Le temps


En vieillissant, on remarque que le temps à passer plus vite que l’on croit et pourtant, combien de fois, le temps nous a paru interminablement long.

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Le temps




Ce n’est pas que la vie soit courte, c’est que le temps passe vite…


Henri Jeanson

Le Saviez-Vous ► Apollo 11 fut aussi un pas de géant technologique sur Terre


Quand on voit l’argent dépensé pour tout ce qui est en relation avec l’espace, on se demande si cela vaut vraiment la peine. Ce sont des sommes astronomiques qui y passent. Cependant, c’est grâce à l’exploration spatiale que la technologie est accessible aussi pour l’humanité, que ce soient les ordinateurs, les souliers de sports, des couvertures de survie …
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Apollo 11 fut aussi un pas de géant technologique sur Terre

Apollo 11 fut aussi un pas de géant technologique sur TerrePhoto: NASA/AFPL’astronaute américain Buzz Aldrin lors de la mission spatiale Apollo 11

La mission Apollo 11 du premier pas sur la Lune, dont le cinquantième anniversaire est célébré ce mois-ci, a catalysé de nombreuses percées scientifiques et technologiques.

Pour Apollo, la Nasa a construit la plus puissante fusée de l’histoire, la Saturn V, développée par l’équipe d’ingénieurs du transfuge nazi Wernher von Braun.

Mais grâce aux crédits généreux accordés par le Congrès américain, de l’ordre de 150G$ US d’aujourd’hui pour les trois premiers programmes de vols habités, la Nasa et l’industrie spatiale ont produit des innovations importantes.

«Apollo fut un laboratoire pour tenter de résoudre les gigantesques problèmes d’ingénierie auxquels nous nous heurtions», dit à l’AFP Brian Odom, historien au centre spatial Marshall de la Nasa.

En voici plusieurs exemples.

Révolution informatique

Jusqu’aux années 1960, les ordinateurs remplissaient des pièces entières et étaient composés de milliers de tubes à vide, très gourmands en énergie.

Tout a changé avec l’arrivée des disques durs de type «solid state» et de transistors rendant possible une miniaturisation suffisante pour être embarqués dans un véhicule spatial.

«Les fusées devaient fournir une très forte poussée, mais il fallait aussi réduire la masse et augmenter la puissance à bord pour l’informatique», dit G. Scott Hubbard, ancien directeur du centre de recherche Ames de la Nasa, près de San Francisco.

Cette évolution était déjà en route avant Apollo, mais c’est ce programme qui a accéléré l’avènement de cette nouvelle informatique… et, in fine, de la Silicon Valley.

Purificateur d’eau

La Nasa a développé un petit appareil de purification d’eau, pesant 255 milligrammes et tenant dans la main. Il purifiait l’eau en relâchant des ions argent, sans chlore.

La technologie a ensuite été adoptée pour tuer les microbes dans les systèmes collectifs de distribution d’eau.

Repas lyophilisés 

Un autre problème des voyages spatiaux est qu’il fallait conserver la nourriture sans réfrigérateur, qui prennent trop de place et consomment de l’énergie.

Les chercheurs de la Nasa ont donc perfectionné une technique appelée lyophilisation: la déshydratation à très basse température d’aliments, afin d’en garder la forme et les nutriments mais sans eau, avec une masse grandement réduite. Des emballages empêchaient l’humidité et l’oxygène de les pénétrer.

IRM

Des techniques d’analyse numérique d’images développées par un centre de la Nasa pour améliorer les images de la surface de la Lune ont trouvé des applications dans d’autres domaines, et notamment en médecine, dans les techniques d’imagerie CT-scan et IRM.

Des bottes lunaires aux baskets 

Les bottes de Neil Armstrong et des astronautes ayant foulé le sol lunaire étaient fabriquées dans des matériaux dont certains ont franchi le pas vers le monde des baskets.

Un ingénieur d’Apollo, Al Gross, est notamment parvenu à compenser l’usure des milieux des semelles de chaussures athlétiques en réutilisant les techniques d’absorption des chocs des bottes spatiales, selon un numéro du magazine Spinoff de la Nasa en 1991.

Couvertures de survie

Les couvertures de survie utilisées aujourd’hui par les premiers secours dans le monde entier ont été inventées par la Nasa, pour protéger les astronautes et leurs instruments de vol des rayons solaires et éviter la surchauffe.

Elles sont très simples, composées d’un film de plastique doublé d’un film d’aluminium très fin, reflétant les rayons infrarouges.

Outils sans fil 

Les astronautes d’Apollo avaient une mission géologique: forer le sol lunaire pour récupérer des échantillons de roche, jusqu’à trois mètres de profondeur.

Black & Decker a développé un algorithme afin d’optimiser le moteur de la perceuse et réduire la consommation d’énergie… Une technologie appliquée plus tard dans les aspirateurs sans fil.

Combinaisons

L’espace est un endroit extrême, avec de terribles variations de températures, entre le froid du vide spatial et les milliers de degrés subis par la capsule pendant la rentrée atmosphérique, sans compter les radiations solaires.

L’armée américaine et la Nasa ont développé une fibre appelé PBI (polybenzimidazole synthétique) dans les années 1950 et 1960, qui a fini par être adoptée par les pompiers dans les années 1970.

Pour l’historien de la Nasa Brian Odom, c’est un exemple parmi d’autres du rôle moteur de l’État américain.

 «Aucune entreprise n’aurait pu le faire», dit-il. «Mais c’était ça, Apollo. Et le programme spatial continue à le faire aujourd’hui».

Retour sur investissement? 

Il n’y a aucun doute que le retour sur investissement, pour l’économie américaine, est positif. Mais ce serait une erreur de n’appréhender l’impact de la recherche spatiale qu’en termes économiques, dit Casey Dreier, de l’organisation The Planetary Society.

«C’était avant tout une démonstration des capacités technologiques et organisationnelles, un message envoyé par les États-Unis non seulement à l’Union soviétique, mais aussi aux pays qui venaient d’être décolonisés après la chute des pouvoirs européens» et devaient choisir entre capitalisme et communisme, dit-il.

https://journalmetro.com/

Une tortue à deux têtes naît en Malaisie


Ce n’est pas la première fois qu’une tortue à 2 têtes naît, c’est quand même un phénomène rare. Chaque tête avait le contrôle de sa nageoire, mais pouvait nager en unisson. Malheureusement, la tortue n’a pas survécu, étant une proie facile.
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Une tortue à deux têtes naît en Malaisie

Le bébé tortue a été découvert sur l'île... (PHOTO AFP)

Le bébé tortue a été découvert sur l’île de Mabul au large de la partie de Bornéo appartenant à la Malaisie, parmi quelque 90 bébés tortues nés récemment dans un nid.

PHOTO AFP


Agence France-Presse
Kuala Lumpur

Un bébé tortue à deux têtes est né en Malaisie, mais n’a survécu que quelques jours, captivant l’attention des défenseurs de l’environnement.

Il a été découvert sur l’île de Mabul au large de la partie de Bornéo appartenant à la Malaisie, parmi quelque 90 bébés tortues nés récemment dans un nid.

C’était une créature « absolument fascinante », selon le biologiste marin David McCann, employé de SJ SEAS, organisation de préservation de l’environnement dépendant du centre de plongée Scuba Junkie, qui s’occupe du nid. 

« La tête droite semble contrôler la nageoire avant-droite, et la tête gauche la nageoire avant-gauche. Pourtant (les deux têtes) sont capables de coordonner leurs mouvements pour marcher et nager », a-t-il expliqué dans un communiqué.

« Nous avons vu quelque 13 000 bébés tortues sortir de l’écloserie, mais n’avons jamais vu quelque chose comme ça auparavant », a ajouté le président de SJ SEAS Mohamad Khairuddin Riman.

Mais la tortue est morte mercredi, a indiqué à l’AFP Sen Nathan, vétérinaire employé par la direction de la faune de l’État de Sabah.

La cause de sa mort est encore inconnue, mais elle avait de toutes façons très peu de chance de survivre longtemps dans la nature, a-t-il ajouté.

« Elle aurait été happée par un oiseau de proie parce qu’elle ne pouvait pas bien nager », a-t-il expliqué.

Le cas est rare mais n’est pas inconnu. Une tortue à deux têtes avait été découverte en 2014 sur une île au large de la côte orientale de Malaisie et avait survécu trois mois, selon M. Nathan.

Les tortues vertes (Chelonia mydas), l’une des plus grandes tortues de mer, vivent principalement dans les eaux tropicales et subtropicales.

Classées parmi les espèces menacées, elles souffrent d’une réduction de leur zone d’habitat et de braconniers à la recherche de leur viande et leurs oeufs.

https://www.lapresse.ca/

Un nouveau dinosaure à bec de canard découvert dans l’Utah


Un bien drôle de dinosaure. Il n’était pas bien méchant malgré qu’il pût avoir jusqu’à 800 dents. Une belle dentition pour un herbivore.
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Un nouveau dinosaure à bec de canard découvert dans l’Utah


Larry Felder

Un membre jusqu’ici inconnu du groupe des dinosaures à bec de canard, Gryposaurus monumentensis, a été découvert dans le sud de l’Utah, révèle mercredi le Zoological Journal of The Linnean Society.

Plusieurs centaines de dents

Son crâne, de 76 cm de long, avait été trouvé en 2002 par un… fabricant de meubles de Pennsylvanie, déclenchant des fouilles approfondies deux années plus tard. Les restes de l’animal ont été mis au jour dans la formation de Kaiparowits, une couche géologique remontant à une période proche de la fin du crétacé (vieille de 75 millions d’années), en plein milieu du Grand Staircase-Escalante National Monument (le plus grand espace protégé des Etats-Unis, après le Parc national de Yellowstone).

Les mâchoires, hérissées de plus de 300 dents disponibles pour découper en tranches la matière végétale la plus dure, contiennent, à l’intérieur de l’os, de nombreuses dents de rechange, signifiant que ce gryposaure pouvait en porter jusqu’à 800 au moins, relèvent les auteurs de l’étude publiée dans la revue de la Société linnéenne de Londres.

Herbivore pacifique

Le nom de Gryposaurus monumentensis que lui ont donné ses parents scientifiques, Terry Gates et Scott Sampson, du Muséum d’histoire naturelle de l’université de l’Utah, à Salt Lake City, signifie littéralement «Lézard à bec en crochet» du parc du «Monument».

Cet animal, que Terry Gates n’hésite pas à qualifier de «monstre», était un pacifique herbivore faisant partie des hadrosaures, dinosaures dits à bec de canard, dont la taille variait généralement entre sept et dix mètres de long.

La dernière découverte, résument Terry Gates et Scott Sampson, montre que ces dinosaures formaient un genre très varié d’hadrosaures et qu’ils étaient largement répandus pendant plus de cinq millions d’années entre l’Alberta (Canada), au nord, et l’Utah sinon le Texas, bien plus au sud.

https://www.20minutes.fr

Des applications nature pour identifier les espèces de votre jardin


iNaturalist est une application qui permet d’avoir des informations sur une plante, insecte ou un animal. En téléversant une photo du sujet qui nous intrigue, un algorithme vous dira ce que ce pourrait être et une communauté d’iNaturalist est mise à profit pour confirmer de quelle espèce il s’agit. Tout cela comme le jeu de Pokémon Go … sauf que c’est plus instructif.
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Des applications nature pour identifier les espèces de votre jardin


Une tordeuse à barre oblique (Graphocephala coccinea) sur une feuille.

Des applications comme iNaturalist sont conçues pour vous aider à identifier des espèces comme cette tordeuse à barre oblique (Graphocephala coccinea).

PHOTO : EMILY CHUNG/CBC

Radio-Canada

Vous êtes-vous déjà demandé le nom d’une plante ou d’un insecte de votre jardin ou de votre quartier? Des applications pour téléphone intelligent à la Pokémon Go permettent d’identifier des créatures, mais dans la vie réelle.

L’une des plus populaires est iNaturalist, qui compte 640 000 utilisateurs et utilisatrices dans le monde. Elle permet de garder les yeux ouverts sur l’incroyable variété d’espèces qui nous entourent grâce à l’intelligence artificielle.

Téléversez une photo de la plante ou de l’animal qui vous intrigue, et un algorithme vous dira ce que ce pourrait être. De plus, la communauté d’iNaturalist est mise à profit pour confirmer de quelle espèce il s’agit et préciser l’algorithme. L’application comprend aussi une carte des espèces que vous avez aperçues et des « missions » pour identifier celles que vous ne connaissez pas, mais qui sont néanmoins présentes dans les alentours.

« C’est un peu comme Pokémon Go. Combien pourrez-vous en trouver? », explique Carrie Seltzer, qui travaille pour l’application.

 Elle explique que même une pelouse en apparence banale, voire une craque de trottoir, peut receler une grande variété d’espèces.

« Quand je marche en ville, c’est un peu comme une chasse au trésor », dit celle qui vit à Washington.

Plus qu’un jeu

Mais contrairement à Pokémon Go, iNaturalist n’est pas qu’un jeu. L’application, qui s’appuie sur le concept de « science citoyenne », collecte des données qui peuvent être utiles à des biologistes et des organismes de conservation des espèces et des populations animales. La Fédération canadienne de la faune et de la flore et le programme pour la biodiversité du Musée royal de l’Ontario soutiennent la version canadienne de l’application.

L’application iNaturalist, qui recense 23 millions d’observations dans le monde, n’est pas unique en son genre. Certaines sont restreintes à des lieux précis tandis que d’autres s’attardent à des espèces en particulier. C’est le cas d’eBird, une application d’ornithologie qui compte plus de 590 millions d’observations.

Le site Internet IPapillon, de son côté, se spécialise dans les papillons. Lancé en 2011 par Jeremy Kerr, un biologiste de l’Université d’Ottawa, il est aussi soutenu par Espace pour la vie, à Montréal.

Dans un article publié l’an dernier dans le journal Global Change Biology, Jeremy Kerr et deux de ses collègues de l’Université d’Ottawa expliquent comment les utilisateurs et utilisatrices de l’application ont contribué à mieux comprendre la distribution de plus de 80 espèces, identifiées en moyenne 35 jours avant les échantillons faits par les scientifiques. L’application a aussi permis d’identifier trois espèces qui ne figuraient auparavant pas dans l’échantillonnage de certaines régions.

D’après un reportage d’Emily Chung, de CBC News

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Pourquoi la maladie d’Alzheimer est-elle plus fréquente chez les femmes?


Tout le monde sait faire la différence entre un homme et une femme, mais ces différences vont bien au-delà de ce qui est apparent. Même la maladie peut agir autrement dépendant du sexe de la personne. C’est ce qui semble être le cas pour la maladie d’Alzheimer.
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Pourquoi la maladie d’Alzheimer est-elle plus fréquente chez les femmes?

Le cerveau humain.

Des scientifiques ont démontré que la maladie pouvait se propager différemment dans le cerveau des femmes par rapport à celui des hommes.

PHOTO : ISTOCK

Une nouvelle étude fournit quelques indices biologiques sur les raisons pour lesquelles les femmes sont plus susceptibles que les hommes d’être atteintes de la maladie d’Alzheimer, et comment cette forme de démence la plus courante varie selon le sexe.

Lors de la conférence internationale de l’Alzheimer’s Association à Los Angeles mardi, des scientifiques ont démontré que la maladie pouvait se propager différemment dans le cerveau des femmes par rapport à celui des hommes. D’autres chercheurs ont montré que plusieurs gènes nouvellement identifiés semblent liés au risque de maladie selon le sexe.

Aux États-Unis, les deux tiers des cas d’alzheimer concernent des femmes, et ce n’est pas uniquement parce que nous vivons plus longtemps, souligne Maria Carrillo, responsable scientifique de l’association.

Il existe également un fondement biologique qui explique les différences selon le sexe dans la maladie, explique-t-elle.

Certaines études précédentes ont suggéré que les femmes, à tout âge, sont plus susceptibles que les hommes de développer la maladie d’Alzheimer. Les scientifiques savent également qu’un gène appelé APOE-4 semble augmenter davantage le risque pour les femmes que pour les hommes dans certains groupes d’âge.

Par ailleurs, les femmes atteintes de la maladie dans ses premiers stades passent parfois sous le radar, car elles ont tendance à mieux réussir les tests verbaux que les hommes, ce qui masque les dommages causés par l’alzheimer.

Les nouvelles études ajoutent plus de preuves et d’explications potentielles aux variations présumées dans la manière dont la maladie atteint les hommes et les femmes.

Les chercheurs de l’Université Vanderbilt ont découvert des différences dans la façon dont la protéine tau, qui forme des enchevêtrements détruisant les cellules nerveuses, se propage dans le cerveau des femmes en comparaison de celui des hommes.

En ayant recours à des examens réalisés sur 301 personnes ayant des capacités de raisonnement normales et 161 autres ayant un déficit léger, ils ont cartographié l’endroit où la protéine tau s’était déposée et l’ont corrélé avec les réseaux nerveux – des « autoroutes » suivies par les signaux du cerveau.

Ils ont constaté que les réseaux de protéine tau chez les femmes atteintes d’un déficit léger étaient plus diffus et dispersés que chez les hommes, ce qui suggère que davantage de zones du cerveau étaient touchées.

L’utilisation du sucre par le cerveau

On sait depuis longtemps que les femmes réussissent mieux aux tests de mémoire verbale – des compétences telles que le rappel de mots et de listes. Des chercheurs de l’Université de Californie à San Diego ont constaté que les femmes avaient de meilleurs résultats que les hommes, malgré des signes similaires d’alzheimer précoce à modéré.

À l’aide d’examens effectués sur plus de 1000 personnes âgées, ils ont découvert des différences entre les sexes quant à l’utilisation du sucre par le cerveau, sa principale source d’énergie. Les femmes métabolisent mieux le sucre, ce qui peut accroître leur capacité à compenser les dommages causés par la démence et les rendre moins susceptibles de recevoir un diagnostic de ce trouble lorsqu’elles sont soumises à des tests faisant appel à des compétences verbales.

L’avantage féminin pourrait masquer les premiers signes de la maladie d’Alzheimer et retarder le diagnostic, a indiqué la responsable de l’étude, Erin Sundermann. Les femmes sont capables de maintenir leurs performances verbales normales plus longtemps », en partie grâce à un meilleur métabolisme cérébral.

À l’Université de Miami, des scientifiques ont analysé les gènes de 30 000 personnes – la moitié avec la maladie d’Alzheimer, l’autre sans – et ont découvert quatre gènes qui semblent liés au risque de maladie selon le sexe.

Un confère des risques aux femmes et non aux hommes, et trois aux hommes, mais pas aux femmes, a expliqué Eden Martin, l’une des responsables de l’étude.

Les chercheurs ne savent pas encore exactement comment ces gènes influencent le risque, ni dans quelle mesure.

Certains d’entre eux semblent liés au système immunitaire et nous savons qu’il existe des différences entre les hommes et les femmes, a dit un autre responsable de l’étude, Brian Kunkle.

Sept autres gènes semblent avoir un effet différent sur les risques chez les hommes et les femmes.

Les chercheurs bénéficient d’une subvention du National Institute on Aging pour mener une étude internationale auprès de 100 000 personnes afin de valider et d’élargir les résultats.

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En Virginie occidentale, des gens font des overdoses avec du spray contre les guêpes…


Je suis contente qu’au moins, je n’ai jamais pris de drogue. Quand on est accro à une drogue et qu’on ne peut avoir pour x raison, des personnes vont se tourner vers quelques choses d’autres qui n’est guère mieux pour remplacer les métamphétamines avec du l’insecticide pour les guêpes. Avec quelques manipulations, ils peuvent l’inhaler ou l’injecter.
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En Virginie occidentale, des gens font des overdoses avec du spray contre les guêpes…


guepe drogue spray

| Shutterstock

Stéphanie Schmidt

Plusieurs habitants d’un comté de Virginie occidentale (États-Unis) ont récemment subi une overdose suite à l’utilisation de spray contre les guêpes comme alternative à la méthamphétamine.

Selon le journal local WCHS, la police du comté de Boone a déclaré avoir constaté une augmentation notable du nombre d’habitants abusant de l’aérosol contre les guêpes pour provoquer des effets similaires à une prise de méthamphétamine.

Toujours selon le journal, cette pratique aurait joué un rôle important dans trois overdoses dans le comté la semaine dernière.

« Les gens se fabriquent un type synthétique de méthamphétamine, à partir de spray contre les guêpes », a déclaré le Sergent Charles Sutphin, de la police de l’État de Virginie occidentale.

Cette pratique est connue sous le nom de « wasping » (de l’anglais « wasp » qui signifie guêpe), et est devenue une tendance préoccupante ces dernières années. À savoir que les utilisateurs combinent le spray contre les guêpes avec de la méthamphétamine ou utilisent le spray uniquement, dans le but de remplacer la méthamphétamine. Selon NBC News, il est possible de cristalliser le spray liquide, ce qui permet ensuite aux gens d’inhaler la substance ou de se l’injecter.

À savoir que les insecticides de ce type contiennent des ingrédients actifs appelés pyréthroïdes, qui assomment et tuent les insectes. Cependant, chez l’être humain, ces produits chimiques peuvent interférer avec la signalisation nerveuse, ce qui peut entraîner des sensations anormales et, dans certains cas, des convulsions ou une paralysie.

Ces produits chimiques peuvent également entraîner une augmentation du rythme cardiaque, des difficultés respiratoires, des maux de tête, des nausées, des problèmes de coordination et des sensations de gonflement et de brûlure.

À l’heure actuelle, la police du comté de Bonne collabore avec les centres médicaux régionaux dans le but de déterminer le meilleur traitement pour ces personnes qui abusent de ce spray en tant que drogue.

Source : WCHS

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