Blessure cicatrisée


Tous et chacun ont vécu et vivront des évènements difficiles. Souvent, ils laisseront des blessures en mémoire. Nous avons le choix de ruminer pour entretenir ces douleurs ou se relever et s’en servir comme tremplin.
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Blessure cicatrisée



« La vie nous brise tous, mais une fois nos blessures cicatrisées beaucoup d’entre nous en ressortent plus forts. »


– Ernest Hemingway

Le Saviez-Vous ► Souffrez-vous d’anuptaphobie ? Les signes qui ne trompent pas


Bien cette phobie, n’est vraiment pas mon cas. j’apprécie vraiment le célibat. Cependant, d’autres ne le tolère pas et en font même une phobie. Ils ont tellement peur de rester seul, qu’ils arrivent qu’ils s’entourent de personnes toxiques.
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Souffrez-vous d’anuptaphobie ? Les signes qui ne trompent pas

par Julie Legendart

On a presque toutes dans notre entourage quelqu’un qui éprouve une peur panique à l’idée d’être célibataire. Il se peut que vous-même souffriez de ce qu’on appelle « l’anuptaphobie » dans le jargon scientifique. Voici quelques signes qui ne trompent pas.

Il est tout à fait naturel de vouloir partager les moments importants de notre vie avec quelqu’un, que ce soit un ami, un membre de note famille ou un amoureux. Mais chez certaines personnes, ce besoin d’être deux, et plus précisément en couple, frise le désir compulsif. Désir qui en réalité correspond souvent à la peur d’être seul. Cette crainte porte un même un nom : « l’anuptaphobie ». Voici 5 symptômes typiques.

Au début d’une relation vous vous emballez très (voire trop) vite

Vous avez tendance à vous jeter au cou du premier mec qui vous tape dans l’oeil et à vivre vos premières semaines d’idylle avec une passion intense. « J’ai peut-être trouvé le bon », vous dites-vous souvent. Sauf que presque toujours, une fois que l’euphorie du début s’estompe, vous vous rendez compte, qu’en réalité vous n’avez pas grand-chose en commun, ni grand-chose à vous dire. Ce que vous auriez probablement remarqué un peu plus tôt si vous n’étiez pas tétanisée à l’idée de rester seule.

Vous n’avez jamais rompu avec quelqu’un

De votre point de vue, « mieux vaut être mal accompagnée, que seule ». Du coup, vous n’avez jamais mis fin à l’une de vos relations amoureuses, même quand vous saviez qu’il était préférable d’en arriver là. Rassurez-vous : si vous avez toujours été la larguée de l’histoire, cela ne signifie pas nécessairement que vous le méritiez ou que vous n’êtes pas digne d’être aimée, mais simplement que cette relation n’était pas la bonne.

Vous planifiez toujours tout

L’imprévu ne vous fait pas peur, à condition qu’il rende votre existence plus intéressante. Une rencontre fortuite mais heureuse lors d’une soirée un peu ennuyeuse décuplera par exemple votre soif d’aventure. Ce qui vous effraie en revanche, c’est le fait d’être inoccupée. Du coup, vous programmez mille sorties le week-end, avec le plus de gens possible, pour toujours avoir quelque chose à faire et surtout toujours quelqu’un à voir. Sinon, c’est la panique à bord.

Vous déprimez sec quand vous êtes toute seule

Si les trous blancs dans votre emploi du temps vous effraient, c’est précisément parce que vous n’aimez pas vous retrouver toute seule. Vous n’êtes en effet pas de ces personnes qui apprécient (y compris lorsqu’elles sont en couple) de se retrouver seules avec elles-mêmes de temps à autre pour faire le point. Quoiqu’il advienne, vous recherchez désespérément la compagnie de quelqu’un. Sans quoi, vous risquez sérieusement de déprimer.

Vous êtes facilement parano

Contrairement à ce qu’on peut parfois entendre, la sensibilité n’a rien d’une marque de faiblesse. Vous ne devriez donc jamais avoir peur ou honte d’exprimer à voix haute ce que vous ressentez. Après tout, nous éprouvons tous des sentiments et le fait d’être sensible prouve votre capacité à accepter et montrer vos émotions, ce qui est une bonne chose. Mais chez les personnes atteintes d’anuptaphobie, la moindre remarque ou le moindre petit geste de la part de votre partenaire peut déclencher des émotions aux proportions démesurées. S’il vous « avoue » par exemple qu’il trouve une actrice attirante ou qu’il ne vous répond pas dans la seconde parce qu’il est occupé à faire quelque chose d’autre, vous vous dites illico qu’il fait cela parce qu’il n’est pas heureux avec vous et qu’il risque de vous quitter d’un instant à l’autre. Ce que vous souhaitez empêcher à tout prix, bien sûr, puisqu’il s’agit de votre plus grande peur.

Comment gérer cette peur de rester seul.e ?

Comme toutes les phobies, la peur pathologique de rester seule est profondément ancrée en vous. Il sera donc difficile d’y trouver une explication rationnelle, puisqu’elle se rattache rarement à un événement précis de votre vie, mais plutôt à des enchaînements de situations et de rencontres qui ont façonné votre existence et vos rapports aux autres. D’ailleurs, il est souvent difficile de surmonter sa peur. Mais rassurez-vous : il existe des solutions pour la gérer, et mieux vivre avec au quotidien.

La première des choses à faire consiste à s’enlever de la tête que le bonheur passe automatiquement par une vie de couple. D’ailleurs certains couples ne sont pas heureux, même s’ils font tout pour apparaître comme le couple parfait en société. Une fois que vous avez bien intégré cette notion, recentrez-vous sur vous-même. Évaluez-vous à votre juste valeur, effectuez des activités qui vous plaît, avancez dans votre carrière, concrétisez vos rêves… Dites-vous bien que vous pouvez atteindre ses objectifs par vous-même, car vous êtes suffisamment forte pour y arriver. Vous n’en ressortirez que plus sereine et épanouie. Et, qui sait, c’est peut-être à cet instant précis que l’amour pointera le bout de son nez. Et le bon, cette fois.

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Des agriculteurs ciblés par des activistes véganes


Quelle lâcheté de la part des activistes vegane d’intimider les agriculteurs sur les réseaux sociaux allant jusqu’à des menaces. Qu’on soit vegan, végétarien, végétalien, et autres régimes, c’est un choix personnel. Depuis des lustres que l’être humain est omnivore, sauf quelques exceptions. Va-t-on intimider les lions qui mangent des gazelles ? Les animaux au Québec, peuvent aisément se promener en liberté car les terrains sont grands, ils ne sont pas dans des petits enclos. Je suis d’accord pour une sensibilisation de diminuer la viande au profit des protéines végétales, mais de là à vouloir que tout le monde soit vegan est complètement stupide, surtout qu’il faut avoir une certaine connaissance pour ne pas manquer d’éléments importants pour se maintenir en santé, sans parler des coûts que cela occasionnent
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Des agriculteurs ciblés par des activistes véganes

Nombre d'internautes s'en prennent à l'agricultrice Mylène Bégin,... (PHOTO DARRYL DYCK, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE)

Nombre d’internautes s’en prennent à l’agricultrice Mylène Bégin, comparent l’insémination artificielle des vaches au viol et utilisent les mots « meurtre » et « kidnapping » pour décrire le travail des éleveurs de bovins.

PHOTO DARRYL DYCK, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE


STÉPHANE BLAIS
La Presse Canadienne
Montréal

La cyberintimidation de la part d’activistes véganes est un facteur de stress et de détresse de plus en plus important pour les agriculteurs, selon une psychologue qui travaille dans le milieu agricole. Un comité de la Chambre des communes se penche d’ailleurs sur des stratégies pour contrer le problème.

L’agricultrice Mylène Bégin, copropriétaire de la ferme Princy en Abitibi-Témiscamingue, a créé, il y a quelques années, un compte Instagram pour « raconter le quotidien à la ferme », mais aussi pour lutter contre « la désinformation et l’image parfois négative » de l’agriculture. Aujourd’hui, la jeune femme qui est suivie par 14 000 abonnées doit constamment se défendre contre ce qu’elle qualifie d’intimidation de la part de militants véganes.

« J’ai récemment modifié les paramètres de mon compte, parce que je recevais plus d’une centaine de messages négatifs quotidiennement, je devais me lever chaque jour une heure plus tôt, seulement pour effacer des commentaires ».

Plusieurs des internautes qui s’en prennent à elle comparent l’insémination artificielle des vaches au viol et utilisent les mots « meurtre » et « kidnapping » pour décrire le travail des éleveurs de bovins.

Certains messages qu’elle reçoit lui font craindre pour sa sécurité.

« Il y en a un qui a pris des captures d’écran de mes photos, il les a partagés sur son compte en ajoutant des couteaux dans mon visage et en écrivant le mot psychopathe dans le front, il m’a tellement fait peur », a relaté l’agricultrice âgée de 26 ans.

En entrevue à La Presse canadienne, elle a déploré que « des gens de la ville » qui ne connaissent pas l’agriculture jugent aussi sévèrement les éleveurs.

« Ça affecte psychologiquement, c’est très lourd même si on essaie de ne pas les lire. La population devient déconnectée de l’agriculture, on a tous un grand-père qui a fait de l’agriculture, mais aujourd’hui, aux yeux de plusieurs personnes, on est des violeurs et des empoisonneurs, c’est ce qui me fait le plus de peine ».

Source de stress

Pierrette Desrosiers, psychologue dans le milieu agricole, affirme que l’intimidation de la part de militants véganes sur les réseaux sociaux est « une source de stress » avec laquelle doivent composer de plus en plus d’agriculteurs.

« À l’école, des enfants d’agriculteurs commencent à subir de l’intimidation en se faisant traiter d’enfants de pollueurs ou alors des enfants répètent ce qu’ils ont vu sur les réseaux sociaux et disent que les agriculteurs violent les vaches (en référence à l’insémination artificielle). C’est maintenant un facteur de stress important pour les producteurs, ça n’existait pas il y a un an ou deux ».

La psychologue, qui est aussi fille et femme d’agriculteurs, a précisé que certains éleveurs craignent que leurs enfants refusent de prendre la relève en raison de « ces débats ».

Pierrette Desrosiers dénonce ce qu’elle qualifie de stratégie de communication de certains groupes de protections des animaux et d’associations véganes.

« On cherche à toucher les émotions, à marquer très fort l’imaginaire, on prend des mots comme viol et meurtre pour frapper l’imaginaire. C’est de l’anthropomorphisme ».

L’anthropomorphisme est l’attribution aux animaux des réactions et des sentiments propres à l’espèce humaine.

Au printemps dernier, le Comité permanent de l’agriculture et de l’agroalimentaire de la Chambre des communes a présenté un rapport sur la détresse que vivent plusieurs agriculteurs.

Les députés qui composent ce comité demandent au gouvernement d’élaborer « des campagnes et des stratégies de sensibilisation du public ayant pour but de lutter contre le problème croissant de la cyberintimidation, de l’intimidation et des menaces touchant les travailleurs agricoles du Canada ».

Le comité recommande également qu’Ottawa envisage « d’inclure dans le Code criminel les formes d’intimidation ou de cyberintimidation ciblant des groupes de Canadiens en fonction de leur métier ou de leur lieu de résidence. »

Une tactique contre-productive

Le conférencier Frédéric Côté-Boudreau, docteur en philosophie et auxiliaire d’enseignement à l’Université Queen’s, s’intéresse aux questions éthiques liées au mode de vie végane.

Il est lui-même végane et souhaiterait qu’on reconnaisse les animaux en tant qu’égaux des humains.

Il est toutefois d’avis que le langage utilisé par certains défenseurs des droits des animaux sur les réseaux sociaux n’aide pas la cause.

« C’est contre-productif pour les véganes. J’ai rarement vu quelqu’un être convaincu avec ce genre d’approche qui divise. Quand on se fait dire qu’on est cruel, on est moins réceptif à ce que l’autre dit. »

Cependant, il soutient du même souffle qu’il partage les préoccupations des militants les plus durs.

« En même temps, je comprends l’énergie et la passion des activistes qui sont dans cette position, je partage en partie ce qu’ils ressentent envers les éleveurs, envers l’exploitation, envers notre société qui ne prend pas au sérieux les violences que subissent les animaux, mais pour que le mouvement grandisse, il faut un discours beaucoup plus pacifique ».

Sa thèse de doctorat défend notamment l’idée que les animaux devraient avoir le droit de faire des choix, par exemple « de déterminer où vivre, avec qui développer des relations et quoi faire de leurs journées ».

« On a amplement de preuves scientifiques sur la vie émotionnelle et sur la capacité à souffrir des animaux, c’est très bien démontré que de se faire mutiler à froid, se faire entasser, de ne pas pouvoir bouger normalement, de ne pas pouvoir développer des relations sociales saines, on sait que ça a d’énormes impacts psychologiques et physiques sur les animaux ».

https://www.lapresse.ca/

Une Américaine perd ses membres après avoir été léchée par un de ses chiens


Vraiment très rare, mais grave. Une Américaine a subi des amputations de ses membres après que ces chiens on lécher une plaie. Elle fut dans un état lamentable et elle a du être mit dans le coma.
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Une Américaine perd ses membres après avoir été léchée par un de ses chiens


Un berger allemand, via Pixabay. 

Un berger allemand, via Pixabay.

Repéré par Christophe-Cécil Garnier

Repéré sur The Independent

Elle a eu une réaction très rare.


Marie Trainer s’était faite une égratignure au bras en mai. Rien de grave a priori. Sauf qu’elle a commencé à se sentir malade peu après. Alors qu’elle pensait avoir une grippe, sa température a augmenté de manière alarmante, et elle a été transportée à l’hôpital. Les médecins ont découvert qu’elle avait développé un sepsis – un syndrome d’infection générale et grave de l’organisme par des agents pathogènes – et qu’elle souffrait d’insuffisance hépatique et rénale.

La femme de 54 ans, originaire de l’Ohio, ne cessait de s’évanouir et se plaignait de «douleurs atroces aux mains et aux jambes», raconte The Independent.

Comme elle était incapable de respirer, elle a été placée sous assistance respiratoire et mise dans le coma. Sauf qu’en quelques heures, elle a commencé à souffrir de gangrène et de nécrose au niveau des jambes et des mains

«Il y avait de nouveaux symptômes qui s’aggravaient très rapidement», a déclaré Gina Premier, sa belle-fille qui est infirmière praticienne à l’hôpital.

Des analyses de sang de Marie Trainer ont montré que l’infection venait d’une bactérie nommée capnocytophaga canimorsus, que l’on retrouve couramment dans la salive des chiens. Les médecins pensent qu’un de ses chiens a léché la fameuse plaie qu’elle avait et que ça a causé cette réaction. Selon le média anglais, une réaction aussi grave n’a de «chance» de se produire qu’une fois sur un million lorsqu’une plaie entre en contact avec la salive d’un chien.

Pour lui sauver la vie, les chirurgiens ont dû retirer les membres de la quinquagénaire, alors qu’elle développait une gangrène dans son coma.

«L’organisme peut amener le système immunitaire à faire des choses horribles», a déclaré la docteure Margaret Kobe, directrice médicale des maladies infectieuses à l’hôpital Aultman à Fox 8. Marie

Trainer s’est donc réveillée amputée des mains et des jambes. Une campagne de collecte de fonds en ligne pour l’aider dans cette dure épreuve a collecté plus de 16.000 euros.

http://www.slate.fr/

Les États-Unis face à la «menace» du «terrorisme blanc»


Les États-Unis sont très forts pour parler de terrorisme venant des étrangers et pourtant le terrorisme viens de leur propre pays. Ces tueries de masse sont faites par des blancs nés aux USA. Deux tueries en 2 jours aux États-Unis, cela fait présentement 531 personnes tuées et 2066 blessées en 2019 et l’année n’est pas terminée. Leurs motifs haineux sont par l’origine, la religion, ou encore l’orientation sexuelle des victimes. Et avec l’entêtement des Américains à chérir le droit des armes et de Donald Trump qui prône la haine des immigrés cela n’arrange sûrement pas la baisse du terroriste fait par des Américains.
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Les États-Unis face à la «menace» du «terrorisme blanc»


CHARLOTTE PLANTIVE
Agence France-Presse
Washington

Plusieurs voix se sont élevées dimanche aux États-Unis, au lendemain de deux tueries sanglantes, pour appeler les autorités à prendre la mesure de la « menace » que représente le « terrorisme blanc », les démocrates accusant Donald Trump de l’alimenter avec ses discours incendiaires.

« Il est clair que les vies perdues à Charleston, San Diego, Pittsburgh et, vraisemblablement désormais aussi à El Paso, sont les conséquences d’un terrorisme nationaliste blanc », a estimé un candidat à la primaire démocrate, Pete Buttigieg, en référence à des attaques menées dans une église noire, deux synagogues et à celle de samedi dans un centre commercial du Texas.

El Paso, située sur la frontière mexicaine, abrite une population à 85 % hispanique. Le tireur, un homme blanc de 21 ans, était venu de la banlieue de Dallas, à neuf heures de route, pour semer le carnage à une heure de grande affluence.

Armé d’un fusil d’assaut, il a tué 20 personnes et fait 26 blessés avant de se rendre à la police, qui soupçonne un motif raciste.

Un manifeste, attribué au tireur et circulant sur l’internet, dénonce notamment « une invasion hispanique du Texas » et fait référence à la tuerie commise par un suprémaciste blanc dans des mosquées de Christchurch en Nouvelle-Zélande (51 morts, le 15 mars).

Treize heures plus tard, un autre homme a semé la terreur dans un quartier animé de Dayton, dans l’Ohio, faisant 9 morts en moins d’une minute. Selon un témoin, c’était aussi un homme blanc.

« Diabolique »

« On a ici deux facteurs qui se combinent », a poursuivi Pete Buttigieg sur Fox News : « D’un côté la faiblesse des politiques de régulation du marché des armes, et de l’autre la hausse d’un terrorisme domestique inspiré par le nationalisme blanc. »

« On ne pourra pas protéger les États-Unis de cette menace si on n’est pas prêt à la nommer », a poursuivi le jeune maire de South Bend (Indiana). « L’administration doit arrêter de prétendre que c’est juste du hasard et qu’on ne peut rien faire. »

Le président Trump a qualifié la fusillade d’El Paso d’« acte de lâcheté », sans s’étendre sur les motifs présumés du suspect. Et le maire républicain d’El Paso a réduit la tragédie dans sa ville à l’acte d’un « homme dérangé, purement diabolique ».

Mais, même pour certains républicains, cette explication ne suffit plus.

« La lutte contre le terrorisme est déjà une priorité, je pense qu’elle devrait inclure de s’opposer avec fermeté au terrorisme blanc », a tweeté George P. Bush, le neveu de l’ancien président George W. Bush élu à un poste de responsable au Texas. « C’est une menace réelle et actuelle que nous devons dénoncer et faire disparaître », a-t-il poursuivi.

« Identité blanche »

En 2017 et 2018, selon le centre d’analyse New America, les violences d’extrême droite ont fait plus de victimes aux États-Unis que les attaques djihadistes.

Pourtant les autorités ont tardé à réagir, selon Robert McKenzie, de ce centre de réflexion.

 « Même sous le gouvernement du démocrate Barack Obama, les services de renseignements ont souvent ignoré les menaces d’extrême droite pour des raisons politiques », a-t-il écrit en début d’année.

Ce qui a changé depuis l’élection de Donald Trump en 2016, c’est le ton du débat public.

Le président a repris à son compte l’idée d’une « invasion » de migrants, a refusé de condamner les manifestations d’extrême droite à Charlottesville en août 2017, et a récemment appelé des parlementaires de l’opposition issues des minorités à « retourner » dans leur pays.

« Le président en personne promeut le racisme et la suprématie blanche », a accusé dimanche une autre candidate à la primaire démocrate, Elizabeth Warren.

Un de ses rivaux, Beto O’Rourke, est même allé plus loin, en assurant que Donald Trump « encourage non seulement la rhétorique raciste mais aussi la violence qui suit ».

« Ça ne vient pas seulement de lui », a-t-il toutefois noté, en fustigeant également la chaîne Fox News, la propagande raciste qui circule sur l’internet et « une plus grande tolérance envers le racisme » chez ses concitoyens.

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En Chine, un petit garçon découvre par hasard un nid d’œufs de dino­saure


C’est une vraie chance pour ce jeune Chinois de 10 ans qui aime la paléontologie de trouver un oeuf de dinosaure. Sa mère n’a pas été indifférente à sa trouvaille pour confirmer par un musée de l’endroit. Il doit être bien fier !
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En Chine, un petit garçon découvre par hasard un nid d’œufs de dino­saure

 

Crédit : Heyuan Radio and Tele­vi­sion Station

par  Suzanne Jovet

Un garçon de 10 ans a décou­vert par hasard un œuf fossi­lisé qui a conduit à la mise au jour d’un nid de dino­saure vieux de 66 millions d’an­nées dans la ville de Heyuan, dans le sud de la Chine, mardi 23 juillet, rapporte le Daily Mail.

Alors qu’il jouait sur un talus avec sa mère le long du fleuve de Heyuan, Zhang Yangzhe a d’abord pensé avoir trouvé un morceau de ciment. Mais passionné de paléon­to­lo­gie, le petit garçon a rapi­de­ment eu l’in­tui­tion qu’il s’agis­sait d’un œuf de dino­saure. Sa mère, Li Xiao­fang a aussi­tôt contacté le musée local, qui a confirmé que l’étrange pierre de 9,1 cm de diamètre était un œuf fossi­lisé. Au cours des fouilles, les cher­cheurs ont alors trouvé dix œufs supplé­men­taires, iden­tiques à celui décou­vert par l’éco­lier.

L’an­cien direc­teur du musée de Heyuan, Huang Ding, affirme que « les fossiles datent de la fin du Crétacé », soit l’époque qui a précédé l’ex­tinc­tion des dino­saures, il y a envi­ron 66 millions d’an­nées.

Cepen­dant, il ne s’agit pas d’une décou­verte inha­bi­tuelle à Heyuan, connue en Chine pour être le « berceau des dino­saures ». Plus de 17 000 œufs fossi­li­sés y ont été retrou­vés depuis 1996. Les paléon­to­logues tentent désor­mais de savoir à quelle espèce appar­te­naient ses œufs.

Crédit : Heyuan Radio and Tele­vi­sion Station

Source : The Daily Mail

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Le scarabée japonais poursuit son avancée au Québec, mais avec une ennemie à ses trousses


J’ai vu ce scarabée japonais lors des premières chaleurs d’été. Il est rentré par accident aux États-Unis en 1910 et a progressé jusqu’au Canada. Il est petit, mais très voraces, en état de larve, il mange les racines des plantes et plus grand, il mange les feuilles et il n’est pas très sélectif, car il peut manger les feuilles des rosiers, vignes etc, ainsi que les petits fruits. Les Américains ont introduit un prédateur, la mouche du scarabée japonais qui elle aussi évolue vers le Canada.
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Le scarabée japonais poursuit son avancée au Québec, mais avec une ennemie à ses trousses

Un scarabée japonais à la carapace cuivrée sur une feuille.

Un scarabée japonais

PHOTO : RADIO-CANADA / EUGÉNIE ÉMOND

Bien implanté à Montréal depuis une quinzaine d’années, le scarabée japonais a maintenant fait son chemin jusque dans les jardins et les plates-bandes de Québec. L’insecte à la carapace cuivré fait des ravages en s’attaquant aux fleurs et aux fruits de plus de 300 espèces de plantes et d’arbres.

Depuis son introduction accidentelle aux États-Unis vers 1910, le scarabée ne cesse son avancée vers le nord.

Son arrivée à Québec était un peu écrite dans le ciel, l’insecte progresse lentement, mais sûrement le long de la vallée du Saint-Laurent, souligne Jacques Brodeur, professeur en biologie à l’Université de Montréal et directeur de l’Institut de recherche en biologie végétale, en entrevue à Première heure.

L’espèce exotique est originaire du Japon. Lorsqu’elle arrive dans un nouveau territoire, elle s’implante assez facilement, précise Jacques Brodeur, en décrivant les traits de l’espèce envahissante.

L’insecte est très difficile à contrer, puisqu’on le retrouve un peu partout dans l’environnement.

Des feuilles d'arbre après le passage du scarabée japonais.

Des feuilles d’arbre après le passage du scarabée japonais

PHOTO : RADIO-CANADA / OLIVIER LALANDE

Ce qui est aussi particulier du scarabée japonais, c’est qu’il peut s’attaquer aux plantes ornementales, comme les rosiers et les vignes, mais aussi à certaines productions maraîchères, donc les pommiers et tous les petits fruits, souligne M. Brodeur.

En plus, il est vorace dans plusieurs stades de sa vie. Les larves enfouies sous terre se nourrissent des racines des plantes, et les adultes s’attaquent plutôt aux feuilles.

Un adversaire coriace

Malheureusement, pour le moment au Canada, à grande échelle, il n’y a pas de façons autres de contrer le scarabée qu’en utilisant des pesticides de synthèse, admet le professeur.

À plus petite échelle, il existe cependant un piège qui arrive à les attirer à l’aide de phéromones et d’odeurs de plantes florales. Son utilisation vient tout de même avec une mise en garde qui fait justement l’objet de l’un des projets de recherche du professeur.

Il existe une controverse actuellement à savoir si le piège est réellement efficace pour réduire les populations, parce qu’on a observé dans certaines cultures que les pièges attirent en fait plus de scarabées que lorsque le piège est absent, remarque M. Brodeur, qui recommande plutôt l’aspirateur pour s’en débarrasser dans les jardins.

Des solutions parasitaires

Au Japon, l’insecte n’est pas considéré comme une espèce nuisible parce qu’une foule de prédateurs, de parasites, de virus, de bactéries et de pathogénies réduisent les populations.

Il y a près d’une centaine d’années, lorsque le scarabée a été introduit au pays, nos collègues américains se sont tournés vers le Japon et ils ont étudié la faune d’ennemis naturels qui attaquent le scarabée, relate Jacques Brodeur.

Les Américains ont fini par rapporter de leur périple une mouche parasitaire, particulièrement efficace pour localiser le scarabée dans l’environnement.

Des scarabées japonais avec des taches blanches sur la tête, révélant la présence d'œufs de mouche.

Des scarabées japonais parasités par des œufs de mouche.

PHOTO : SYLVIE MACHABÉE

Cette petite mouche pond ses œufs à même l’insecte et une fois qu’ils ont éclos, les larves pénètrent sa carapace et le dévorent de l’intérieur. Ce trait fait aussi en sorte que la mouche est un parasite spécifiquement pour ce type de scarabée.

La mouche du scarabée a été observée à Montréal pour la première fois il y a deux ans, et maintenant on la retrouve sur l’ensemble du territoire où le scarabée est présent, se réjouit M.Brodeur

Ce n’est toutefois pas une solution magique, prévient le professeur.

 Ça exerce un certain niveau de contrôle, mais ce n’est pas ça qui va complètement éradiquer le scarabée japonais, avertit-il.

À mesure que les populations évoluent, la mouche du scarabée, espère tout de même Jacques Brodeur, sera de plus en plus répandue et deviendra un réel moyen de contrôler biologiquement l’espèce envahissante.

Avec les informations d’Eugénie Émond

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