Apparence


L’apparence est souvent trompeuse, malgré tout nous avons trop souvent une perception des gens en regardant l’apparence des gens.

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Apparence



Si on s’était arrêté à l’apparence des huîtres, on n’aurait jamais découvert les perles


Boucar Diouf

Le Saviez-Vous ► Pourquoi Les Avions Larguent-Ils du Carburant Avant d’Atterrir ?


Quel gaspillage de carburant surtout qu’il est cher. Cependant, pour les avions, il est important lors de l’atterrissage de ne pas avoir trop de poids. Aujourd’hui, plusieurs avions ne peuvent pas larguer le surplus de carburant, alors ils doivent voler plus longtemps si nécessaire pour éviter des accidents rendus au sol.
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Pourquoi Les Avions Larguent-Ils du Carburant Avant d’Atterrir ?

Tu es confortablement installé dans ton siège à la fenêtre d’un avion de ligne quand soudain, tu remarques une étrange traînée blanche qui sort par l’arrière de l’aile.

Un problème avec l’avion ? Va-t-il s’écraser ? Pas de panique ! Les pilotes exécutent simplement une procédure standard appelée largage de carburant. Or cela peut sembler être un énorme gaspillage. Par exemple, un Boeing 737-300 de taille moyenne consomme environ deux tonnes et demi de carburant par heure de vol. Le prix du kérosène est supérieur à 600 dollars la tonne, ce qui signifie que le vol coûte environ 1 500 dollars par heure. Alors pourquoi font-ils cela ?

Sommaire


La plupart des avions doivent être plus légers à l’atterrissage qu’au décollage, environ 100 tonnes de moins !


– Si l’avion n’utilise pas une certaine quantité de carburant avant l’atterrissage, il risque de heurter le sol trop durement, ce qui peut causer de graves dommages.


– Mais de temps en temps, une situation d’urgence se produit et l’avion est forcé d’atterrir beaucoup plus tôt que prévu.


– Peu de gens savent que la plus grande partie du carburant est stockée dans les ailes de l’avion. C’est pourquoi, lorsqu’un pilote actionne un interrupteur dans le poste de pilotage, un système sophistiqué de pompes et de soupapes entre en action, et des embouts spéciaux dégagent l’excédent de carburant.


– D’un autre côté, tous les avions ne sont pas dotés de ce système complexe. Par exemple, les avions à fuselage étroit comme le Boeing 757 ou l’Airbus A320 ne peuvent pas larguer de carburant.


– C’est pourquoi, si la construction de l’avion le permet, les pilotes préfèrent éjecter du carburant plutôt que de risquer la vie des passagers.


– La plupart du carburant s’évapore alors qu’il est encore en l’air et ne touche jamais le sol.


– Cela peut sembler terrible pour la pollution de l’environnement, mais voici une vérité encore plus amère : que les avions volent ou larguent leur carburant, celui-ci se retrouve dans l’atmosphère de toute façon.


– Au fait, sais-tu que chaque avion doit transporter plus de carburant qu’il n’en faut pour couvrir la distance entre le point A et le point B ?


– Le 29 décembre 2014, le vol VS43 de Virgin Atlantic, à destination de Las Vegas, a décollé de l’aéroport de Gatwick. Peu après, les pilotes se sont rendu compte que le train d’atterrissage droit de l’avion était coincé et n’était pas rentré.


– Après avoir tourné en rond pendant plusieurs heures, les pilotes ont finalement éjecté suffisamment de kérosène sur le territoire du sud de l’Angleterre pour retourner à Gatwick.


– Une autre raison de placer les réservoirs de carburant dans les ailes est d’alléger le fuselage de l’avion, ce qui réduit également la pression sur les bases des ailes.


– Si tout le carburant était stocké dans le nez ou l’empennage de l’avion, le centre de gravité changerait en fonction de la consommation de carburant, ce qui nuirait à la stabilité de l’avion.




Combien coûte le kérosène ? 0:30

Pourquoi les pilotes jettent-ils littéralement l’argent par les fenêtres ? 1:18

Comment font-ils exactement 2:42

Qu’en est-il de la pollution environnementale ? 4:10

Du carburant pour toutes sortes de situations d’urgence 4:47

Pourquoi le carburant est-il stocké dans les ailes ? ✈️ 7:06

Musique par Epidemic Sound https://www.epidemicsound.com/

Une fillette de 6 ans arrêtée après avoir piqué une crise de colère à l’école


Heu !!! Bien qu’une crise d’enfant est parfois difficile à gérer et qu’un coup de pied a un adulte ou même un autre enfant devrait avoir une conséquence…. L’arrestation, poursuivie de coup et blessure et tout le processus de la détention d’une fillette de 6 ans par la police américaine et un peu trop extrême.
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Une fillette de 6 ans arrêtée après avoir piqué une crise de colère à l’école


Kaia, une petite fille de 6 ans originaire de Floride, a été menottée et conduite dans un centre de détention après avoir piqué une crise de colère en classe. Choquée par les faits, sa grand-mère a contacté la presse

Ce jeudi 19 septembre, Meralyn Kirkland a reçu un appel de l’école primaire de sa petite-fille Kaia pour lui informer que cette dernière avait été placée en garde à vue. La fillette de 6 ans a été arrêtée après avoir piqué une crise de colère en classe et avoir donné un coup de pied à un membre du personnel de l’établissement. Elle a été menottée et conduite dans un centre de détention juvénile d’Orlando, à plus de 12 kilomètres de son école, où ses empreintes digitales ont été relevées et où elle a été photographiée comme une criminelle, selon le rapport des forces de l’ordre.

“J’ai dit: ‘Comment ça, elle a été arrêtée?’, et on m’a répondu: ‘Il y a eu un incident à l’école, elle a frappé quelqu’un’”, a raconté Meralyn à la télévision locale  WFLA-TV, avant d’ajouter, abasourdie: “Elle est poursuivie pour coups et blessures!”

“Aucun enfant de 6 ans ne devrait pouvoir dire qu’il a été menotté et qu’il se trouvait à l’arrière d’une voiture de police qui l’emmenait dans un centre pour mineurs afin de prendre ses empreintes digitales et se faire prendre en photo”, a-t-elle ajouté.

Selon le site d’information local Click Orlando, un deuxième enfant âgé de 8 ans a également été arrêté par le même policier ce jour-là. Une enquête interne est en cours.

https://www.7sur7.be

Voici ce qu’a appris une équipe de robots à travers 500 millions de parties de cache-cache


5 millions de parties pour jouer à cache-cache entre deux équipes de robots (des avatars) dotés d’intelligence artificielle : les bleus et les rouges. 75 millions de parties de plus, ils ont appris a utilisé leurs environnements pour se cacher ou trouver selon l’équipe. Ces robots virtuels ont pu donc créer des stratégies pour gagner..
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Voici ce qu’a appris une équipe de robots à travers 500 millions de parties de cache-cache

Les robots virtuels d'OpenAI jouent à cache-cache.

Les robots étaient propulsés par OpenAI Five, un système informatique composé de cinq réseaux de neurones artificiels indépendants qui prennent des décisions de façon autonome et apprennent de leurs erreurs afin de développer des nouveaux comportements.

Radio-Canada

On peut apprendre beaucoup sur le processus décisionnel de robots propulsés par l’intelligence artificielle en les observant lorsqu’ils sont laissés à eux-mêmes. C’est ce qu’a fait l’équipe de recherche du laboratoire d’intelligence artificielle OpenAI avec sa dernière expérience, qui consistait à simuler des centaines de millions de parties de cache-cache entre deux équipes de robots.

Les règles du jeu étaient simples. Une équipe d’agents virtuels devait se cacher tandis que l’autre devait les trouver. Le nombre de membres de chaque équipe variait aléatoirement entre un et trois.

Les avatars étaient placés dans une arène fermée où se trouvaient des boîtes et des rampes manipulables. Ils avaient aussi la capacité de bloquer l’accès à ces objets à l’autre équipe afin qu’elle ne puisse pas les déplacer.

Les robots étaient propulsés par OpenAI Five, un système informatique composé de cinq réseaux de neurones artificiels indépendants qui prennent des décisions de façon autonome et apprennent de leurs erreurs afin de développer de nouveaux comportements.

OpenAI Five fonctionne avec l’apprentissage par renforcement, qui récompense l’algorithme lorsqu’il adopte les comportements recherchés. C’est d’ailleurs une technique qui sert à entraîner des animaux.

Pour les 25 millions de premières parties, les avatars qui devaient se cacher (l’équipe bleue) se sont simplement déplacés dans l’espace tandis que les avatars qui devaient les trouver (l’équipe rouge) les pourchassaient.

L’équipe bleue a ensuite compris qu’elle pouvait se servir des objets dans son environnement pour créer des forts impénétrables grâce aux objets qu’elle avait à sa disposition.

Les robots virtuels d'OpenAI construisent un fort.

Les robots construisent un fort.

PHOTO : OPENAI

75 millions de parties plus tard, l’équipe rouge a développé une contre-stratégie. Elle s’est mise à utiliser des rampes pour sauter par-dessus les obstacles.

L'équipe rouge de robots virtuels d'OpenAI se sert d'une rampe pour franchir une barrière.

L’équipe rouge se sert d’une rampe.

PHOTO : OPENAI

L’équipe bleue a riposté en cachant les rampes dans son fort avant de bloquer l’entrée avec les blocs. 

L'équipe de robots bleus d'OpenAI cache des rampes.

L’équipe bleue cache des rampes.

PHOTO : OPENAI

Quand une équipe apprend une nouvelle stratégie, elle crée une pression chez ses adversaires, qui doivent s’adapter. On peut faire une intéressante analogie avec l’évolution des êtres humains sur la terre, lors de laquelle il y avait une constante compétition entre les organismes, a expliqué l’un des membres de l’équipe de recherche d’OpenAI, Bowen Baker, en entrevue avec New Scientist. 

Se servir de bogues pour gagner

Bowen Baker a été surpris de voir à quel point l’intelligence artificielle pouvait s’adapter, peu importe les embûches.

Quand l’environnement de la simulation s’est élargi pour inclure davantage d’obstacles, l’équipe bleue avait de nouvelles boîtes plus allongées à sa disposition. Les robots pouvaient alors fabriquer des forts plus complexes et plus difficiles à pénétrer.

Ils ont aussi fini par comprendre qu’ils pouvaient bloquer l’accès aux rampes à l’autre équipe. OpenAI était alors certain que cela marquait la fin de l’expérience, mais l’équipe rouge a découvert un bogue qui lui permettait de franchir des barrières sans rampe.

Démonstration du « surf de boîte » des robots d'OpenAI.

Démonstration du « surf de boîte ».

PHOTO : OPENAI

Cette stratégie, baptisée surf de boîte par l’équipe de recherche, consiste à se déplacer sur une boîte après avoir grimpé dessus à l’aide d’une rampe qui ne pouvait être manipulée.

Selon OpenAI, cette séquence d’événements indique que l’intelligence artificielle pourrait avoir la capacité de proposer des pistes de solutions inédites à des problèmes dans le monde réel.

On veut que les gens imaginent ce qui se passerait si on organisait une compétition de la sorte dans un environnement bien plus complexe. Les comportements appris pourraient résoudre des problèmes pour lesquels nous n’avons pas encore de solution, a expliqué Bowen Baker au MIT Technology Review. 

L’équipe bleue a fini par trouver une stratégie infaillible pour gagner toutes les parties : bloquer l’accès à tous les objets, y compris les boîtes, avant de construire son fort.

https://ici.radio-canada.ca/

L’Endeavour, navire du capitaine Cook, enfin retrouvé plus de 240 ans après sa disparition ?


En 1993, les archéologues ont commencé explorer les profondeurs du port de Newport aux États-Unis. Dans ce cimetière d’épaves, ils croient avoir trouvé le navire l’Endeavour, utilisé au XVIIIe siècle, dirigé par le capitaine Cook. Plus tard, il fut rebaptisé le lord Sandwich, il a même servi de prison et fut saborder le 1778. Pour le moment, ils ne sont encore à 100 % certain que ce soit ce navire, il reste encore d’autres études à faire.
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L’Endeavour, navire du capitaine Cook, enfin retrouvé plus de 240 ans après sa disparition ?

Par Emeline Férard –

Tableau de Samuel Atkins représentant le HMS Endeavour du capitaine Cook au large des côtes de la Nouvelle-Hollande.© National Library of Australia

Une équipe d’archéologues sous-marins pense avoir retrouvé le HMS Endeavour, le navire utilisé au XVIIIe siècle par le célèbre explorateur britannique James Cook. L’épave sabordée en 1778 repose dans les profondeurs du port de Newport aux Etats-Unis.

Trois siècles après avoir connu son heure de gloire, l’Endeavour va-t-il ressortir de l’oubli ? C’est ce que suggère l’annonce réalisée par des archéologues sous-marins du Rhode Island Marine Archaeology Project (RIMAP). Depuis plus d’une décennie, ces spécialistes tentent de retrouver l’épave du navire utilisé par le célèbre explorateur James Cook et leurs recherches semblent enfin avoir porté leurs fruits.

Dans les profondeurs du port de Newport dans l’Etat de Rhode Island (Etats-Unis), ils ont identifié les restes d’un navire qui semblent correspondre à ceux du HMS Endeavour . Un bâtiment dans lequel ils ont mis au jour de nombreux artéfacts, notamment des fragments de bois, de cuir, de textile ainsi que du verre et de la céramique, qui remonteraient au XVIIIe siècle.

De navire marchant à voilier d’exploration

Le HMS Endeavour était un voilier britannique de 32 mètres de long et de 368 tonnes. Lancé en 1764 sous le nom de Earl of Pembroke, il sert durant plusieurs années de navire marchand avant d’être racheté par l’amirauté. En 1768, il passe sous le commandement du capitaine James Cook, alors lieutenant de la Royal Navy et s’embarque pour un voyage de plusieurs années à travers le monde.

A bord de l’Endeavour, le célèbre explorateur et son équipage se rendent à Tahiti avant d’explorer le Pacifique Sud et la Nouvelle-Zélande pour cartographier ses côtes. En 1770, ils deviennent les premiers Européens à débarquer en Australie, à Botany Bay, une baie située dans l’actuelle ville de Sydney. L’expédition prend fin plus d’un an plus tard, en juillet 1771 lorsque le navire revient en Angleterre.

Une réplique de l’Endeavour, le voilier du capitaine Cook, entre dans le port de Sydney en Australie en 2012. – Wolter Peeters/The Sydney Morning Herald/Fairfax Media via Getty Images

Si ce voyage ne constituait que le premier du capitaine Cook, le voilier ne renouvelle pas l’aventure. Dès 1775, l’Amirauté revend le navire. Un an plus tard, il est rebaptisé Lord Sandwich et est utilisé pour transporter des troupes britanniques durant la guerre d’indépendance des États-Unis. Installé dans le port de Newport, il sert également de prison mais le navire ne verra pas la fin du conflit.

Comme douze autres navires, le Lord Sandwich ex-Endeavour est délibérément sabordé en 1778 par les Britanniques pour empêcher une invasion des Français, durant la bataille de Rhode Island dans la baie de Narragansett.

Cimetière d’épaves

C’est en 1993 que les archéologues du RIMAP ont démarré les recherches dans les profondeurs du port de Newport. Elles leur ont permis d’identifier plus d’une dizaine de navires sur lesquels ils ne disposaient que de peu d’informations. Ainsi, ce n’est seulement que cinq ans plus tard qu’ils ont découvert que Lord Sandwich avait auparavant participé à l’expédition du capitaine Cook.

Le grand nombre d’épaves présentes dans le port a constitué une difficulté pour la poursuite des recherches et leur identification. Mais les spécialistes pensent aujourd’hui enfin avoir réussi à mettre la main sur l’Endeavour. Les observations ont montré que la structure de l’épave et ses dimensions correspondaient à celles d’un navire du XVIIIe siècle et qu’elle semblait reposer au bon endroit.

Image en trois dimensions du bois exposé de l’épave. – James Hunter et al/RIMAP 2019

Autant d’éléments qui suggèrent que l’équipe pourrait avoir vu juste. Mais la théorie reste difficile à confirmer à l’heure actuelle et les archéologues préfèrent rester prudents.

« Bien que rien n’affirme qu’il s’agit du Lord Sandwich ex-Endeavour, rien ne dit non plus que ce n’est pas le cas », résume dans un communiqué le RIMAP.

« Nous ne pensons pas trouver quelque chose qui dit « le capitaine Cook a dormi ici » – c’est peu probable », a reconnu pour LiveScience, Kathy Abbass, responsable des recherches. « Mais si nous trouvons que quelque chose de plus petit correspond à la façon dont [l’Endeavour] a été utilisé – comme navire de transport ou prison à Newport, alors nous saurons que nous l’avons trouvé ».

Aucun des artéfacts remontés jusqu’ici n’a permis d’établir l’identité du navire. Des échantillons issus de la coque de l’épave ont été envoyés dans un laboratoire pour analyses. Elles devraient livrer des informations sur le bois utilisé pour construire le navire et peut-être apporter une preuve supplémentaire, les rapports suggérant que le voilier du capitaine Cook était composé de bois d’orme.

Comment les navires ont-ils coulé ?

Bien que les doutes persistent quant à l’identité réelle de l’épave, elle a permis aux archéologues de répondre à quelques questions cruciales. Parmi elles : comment les Britanniques s’y sont-ils pris pour saborder les navires ? Une théorie supposait que des trous avaient été percés dans leurs coques pour les faire couler. Les observations semblent abonder dans ce sens.

Un plongeur retire la vase recouvrant une portion de l’épave afin d’exposer les structures préservées malgré plus de 240 ans passés dans les profondeurs. – John Cassese/RIMAP 2019

Sur l’épave, les plongeurs ont remarqué la présence d’un orifice à proximité de la quille qui pourrait avoir été percé délibérément pour que le navire prenne l’eau et échappe à l’ennemi.

« C’est ce genre de petit détail qui améliore la compréhension de la façon dont ces bateaux étaient gérés, et c’est aussi une contribution importante de l’archéologie sous-marine aux recherches sur l’histoire maritime », relève le RIMAP.

Les archéologues prévoient de tenter de nouvelles plongées jusqu’à l’épave au cours de l’hiver, quand les eaux du port de Newport offrent une meilleure visibilité. Ils espèrent ensuite reprendre les excavations l’été prochain pour définitivement lever le mystère.

https://www.geo.fr/

La Sécurité intérieure des États-Unis reconnaît (enfin) le nationalisme blanc comme une menace terroriste majeure


Il était plus que temps que les États-Unis voient autre chose que des étrangers venu d’ailleurs pour terroriser le peuple américain. Qu’il y a des terroristes tout aussi dangereux dans leur rang, avec les tueries de masses qui ont tués trop d’innocent
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La Sécurité intérieure des États-Unis reconnaît (enfin) le nationalisme blanc comme une menace terroriste majeure

Des membres du NSM, une organisation néonazie, avec d'autres nationalistes blancs, lors d'un rassemblement à Newnan, dans l'état de Georgie, le 21 avril 2018. 

Des membres du NSM, une organisation néonazie, avec d’autres nationalistes blancs, lors d’un rassemblement à Newnan, dans l’état de Georgie, le 21 avril 2018.

Repéré par Christophe-Cécil Garnier

Repéré sur Vice News

Le département avait été créé après les attentats du 11 septembre et s’était axé sur les menaces étrangères

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Alors que les États-Unis ont été frappés en août dernier par un attentat à El Paso qui a fait vingt-deux morts – quatorze Américains et huit Mexicains – le secrétaire par intérim du département de la Sécurité intérieure (DHS) a dévoilé vendredi la nouvelle stratégie du DHS envers la lutte contre le terrorisme. Et il place une attention majeure sur la lutte contre la menace du nationalisme blanc à l’intérieur des frontières des USA, explique Vice News. Une première alors que les USA ont connu quatre attaques terroristes d’extrême-droite depuis un an (à El Paso, Gilroy, Poway et Pittsburgh).

Depuis sa création en 2002, à la suite des attentats du 11 septembre, le DHS a largement axée sa stratégie sur les menaces posées par les groupes étrangers comme l’organisation État Islamique ou Al-Qaïda. Cette nouvelle annonce marque donc un tournant majeur pour la Sécurité intérieure.

Kevin McAleenan, le secrétaire par interim, a expliqué que c’est après l’attaque dans la synagogue à Poway, en Californie, qu’il a organisé un sous-comité chargé d’éviter les attaques similaires. À partir de là, le DHS a commencé à élaborer «un cadre stratégique qui s’appuierait sur notre succès face aux organisations étrangères et incorporerait les enseignements tirés», a indiqué McAleenan..

«Les États-Unis sont confrontés à un environnement de menace en constante évolution, à une menace terroriste et à une violence ciblée à l’intérieur de nos frontières, qui est plus diversifiée que jamais depuis les attaques du 11 septembre, a-t-il renchérit. Nous sommes parfaitement conscients de la menace croissante de nos ennemis, aussi bien étrangers que nationaux, qui cherchent à inciter à la violence chez les jeunes de notre pays».

La nouvelle va être «un soulagement» pour les experts en sécurité nationale et en extrémisme, selon Vice.

Depuis des années, ils alertent sur la menace des attaques terroristes des nationalistes et suprémacistes blancs. L’administration Trump avait supprimé et démantelé des programmes de la Sécurité intérieure conçus pour lutter contre «l’extrémisme violent», y compris celui d’extrême-droite. Lors d’une audition devant un comité de la Chambre des représentants, des experts avaient souligné que les USA étaient «terriblement mal équipés pour faire face à la menace».

http://www.slate.fr/

Ovni : l’U.S. Navy dévoile des vidéos de « phénomènes aériens non identifiés »


En 2014-2015 des pilotes de la Navy on filmé des objets volant non identifié (OVNI). Ces appareils ne sont pas comportés comme des engins connus. Ils ne savent pas ce que cela pourrait être, sauf qu’on ne peut conclure a des extraterrestres que l’on désigne souvent quand on parle d’OVNI. La seule chose qu’on peut affirmer, c’est qu’ils ne sont pas d’origine américaine.
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Ovni : l’U.S. Navy dévoile des vidéos de « phénomènes aériens non identifiés »


Rémy Decourt
Journaliste

Ces vidéos, acquises en vol par des pilotes américains avaient été rendues publiques par l’or­ga­ni­sa­tion TTSA (To The Stars Academy) de recherche sur les Ovni de Tom DeLonge, ancien chan­teur de Blink-182. 

En novembre 2014 et en janvier 2015, au large des côtes de San Diego et de Jacksonville, des pilotes de la marine américaine, à bord d’avions de chasse, ont été confrontés à des objets volants non identifiés à plusieurs reprises réalisant des manœuvres incompatibles avec les performances de tous les engins volants connus (accélérations, arrêts brutaux, virages instantanés).

Les enregistrements réalisés lors de ces vols montrent clairement la présence de struc­tures volantes se déplaçant à très grandes vitesses et l’on peut entendre l’étonnement et la surprise des pilotes face à ces objets aux performances inenvisageables, et surtout leur incapacité à déterminer leur origine.

Ces enre­gis­tre­ments avaient été rendus publics deux ans plus tard par TTSA (To The Stars Academy), l’or­ga­ni­sa­tion de recherche sur les Ovni de Tom DeLonge, ancien chan­teur de Blink-182. Ils avaient également fait l’objet d’une couverture médiatique aux États-Unis. À l’époque, l’U.S. Navy parlait de drones et de ballons (certainement une version plus moderne du ballon météo de Roswell !) pour expliquer leur présence.


L’U.S. Navy se veut pragmatique et admet, enfin, l’évidence 

Mais, contrainte par la loi américaine sur la liberté d’information, l’U.S. Navy a dû apporter des explications plus convaincantes et sérieuses.

Le 10 septembre, son porte-parole, Joseph Gradi­sher, a admis que le « phéno­mène montré dans ces vidéos n’est pas iden­ti­fié » et reconnu qu’il s’agit « d’objets inconnus violant l’espace aérien américain ».

Mais, plutôt que de parler d’objets volants non identifiés (Ovni), la marine américaine a préféré utiliser les termes moins polémiques de « Phénomènes aériens non identifiés ».

Cette annonce a agréablement surpris la communauté ufologique mondiale, saluant la déclaration de l’U.S. Navy, rompant de fait avec la position officielle du gouvernement des États-Unis qui n’a jamais souhaité reconnaître de tels « phénomènes » en utilisant les termes aussi précis employés par l’U.S. Navy.

Cela dit, si l’au­then­ti­cité des images a pour la première fois été attes­tée officiellement, elles n’indiquent en rien une origine extraterrestre. En effet, ces objets peuvent aussi évoquer des drones mili­taires très avancés qui a priori ne seraient pas américains.

CE QU’IL FAUT RETENIR

  • L’U.S. Navy a officiellement confirmé l’au­then­ti­cité de trois vidéos montrant des objets volants non iden­ti­fiés.

  • Ces vidéos ont été enregistrées en 2014 et 2015 par des pilotes de la marine.

  • Les manœuvres réalisées par ces objets sont incompatibles avec les capacités des véhicules volants connus.

https://www.futura-sciences.com/