C’est un non-sens, quand des pays parlent de paix, mais arment les ennemis entre-eux.
Nuage
Marchand d’armes
On ne peut être pour la paix quand on est marchand d’armes.
Franck Ntasamara
C’est un non-sens, quand des pays parlent de paix, mais arment les ennemis entre-eux.
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Marchand d’armes
On ne peut être pour la paix quand on est marchand d’armes.
Franck Ntasamara
Quand j’étais petite, on disait en effet que l’autruche se cachait la tête dans le sable pour faire face au danger. Ce ne fût que plus tard, j’ai appris que ce n’était pas tout à fait que le plus gros oiseaux au monde fait quand il est en danger.
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Vous connaissez surement l’expression la “politique de l’autruche”, c’est à dire refuser obstinément de faire face à un danger ou problème; faire comme s’il n’existait pas.
Cette formule vient d’un comportement que l’on prête à l’autruche. Effrayée elle cacherait sa tête dans le sable et se croirait ainsi en sécurité. De cette manière elle choisirait d’ignorer le danger.
Mais l’autruche adopte-t-elle vraiment ce comportement ?
Commençons par dire que nous le pensons car Pline l’Ancien, au premier siècle après JC, a répandu cette idée fausse en décrivant cet animal, qu’il considérait comme le chainon entre les mammifères et les oiseaux, comme particulièrement sot, soulignant,à juste titre qu’au lieu de cacher sa tête il ferait mieux de courir. En effet cet oiseau est l’animal à deux pattes le plus rapide du monde. Il court à 50 km/heure en moyenne avec des pointes à 70 km/h.
Mais plus encore que Pline l’Ancien, la faute en revient à l’autruche elle-même. Son comportement a semble-t-il principalement contribué à la construction de cette légende. En effet, placée dans certaines situations, comme en présence d’un prédateur, quand elles se sent menacée, l’autruche peut se coucher sur le sol, aplatissant son long cou et sa tête pour ne pas se faire repérer. Réduisant ainsi sa visibilité, elle espère être confondue avec la végétation.
A noter pour conclure que l’autruche est un animal fascinant a différents titres. Il s’agit par exemple du plus grand oiseau de la planète, l’animal qui possède les plus gros yeux et enfin celui qui pond les plus gros oeufs du monde.
Quand on dit que toutes technologies actuelles se piratent, on est quand même loin de se douter qu’un câble qui sert a charger un téléphone être utile à un hacker. Il est donc important d’avoir en main toujours son propre chargeur. En effet, un pirate informatique a démontré à une conférence DEF CON à Las Vegas ce danger potentiel.
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Si vous avez oublié votre chargeur au bureau ou en vacances, réfléchissez-y à deux fois avant de demander celui d’un ami ou d’un inconnu. Un pirate a réussi à infecter un ordinateur en glissant un malware à l’intérieur d’un chargeur.
La majorité des smartphones utilisent désormais des prises standardisées, Lightning chez Apple, ou USB Type B ou C chez tous les autres. Cette normalisation a eu l’effet bénéfique de permettre aux utilisateurs d’utiliser quasiment n’importe quel chargeur pour remplacer celui qui a été perdu ou oublié.
Dans une interview accordée à nos collègues de Forbes, Charles Henderson, directeur du service X-Force Red chez IBM Security, tient à mettre en garde contre l’utilisation des câbles de chargeurs de source indéterminée. Pour lui, cela reviendrait à emprunter des sous-vêtementsà des inconnus. Les hackers sont capables d’implanter de manière invisible des circuits électroniques miniaturisés dans les câbles de chargeurs, leur ouvrant un accès direct aux appareils pour les infecter.
Un simple câble suffit pour infecter un ordinateur
Lors de la conférence DEF CON à Las Vegas, un hacker qui utilise le pseudo « MG » a ainsi fait la démonstration d’un câble Lightning modifié, avec lequel il a branché un iPod sur un ordinateur Mac. Il a pu accéder à l’adresse IP du câble, et prendre le contrôle du Mac. Par la suite, il a lancé une commande pour mettre fin au malware, ce qui a effacé toute trace de l’infection. Une victime n’aurait donc aucun moyen de savoir que son appareil a été piraté.
Démonstration d’une prise de contrôle d’un Mac à l’aide d’un câble trafiqué. © MG
Charles Henderson met également en garde contre les stations de charge publiques qui sont encore plus problématiques, comme celles des aéroports ou des gares. Les stations proposant des prises secteur ne représentent aucun danger si vous utilisez votre propre chargeur, mais de nombreuses stations proposent directement des prises USB. Impossible de savoir quel genre d’appareil se cache derrière la prise ou si elle n’a pas été modifiée par une personne mal intentionnée.
Je crois que ce chien souffre d’un trouble alimentaire qu’on appelle : Pica ! Mais comment a t’il pus avaler autant de canards de plastique. ? Heureusement, il s’en est sorti grâce à une chirurgie !
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Crédits : Viral Press
par Mathilda Caron
En Thaïlande, une vétérinaire de Pattaya a sauvé Davel, un staff américain qui avait avalé 38 canards en caoutchouc. À son arrivée à la clinique, l’animal en avait déjà régurgité six, rapportait le Sun le 16 août.
Sa propriétaire avait acheté une boîte de 50 canards pour décorer sa piscine, mais elle était loin d’imaginer que son chien les mangerait. Après avoir fait une radiographie du ventre de l’animal, la vétérinaire a été stupéfaite de réaliser qu’il était effectivement plein de canards en plastique.
« J’ai déjà retiré des jouets en caoutchouc du ventre d’un chien, mais jamais autant ; c’était incroyable », a-t-elle raconté.
Au total, la vétérinaire a retiré 32 canards en plastique de son estomac, ainsi que deux morceaux de caoutchouc vert et de la peau de vache non digérée. Curieux régime.
Davel s’est bien remis de l’opération, espérons que sa mésaventure le dissuadera à l’avenir d’avaler n’importe quoi.
Source : The Sun
Les espaces verts, les parcs urbains et les forêts sont des lieux qui nous inspire et sont positifs pour notre santé mentale.
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Les personnes qui se promènent régulièrement dans ces espaces silencieux et éloignés de la pollution se sentiraient plus heureuses. | Tama66 via PIxabay
Repéré par Robin Lemoine
Repéré sur The Guardian
Les espaces verts sont des vecteurs de santé mentale et physique.
«Le parc Montsouris, c’est le domaine où je promène mes anomalies, où j’me décrasse les antennes des mesquineries de la vie», chantait Jacques Higelin.
De nombreuses études démontrent que gambader au milieu des arbres, se balader dans un parc ou tout simplement s’allonger dans l’herbe participent à notre bien-être.
Une petite parenthèse qui n’est pas faite pour profiter de la biodiversité ni pour ses impacts positifs sur le climat, mais pour notre félicité. Les parcs urbains et les forêts sont des vecteurs de santé mentale et physique, dont les effets sont de mieux en mieux compris par la science.
Agents de bonheur
Le rapport de l’Uned-Ipsos de 2013 Jardins et espaces verts: l’exception culturelle française? et celui publié dans la revue Psychological Science et réalisé par le psychosociologue britannique Mathew White mettent en avant le bien-être indéniable procuré par ces espaces sur les personnes qui vivent à proximité. Selon ces scientifiques, les gens qui se rendent régulièrement dans ces endroits silencieux, éloignés de la pollution et du tumulte des grandes villes se sentiraient plus heureux.
Récemment, une étude sortie dans People and Nature suggère que le «bonheur estimé»augmente lorsqu’une personne se rend régulièrement dans des parcs.
Pour avancer une telle affirmation, des scientifiques ont utilisé un outil qui analyse un grand nombre de tweets pour tenter de mesurer le niveau de bonheur.
«Nous avons constaté que, dans toutes les publications, les gens sont plus heureux lorsqu’ils se trouvent dans un parc, a expliqué à Santé Magazine Aaron Schwartz, co-auteur de l’étude. L’effet était plus intense dans les grands parcs régionaux dotés d’une vaste couverture arborée et de végétation.»
Un enjeu de santé publique
Au-delà du bien-être et du bonheur qui sont, a priori, des états subjectifs, les espaces verts ont un réel impact sur notre santé mentale et physique.
Un rapport du bureau européen de l’Organisation mondiale de la santé de novembre 2016, intitulé Urban Green Spaces and Health démontre l’impact positif de ces espaces sur le psychisme: diminution des symptômes anxieux ou dépressifs, meilleur développement cognitif, amélioration des signes de trouble de déficit de l’attention et d’hyperactivité chez l’enfant.
Il insiste sur le fait qu’aller régulièrement dans un jardin réduit également les risques de diabète, de maladies cardiovasculaires et d’accouchement prématuré.
N’hésitez plus, en solitaire ou à plusieurs, prenez du temps pour fréquenter ces lieux. Quant aux responsables de l’aménagement de nos villes, merci de privilégier les arbres au béton.
Bien que des fumeurs ont opté pour la cigarette électronique, on voit de plus en plus de jeunes qui s’adonnent au vapotage sans avoir nécessairement fumé des cigarettes auparavant. Il est clair que vapoter devient moins cher et certains arrivent à arrêter la cigarette. Cependant, à long terme, on redoute que des effets négatifs peuvent subvenir. Aux États-Unis, des maladies pulmonaires ont été rapportées dans 14 état qui pourrait être relié à la cigarette électronique.
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La semaine dernière, l’hôpital pour enfants du Minnesota a affirmé traiter deux cas de maladies pulmonaires, soit des adolescents de 16 et 18 ans.
PHOTO : AFP/GETTY IMAGES / EVA HAMBACH
Depuis le 28 juin, les autorités américaines ont rapporté 94 cas de maladies pulmonaires graves observées chez des adolescents et des jeunes adultes. Un phénomène qui pourrait être lié à la cigarette électronique.
Le Centre américain pour le contrôle et la prévention des maladies enquête actuellement sur des cas de maladies pulmonaires survenus dans 14 États différents.
Les autorités tentent de confirmer l’hypothèse selon laquelle ces maladies seraient liées au vapotage.
La semaine dernière, l’hôpital pour enfants du Minnesota a affirmé traiter deux cas de maladies pulmonaires, soit des adolescents âgés de 16 et 18 ans. Selon les médecins, leurs poumons auraient subi des dégâts avant de commencer à lâcher.
Parmi les symptômes des dizaines de patients recensés, on note de la toux, le souffle court et de la fatigue. Dans certains cas extrêmes, les patients ont dû avoir recours à la respiration artificielle.
Les gens vapotent depuis des années, comment cela se fait-il que nous voyions ces dégâts maintenant?, s’est demandé la pneumologue pour enfants Anne Griffiths, sur les ondes de CBS News.
Ma plus grande peur est que c’était ça depuis le début et nous n’avons pas remarqué, parce que ces symptômes ressemblent tellement à ceux de maladies communes. Anne Griffiths, pneumologue pour enfants
Pas encore de cas au Canada
Selon une porte-parole de l’Association pulmonaire de l’Ontario, aucun cas de ce genre ne serait survenu au Canada, pour l’instant.
Le rythme par lequel les jeunes adhèrent à la cigarette électronique, autant aux États-Unis qu’au Canada, devrait être alarmant pour tout le monde. Monica Kocsmaros, porte-parole pour l’Association pulmonaire de l’Ontario
Nous commençons à voir les effets négatifs et très réels du vapotage sur les poumons. Mais puisque la cigarette électronique est une nouvelle tendance, les preuves de ces impacts sont limitées, explique Monica Kocsmaros, qui croit que des mesures devraient être prises pour limiter l’accès à la cigarette électronique, notamment chez les jeunes.
La cigarette électronique est considérée par plusieurs comme une option plus sécuritaire à la cigarette régulière, qui tue la moitié de ses consommateurs à vie, selon l’Organisation mondiale de la santé.
Cependant, les effets à long terme de la cigarette électronique restent encore peu connus.
En avril, l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux a amorcé une enquête, après que de nombreux utilisateurs réguliers eurent été victimes d’épisodes de convulsion.
Source : Reuters
Que fait le Canada ?
En février, Santé Canada considérait apporter des changements à sa Loi sur le tabac et les produits de vapotage pour limiter la publicité liée à la cigarette électronique.
Dans un résumé de ses conclusions publié en juillet, l’organisation indiquait que les 13 provinces et territoires du Canada
recommandaient fortement que des mesures soient mises en place immédiatement pour réduire l’utilisation de produits de vapotage chez les jeunes.
Les gouvernements provinciaux proposaient, par exemple, que la publicité liée à la cigarette électronique soit encadrée par les mêmes règles que les produits du tabac.
À la suite de ces recommandations, de nouvelles mesures ont été adoptées, mais ne sont pas encore officiellement entrées en vigueur.
Santé Canada se penche aussi actuellement sur les caractéristiques qui rendent les cigarettes électroniques attrayantes pour les jeunes, comme les choix de saveurs.