Changez de direction


Il y a des gens que même si on leur donnerait le monde, ils ne seront jamais satisfaits. Cela ne vaut pas la peine de dépenser toute notre énergie pour eux.
Nuage


Changez de direction



Quand vous faites beaucoup, mais que ce n’est jamais assez…
Changez de direction. Vous donnez probablement trop à qui ne mérite rien.


R. La Rosa

Le Saviez-Vous ► Canicule : comment éviter la surchauffe de son smartphone ?


    Pas évident quand la canicule s’abat sur nous. Nos appareils aussi peuvent en souffrir. Les téléphones portables ne supportent pas non plus quand c’est trop chaud. Il y a des indices, et même des applications qui peuvent nous indiquer que la batterie surchauffe.
    Nuage


    Canicule : comment éviter la surchauffe de son smartphone ?

    Céline Deluzarche

    Journaliste

    Les téléphones portables apprécient peu la chaleur. Les composants (processeur, batterie…) sont conçus pour fonctionner entre 0 et 35 °C. Or, un téléphone en plein soleil et sous tension ou en train de se recharger peut facilement atteindre les 50 °C.

    Pour vérifier la température de la batterie, composez le numéro *#*#4636#*#*, ce qui permet d’accéder aux informations sur son état (attention, ce code ne fonctionne pas sur certains téléphones comme ceux de Huawei ou Honor. Vous pouvez dans ce cas télécharger une application dédiée comme Cooler Master ou Ampère pour Android ou coconutBattery pour iPhone).

    L’application Ampère fournit les données détaillées sur la température et l’état de la batterie. © DR

    L’application Ampère fournit les données détaillées sur la température et l’état de la batterie. © DR

    Les signes de surchauffe du smartphone

  • Batterie qui se décharge rapidement.

  • Lenteur à se recharger (certains smartphones refusent même de se recharger en cas de forte chaleur pour protéger la batterie).

  • Applications qui ferment inopinément ou ne s’ouvrent pas.

  • Écran qui devient noir moins réactif.

    Chaleur : comment éviter la surchauffe de son smartphone

  • Placer son téléphone à l’ombre (et surtout pas dans la boîte à gants de la voiture !).

  • Désactiver bluetooth, Wi-Fi et GPS, qui laissent en permanence le téléphone sous tension.

  • Limiter l’utilisation des jeux 3D et du streaming.

  • Enlever la coque de protection qui empêche la dissipation thermique.

    Peut-on mettre son smartphone au réfrigérateur pour le refroidir ?

    Surtout pas ! Passer d’une température élevée à 4 °C va entraîner une condensation et faire entrer de l’humidité dans le téléphone, un autre ennemi redoutable de l’électronique. En revanche, si votre smartphoneest étanche, la Fnac préconise carrément de le plonger dans l’eau fraîche quelques instants, en veillant bien à fermer les caches étanches. Attention : pas de bain dans l’eau salée !

    https://www.futura-sciences.com/tech

20 000 images d’abus pédosexuels détectées par jour grâce au robot Arachnid


Le Canada a créé un robot des plus utile et il est utilisé dans plusieurs pays. Arachnid détecte plus de 100 000 images par mois de pornographie juvénile qui est ensuite des analystes humains doivent confirmer ou non s’ils s’agit bien de vidéos, images pédosexuels. Ensuite, une demande aux hébergeurs de retirer ces images. Malheureusement, certains hébergeurs sont lents à agir et d’autres ne font absolument rien. Depuis 2 ans et demi, ce robot à détecter 9 millions d’images potentiellement de la pornographie juvénile et il y a eu 4 millions de demandes de retrait.
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20 000 images d’abus pédosexuels détectées par jour grâce au robot Arachnid


20 000 images d’abus pédosexuels détectées par jour grâce au robot

SERDJOPHOTO VIA GETTY IMAGES

Lorsqu’une telle image est repérée, le robot envoie un avis à l’hébergeur lui demandant de la retirer immédiatement.

La Presse Canadienne

MONTRÉAL — Toutes les 12 heures, le robot Arachnid, créé au Canada, détecte 10 824 nouvelles images d’abus pédosexuels sur Internet. Devant la prolifération de ce fléau sur le web, le Centre canadien de protection de l’enfance (CCPE), l’organisation à l’origine d’Arachnid, exhorte les entreprises de technologie à en faire davantage pour réduire l’accessibilité aux images d’abus pédosexuels.

Le terme Arachnid désigne une classe d’arthropode, dont fait partie l’araignée. Et comme celle-ci, le robot Arachnid tisse sa toile dans le monde virtuel pour détecter, à partir d’empreintes numériques, des images et des vidéos de pornographie juvénile.

Lorsqu’une telle image est détectée, le robot envoie un avis à l’hébergeur lui demandant de la retirer immédiatement.

Toutefois, ce ne sont pas tous les hébergeurs qui s’y conforment, comme l’a déploré René Morin, porte-parole du CCPE, en entrevue avec La Presse canadienne.

«Dans la majorité des cas, les hébergeurs vont obtempérer dans un délai de deux à trois jours, et les images vont être retirées. Car de se faire dire par une entité qui est proche des services policiers, que vous possèdez des images illégales sur votre serveur, ça ne vous donne pas envie de le laisser là. Il y a néanmoins un certain nombre d’hébergeurs qui vont agir moins rapidement, ou pas du tout.»

Le Centre canadien de protection de l’enfance demande aux entreprises du web de faire cause commune et à utiliser gratuitement l’application «Shield par Projet Arachnid».

«Si vous êtes un grand hébergeur comme Vidéotron ou Telus, et que certains de vos clients utilisent vos serveurs pour mettre des images de pornographie juvénile, vous ne le saurez pas nécessairement. Alors, on met une application de la technologie Arachnid à leur disposition pour qu’il puisse scanner leur serveur à la recherche de ce type d’images» a expliqué René Morin.

Selon le porte-parole du CCPE, les hébergeurs qui sont réticents contribuent à faire en sorte que des milliers de photos et de vidéos d’abus pédosexuels restent en ligne, «ce qui entraîne la revictimisation d’enfants ayant subi des abus sexuels.»

Au Canada, la loi oblige les fournisseurs d’accès internet et d’hébergement de contenu à rapporter tout incident de pornographie juvénile aux autorités policières.

La technologie développée par le Centre canadien de protection de l’enfance a attiré l’attention de plusieurs organisations dans le monde.

Des centrales de signalement d’exploitation sexuelle d’enfants aux États-Unis, en Finlande, en Suède, en Colombie, au Royaume-Uni et en Croatie, utilisent maintenant Arachnid.

Validé par des humains

Arachnid n’agit pas seul. Des analystes du Centre canadien de protection de l’enfance doivent valider chacune des images détectées par le robot. Ces employés voient défiler des milliers d’images de pornographie juvénile devant leurs yeux.

«Ce n’est pas léger comme travail, on est conscient de la charge émotionnelle associée à ce travail. Mais on tient à s’assurer de la qualité des données versées dans la base de données d’Arachnid, donc ça doit être vérifié par des humains»,  a indiqué M. Morin.

Arachnid détecte plus de 100 000 images différentes par mois. Selon M. Morin, si le robot repère toujours plus d’images, c’est par ce qu’il ne cesse d’évoluer et de s’adapter pour améliorer ses capacités, mais aussi parce qu’il y a malheureusement de plus en plus de sites web contenant de la pornographie juvénile.

Depuis son lancement il y a deux ans et demi, Arachnid a détecté plus de neuf millions d’images potentiellement associées à des abus pédosexuels et a formulé près de quatre millions de demandes de retrait à des hébergeurs dans le monde entier.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Les bébés nés dans l’espace pourraient avoir une tête plus grosse et un peau plus foncée


La conclusion de l’article était exactement ce que je pensais … On va finir par trouver des extraterrestres qui auront une lointaine origine terrestre. Bref, accoucher sur Terre, ce n’est pas facile alors sans gravité, l’accouchement sera beaucoup plus pénible, alors la césarienne sera la première option. De plus, les bébés seront différents autant la grosseur de la tête que par la couleur et la grandeur. Au bout de quelques générations, ce sera une nouvelle espèce. Enfin si un jour l’humain réussira a quitter la terre pour coloniser une planète,
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Les bébés nés dans l’espace pourraient avoir une tête plus grosse et un peau plus foncée



Céline Deluzarche
Journaliste

En janvier 2019, la startup SpaceLife Origin annonçait en grandes pompes le tout premier bébé né dans l’espace pour 2024. L’entreprise prévoyait d’envoyer une femme enceinte à bord d’une capsule spatiale afin d’accoucher en apesanteur. À peine cinq mois plus tard, elle a finalement fait machine arrière, arguant de « problèmes d’éthique et de sécurité ».

Il n’est toutefois pas inenvisageable que l’Homme soit un jour amené à se reproduire dans l’espace, lors de missions lointaines ou de longs séjours sur Mars. Or, ces futurs bébés extraterrestres pourraient avoir une apparence différente de la notre, si l’on en croit Scott Solomon, professeur de biologie à l’université de Rice (États-Unis). Dans une interview donnée au site Business Insider, ce spécialiste de l’évolution explique d’abord que l’absence de gravité va rendre l’accouchementplus difficile pour les femmes qui devront davantage « pousser » pour faire sortir le bébé. 

« De plus, cette absence de gravité fragilise les os, ce qui augmente le risque de fracture pelvienne lors de l’accouchement», avance le scientifique.

Pour éviter ces désagréments, les accouchements se feront donc, sans doute, par césarienne.

Or, chez l’être humain, « la taille du crâne du bébé est justement limitée du fait qu’il doit passer par le col de l’utérus », insiste Scott Solomon.

Sans cette contrainte biologique, les futurs bébés spatiaux pourraient donc avoir une tête plus grosse. On sait par ailleurs que les astronautes grandissent de trois à cinq centimètres dans l’espace en raison de l’absence de gravité : les enfants cosmiques seront donc peut-être plus grands.

Mais ce n’est pas tout : dans l’espace, nous sommes moins protégés des radiations cosmiques galactiques, potentiellement cancérogènes. Ce qui pourrait amener les humains à développer de nouveaux types de pigments comme la mélanine qui protège notre peau contre les UV sur Terre.

« Les futures générations pourraient donc avoir des couleurs de peau différentes de la notre, sans doute plus foncée, pronostique Scott Solomon. Au bout de quelques milliers d’années, nous pourrions donc assister à la séparation de l’espèce humaine en deux espèces distinctes », conclut-il.

Nous n’aurons alors plus besoin de chercher les vrais extraterrestres.

https://www.futura-sciences.com/

Deux oiseaux plongent 1000 foyers dans le noir en s’ac­cou­plant sur un pylône élec­trique


Ce qui s’appelle des ébats explosifs. Malheureusement pour ce couple d’oiseau, ce fut fatal pour eux.
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Deux oiseaux plongent 1000 foyers dans le noir en s’ac­cou­plant sur un pylône élec­trique


Crédits : Glenda Grif­fith

par  Mathilda Caron

En Austra­lie, deux oiseaux ont provoqué une panne de courant géné­rale dans plus de 1000 foyers en s’ac­cou­plant sur un pylône élec­trique, rappor­tait le Daily Mail le mois dernier.

Le couple de kooka­bur­ras était perché au sommet d’un pylône élec­trique, dans le nord de la ville de Perth, quand ils ont touché l’in­fra­struc­ture élec­trique en vire­vol­tant pendant leurs ébats. Les témoins de la scène ont alors vu une explo­sion et deux flashs bleus, et tout le quar­tier a été plongé dans le noir.

Les habi­tants sont restés dans l’obs­cu­rité pendant plus d’une heure et demi avant que le courant ne soit réta­bli.

« Ce genre d’in­ci­dent n’ar­rive que très rare­ment », a expliqué Paul Entwistle, le porte-parole de la société d’élec­tri­cité Western Power.

Les deux tour­te­reaux sont morts sur le coup.

Source : The Daily Mail

https://www.ulyces.co/

Détruire l’environnement pourrait-il devenir un crime de guerre?


Pour ma part détruire l’environnement pendant des conflits, des guerres devrait être considéré comme des crimes de guerre.C’est tout l’écosystème d’un endroit qui est détruit qui affecte autant les humains, la faune et la flore.
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Détruire l’environnement pourrait-il devenir un crime de guerre?

Un puit de pétrole enflammé par les forces irakiennes, lors de leur retraite du Koweit en 1991. | Michel Gangne / AFP

Un puit de pétrole enflammé par les forces irakiennes, lors de leur retraite du Koweit en 1991. | Michel Gangne / AFP

Repéré par Barthélemy Dont

Repéré sur Vox

C’est ce que réclament vingt-quatre scientifiques, qui demandent à ce que le respect de l’environnement soit intégré à une cinquième convention de Genève.

En général, la guerre est envisagée comme un événement qui se place hors des règles légales habituelles: seule une poignée de lois internationales établissent ce que peuvent ou ne peuvent pas faire les forces armées.

Ces règles traitent de sujets indispensables comme des droits des prisonniers ou du choix des armes employées, mais pas vraiment d’environnement. Seulement, alors que les enjeux écologiques sont plus pressants que jamais, des scientifiques réclament un meilleur encadrement des conséquences de la guerre sur les écosystèmes.

Du 8 juillet au 9 août, la commission du droit international de l’ONU est réunie pour se pencher sur plusieurs textes. L’un d’entre eux veut obliger les forces armées à prendre en compte l’environnement dans leurs stratégies militaires. À cette occasion, vingt-quatre scientifiques ont publié une lettre ouverte appelant à ajouter cette obligation dans une cinquième convention de Genève.

La guerre, fléau pour l’environnement

En matière écologique, les conséquence de la guerre sont loin d’être anecdotiques. Par exemple, en zone de conflit, la faune diminue souvent de manière dramatique. La prolifération d’armes fait croître la chasse illégale, les forces armées occupent des zones normalement inhabitées et les gouvernements n’ont pas assez de budget pour que la conservation reste une priorité.

D’autres actions particulièrement nuisibles à l’environnement sont commises en pleine conscience de cause. Par exemple, l’armée américaine se débarrasse de ses véhicules endommagés, rations alimentaires périmées et autres déchets dans d’immenses brasiers installés près de leurs bases, notamment en Irak et en Afghanistan.

Les premiers appels à prendre en compte l’environnement dans la stratégie militaire remonte à la guerre du Vietnam, note le Guardian, lors de laquelle les États-Unis avaient inondé le pays de dizaines de millions de litres d’agent orange, un puissant désherbant, afin de se débarrasser des forêts qui servaient de refuge aux soldats ennemis et de détruire leurs récoltes.

S’en est suivie une catastrophe sanitaire et écologique immense, qui empoisonne encore les sols, les cultures, les animaux et les habitant·es. Le sujet a ensuite commencé à être réellement étudié en 1991 lorsque l’armée irakienne a enflammé 700 puits de pétrole lors de son retrait du Koweit.

http://www.slate.fr/

Un mystérieux pathogène fongique inquiète les médecins canadiens



Le Candida auris est un pathogène fongique qui cible les personnes dont le système immunitaire est diminué et proviendrait du tourisme médical. Malheureusement, le moyen de propagation n’est pas encore compris Le Candida auris, pour le moment est rare, mais il est résistant à la chaleur. Les médecins craignent qu’avec les changements climatiques, il risque de devenir plus fréquent.
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Un mystérieux pathogène fongique inquiète les médecins canadiens

Une souche de Candida auris

Une souche de Candida auris

PHOTO : REUTERS / HANDOUT .

Médecins et spécialistes de partout au pays se penchent depuis près de dix ans sur un pathogène fongique partiellement résistant aux médicaments afin de déterminer son origine et d’en venir à bout.

Il s’agit du Candida auris, identifié pour la première fois en 2009 chez une patiente japonaise.

Depuis, la présence de ce pathogène a été constatée dans plusieurs pays, touchant les malades hospitalisés, principalement les patients dont le système immunitaire est affaibli, tels que les patients recevant une chimiothérapie, ceux ayant subi une chirurgie ou ceux à qui on administre des traitements par intraveineuse.

Le docteur Isaac Bogoch, de l’Hôpital général de Toronto, affirme que le Candida auris est relativement rare, mais qu’il présente toutefois des caractéristiques inquiétantes.

Le pathogène est difficilement identifiable pour certains laboratoires, son traitement est difficile lorsqu’il atteint le sang et il est souvent résistant à plusieurs médicaments antifongiques, explique-t-il.

« Avec le diagnostic tardif, cela peut souvent retarder le traitement approprié – et si nous retardons le traitement de l’infection fongique, en particulier quand il est dans le sang, les gens peuvent devenir très malades, très rapidement. », s’inquiète le Dr Bogoch.

Selon des informations partielles, les spécialistes estiment que plus d’un patient sur trois présentant une infection invasive au Candida auris décède.

Présence dans tout le pays

L’Agence de santé publique du Canada (ASPC) affirme qu’au total 20 cas ont été enregistrés au pays de 2012 à 2019, dont six au Québec et en Ontario entre 2012 et 2017, et 14 cas dans les provinces de l’Ouest entre 2014 et 2019.

Le premier cas canadien de Candida auris multirésistant a été diagnostiqué en juillet 2017 chez un voyageur de retour au pays, selon Anna Madison de l’ACSP, qui précise que certaines infections résistantes aux médicaments ont été contractées dans des hôpitaux à l’étranger.

Selon Mme Madison, cette infection provient de personnes qui font du tourisme médical à l’étranger.

Le Dr Bogoch estime de son côté qu’il v a y avoir plus de cas à l’avenir.

Les raisons de la propagation de cette infection restent inconnues pour le moment.

Résistance à la chaleur

Selon le Dr Arturo Casadevall et son équipe de la faculté de santé publique de Johns Hopkins à Baltimore, l’agent pathogène est plus résistant à la chaleur et se développe à des températures plus élevées.

Le Dr Casadevall a indiqué que le génome s’adapte à des températures plus élevées. Cette tolérance à la chaleur pourrait contribuer à son émergence en tant que maladie fongique chez l’homme.

Le Dr Casadevall et ses collègues de l’Université du Texas à Houston et du Westerdijk Fungal Biodiversity Institute à Utrecht, aux Pays-Bas, soupçonnent que le réchauffement climatique mondial pourrait contribuer à la propagation de cette infection.

Ils ont cherché un dénominateur commun pour expliquer l’apparition de Candida auris dans trois régions très différentes du monde, caractérisées par une flore et des conditions géographiques distinctes : l’Afrique du Sud, l’Amérique du Sud et l’Inde.

« Problème imminent »

« Le gros problème ici, c’est que, à mesure que la planète se réchauffe, de plus en plus de ces organismes [fongiques] qui ne constituent actuellement pas une menace peuvent s’adapter aux températures plus élevées », a déclaré le Dr Casadevall.

« C’est un problème imminent. »

Selon le Dr Tom Chiller, l’expansion de l’agriculture industrielle, les températures plus chaudes et les mutations du champignon lui-même sont des facteurs qui pourraient favoriser l’émergence de Candida auris.

Même après le traitement de l’infection, les patients peuvent continuer à porter le pathogène à des endroits comme la peau, mais sans que cela cause la maladie, selon les spécialistes.

Ces patients peuvent aussi transmettre le pathogène à d’autres patients.

Pour cette raison, les spécialistes de la santé publique préconisent des mesures telles que l’hygiène des mains, le port de gants ou encore le placement des patients atteints de Candida auris dans une chambre individuelle. 

Avec les informations de CBC

https://ici.radio-canada.ca/