Solitude


La solitude n’est pas difficile a apprivoiser, ni le silence, mais bien l’agitation qu’on doit apprendre à maîtriser.
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Solitude



Je ne crains pas la solitude ni le silence, j’ai appris à me retrouver en cette sérénité. Lorsque j’ai besoin d’agitation, je sors voir le monde


Jo Coeijmans

Quand tu trouves que c’est trop profond pour bébé


Voilà un chien qui prend la sécurité de bébé très au sérieux. Alors que le papa est dans la piscine avec son bébé, le Rottweiler fait comprendre à son maître que le bébé est peut-être en danger, en tirant sur le bras du papa vers le bord de la piscine
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Quand tu trouves que c’est trop profond pour bébé

Le Saviez-Vous ► Il y a 150 ans, un Suisse découvrait l’ADN


L’acide désoxyribonucléique mieux connu sous le nom d’ADN à 150 ans. Ce ne fut pas son premier nom. Son découvreur Friedrich Miescher l’a nommé nucléine. Par la suite d’autre scientifiques on continuer à étudier l’ADN et ont découvert que l’ADN est héréditaire, puis ce fut le tour du code génétique. Aujourd’hui, l’ADN est une source d’information inimaginable qui sert dans différent domaine
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Il y a 150 ans, un Suisse découvrait l’ADN


Il y a 150 ans, le chercheur suisse Johann Friedrich Miescher (1844-1895) découvrait l’ADN. C’est notamment en analysant des cellules de saumons du Rhin que ce précurseur de la biologie moléculaire moderne a identifié la substance porteuse du code génétique.

La mise au jour de l’acide désoxyribonucléique (ADN), d’abord nommé « nucléine » par le chercheur, était révolutionnaire pour l’époque. Le chimiste Felix Hoppe-Seyler, qui avait dirigé les travaux de M. Miescher à Tübingen (D), n’y croyait pas lui-même. Le manuscrit de la découverte, rédigé en 1869, ne fut publié que deux ans plus tard, après une nouvelle vérification. 

Tout est parti d’un saumon

Né dans une famille de médecins, Friedrich Miescher a obtenu son diplôme de médecine à Bâle en 1868. Toute sa vie, il s’est concentré sur la composition chimique des œufs et du noyau de la cellule. Il s’est tout particulièrement intéressé à la maturation sexuelle des saumons du Rhin. Pour parvenir à ses fins, le chercheur a disséqué et analysé tout d’abord des leucocytes (globules blancs) dans du pus, puis des œufs de poule, et enfin des œufs et du sperme de saumon, dont le noyau est particulièrement riche en acides nucléiques.

À l’époque, on considérait que les protéines étaient le principal composant des cellules. C’est en analysant les différents types de protéines que Friedrich Miescher est tombé sur une substance inconnue acide et riche en phosphate, dont les propriétés chimiques ne correspondaient pas à celles des protéines. Comme on ne la trouvait que dans le noyau cellulaire, il l’a baptisée « nucléine ». Il a par la suite montré qu’elle est présente non seulement dans les leucocytes mais également dans d’autres cellules.

Moins connu que ses successeurs

En isolant l’ADN, Friedrich Miescher a établi les bases d’une révolution qui a mis du temps à déployer ses effets. Ce n’est qu’en 1944 que les Américains Oswald Avery, Maclyn McCarty et Colin MacLeod montrent que l’ADN – et non des protéines comme on le supposait jusque-là – est porteur de l’information héréditaire.

En 1953, James Watson et Francis Crick, en se basant sur des données de Rosalind Franklin et Maurice Wilkins, décrivent la structure en double hélice de l’ADN. Ce n’est que dans les décennies suivantes que les scientifiques développeront des méthodes pour déchiffrer les différents composants du « code » génétique. 

Bien que Miescher ait été à la base de cette évolution, il est beaucoup moins connu que Crick et Watson, par exemple. À Tübingen, un laboratoire porte toutefois son nom, et à Bâle, l’Institut Friedrich Miescher (FMI) également. Tous deux ont été créés environ un siècle après sa découverte.

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Les images rares de kangourous dans la neige symbolisent l’hiver extrême que traverse l’Australie.


Alors que nous sommes en été sur une partie du globe, en Australie, c’est l’hiver. Et cet hiver dans le sud-ouest du pays l’hiver est rude. Il semble que le comportement des kangourous soit assez inhabituel.
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Les images rares de kangourous dans la neige symbolisent l’hiver extrême que traverse l’Australie.


Vents violents, blizzard, chutes de neige… Tout le sud-ouest de l’Australie est touché par les conditions météorologiques rudes.

Sur des images filmées près de Goulburn, on aperçoit des dizaines de kangourous sautant dans les plaines, l’Australie traverserait l’un des hivers les plus rudes depuis des années.

Près de 6000 foyers ont été privés d’électricité selon le fournisseur d’énergie South Australia Power Networks. Les services de secours ont dû prendre en charge des centaines d’appels, dans la plupart des cas des dommages mineurs causés par les fortes rafales atteignant les 120km/h. De nombreux vols intérieurs et internationaux ont également été perturbés à l’aéroport de Sydney. La région alpine de Nouvelles-Galles du Sud a quant à elle était recouverte d’un épais manteau de neige, augmentant ainsi le risque d’avalanche. 

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Au Mexique, le cactus pour produire du plastique?


Au Mexique, plusieurs états ou villes se préparent à l’interdiction du plastique à usage unique. En attendant, il y a une chercheuse qui grâce au cactus, le nopal (figuier de Barbarie) semble pouvoir fabriquer du plastique biodégradable. Malheureusement cette solution n’est pas suffisante.
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Au Mexique, le cactus pour produire du plastique?

Au Mexique, le cactus pour produire du plastique?Photo: iStock photoLe cactus, emblème national du Mexique

Le cactus, emblème national du Mexique, décliné en de nombreux produits, pourrait trouver un usage supplémentaire et inédit: permettre la fabrication d’un plastique biodégradable préservant l’environnement.

La chercheuse mexicaine Sandra Pascoe a mis au point un nouveau matériau à base de jus extrait du nopal, également appelé figuier de Barbarie, qui permet ensuite de fabriquer des emballages jetables non polluants.

«La pulpe est pressée pour obtenir un jus que j’utilise ensuite», explique à l’AFP la chercheuse de l’Université del Valle de Atemajac, à Guadalajara, à l’ouest du Mexique.

Cette substance est ensuite mélangée avec des additifs non toxiques puis étalée pour obtenir des feuilles.

Puis les feuilles sont colorées à l’aide de pigments et pliées en fonction des besoins d’emballage.

«Ce que nous faisons, c’est essayer de nous concentrer sur des objets qui n’ont pas une longue durée de vie», poursuit-elle, notamment des emballages «à usage unique».

Le mode de fabrication fait encore l’objet de tests, mais la chercheuse espère partir début 2020 à la recherche de partenaires pour produire ce plastique à plus grande échelle.

«Cela dépend des applications que nous obtiendrons», dit-elle.

«Une goutte d’eau»

Pour mener ses expérimentations, Sandra Pascoe acquiert des «nopales» à San Esteban, une petite ville de la banlieue de Guadalajara, où s’alignent des centaines de cactus.

Dans cet Etat de Jalisco (ouest), les sacs en plastique à usage unique, non recyclables, seront interdits à partir de l’an prochain, ainsi que l’usage de pailles ou de certains autres articles jetables.

Plusieurs autres Etats du pays, comme la Basse-Californie (nord-ouest) ou encore la ville de Mexico, ont également modifié leurs lois dans ce sens.

La mégapole mexicaine a ainsi adopté en mai une loi qualifiée d’«historique» interdisant les sacs plastique en 2020. En 2021, les pailles, assiettes et couverts en plastique, les ballons à gonfler, y seront aussi prohibés s’ils sont fabriqués «entièrement ou partiellement en plastique», indique le texte adopté par le Congrès local.

Le nouveau procédé à base de nopal ne sera toutefois qu’«une goutte d’eau» dans la lutte pour l’environnement, prévient la chercheuse.

Il doit «y avoir d’autres stratégies de recyclage» à cause de la lenteur du processus qu’elle a mis au point si on le compare à la fabrication de plastique industriel.

L’Amérique latine et les Caraïbes génèrent environ 10% des déchets produits dans le monde, selon des chiffres de l’ONU.

En mars, les pays membres des Nations Unies réunis à Nairobi, au Kenya, se sont engagés à «réduire sensiblement» les plastiques à usage unique au cours de la prochaine décennie.

Huit millions de tonnes de plastique se retrouvent chaque année dans les océans.

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Le cerveau « tourne au ralenti » quand il fait chaud


Avec les canicules que nous avons connus cet été, et qui sait s’il n’y en aura pas d’autres cette année, la climatisation est rendue une nécessité. Sans climatisation, le corps subit des conséquences et le cerveau n’aime vraiment pas avoir trop chaud.
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Le cerveau « tourne au ralenti » quand il fait chaud

Le cerveau « tourne au ralenti » quand il fait chaud


Vous avez l’impression que votre cerveau « tourne au ralenti » lorsqu’il fait chaud ? Ce n’est pas surprenant. Une équipe de chercheurs affirme que la chaleur réduit les fonctions cognitives.

Dormir sans climatisation a des conséquences sur le cerveau

Selon des chercheurs de la Harvard T.H. Chan School of Public Health, la chaleur réduirait les fonctions cognitives de notre cerveau. Leurs travaux viennent confirmer l’importance de mettre en place un certain nombre de précautions lorsqu’il fait chaud.

Pour mener à bien leur étude, les chercheurs ont fait appel à des étudiants tous en bonne santé. Ces derniers ont été séparés en deux groupes : une partie dormait avec la climatisation dans sa chambre et l’autre sans. À leur réveil, les participants devaient passer un test cognitif.

Ces tests ont été réalisés sur une période de douze jours au milieu de laquelle a eu lieu un épisode caniculaire qui a duré cinq jours.

La chaleur rend le cerveau plus lent

À la suite de ces tests, les chercheurs ont constaté que la chaleur avait effectivement un impact sur le cerveau. Les étudiants qui ont réalisé ces tests alors qu’ils dormaient sans climatisation dans la pièce avaient de moins bon résultats que l’autre groupe.

Selon les chercheurs, les étudiants du groupe dormant sans climatisation étaient plus lents à répondre. Dans un des tests en effet, « la vitesse de leurs réponses s’est révélée réduite de 13,4% » affirment nos confrères du magazine de santé Le Progrès.

Pour rappel, la canicule a de nombreux effets sur le corps (vasodilatation, augmentation de la transpiration, accélération de la respiration, risque de déshydratation…). En 2018, une vague de fortes chaleurs a provoqué l’enregistrement de 1.600 décès en excès.

https://www.passeportsante.net/

Pour décourager une mouette de piller votre lunch, fixez-la du regard


Les mouettes se sont adaptées au milieu urbain, ils mangent à peu près n’importe quoi. Ils vont même jusqu’à voler les aliments dans les mains des humains. Il semblerait que les fixés du regard puissent les intimider, enfin dépendant de la personnalité des oiseaux. Cependant, il est préférable de ne pas les nourrir pour éviter justement des comportements plus téméraires.
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Pour décourager une mouette de piller votre lunch, fixez-la du regard


Les mouettes fixées des yeux ont mis 21 secondes de plus à trouver le courage de s’emparer de la nourriture.

Voilà une information bien utile en vue de votre prochain séjour à la plage: une mouette fixée du regard hésitera longuement avant de piller votre lunch, selon une nouvelle étude britannique.

Des chercheurs de l’Université d’Exeter ont abandonné un sac de croustilles sur le sol. Ils ont ensuite comparé le temps que mettaient les mouettes à s’en approcher quand un humain les regardait et quand l’humain regardait ailleurs.

En moyenne, les mouettes fixées des yeux ont mis 21 secondes de plus à trouver le courage de s’emparer de la nourriture. Certaines ont tout simplement refusé de s’approcher, pendant que d’autres n’ont clairement pas été intimidées par la présence de l’humain.

Les chercheurs croient que les mouettes ont possiblement différentes «personnalités», certaines étant plus agressives que d’autres. Ils expliquent aussi que les différents comportements sont potentiellement attribuables aux interactions antérieures des oiseaux avec les humains — ceux qui sont habitués à être nourris seront plus entreprenants.

Ultimement, ils en viennent à la conclusion que la mauvaise réputation des mouettes est imputable à une poignée de délinquants. Il pourrait donc être possible de régler le problème des lunchs éventrés en identifiant ces individus et en adoptant les mesures préventives appropriées.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Ces cher­cheurs ont recréé le parfum envoû­tant que portait Cléo­pâtre


Un parfum qui aurait servi a Cléopâtre refait son apparition à notre époque. Grâce à des résidus dans une amphore et des inscriptions sur des textes anciens, des chercheurs ont pu reconstituer la recette du parfum de Cléopâtre

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Ces cher­cheurs ont recréé le parfum envoû­tant que portait Cléo­pâtre


par  Laura Boudoux

La fragrance recréée par deux profes­seurs de l’uni­ver­sité d’Ha­waï, à Mānoa, serait la même que celle que portait Cléo­pâtre. Connue pour le carac­tère enivrant de son parfum, la reine d’Égypte ancienne aurait envoûté Marc Antoine avant même qu’il ne la voie grâce à son essence musquée.

La légende raconte en effet que Cléo­pâtre, à l’oc­ca­sion de sa première visite à Tarse, avait fait enduire les voiles pourpres de son bateau d’un parfum si puis­sant qu’il flot­tait jusqu’au rivage.

Le 30 juillet 2019, l’uni­ver­sité d’Ha­waï annonçait sur son site que les profes­seurs Robert Litt­man et Jay Silver­stein avaient réussi à repro­duire cette fragrance épicée, grâce aux rési­dus retrou­vés dans une amphore, à Thmuis en Basse-Égypte. C’est dans cette ville que des archéo­logues ont retrouvé des fours datant du IIIe siècle avant J.-C., utili­sés notam­ment pour la fabri­ca­tion de parfums. Grâce aux analyses des rési­dus trou­vés dans l’une des jarres, et à la lecture de textes anciens, les deux profes­seurs ont repro­duit de la myrrhe, une résine natu­relle extraite d’arbres.

« Quel plai­sir de sentir un parfum que personne n’avait plus senti depuis 2000 ans, et qui a pu être porté par Cléo­pâtre », s’émeut encore Robert Litt­man. « C’est le Chanel No. 5 de l’Égypte ancienne, le parfum le plus prisé de l’an­cien monde », assure le profes­seur.

L’es­sence de Cléo­pâtre embaume actuel­le­ment le Natio­nal Geogra­phic Museum, à Whashing­ton D.C., à l’oc­ca­sion de expo­si­tion Queens of Egypt, qui a lieu jusqu’au 15 septembre.

Sources : Univer­sity of Hawai’i News

https://www.ulyces.co/