Tentation


Nous consommons beaucoup sans pour autant avoir besoin de tout ce qu’on achète. Avec les publicités et les influenceurs, ou encore par envie de voir les autres de leurs possession,  nous sommes trop souvent tenté de dépenser et s’endetter
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Tentation



Ce qu’on appelle la société de consommation devrait être rebaptisé : Société de Tentation.
 
Frédéric Beigbeder

Le Saviez-Vous ► Que se passerait-il si la Terre s’arrêtait de tourner sur elle-même ?


Nous avons tout intérêt que la Terre tourne ! Il semble qu’avec le temps, notre planète tourne un peu moins vite, mais si un jour elle arrêtait de tourner, ce serait une catastrophe monumentale, avec tremblements de terre, radiations, inondations etc ..
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Que se passerait-il si la Terre s’arrêtait de tourner sur elle-même ?


Nathalie Mayer
Journaliste

Notre Terre tourne sur elle-même sans que nous en ayons directement conscience. Pourtant, les conséquences de ce mouvement de rotation sont nombreuses. Et s’il venait à s’arrêter, notre planète changerait radicalement de visage.

23 heures, 56 minutes et 4 secondes. C’est approximativement le temps qu’il faut aujourd’hui à notre Terre pour faire un tour sur elle-même. Un mouvement de rotation à l’origine de l’alternance entre le jour et la nuit. Mais aussi des régimes des vents et des courants marins. Car il faut noter qu’un point de la surface de la Terre se déplace à une vitesse qui dépend de sa latitude. À l’équateur, la vitesse atteint un maximum de 1.700 km/h alors qu’à Paris, elle est de l’ordre de 1.100 km/h, par exemple. De quoi influer sur les déplacements d’air et d’eau.

Or, les chercheurs ont remarqué que la rotation de la Terre se ralentit peu à peu. Et certains imaginent dès lors – même si les chercheurs de la Nasa estiment que les probabilités pour que cela se produise sont proches de 0 – ce qu’il adviendrait si notre Planète cessait totalement de tourner sur elle-même.

Cela perturberait, en premier lieu, l’alternance des jours et des nuits. Selon les théories, nous vivrions alors des journées, et des nuits, de six mois ou alors des journées, ou des nuits, éternelles. Avec des températures extrêmes qui oscilleraient entre quelque 60 °C et -50 °C en fonction de l’ensoleillement du moment. De quoi transformer notre Planète en un vaste désert dans lequel la vie aurait toutes les peines du monde à ne pas disparaître.

Si la Terre s’arrêtait brutalement de tourner, nous serions projetés vers l’est, par effet d’inertie – le même que celui qui vous fait chuter lorsque votre bus freine brusquement –, à une vitesse de plus de 1.000 km/h. © Tom, Fotolia

Si la Terre s’arrêtait brutalement de tourner, nous serions projetés vers l’est, par effet d’inertie – le même que celui qui vous fait chuter lorsque votre bus freine brusquement –, à une vitesse de plus de 1.000 km/h. © Tom, Fotolia

Des catastrophes en série

Les scientifiques imaginent aussi que si la Terre s’arrêtait de tourner, elle prendrait une forme presque parfaitement ronde à la place de la forme de patatoïde qui est aujourd’hui la sienne. Et ce sont les plaques tectoniques qui s’en trouveraient principalement affectées. Notre Planète connaîtrait alors une période particulièrement riche en séismes. Et en se rééquilibrant, les océans inonderaient la plupart des terres émergées. Avant de finalement se concentrer sur les pôles du fait de la disparition de l’effet de la force centrifuge.

Le champ magnétique qui fait office de bouclier en déviant les particules du vent solaire est lui aussi dépendant de la rotation de la Terre. Si celle-ci s’arrêtait de tourner, ce champ magnétique s’évanouirait et nous nous retrouverions exposés à des radiations mortelles.

Pire encore, si le phénomène devait se produire brusquement. Par effet d’inertie, les physiciens annoncent que tout ce qui se trouve à la surface de la planète s’envolerait vers l’est : maisons, voitures ainsi qu’êtres humains. Et même les eaux des océans et notre atmosphère. De quoi provoquer des tsunamis d’une incroyable puissance et des vents semblables à ceux qui accompagnent les explosions nucléaires.

https://www.futura-sciences.com/e

Toutankhamon va quit­ter son sarco­phage pour la première fois depuis trois millé­naires


J’imagine les précautions que les restaurateurs doivent prendre avec leurs gants blancs pour rénover le sarcophage du pharaon Toutankhamon, surtout en sortant la momie de son cerceuil. J’aurais bien aimé voir cela de près.
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Toutankhamon va quit­ter son sarco­phage pour la première fois depuis trois millé­naires

Crédits : The Times

par  Mathilda Caron 

Après avoir reposé dans sa nécro­pole pendant plus de 3 300 ans, le sarco­phage de Toutankhamon est restauré pour la première fois depuis sa décou­verte en 1922, rappor­tait le Los Angeles Times le 4 août. L’opé­ra­tion a débuté en juillet dernier et devrait s’étendre sur huit mois, au Caire, en Égypte.

Fils du pharaon Akhe­na­ton et époux de la légen­daire reine Néfer­titi, « l’en­fant pharaon » serait mort du palu­disme combiné à une affec­tion osseuse.

« Nous avons trans­porté le sarco­phage au musée, puis nous l’avons isolé pendant sept jours avant de commen­cer la fumi­ga­tion », racon­tait le ministre des Antiqui­tés égyp­tien, Khaled el-Enany.

Pour les besoins de la réno­va­tion de son cercueil d’or, la momie du pharaon a été reti­rée et repose à présent dans une cage de verre à la tempé­ra­ture minu­tieu­se­ment contrô­lée.

Le sarco­phage de 2,23 mètres, décoré d’un portrait du jeune roi, était « très fragile », selon les archéo­logues.

Il sera ensuite exposé au Grand musée d’Égypte du Caire, qui ouvrira ses portes l’an prochain.

Source : Los Angeles Times

https://www.ulyces.co/

Ces kata­nas sont forgés à partir de météo­rites


Des katanas sont des sabres japonais. Il y a 130 ans, un samouraï a acheté une pierre tombée du ciel. Puis travailler par un forgeron, les lames des katanas sont vraiment jolies.
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Ces kata­nas sont forgés à partir de météo­rites


par  Nicolas Pujos

Il y a près de 130 ans, un samou­raï du nom d’Eno­moto Takeaki a utilisé une météo­rite pour fabriquer les lames de ses kata­nas. On peut aujourd’­hui en voir un spéci­men excep­tion­nel au musée des sciences de Toyama, au Japon.

À la fin du XIXe siècle, Enomoto Takeaki a acheté une pierre dont la véri­table nature, une météo­rite, avait été décou­verte en 1895 par des géologues. Le célèbre samou­raï a demandé à un forge­ron d’en tirer des lames. Deux grandes lames sont deve­nues des épées et trois lames plus courtes des kata­nas, dont l’un est exposé au musée de sciences de Toyama.

Les cinq lames sont appe­lées « Ryuseito », ce qui se traduit litté­ra­le­ment par « sabres de comète ». Leur compo­si­tion provient d’un alliage de 70 % de fer météo­rique et de 30 % de tama­ha­gane, un métal riche en sable utilisé dans le katana ordi­naire. Des vagues se dessinent sur les lames grâce à des tempé­ra­tures de forgeage très supé­rieure à la normale.

Source : Musée des sciences de Toyama

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Elle confond du wasabi avec de l’avo­cat et finit à l’hô­pi­tal


Si elle pensait que c’était de l’avocat, elle avait dû prendre une bonne quantité Ouf ! Lors d’une convention, je ne me souviens plus quel mets était servi, mais il y avait un truc que je croyais une purée de pois, gros comme un pois justement. J’ai tout pris dans la bouche, c’était épouvantable et je ne voulais pas montrer mon malaise devant les autres convives. En tout cas,  un nez bouché, ne résiste pas au wasabi.  Maintenant, quand je prends du wasabi, c’est avec parcimonie.
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Elle confond du wasabi avec de l’avo­cat et finit à l’hô­pi­tal


Crédits : Wiki­mé­dia


par  Mathilda Caron

D’après la revue médi­cale BMJ Case Reports, une femme de 60 ans qui a mangé une grande quan­tité de wasabi, pensant qu’il s’agis­sait d’avo­cat, a fini à l’hô­pi­tal après un dysfonc­tion­ne­ment cardiaque.

Elle se trou­vait à un mariage quand, « après avoir mangé le wasabi, elle a senti une pres­sion soudaine dans sa poitrine qui s’est diffu­sée dans ses bras et a duré plusieurs heures », indique l’ar­ticle.

La malheu­reuse a été victime de cardio­myo­pa­thie takot­subo, une insuf­fi­sance cardiaque qui affai­blit subi­te­ment et tempo­rai­re­ment le ventri­cule gauche en cas de stress.

« À notre connais­sance, il s’agit du premier cas de cardio­myo­pa­thie takot­subo provoqué par la consom­ma­tion de wasabi », précise l’équipe du centre médi­cal de l’uni­ver­sité Soroka, en Israël.

Les symp­tômes ont tendance à ressem­bler à une crise cardiaque, avec de fortes douleurs à la poitrine. La sexa­gé­naire a fina­le­ment retrouvé un état de santé normal après un mois de trai­te­ment.

Source : BMJ Case Reports

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Moins de courriels, moins de carbone


    Internet a besoin d’énormément de serveurs partout sur la planète. C’est du quart du CO2 émis par le numérique. Ce qui aide, c’est quand les serveurs utilisent l’hydroélectricité comme au Québec, alors qu’ailleurs, c’est la combustion du pétrole. Comme nous sommes dépendant d’Internet, il y a quand même des gestes que nous pouvons faire pour diminuer l’impact, comme diminuer les courriels en évitant par exemple de s’abonner aux infolettres ou tout autres courriels inutiles, vider régulièrement la corbeille de courriels etc ..
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    Moins de courriels, moins de carbone

    PHOTO GETTY IMAGES

    Trier, supprimer et filtrer ses courriels permettent de réduire son empreinte écologique.

    On ne s’en rend pas compte, mais chaque clic de souris sur l’internet génère du CO2. Pour réduire leur empreinte sur la planète, certaines personnes ont décidé de mieux gérer leur boîte courriel.

    THOMAS DUFOUR

    LA PRESSE

    Internet pollue. La raison : 45 milliards de serveurs situés aux quatre coins de la planète. À eux seuls, ils sont responsables du quart du CO2 émis par le numérique, selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie.

    Au Québec, ces serveurs sont relativement verts puisqu’ils utilisent l’hydroélectricité. Mais dans certains pays, ces gros disques durs sont alimentés par de l’énergie issue de la combustion du pétrole.

    Malheureusement, il est presque impossible de savoir si nos courriels sont stockés dans des serveurs polluants.

    « Il vaut mieux avoir une saine gestion de son hygiène numérique, afin de réduire son empreinte », dit Jean-François Boucher, professeur en écoconseil à l’UQAC.

    Prendre sa boîte courriel en main

    Laurianne Landry-Duval travaille fort pour réduire son impact sur l’internet. Elle a commencé il y a quelques années à trier, à supprimer et à filtrer ses courriels.

    Elle dit avoir toujours aimé mettre de l’ordre dans ses affaires. Lorsqu’elle a appris que l’internet était polluant, ç’a été naturel pour elle de réduire.

    « J’évite les mails dont je n’ai pas besoin. Je ne m’abonne pas aux infolettres et je supprime les courriels qui ont cinq, sept, dix ans. » — Laurianne Landry-Duval

    Elle s’assure aussi de vider sa corbeille de temps à autre puisque les documents qui y sont contenus utilisent encore de l’espace sur les serveurs.

    Elle porte une attention particulière aux fichiers joints puisqu’ils utilisent beaucoup d’espace de stockage.

    « Souvent, je ne conserve que le courriel écrit et je supprime le reste », dit celle qui travaille au Conseil régional de l’environnement de Lanaudière.

    Quand Laurianne Landry-Duval parle de gestes écoresponsables avec ses proches, elle n’aborde pas nécessairement la gestion de courriels.

    « Ce n’est pas le sujet préféré autour d’une table. »

    Bien qu’elle soit consciente du réel impact des données sur la planète, elle mise plutôt sur du « concret ».

     « Je vais parler de zéro déchet et montrer qu’il est possible de faire une différence », dit-elle.

    Elle est dans un processus constant d’amélioration.

    « Mon objectif est de réduire au maximum mon empreinte, mais progressivement pour le restant de ma vie. »

    D’autres pistes

    Mais il n’y a pas que les courriels qui rejettent des gaz à effet de serre dans l’atmosphère. L’utilisation de l’internet pollue de manière générale.

    « Toutes les fenêtres ouvertes sur votre ordinateur consomment de l’énergie. Il est bon de ne pas les multiplier. » — Jean-François Boucher

    Les vidéos comptent pour une bonne partie des données stockées à l’échelle de la planète.

    « On peut dire à Facebook de ne pas jouer automatiquement les vidéos, ajoute le professeur. C’est une façon d’éviter une consommation incroyable d’énergie. »

    Certaines entreprises comme Google compensent les émissions polluantes de leurs serveurs.

    « C’est rigoureux et solide, affirme Jean-François Boucher. Il faudrait que d’autres entreprises emboîtent le pas. »

    Chaque heure, entre 8 et 10 milliards de courriels sont échangés dans le monde. Ces messages parcourent en moyenne 15 000 kilomètres avant d’arriver à leur destinataire.

    https://www.lapresse.ca/

Cancer du sein, les hommes aussi


Même si le cancer du sein est moins de 1 % chez les hommes, il peut s’avérer utile de faire un dépistage. Cependant, il y est important de surveiller les signes qui sont les mêmes que les femmes.
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Cancer du sein, les hommes aussi


marstockphoto/Shutterstock.com

Les cancers du sein sont généralement considérés comme des cancers exclusivement féminins. Les hommes peuvent pourtant aussi être touchés. Ils ne doivent donc pas négliger les symptômes.

Moins de 1% des cancers du sein affectent les hommes. Ces messieurs doivent pourtant savoir qu’ils peuvent être concernés.

Comme pour les femmes, certains facteurs de risque exposent les hommes au cancer du sein. Il peut s’agir de l’âge (les plus de 60 ans sont ainsi plus exposés), d’antécédents familiaux, d’une prédisposition génétique (liée à la mutation du gène BRCA2), d’une exposition aux rayonnements (en particulier du thorax) ou encore d’une cirrhose du foie qui peut augmenter le taux d’œstrogène et baisser le taux d’androgènes.

D’autres facteurs peuvent être liés à la survenue de ce type de cancer chez l’homme. Mais devant le manque de preuves scientifiques, la prudence reste de mise. La gynécomastie, c’est-à-dire le développement exagéré des seins chez l’homme, l’obésité ou la consommation d’alcool ont ainsi déjà été pointés du doigt.

Les mêmes symptômes que chez la femme

La rareté et le caractère généralement indolore de la maladie retardent souvent le diagnostic. Les hommes doivent donc être attentifs à leurs seins pour repérer la tumeur le plus rapidement possible. Tout changement doit vous conduire à consulter. Le signe le plus fréquent du cancer du sein chez l’homme est une masse indolore, habituellement située près du mamelon ou en-dessous. Un écoulement ou saignement du mamelon, un mamelon qui pointe soudainement vers l’intérieur, une douleur ou enflure au sein ou encore une masse à l’aisselle sont autant d’autres signes évocateurs.

Sachez enfin que l’évolution de la maladie et les traitements proposés aux hommes sont les mêmes que pour un cancer féminin.

Adapter les directives de dépistage aux hommes ?

Une étude américaine vient de montrer qu’un programme de dépistage du cancer du sein chez les hommes à risque était tout à fait pertinent. Dans la mesure où les hommes sont dépistés à un stade avancé de la maladie, une mammographie de contrôle permettrait une prise en charge précoce.

  • Source : Institut national du cancer, consulté le 18 septembre 2019

  • Ecrit par : Vincent Roche – Edité par : Emmanuel Ducreuzet

https://destinationsante.com/