Beaucoup on peur de la solitude, pourtant elle peut être saine
Nuage
Seul
Je pense qu’il est très sain de se retrouver seul. Tu dois apprendre à être bien avec toi-même et à ne pas te définir par quelqu’un d’autre.
Oscar Wilde
Beaucoup on peur de la solitude, pourtant elle peut être saine
Nuage
Seul
Je pense qu’il est très sain de se retrouver seul. Tu dois apprendre à être bien avec toi-même et à ne pas te définir par quelqu’un d’autre.
Oscar Wilde
Au Zambie, un éléphant est exposé pour les touristes. Il semble amical pourtant, il semble ne pas aimer les appareils photo. Probablement, que si nous étions à sa place, nous n’aimerions pas non plus.
Nuage
La zone 51 est une base militaire des États-Unis qui a fait les choux gras des films à science-fictions. Personnes ne savent vraiment ce qui se passe dans cette zone ultra secrète, sauf que c’est un endroit qui sert d’expérience militaire. Mais comme tout bons secrets, les théories du complots y va bon train avec les extraterrestres. Un jour ou l’autre des gens voudront avoir le coeur net, espérons que cela n’ira pas juste à l’affrontement,
Nuage
par Olivier
La Zone 51 est l’objet de tous les fantasmes et toutes les théories les plus rocambolesques. Cela est aussi lié au fait que de nombreuses séries américaines de science fiction ont utilisé cette Zone 51 secrète pour faire croire qu’il y aurait différents objets extraterrestres détenus et cachés par le gouvernement américain.
Cette Zone 51 (Area 51) est une aire géographique située dans le désert du Nevada aux États-Unis. C’est là que se trouve une base militaire secrète qui expérimente du matériel militaire. C’est seulement depuis 2013 qu’on a déclassifié des documents secrets… Preuve s’il en était de l’omerta sur ce sujet.
Lieu d’atterrissage alien ?
Le milieu ufologique (les personnes qui parlent et travaillent autour des OVNIS) est fortement influencé par les théories conspirationnistes et reprend la Zone 51 en expliquant que cela serait comme une zone où un complot serait mis en place.
La Zone 51 est un rectangle d’approximativement 155 km² en plein dans le désert du Nevada. Les cartes ne l’indiquent pas, Google Map met une tête d’extraterrestre lors du passage de la souris sur ladite zone. Cette zone est véritablement sujette à tous les questionnements, car il s’y passe des phénomènes inexpliqués.
Crédits : MartinStr/Pixabay
Cette base militaire fut mise en place au départ par le président Truman pour expérimenter des appareils militaires de haute performance. L’US Air Force a toujours nié l’existence de cette zone. On ne sait pas s’il s’agit d’un simple laboratoire scientifique ou d’une station spatiale en contact avec une civilisation extraterrestre.
Il s’agit là d’un emplacement placé sous très haute protection : la base est interdite dans un périmètre de 40 km autour : barrières, panneaux « Warning », caméras, détecteurs de présence. Les capteurs sont placés de façon à ce que toute intrusion entraîne la sortie de troupes au sol et d’appareils volants pour trouver la personne.
Le mystère persiste
Tous les passionnés d’ufologie (un peu illuminés, il faut l’avouer) connaissent le pic Tikaboo. Il s’agit d’un emplacement situé en hauteur (2300 m) d’où on peut voir la base. C’est un lieu accessible au public et les curieux tentent de percer l’énigme de ce lieu atypique. Beaucoup tentent d’apercevoir des preuves de l’existence d’une vie extraterrestre, telles que des soucoupes volantes. On parle également de phénomènes paranormaux inexpliqués.
Si une telle protection existe et qu’une telle sûreté s’impose, c’est qu’il doit y avoir des choses à cacher. Mais nul ne sait de quoi il s’agit. Jusqu’en 1970, c’est la CIA (les services secrets américains) qui s’occupait de cette Zone 51. De plus les employés de cette Zone 51 secrète doivent signer une charte de confidentialité absolue.
Il faut cependant rester calme, prendre du recul et ne pas tomber dans le complotisme. Mais à voir ce qui figure sur Internet, il y a un nombre très élevé de théories, de suppositions, de fantasmes sur cette Zone 51. Il y a eu des études expliquant que les théories du complot depuis la création de la série américaine X-FILES (Aux frontières du réel), servaient à critiquer l’État et ses institutions dans le but de plus libéraliser encore
.
Peut-être que dans les années qui viennent, nous découvrirons les mystères de cet endroit intriguant…
Sources : Wikipédia, Paranormal-info, Enigmeshistoire
L’intelligence artificielle pourrait faire économiser beaucoup, tout en étant plus rapide pour trouver le bon vaccin anti-grippal et serait plus efficace, c’est du moins ce qu’espèrent les chercheurs.
Nuage
Céline Deluzarche
Journaliste
Une équipe australienne a conçu un vaccin contre la grippe doté d’un adjuvant découvert par un algorithme. L’intelligence artificielle pourrait à l’avenir se généraliser pour accélérer et rationaliser le développement de nouveaux médicaments.
Le premier vaccin mis au point grâce à l’intelligence artificielle va entrer en phase d’essai clinique aux États-Unis. Ce vaccin contre la grippe saisonnière comporte un adjuvant spécial stimulant le système immunitaire afin d’améliorer son efficacité. Un premier programme baptisé « SAM » a d’abord été conçu pour analyser quels vaccins anti-grippaux ont été les plus efficaces ces dernières années. Un deuxième algorithme a ensuite créé des milliards de composés imaginaires dont SAM a tiré une dizaine de candidats présentant le meilleur potentiel.
Un adjuvant censé doper l’efficacité du vaccin contre la grippe
« Au lieu de travailler avec des millions de composés, nous avons synthétisé uniquement les meilleurs pour les tester, indique Nikolai Petrovsky, professeur de médecine à l’université Flinders (Australie) qui a dirigé les recherches. L’adjuvant que nous avons identifié cible un récepteur particulier qui stimule le système immunitaire lorsqu’il est en contact avec le virus de la grippe. La réponse immunitaire est ainsi renforcée par rapport au vaccin classique ».
L’efficacité de ce vaccin devrait ainsi atteindre 80 % à 90 %, contre 20 % à 50 % en moyenne pour les vaccins anti-grippaux habituels. En 2017, elle n’avait même pas dépassé les 10 % en raison d’une mutation du virus.
Les algorithmes passent au crible des milliards de molécules potentielles, générant des économies d’argent et de temps considérables pour la mise au point des médicaments. © Sashkin, Fotolia
Réduire drastiquement les coûts de développement des médicaments
L’intelligence artificielle apporte de nouvelles perspectives inespérées pour la découverte de nouveaux médicaments, alors que les laboratoires font face à des coûts de plus en plus exorbitants en recherche et développement. Sur 10.000 molécules ciblées lors de la phase préclinique, seule une parvient au final à une mise sur le marché. Le coût de développement d’un médicament a ainsi explosé ces dernières années pour atteindre 1,5 milliard de dollars. En isolant en amont les molécules répondant à différents critères physico-chimiques, l’IA pourrait réduire drastiquement toute la phase préclinique.
« Il nous a fallu moins de deux ans pour développer ce nouveau vaccin, contre cinq ans minimum pour le vaccin normal », témoigne Nikolai Petrovsky.
S’il passe le cap final des essais cliniques humains, ce qui devrait prendre 12 mois, il devrait être disponible à la commercialisation d’ici trois ans.
C’est des enterrements très particuliers qu’on droit certains Vikings. Ceux qui faisait parti de l’élite étaient enterrés avec bateau, cheval, parfois un chien et leurs armes.
Nuage
par Malaurie Chokoualé Datou
Cela ne devait être qu’une fouille assez banale, mais les archéologues ont fait une découverte rare au presbytère du village de Gamla Uppsala, en Suède
Dans un communiqué partagé le 5 juillet par le premier consultant suédois en matière d’archéologie et d’environnements culturels, Arkeologerna, iels ont annoncé avoir déterré deux bateaux-tombes vikings. L’un d’entre était particulièrement bien conservé et contenait le squelette d’un homme enterré dans le bateau avec son cheval, son chien et ses armes.
L’inhumation à bord d’un navire est une pratique funéraire particulière qui remonte à l’âge du fer. On retrouvait généralement ce type de tombes maritimes durant l’âge de Vendel (l’époque suédoise qui s’étend de l’an 550 à l’an 800) et l’âge des Vikings (de 800 à 1050 environ). Elles étaient réservées à l’élite de la société de l’époque, quand la plupart des gens étaient incinérés.
« Seul un petit groupe de personnes a été enterré de cette manière. Cela laisse penser qu’il s’agissait des personnalités de marque de la société de l’époque », explique l’archéologue Anton Seiler.
Dans le bateau retrouvé intact, les chercheurs ont également retrouvé un cheval, un chien, une épée, un peigne, un bout de bouclier ainsi qu’une lance.
« C’est extrêmement excitant pour nous car les enterrements de bateaux sont très rarement excavés », a ajouté Seiler, affirmant que le dernier navire-sépulture a été découvert il y a 50 ans en Suède.
« Nous pouvons maintenant utiliser la science moderne et des méthodes qui généreront de nouveaux résultats, hypothèses et réponses. »
Leurs découvertes vont à présent être transférées dans différents établissements pour une étude plus approfondies et certaines seront exposées au Gamla Uppsala Museum et au musée d’histoire suédoise de Stockholm.
Source : Arkeologerna
Un oiseau en difficulté a été aidé par un hôpital pour animaux sauvages à Londres. Il était enduit de curcuma ou curry. Je me demande bien comment il a fait son compte.
Nuage
Crédits : Tiggywinkles Wildlife Hospital
par Nicolas Prouillac
Le 1er juillet dernier, les vétérinaires de l’hôpital pour animaux sauvages anglais Tiggywinkles Wildlife Hospital ont raconté sur leur page Facebook s’être occupés d’un patient très bizarre
Un couple les avait appelés pour les prévenir de l’arrivée d’un oiseau jaune orangé qu’ils avaient secouru sur le bord de l’A41, qui relie Londres à Manchester.
Les médecins s’attendaient donc à soigner un oiseau tropical, mais pas du tout : c’était un goéland couvert de curry
« Il avait trouvé le moyen de se couvrir de curry ou de curcuma ! Il en avait partout sur les plumes et ça l’empêchait de voler correctement », lit-on sur le post. « Nous n’avons aucune idée de la façon dont c’est arrivé, mais à part cette couleur vive et l’odeur puissante, le goéland allait bien. »
Les vétérinaires lui ont donné un bain pour ôter l’épice qui lui collait aux plumes, et ils l’ont baptisé Vinny en référence aux vindaloos, ces plats indiens à base de curry. Il a encore le teint légèrement hâlé mais il va beaucoup mieux.
ource : Tiggywinkles Wildlife Hospital
C’est une des raisons que je ne partage pas sur les réseaux sociaux surtout sur Facebook des gens qui disent avoir le cancer et souvent accompagnés de divers problèmes. Ils reçoivent des encouragements et des dons. Le problème est que souvent, c’est des gens qui recherchent l’appât du gain ou qu’ils souffrent du syndrome de Munchhausen via Internet. Faut dire qu’il y tellement d’information sur le cancer, qu’il est facile de s’inventer une maladie.
Nuage
PHOTOMONTAGE LA PRESSE
VIOLAINE BALLIVY
La Presse
Certaines histoires sont trop belles pour être vraies. D’autres, trop tristes pour ne pas avoir été inventées de toutes pièces. Il ne faut pas toujours se fier aux apparences… surtout sur l’internet.
Jennifer Halford n’avait pas 35 ans quand elle a découvert qu’elle souffrait d’une forme particulièrement agressive de cancer du sein. Quelques mois plus tôt, elle avait perdu sa fille cadette de 4 ans, emportée par la maladie. Quelques mois plus tard, elle perdrait sa maison, rasée par les incendies historiques de Fort McMurray.
Destin tragique auquel il est difficile de rester insensible : sa communauté l’a soutenue, on lui a offert de l’argent, des jouets pour ses autres enfants, des vêtements. Puis un jour, tout s’est arrêté. D’un coup. La sympathie s’est transformée en colère. Jennifer Halford n’a jamais eu le cancer. Les nausées causées par la chimio, la perte de ses cheveux, elle avait tout inventé.
À sa première comparution en cour, Jennifer Halford a plaidé coupable à six chefs d’accusation. Le juge s’est montré clément : il a opté pour 2 ans de sursis et 100 heures de travaux communautaires
« Elle n’a pas agi pour l’appât du gain, mais pour compenser un manque d’attention, de soins psychologiques et physiques, de soutien émotionnel », avait plaidé son avocat.
En d’autres termes : elle ne souffrait pas d’un cancer, mais probablement du syndrome de « Munchhausen par internet ».
L’expression revient au professeur Marc Feldman, qui a été l’un des premiers à étudier comment le syndrome de Munchausen – un désordre psychologique en vertu duquel le patient simule une maladie ou un traumatisme, aussi appelé « trouble factice » – se transpose dans l’internet. Et surtout, s’y développe à la vitesse grand V.
« On voit beaucoup plus de cas depuis le développement de l’internet », remarque Marc Feldman.
Chercher et trouver de l’information médicale (plus ou moins crédible) sur le web est un jeu d’enfant, tant les sites à prétention scientifique sont nombreux.
« Avant, les gens devaient passer des heures dans les bibliothèques pour s’informer des signes et symptômes des maladies, parler à des médecins, etc., pour berner quelques personnes de leur entourage. Maintenant, avec les forums et les réseaux sociaux, ils peuvent toucher rapidement 10 000 personnes avec leur histoire », explique l’expert, auteur du livre Dying to Be Ill (« Mourir d’envie d’être malade »).
Le cancer est la maladie la plus souvent retenue parce qu’elle est assez commune, bien documentée, s’étire souvent sur plusieurs années et attire immédiatement la sympathie – qui imaginerait qu’une personne a menti sur son diagnostic ?
« Des gens vont raser leurs cheveux et leurs sourcils pour imiter les effets de la chimio, suivre des régimes draconiens et perdre beaucoup de poids. Ils réussissent à berner leur famille, parfois même leur conjoint », dit Marc Feldman, aussi psychiatre.
Et même leur médecin, quand le malade va jusqu’à s’infliger des blessures ou s’administrer des substances toxiques.
L’appât du gain
Les malades recherchent essentiellement de l’attention, de la compassion. Un besoin essentiel de l’être humain, rappelle Samuel Vassière, professeur de psychiatrie à l’Université McGill, spécialiste des troubles factices.
« L’évolution a sélectionné deux traits indispensables à la survie de l’espèce : savoir être attentif au besoin des autres et bien s’occuper d’eux, et savoir solliciter l’attention et les soins des autres. » La maladie inventée comble ce dernier besoin.
« En faisant semblant d’être vulnérable, on reçoit de l’attention, des soins, de l’amour. La ligne entre la tromperie et l’autotromperie est floue. » – Samuel Vassière, professeur de psychiatrie à l’Université McGill
Pour certains, la maladie permet de donner un « sens à sa vie », dit Samuel Vassière. « En s’autodiagnostiquant sur l’internet, les malades – imaginaires ou non – retrouvent un cadre prévisible d’expériences, une communauté de souffrants qui valident leurs sentiments et les rassurent, poursuit le professeur. Ils trouvent ainsi une identité. »
Ceci explique cela : la plupart des malades inventent ainsi leur maladie sans jamais solliciter de dons du public, satisfaits de l’attention des autres (ils en recevront souvent malgré tout, de témoins touchés par leur drame). Mais d’autres le font dans ce seul but. Marc Feldman explique que ces gens font plutôt preuve d’un comportement malicieux, répréhensible. Les juges sont alors généralement plus sévères, remarque-t-il.
La blogueuse australienne Belle Gibson a ainsi été condamnée, en 2018, à une amende de 450 000 $ CAN pour avoir faussement prétendu avoir guéri son cancer du cerveau grâce à un régime particulier expliqué dans un livre de recettes et une application de son cru.
Les sites tels GoFundMe ont été accusés de faciliter ce genre d’escroquerie en permettant trop facilement à tout un chacun de quémander des dons. Une Américaine a lancé le site GoFraudMe (« Allez, fraudez-moi », plutôt que « Allez, financez-moi »), frustrée d’avoir été flouée par une sollicitation frauduleuse, accusant GoFundMe de ne pas vérifier le dossier médical des solliciteurs. GoFundMe réplique qu’elle interdit à ses participants de mentir ou de tromper les internautes.
« Dans les rares cas où les autorités ou un usager découvriront qu’une campagne est utilisée à mauvais escient, les donateurs seront remboursés. » – Caitlin Stanley, porte-parole de GoFundMe
À la Société canadienne du cancer, on recommande néanmoins de faire des recherches avant de sortir son portefeuille
« Généralement, les sollicitations sont faites de bonne foi et les fraudes sont assez rares quand la collectivité est derrière, que des gens connaissent le malade, le voient, note André Beaulieu, porte-parole de l’organisme. Mais il faut faire attention. Des fois, même la famille est leurrée. »
La Société n’a toutefois pas remarqué d’impact sur les dons reçus après la condamnation de faux malades.
Marc Feldman se décrit comme un « optimiste » en affirmant que le syndrome de Munchausen peut être guéri, « à condition que la personne accepte de reconnaître qu’elle a menti, ce qui n’est vraiment pas facile, puis de suivre une thérapie ». « C’est un gros défi pour les médecins », opine Samuel Vassière.
D’abord pour reconnaître la maladie, puis pour la traiter. Ironiquement, le trouble réel dont souffrent les personnes atteintes du syndrome de Munchausen serait donc encore plus difficile à soigner que la maladie qu’elles avaient inventée.
Trois cas de cancers inventés
Dan Mallory
L’auteur du roman à succès La femme à la fenêtre (The Woman in the Window, publié sous pseudonyme), Dan Mallory, a admis, en février dernier, qu’il n’avait jamais souffert d’un cancer du cerveau, comme il l’avait pourtant affirmé. Dan Mallory avait également faussement prétendu que l’un de ses frères et sa mère avaient succombé à un cancer, alors que sa mère est en rémission depuis plusieurs années et que son frère n’en a jamais été atteint. L’auteur a reconnu ses mensonges après une enquête du New Yorker. Il a alors attribué ses dérives au trouble bipolaire dont il souffre (réellement).
Candace Ann Streng
Cette Américaine a été condamnée à 28 mois de prison pour avoir faussement prétendu souffrir d’un cancer du sein avancé et recueilli quelque 40 000 $ CAN en dons pour financer le recours à des traitements expérimentaux. Selon Marc Feldman, les femmes sont plus nombreuses que les hommes à souffrir de troubles factices.
Belle Gibson
La blogueuse australienne Belle Gibson s’est enrichie en commercialisant une application et un livre de recettes qui auraient guéri le cancer du cerveau… dont elle n’a jamais souffert. Elle a été reconnue coupable de fraude en 2017 et condamnée à rembourser l’équivalent de 450 000 $ CAN perçus illégalement. Ce qu’elle n’a toujours pas fait : lors d’une comparution en cour en juin dernier, elle a déclaré ne pas avoir les moyens de rembourser cette somme. Selon des documents déposés par les procureurs, elle aurait pourtant dépensé près de 120 000 $ CAN lors de divers voyages depuis deux ans, a rapporté The Guardian.
Même si cela permet de gagner sa vie, je ne voudrais pas de ce genre de travail pour se faire passer pour un autre en restant assis.
Nuage
par Suzanne Jovet
Plutôt que de se prendre la tête à faire un régime, ce Chinois a décidé de profiter de sa ressemblance aux représentations du Bouddha rieur, une figure majeure de la tradition bouddhiste.
Il représente générosité, fortune, santé, bonheur et amour. Et pour cet artiste dont on ignore le nom, il représente surtout un gagne-pain valable.
Lors de ses imitations de Budai, l’autre nom du Bouddha rieur, l’homme se contente de s’asseoir en tailleur en riant aux éclats. Les croyants qui assistent à la scène le couvrent alors de billets, d’après la presse chinoise, en offrande à la divinité avec laquelle il partage indubitablement des traits.
Source : YouTube/EastAsian Comedy