la jeune femme, sur une vidéo du Washington Post. « Quand allez-vous dire “Assez” ? »

Plongé dans la tourmente, car les démocrates le soupçonnent d’avoir fait pression sur le président ukrainien pour qu’il enquête sur Joe Biden, son possible rival à la présidentielle en 2020, Donald Trump avait un peu plus tôt, suggéré, provocateur, que la Chine enquête à son tour sur l’ancien vice-président américain. 

Interrogée par l’électrice sur cette déclaration-choc, la sénatrice Ernst a détourné la conversation avec une allusion aux allégations – jusqu’ici non étayées – de corruption en Chine et en Ukraine que répète à l’envi le président contre la famille Biden. 

« La corruption, peu importe où elle se passe, doit être combattue partout ». 

Une ligne de contre-offensive largement reprise par les républicains, qui utilisent parfois les mêmes éléments de langage dans leurs réponses ces derniers jours. 

Mais lorsqu’il s’agit de défendre fermement le président américain, les commentaires se font plus évasifs. 

Fidèle allié du milliardaire aux salves souvent spectaculaires pour le défendre, le sénateur Lindsey Graham a déclaré jeudi au Washington Post qu’il ne soutenait pas la demande d’aide à la Chine de M. Trump. 

« Le président se défend », a-t-il poursuivi plutôt timidement. « Il sent que tout le monde cherche à l’avoir tout le temps alors qu’il n’a rien fait de mal ».

Trump met en garde

Dans une procédure de destitution aux États-Unis, la Chambre des représentants doit d’abord voter une mise en accusation (« impeachment »), avant que le Sénat ne mène le « procès » sur la base de cette « inculpation ».

Compte tenu de la solide majorité démocrate à la Chambre, Donald Trump a reconnu publiquement vendredi qu’il risquait bien d’être mis en accusation… Puis il a lancé une menace à peine voilée aux sénateurs républicains qui seraient tentés de faire défection. 

« J’ai un taux de popularité de 95 % au sein du parti républicain », a-t-il souligné, alors que plusieurs joueront leur réélection en 2020.

Or l’ire du président aux 65 millions d’abonnés sur Twitter est restée gravée dans la mémoire de plus d’un ex-candidat républicain vaincu après avoir été la cible de ses critiques.

Des voix, pourtant, se risquent à le défier

« L’appel éhonté et inédit du président à la Chine et à l’Ukraine pour qu’elles enquêtent sur Joe Biden est condamnable et épouvantable », a tonné l’ex-candidat républicain à la présidentielle Mitt Romney, élu au Sénat avec une large majorité en 2018.

Prenant plus de risques, car il jouera lui son siège en 2020, Ben Sasse, autre sénateur républicain régulièrement critique de l’homme d’affaires, est aussi entré dans l’arène :

« Attendez un peu : les Américains ne cherchent pas la vérité auprès des cocos (communistes, NDLR) chinois », a-t-il lancé dans les pages du Omaha World-Herald. 

Mais pour que le milliardaire new-yorkais soit destitué, les démocrates devraient convaincre au moins 20 sénateurs républicains de voter avec eux, sans aucune défection de leur côté. Une éventualité qui apparaît encore très improbable. 

Habile stratège, le chef de la majorité républicaine au Sénat Mitch McConnell s’est en tout cas saisi de cette perspective pour se poser en rempart protégeant Donald Trump… et jouer sur sa popularité pour appeler aux dons afin de financer sa propre campagne de réélection. 

« Vous connaissez tous votre Constitution. La façon d’arrêter l’“impeachment”, c’est avec une majorité républicaine, et moi comme chef de la majorité », a-t-il lancé dans un spot publié sur Facebook jeudi. « Mais j’ai besoin de votre aide. Merci de contribuer avant la date limite ». 


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L’Occident davantage touché par les allergies alimentaires


Avant nous n’entendions pas que des personnes avaient des allergies alimentaires, ou même des allergies à autres choses. Aujourd’hui, c’est très différent, les allergies alimentaires on augmenter dans les pays industrialisés. Les facteurs semblent divers, tels que la pollution, les changements alimentaires ou une diminution d’exposition aux microbes.
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L’Occident davantage touché par les allergies alimentaires

L'Occident davantage touché par les allergies alimentaires


En Occident, les enfants sont beaucoup plus susceptibles de développer des allergies alimentaires. Des enquêtes sur les décès d’adolescents britanniques après avoir mangé du babeurre, du sésame et des arachides mettent en lumière l’augmentation des allergies dans les pays occidentaux mais aussi dans les zones urbaines.

Des symptômes graves 

L’année dernière, une petite fille âgée de six ans est décédée des suites d’une allergie aux produits laitiers en Australie occidentale. L’augmentation des allergies au cours des dernières décennies a été particulièrement visible dans les pays occidentaux. Les allergies alimentaires touchent désormais environ 7% des enfants britanniques et 9% des jeunes australiens. En Europe, 2% des adultes ont des allergies alimentaires. Une allergie est provoquée par une production d’anticorps excessive, fabriqués par le système immunitaire, chargés de détruire ces substances allergènes au lieu de les considérer comme inoffensives. Ces substances deviennent des cibles et entraînent des réactions allergiques. 

Certains des aliments les plus courants auxquels les enfants sont allergiques sont : le lait, les œufs, les cacahuètes, les fruits à coques (noix, amandes, noisettes, pignons de pin, noix de pécan), le sésame, le poisson, les mollusques et les crustacés. Les réactions allergiques, parfois provoquées par des traces d’aliments déclencheurs, peuvent mettre la vie des personnes en danger. Les symptômes peuvent être des rougeurs de la peau, de l’urticaire, des gonflements, des vomissements, de la diarrhée et dans les cas plus graves, des difficultés respiratoires voire un choc anaphylactique. Les patients et leurs familles doivent être très vigilants et constamment vérifier la composition des plats.

Une augmentation dans les sociétés industrialisées

La fréquence des allergies alimentaires a augmenté au cours des 30 dernières années, en particulier dans les sociétés industrialisées. L’augmentation est associée à la nourriture consommée et au lieu de résidence du patient. Les allergies aux arachides ont été multipliées par cinq au Royaume-Uni entre 1995 et 2016. Une étude menée auprès de 1.300 enfants de trois ans a montré que 2,5% d’entre eux avaient maintenant une allergie aux arachides. L’Australie a enregistré le plus haut taux d’allergies alimentaires. Une étude a révélé que 9% des Australiens âgés d’un an avaient une allergie aux œufs, tandis que 3% étaient allergiques aux arachides.

Pour la docteure Alexandra Santos, de l’université King’s College de Londres, l’augmentation du nombre d’allergies n’est pas simplement l’effet de la société, qui en prend davantage conscience et en améliore le diagnostic. Les allergies et la sensibilité accrue aux aliments sont également environnementales et liées aux modes de vie occidentaux. Les taux d’allergies sont moins élevés dans les pays en développement. Ils sont également plus susceptibles de se produire dans les zones urbaines que dans les zones rurales. Les facteurs peuvent inclure la pollution, les changements alimentaires et une exposition moindre aux microbes, ce qui modifie la réponse de notre système immunitaire. De plus, des carences en vitamine D peuvent empêcher notre système immunitaire de développer une réponse saine

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Quelles sont les alternatives au plastique?


Le plastique ennemi numéro 1 de l’environnement. Si on regarde autour de nous, le plastique est partout. Que ce soient les modems, les ordinateurs, portables, télévisions, manettes, jouets, lunettes, etc… Si on peut réduire le plastique, c’est bien dans l’alimentation. Le matériau choisi doit être biodégradable et sans conséquence pour l’environnement.
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Quelles sont les alternatives au plastique?

Une fois épluchées et réduites en jus, les feuilles de cactus donnent naissance à un biopolymère presque aussi solide que du plastique classique. | Thomas Verbruggen via Unsplash

Une fois épluchées et réduites en jus, les feuilles de cactus donnent naissance à un biopolymère presque aussi solide que du plastique classique. | Thomas Verbruggen via Unsplash

Repéré par Odile Romelot

Repéré sur Vice

Champignons, cactus et feuilles de bananier viendront à bout du plastique à usage unique.


Après avoir rendu de bons et loyaux services depuis plus d’un demi-siècle, le plastique est en passe de devenir l’ennemi public n°1. Les images de pailles en plastique dans le nez des tortues de mer, les sacs dans le ventre des animaux marins et les microplastiques devenus incontournables dans le sol, l’eau et notre corps ne jouent pas en sa faveur.

L’heure est à l’innovation pour remplacer cette matière utilisée quotidiennement par sept milliards d’individus. Le défi n’est pas simple. Il faut inventer une alternative qui possède toutes les qualités du plastique, sans son principal défaut: polluer la planète. De l’acide polylactique (PLA) en passant par les champignons et les cactus, plusieurs pistes sont explorées pour remplacer cette matière devenue omniprésente dans nos vies.

Déjà en vogue, le PLA est un polymère biodégradable. On le fabrique généralement à partir d’amidon de maïs, à la suite d’un processus de fermentation. Il possède deux atouts principaux: il provient de sources renouvelables et il est biodégradable. Mais il a le malheur de vivre à la même époque que le PET et le PS, d’autre polymères fabriqués à partir de plastique. PLA, PET et PS ne font pas bon ménage, entravant la biodégradation du premier et le recyclage des seconds lorsque le tri en amont n’a pas bien été effectué.

Cactus et champignons

Plus étonnant encore, le jus de cactus peut également se transformer en biopolymère, comme l’a démontré Sandra Pascoe Ortiz, chercheuse en biotechnologie à l’université del Valle de Atemajac au Mexique. Issu d’une culture qui pousse dans des endroits arides et qui n’a besoin ni d’engrais ni de grandes quantité d’eau pour se développer, le plastique de cactus présente aussi l’avantage de se décomposer au bout de quelques semaines. S’il n’est certes pas aussi résistant que le plastique classique, il peut déjà servir d’emballage jetable pour les produits alimentaires.

De l’autre côté du globe, on repense aussi l’utilisation de matériaux déjà existants, tels que les feuilles de bananier. Au Vietnam, en Thaïlande, aux Philippines et à Bali, des supermarchés ont commencé à emballer de nombreux produits frais dans des feuilles de bananiers qui poussent localement. Cela fait baisser les coûts d’emballage et leur empreinte carbone tout en réduisant le nombre de déchets en plastique qui terminent leur vie dans la nature.

Le clou des innovations réside peut-être chez Meadow Mushrooms, une entreprise néo-zélandaise qui a développé des emballages produits à partir de champignons pour conditionner ses propres champignons. La boucle est bouclée, shiitakes et portobello voyagent désormais en toute fraîcheur et sans trop d’humidité.

http://www.slate.fr/

Ce culte thaï­lan­dais prétend avoir un portail dans la montagne pour parler aux extra­ter­restres


Une secte que je me méfierait comme de la peste.

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Ce culte thaï­lan­dais prétend avoir un portail dans la montagne pour parler aux extra­ter­restres

par  Nicolas Pujos


Wassana Chuen­sum­naun, la fonda­trice du groupe UFO Kaokala, affirme qu’elle discute depuis plus de 20 ans avec des extra­ter­restres grâce à un portail dans la montagne.

En 1998, Wassana Chan­sam­nuan aurait reçu un message des extra­ter­restres lui indiquant qu’ils avaient choisi la montagne de Khao Kala, dans la province thaï­lan­daise du Nakhon Sawan, pour commu­niquer avec les humains. C’est à ce moment-là qu’elle a décidé de créer le groupe UFO Kaokala pour parta­ger son expé­rience, racon­tait Vice le 1er octobre.

Wassana Chan­sam­nuan affirme qu’elle parle avec des extra­ter­restres venus de Pluton et d’une autre planète qu’elle appelle Loku­ka­ta­pa­ka­di­kong, grâce à un portail situé sur la montagne de Khao Kala. Selon elle, ces derniers ressemblent à des petits êtres gris alors que ceux venus de Pluton ressemblent d’avan­tage à « un gaz ». Les extra­ter­restres mange­raient des capsules d’éner­gie pour survivre.

Actuel­le­ment, le groupe UFO Kaokala compte une cinquan­taine de membres sont les profils sont très variés. Tous se rejoignent sur la montagne de Khao Kala pour médi­ter et entrer en commu­ni­ca­tion avec les extra­ter­restres. Le phéno­mène prend de l’am­pleur et inquiète les auto­ri­tés thaï­lan­daises.

Source : Vice

https://www.ulyces.co/

Une Californienne hospitalisée après avoir utilisé une crème pour blanchir la peau


Quand je pense que des personnes à peau blanche vont passer des heures au soleil pour bronzés malgré le risque du cancer de peau, d’autres ethnies a peau plus foncée, vont chercher des produits pour éclaircir leur peau. On devrait être fier peu importe la couleur de notre peau ! Malheureusement, le blanchissement de l’épiderme fait des affaires de milliards de dollars et les produits ne sont pas tous de bonnes qualités de plus, ces produits contiennent des produits chimiques dangereux.
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Une Californienne hospitalisée après avoir utilisé une crème pour blanchir la peau

Le mercure est un ingrédient courant dans les cosmétiques éclaircissants en raison de ses propriétés anti-mélanine. | Zackary Drucker via The Gender Spectrum Collection by Broadly

Le mercure est un ingrédient courant dans les cosmétiques éclaircissants en raison de ses propriétés anti-mélanine. | Zackary Drucker via The Gender Spectrum Collection by Broadly

Repéré par Mathilda Hautbois

Repéré sur Vice

Ne vous fiez pas aux marques qui les prétendent inoffensifs: certains ingrédients dans ces produits agissent comme un poison.

Près de 40% des femmes interrogées à Taïwan, à Hong Kong, aux Philippines, en Malaisie et en Corée utilisent des crèmes éclaircissantes, selon une enquête réalisée en 2004 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Le record étant détenu par les Nigériennes, qui sont 77% à en appliquer sur leur peau. Ce marché mondial du blanchissement de l’épiderme représenterait 20 milliards de dollars (18,3 milliards d’euros) selon Bloomberg Businessweek.

Ce total comprendrait «les produits légitimes et fiables, les contrefaçons de ces produits ainsi que les savons et crèmes bon marché», qui comportent des substances chimiques dangereuses afin d’obtenir des effets blanchissants.

L’utilisation des produits de blanchissement résulte du colorisme, une discrimination favorisant les peaux claires, qui sont associées à la beauté, à la richesse et à un statut supérieur sur la supposée échelle interculturelle. Ces distinctions de classe sont hétritées du colonialisme: la population de couleur prenait le soleil en travaillant à l’extérieur tandis que l’élite préservait sa peau des effets de ses rayons.

Récemment, une Californienne est tombée dans le coma après avoir utilisé la crème pour le visage teintée au mercure Rejuveness. La crème est fabriquée au Mexique. Elle est connue pour causer des dommages au système nerveux, peut-on lire dans un rapport du Daily Beast. La forte présence de mercure dans les produits de soin de la peau, en particulier dans ceux qui visent à l’éclaircir, est un problème récurrent qui échappe souvent aux réglementations de la Food and Drug Administration (FDA). Éclaircir la peau en utilisant des produits cosmétiques est très dangereux.

Le mercure, ce poison

Le mercure est un ingrédient courant dans les produits éclaircissants en raison de ses propriétés anti-mélanine. Il est interdit dès lors que sa concentration dépasse 1 milligramme par litre dans les cosmétiques fabriqués aux États-Unis.

La FDA en a fait un ingrédient à surveiller dans les produits importés.

 «En raison des dangers connus du mercure, de son efficacité douteuse en tant qu’agent de blanchissement de la peau et compte tenu que l’on dispose d’agents de conservation non mercuriels, à la fois efficaces et moins toxiques, rien ne justifie son utilisation dans les préparations d’éclaircissement de la peau ou en tant qu’agent de conservation dans les cosmétiques», indique la règlementation de la FDA sur le mercure.

Au Royaume-Uni, plusieurs produits vendus au détail sur le marché illicite se sont avérés être fabriqués à partir d’hydroquinone, un agent dont les effets secondaires sont comparables à un empoisonnement au mercure. Afin de surveiller les cosmétiques fabriqués à l’échelle internationale, la FDA exige que tous les produits importés répondent aux normes appliquées sur les produits de beauté américains.

L’agence émet des «alertes à l’importation» aux inspecteurs afin de les informer d’une «tendance aux infractions». La FDA a tout de même émis soixante-et-un refus d’importation pour ce type de produits en août 2019.

http://www.slate.fr