Quelqu’un qui écoute


Je n’irais pas à dire que cela est improbable, mais c’est l’impression que nous pouvons parfois ressentir. On aime parler, mais pas écouter. Beaucoup s’isolent dans leur bulle pour ne pas entendre l’entourage.
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Quelqu’un qui écoute



C’est tellement rare, tellement improbable, c’est tellement miraculeux que c’est peut-être ça la civilisation et la culture. Rencontrer quelqu’un qui écoute.


Michel Serres

Le Saviez-Vous ► Qu’est-ce que “l’île aux cannibales” ?


Je me souviens d’avoir entendu parler quand j’étais enfant de la déportation en Sibérie des gens qui n’entraient pas dans le cadre du gouvernement. Ils furent transférés dans des camps qui n’ont pu être supervisés. Ce qui a entraîne la famine. Le cannibalisme fut pour eux un moyen de survivre.
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Qu’est-ce que “l’île aux cannibales” ?

À la fin du premier plan quinquennal (1933), des voyous et des marginaux occupent bon nombre de villes soviétiques, posant, de ce fait, des problèmes de sécurité particulièrement fâcheux.

Staline décide alors de régler le problème de manière radicale, en expulsant toutes les populations itinérantes et les opposants du régime sur une île extrêmement hostile située au cœur de la Sibérie : Nazino.

Un voyage sans retour

Alors que de nombreuses villes de l’Union soviétique font face à un afflux de populations marginales (fuyant leurs campagnes, en réaction à l’industrialisation expéditive de l’ensemble du territoire), Joseph Staline voit une bonne occasion de se débarrasser de tous les éléments récalcitrants que le régime a recensés.

Dans un premier temps, l’administration soviétique met donc en place un passeport censé réglementer tout séjour dans une ville quelconque du pays. Ceux qui en sont dépourvus sont immédiatement expulsés vers des “camps de travail” situés dans un environnement très hostile.

En effet, les hauts fonctionnaires du régime ont identifié de vastes zones inhabitées, situées entre la Sibérie et le Kazakhstan, pour y déporter le nombre astronomique d’un million de personnes.


Parmi elles, un contingent de 5 000 à 6000 âmes rejoignent une petite île, isolée sur le fleuve Ob, nommée Nazino.

Le cauchemar prend forme

À l’origine, la petite île de Nazino est censée abriter un camp de travail classique, dans lequel les déportés seraient sévèrement encadrés pour effectuer des tâches ingrates et harassantes.

Toutefois, les ressources humaines et matérielles manquent, ce qui mène fatalement les milliers de déportés à être livrés à eux-mêmes, sans occupation ni nourriture.

Les premiers arrivants meurent donc de faim, sans que les livraisons de farine ne puissent arranger les choses. En effet, ne pouvant la faire cuire pour donner du pain, les prisonniers la consomment mélangée avec de l’eau, ce qui déclenche de nombreuses crises de dysenteries mortelles.

Acculés face à la famine, les prisonniers font alors sauter les derniers tabous de toute société civilisée.

Des hommes se livrent au cannibalisme sur les morts, puis sur les vivants, capturant, mutilant et dévorant des membres d’autres captifs. Nazino devient alors “l’île aux cannibales”.

Devant un tel désastre, les autorités soviétiques décident de transférer les survivants (on en compte 2000 en juin 1933) dans des camps de travail voisins.

Bien loin d’avoir “civilisé” la population soviétique, l’expérience de Nazino l’avait tout simplement plongée dans la barbarie.

https://www.chosesasavoir.com/

Une fillette propulsée dans les airs par un bison à Yellowstone


Heureusement pour cette jeune fille qu’elle s’en tire à bon compte après avoir été projeter dans les airs par un bison à Yellowstone. Cependant, nous devons respecter les animaux sauvages dans leur environnement. Ils ont droit qu’on leur laisse de l’espace pour ne pas se sentir menacé. Ils ne font qu’agir par instinct.

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Une fillette propulsée dans les airs par un bison à Yellowstone


Une fillette de neuf ans a été blessée par un bison dans le célèbre parc national américain de Yellowstone cette semaine, après que l’animal eut chargé un groupe de touristes s’étant aventurés un peu trop près de lui, ont indiqué des responsables du parc.

L’incident s’est produit quand une cinquantaine de personnes se sont approchées à environ trois mètres du bison, restant là près de 20 minutes avant qu’il les charge.

Une vidéo prise par l’une des personnes présentes montre l’énorme bête en train de paître avant de charger soudainement et d’envoyer la petite fille dans les airs, tandis que les membres du groupe s’éparpillaient.

La fillette originaire de Floride a été transportée vers une clinique puis autorisée à partir.

Les responsables du parc ont rappelé à cette occasion que les animaux peuplant cette immense réserve à cheval sur le Wyoming et le Montana étaient “sauvages”.

“Quand un animal se trouve près d’un sentier, d’un passage, d’un parking ou d’une zone développée, laissez-lui de l’espace”, ont-ils dit. “Restez à plus de 20 mètres de tous les grands animaux -les bisons, les élans, les mouflons d’Amérique, les cerfs, les coyotes et à au moins 90 mètres des ours et des loups”.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Une fillette de neuf ans a été blessée par un bison dans le célèbre parc national américain de Yellowstone cette semaine, après que l’animal eut chargé un groupe de touristes s’étant aventurés un peu trop près de lui, ont indiqué des responsables du parc.

L’incident s’est produit quand une cinquantaine de personnes se sont approchées à environ trois mètres du bison, restant là près de 20 minutes avant qu’il les charge.

Une vidéo prise par l’une des personnes présentes montre l’énorme bête en train de paître avant de charger soudainement et d’envoyer la petite fille dans les airs, tandis que les membres du groupe s’éparpillaient.

La fillette originaire de Floride a été transportée vers une clinique puis autorisée à partir.

Les responsables du parc ont rappelé à cette occasion que les animaux peuplant cette immense réserve à cheval sur le Wyoming et le Montana étaient “sauvages”.

“Quand un animal se trouve près d’un sentier, d’un passage, d’un parking ou d’une zone développée, laissez-lui de l’espace”, ont-ils dit. “Restez à plus de 20 mètres de tous les grands animaux -les bisons, les élans, les mouflons d’Amérique, les cerfs, les coyotes et à au moins 90 mètres des ours et des loups”.

https://quebec.huffingtonpost.ca/