La vie


Il y a parfois de bons et de mauvais moments, c’est la vie, personne n’y échappe. Quand on l’accepte, on entreprend alors une autre phase, celle de garder et de chérir les meilleurs moments.
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La vie



La vie est belle. La vie est dure. Ces deux affirmations sont vraies. Inutile de chercher à établir une moyenne. Mieux vaut admettre qu’il y aura des gifles et des caresses.


Christophe André

Le Saviez-Vous ►Léonard de Vinci souffrait-il d’un trouble de l’attention ?


Bien qu’il soit difficile de diagnostiqué un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité chez une personne qui a existé, il y a quelques siècles, il est possible d’émettre une hypothèse s’il y a assez de documentation comme Léonard de Vinci. Cela démontre que les gens qui souffrent de TDAH peuvent faire de grandes choses.
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Léonard de Vinci souffrait-il d’un trouble de l’attention ?


delcarmat/Shutterstock.com

L’œuvre de Léonard de Vinci est immense. Des centaines de travaux encore visibles aujourd’hui, mais aussi pas mal restés inachevés. Ce qui a poussé des chercheurs britanniques à s’interroger : et si le maître souffrait d’un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) ?

Peintre, sculpteur, inventeur… Léonard de Vinci possédait une extraordinaire créativité. Mais en s’appuyant sur des comptes rendus de l’époque, des scientifiques  du King’s College de Londres ont constaté qu’il procrastinait aussi de façon chronique.

Les chercheurs se sont donc interrogés sur cette alternance de travail compulsif et de remise au lendemain. Et si Léonard de Vinci souffrait d’un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité ?

« Il est impossible de poser un diagnostic post-mortem sur une personne qui vivait il y a 500 ans », lance le Pr Marco Catani, principal auteur de ce travail. « Mais je suis convaincu que le TDAH est l’hypothèse la plus convaincante et la plus plausible scientifiquement. »

Une difficulté à finir ses travaux

Le TDAH est un trouble du comportement caractérisé par une procrastination continue, une incapacité à effectuer des tâches, un esprit errant et une agitation du corps et de l’esprit.

« Les archives historiques montrent que Leonardo passait beaucoup de temps à planifier des projets mais manquait de persévérance », note le Pr Catani. « Les récits de biographes et de contemporains montrent qu’il était constamment en déplacement, sautant de tâche en tâche. Comme beaucoup de patients souffrant du TDAH, il dormait peu, travaillait nuit et jour de façon continue en alternant des siestes courtes et des périodes de veille prolongée. »

« Il existe une idée fausse largement répandue selon laquelle le TDAH est typique des enfants peu intelligents, destinés à une vie difficile », conclut le Pr Catani. « Au contraire, la plupart des adultes que je vois rapportent avoir été des enfants intelligents et intuitifs, mais avoir développé des symptômes d’anxiété et de dépression plus tard dans la vie parce qu’ils n’avaient pas réussi à atteindre leur potentiel. »

A noter : L’œuvre la plus emblématique de Léonard de Vinci reste sans doute La Joconde, qu’il retouchera jusqu’à la fin de sa vie sans jamais la livrer.

  • Source : Kings College London,
  • Ecrit par : Vincent Roche – Edité par : Emmanuel Ducreuzet

https://destinationsante.com/

Les autorités américaines veulent déverser 1,5 tonne de mort-aux-rats sur les îles Farallon


Les îles Farallon près de San Francisco aux États-Unis sont interdites au public pour protéger des colonies d’oiseau dont une espèce rare menacé de disparition. Sauf que dans ces îles, il y a aussi les souris qui sont présente à cause de l’homme. On parle ici d’environ 60 000 souris qui ont attiré une espèce de chouette qui les chasse, mais aussi l’océanite cendré. On veut envoyer un raticide. Bon, même si je ne suis pas une experte, je crains comme d’autres que cela va créer de graves conséquences.
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Les autorités américaines veulent déverser 1,5 tonne de mort-aux-rats sur les îles Farallon


Beaucoup plus de souris, c'est beaucoup moins d'océanites cendrés. | Alexas_Foto via Pixabay

Beaucoup plus de souris, c’est beaucoup moins d’océanites cendrés. | Alexas_Foto via Pixabay

Repéré par Robin Lemoine

Repéré sur The Los Angeles Tiles

La prolifération des souris sur l’archipel protégé met en danger une espèce rare d’oiseau de mer.

Au large de San Francisco se trouve un archipel où la faune et la flore prospèrent: les îles Farallon. Classé réserve naturelle en 1909 et interdit au public, l’endroit accueille l’une des plus grandes colonies d’oiseaux de mer au monde, des otaries et des phoques sauvages. On y trouve notamment le très rare océanite cendré.

Mais l’archipel abrite également près de 60.000 souris, une espèce envahissante introduite par l’être humain au XIXe siècle et qui fait des ravages dans l’écosystème du lieu protégé.

La prolifération des rongeurs a eu pour conséquence d’attirer une espèce de chouette, la chevêche des terriers. L’oiseau au plumage gris-brun piqueté de blanc mange certes les souris, mais il s’attaque aussi aux océanites, dont la population diminue dangereusement.

Selon le gouvernement fédéral des États-Unis et plusieurs biologistes, la seule solution serait de se débarrasser purement et simplement des nuisibles en larguant par hélicoptère 1,5 tonne de brodifacoum, une sorte de raticide anticoagulant provoquant une hémorragie interne chez les souris.

Danger de contamination

Si peu de monde conteste l’idée d’éradiquer les souris de l’archipel, les écologistes de la baie de San Francisco craignent que le poison, interdit dans l’Union européenne depuis 2007, ne tue d’autres espèces en s’infiltrant dans la chaîne alimentaire.

«C’est comme utiliser un fusil pour s’attaquer à une fourmi», a déclaré Richard Charter, de l’Ocean Foundation, au Los Angeles Times. Sur Change.org, une pétition s’opposant à la mesure a récolté 34.500 signatures.

De leur côté, le U.S. Fish and Wildlife Service (FWS), le service fédéral qui gère les îles Farallon, et certain·es spécialistes avancent que si des espèces non ciblées seront probablement tuées au cours du processus, les avantages à long terme l’emporteront de loin sur les dommages.

«Si nous ne pensions pas que cette option était particulièrement bénéfique, sûre et efficace pour les îles, nous ne la recommanderions pas», a affirmé Doug Cordell, porte-parole du FWS.

Les inquiétudes sont pourtant légitimes: le brodifacoum a déjà causé de nombreux dégâts. En Californie, des pumas ont récemment été retrouvés morts après avoir mangé de petites proies qui avaient ingéré la substance.

http://www.slate.fr/

Une agave sur le point d’éclore après 57 ans au Jardin Botanique de Cambridge


Dans un jardin botanique en Angleterre, un agave bleu ou connu aussi sous le nom de fleur de tequila ne fleurit qu’une fois dans sa vie. Sa floraison est pour permettre de semer sa graine. Les botanistes attendent depuis 57 ans, et si tout va bien, la fleur de tequila va fleurir dans 1 mois.
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Une agave sur le point d’éclore après 57 ans au Jardin Botanique de Cambridge

Une agave sur le point d'éclore après 57 ans au Jardin Botanique de CambridgeAgave heteracantha photographiée au jardin botanique de l’Université de Cambridge en 2010.© Magnus Manske / Wikimedia Commons

Par Juliette de Guyenro

Une fleur de tequila, plantée il y a 57 ans, est sur le point d’éclore au Jardin Botanique de l’Université de Cambridge. Il s’agit d’un phénomène particulièrement intéressant pour les botanistes puisque la floraison ne se produit qu’une fois au cours de la vie de cette espèce. A la fin de cette période, a fleur meurt après avoir semé une nouvelle graine.

Une agave bleue, ou fleur de tequila, pourrait éclore très prochainement au Jardin Botanique de l’Université de Cambridge, en Angleterre. C’est la première et unique fois que la plante fleurira. En effet, le phénomène ne se produit qu’une fois chez cette espèce végétale : la floraison terminée, l’agave sème une nouvelle graine et meurt.

Un demi siècle d’attente

La patience des chercheurs botanistes de Cambridge a payé. Après 57 ans d’attente, il se pourrait bien que l’agave du Jardin Botanique de l’Université éclose. Pour la première et unique fois de sa vie. Cette plante appartient, en effet, à la catégorie des espèces monocarpiques, qui ne fleurissent et ne fructifient qu’une seule fois avant de mourir.

Depuis le mois de juin 2019, une tige est apparue et continue de grandir, indiquant une floraison très prochaine. Mesurant plus de 3 mètres, la plante continue de pousser et les scientifiques pourraient être obligés d’ouvrir une partie du toit pour qu’elle puisse continuer de s’épanouir.

Un mystère qui se lève

Depuis qu’elle a été plantée en 1962, même si les scientifiques peuvent affirmer avec certitude que la plante fait partie de la famille des Asparagaceae, ils n’ont pas pu établir l’espèce exacte de la plante. En effet, celle-ci ne peut être déterminée qu’au moment de la floraison selon le spécimen qui éclot à cette période. Selon les botanistes, la plante du Jardin de Cambridge pourrait appartenir à l’espèce Agave heteracantha, mais ils attendent encore son éclosion pour confirmer leur hypothèse.

Le phénomène pourrait ne se produire que dans un mois. Encore un peu de patience donc avant que l’agave ne dévoile sa vraie nature.

https://www.geo.fr/

Des milliers de pois­sons meurent d’une over­dose de whisky après l’in­cen­die d’une distil­le­rie


Ce n’est pas la perte de l’alcool qui me peine, mais le tort à l’écosystème qui subit les conséquences de l’incendie qui a réduit en cendres une distillerie au Kentucky. Tout ces poissons morts est un drame. À chaque fois que l’être humain exploite quelque chose et qu’une catastrophe arrive, les conséquences sont pire pour l’environnement
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Des milliers de pois­sons meurent d’une over­dose de whisky après l’in­cen­die d’une distil­le­rie


Crédits : Kentu­cky Energy and Envi­ron­ment Cabi­net / Face­book

par  Suzanne Jovet

L’in­cen­die qui a ravagé la distil­le­rie Jim Beam le 2 juillet dernier a engen­dré des dommages irré­ver­sibles sur la faune locale. Les millions de litres de whisky déver­sés dans la rivière du Kentu­cky ont déjà tué des milliers de pois­sons, rapporte la BBC.

L’in­cen­die, dont les causes n’ont pas encore été déter­mi­nées, a réduit en cendres 45 000 tonneaux de Jim Beam, soit près de 9 millions de litres de bour­bon. L’al­cool s’est alors écoulé sur près de 28 km dans la rivière Kentu­cky, lais­sant des milliers de cadavres. Il menace désor­mais de conta­mi­ner la rivière Ohio où, heureu­se­ment, sa dilu­tion devrait en atté­nuer le danger, estiment les experts.

Crédits : Kentu­cky Energy and Envi­ron­ment Cabi­net / Face­book

Alors que le nombre de pois­sons morts ne fait qu’aug­men­ter, l’agence de protec­tion de l’en­vi­ron­ne­ment dirige actuel­le­ment une enquête pour déter­mi­ner l’im­pact de cette énorme fuite sur l’éco­sys­tème. En paral­lèle, les auto­ri­tés utilisent des barges pour aérer l’eau, dans le but d’aug­men­ter le niveau d’oxy­gène et de sauver les pois­sons en diffi­culté. Elles veillent aussi à éviter tout écou­le­ment d’al­cool supplé­men­taire vers les cours d’eau à proxi­mité.

https://www.ulyces.co

Cette Mexi­caine a inventé un plas­tique biodé­gra­dable et comes­tible fait en cactus


Et bien, si cela peut se faire avec du jus de cactus, peut-être d’autres plantes pourraient aussi être utilisé. Cela ne serait donc pas dommageable pour les animaux

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Cette Mexi­caine a inventé un plas­tique biodé­gra­dable et comes­tible fait en cactus


Crédits : BBC

par  illacNicolas Prou

Ay, carajo ! La BBC a rencon­tré au mois de juin une cher­cheuse incroyable. La chimiste mexi­caine Sandra Pascoe Ortiz a trouvé le moyen de créer un plas­tique durable à partir de jus de cactus

 Le maté­riau obtenu est véri­ta­ble­ment biodé­gra­dable (aban­donné dans la nature, il dispa­raît en un mois) et non-toxique. Animaux et humains peuvent donc l’in­gé­rer sans s’em­poi­son­ner.

Pour parve­nir à cet incroyable résul­tat, le Pr Ortiz à mis à contri­bu­tion ses élèves de l’uni­ver­sité de la vallée d’Ate­majac, près de Guada­lajara. Elle a débuté ses recherches en 2013 et espère abou­tir à une exploi­ta­tion commer­ciale de sa trou­vaille, pour réduire dras­tique­ment la pollu­tion plas­tique dont est respon­sable le Mexique, avant de l’ex­por­ter dans le reste du monde.

Pour obte­nir le substi­tut de plas­tique, la scien­ti­fique coupe les feuilles du cactus et les pèle, avant de produire du jus de cactus vert. Après un temps de repos au frais et l’ajout d’une substance chimique non-toxique, elle obtient une pâte de plas­tique qu’on peut utili­ser aussi bien pour créer des embal­lages que des maté­riaux plus épais et caou­tchou­teux. Utile et parfai­te­ment inof­fen­sif.

Source : BBC

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Les vêtements antimoustiques débarquent au Canada


Des pantalons sportifs, des chemises unies ou à carreaux, des vestes et des chapeaux sont vendus au Canada en guise d’insecticides. Ces vêtements protégeraient des insectes comme les fourmis, mouches, poux, puces, araignées, et tiques. Ce n’est pas pour faire de la pub, mais c’est vendu chez L’équipeur.
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Les vêtements antimoustiques débarquent au Canada


Les vêtements antimoustiques débarquent au

LIFEMOMENT VIA GETTY IMAGES

La technologie à base de perméthrine vient d’arriver chez nous.


S’enfoncer en nature pendant les vacances est super énergisant… jusqu’à ce que vous vous faites dévorer par les bébites. Pour faire du camping en paix, vous pourriez être tentés par la toute première ligne de vêtements anti-moustiques disponible au Québec.

Non, elle ne sent pas la citronnelle. Non, votre peau ne fondera pas au contact du tissu. Et non, vous n’aurez pas besoin de rajouter une couche de chasse-moustique, promet la marque WindRiver Outfitting Co.

Mais comment ça marche alors? Les vêtements No Fly Zoneélaborés en collaboration avec le fabricant de tissu technique Burlington sont infusés de perméthrine, un insecticide chimique qui affecte le système nerveux des insectes (fourmis, mouches, poux, puces, araignées, tiques) et les repoussent avant qu’une morsure ne surviennent. La protection serait efficace pendant plus de 70 lavages.

La collection vendue en exclusivité chez L’Équipeur comprend des pantalons sportifs, des chemises unies ou à carreaux, des vestes et des chapeaux. Le design reste très sobre, de la coupe jusqu’aux couleurs, et a visiblement été conçu pour les amateurs de plein air. Gris pâle et beige dominent pour bien voir les insectes qui pourraient s’agglutiner aux vêtements.

Les pièces No Fly Zone se détaillent entre 19,99$ pour un bandana et 139,99$ pour la veste chasse-moustiques pour femmes.

Si les vêtements traités au perméthrine sont offerts depuis déjà quelques années dans le reste du monde, le Canada n’a autorisé la vente que récemment, notamment pour aider à repousser les tiques qui transmettent la maladie de Lyme.

https://quebec.huffingtonpost.ca/