Bien des gens veulent le pouvoir, mais à quel prix ? On voit parmi ceux qui ont un pouvoir, des mensonges, des arnaques et des crimes en tout genre.
Nuage
Le pouvoir
Plus grand est le pouvoir, plus dangereux est l’abus.
– Edmund Berku
Bien des gens veulent le pouvoir, mais à quel prix ? On voit parmi ceux qui ont un pouvoir, des mensonges, des arnaques et des crimes en tout genre.
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Le pouvoir
Plus grand est le pouvoir, plus dangereux est l’abus.
– Edmund Berku
Ruger est un Terre-Neuve de quatre ans. Dernièrement, sa maîtresse, a amené à une nouvelle toiletteuse, Parkville aux États-Unis, car la sienne était absente. Laissant le chien au main de la toiletteuse, sa maitresse part et revient quelques heures plus tard. Le choc ! Ce n’était pas ce qu’elle voulait, son chien avait la coupe pantalon et c’est affreux. La maîtresse, le prend bien, malgré qu’elle avait précisé que son chien ne soit pas rasé. Elle voulait simplement mettre son chien tout beau après une baignade dans la boue. Moi, je n’aurais pas été très contente, je n’aurais pas payé du tout.
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Je crois que c’est une de ces expressions qui va sûrement disparaître avec les nouvelles générations. Pour ceux qui connait cette expression elle a une origine biblique, comme bien des expressions d’ailleurs. Elle est liée à l’âge très honorable d’un personnage de la Genèse.
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Nous connaissons tous l’expression « vieux comme Mathusalem ». Elle renvoie à l’ancienneté lointaine d’une chose, et à son caractère vieillot. Cependant, qu’est-ce qui a bien pu amener à utiliser cette expression si employée dans la langue française ? Beaucoup utilisent cette expression, mais ne savent pas d’où elle vient.
Découvrez donc cela ici !
Si vous n’avez pas encore lu la Bible, il va falloir vous y pencher, afin de comprendre dans les détails cette expression. En réalité, dans les temps bibliques, l’âge d’un homme était mesuré en centaine d’années. Et oui ! Depuis le Dieu a donné vie à l’Homme, il lui a insufflé son souffle. Ainsi, il n’était pas étonnant qu’un homme puisse vivre près d’un millénaire, avant de devoir s’éteindre à jamais.
Mathusalem, dans le livre de la Genèse, était le grand père de Noé. Contrairement à nous, dont on estime la jeunesse entre 20 et 35 ans, Mathusalem eu son premier né lors de sa jeunesse, mais c’était lorsqu’il avait 187 ans. Après la naissance de son premier né, il vécut encore pendant 782 ans avant de passer de vie à trépas. Au total, il vécut 979 ans sur terre. Vous voyez donc comment il est vieux !
Woww une eau qui vient du passé, de l’âge glacière, une eau vieille d’environs 20 000 ans. À cette époque, l’eau était plus froide et plus salée qu’aujourd’hui. Elle a réussi à s’engouffrer dans les profondeurs pour être découverte aujourd’hui.
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Nathalie Mayer
Journaliste
Il y a 20.000 ans, le visage de notre planète était différent. En plein âge de glace, les glaciers mesuraient des centaines de mètres d’épaisseur. Les océans étaient plus petits et les terres plus étendues. L’eau, quant à elle, était plus salée et plus froide. Des chercheurs annoncent aujourd’hui avoir découvert, justement, de l’eau datant de cette époque.
Les Maldives. C’est, quelque part dans l’océan Indien, ce qu’il reste d’anciennes îles volcaniques. Et c’est là qu’une équipe de chercheurs de l’université de Chicago vient de faire une découverte étonnante. Un échantillon d’eau datant du dernier âge de glace qu’a connu notre Terre, il y a environ 20.000 ans.
L’objectif de leur mission : déterminer comment se forment les sédiments dans cette région influencée par le cycle annuel de la mousson asiatique. C‘est dans cette perspective qu’avec un navire équipé d’une foreuse capable d’extraire des carottes de roche de plus d’un kilomètre et demi de long jusqu’à près de cinq kilomètres sous le fond marin, ils ont ramené des échantillons.
Les chercheurs de l’université de Chicago portant une carotte de roche dans laquelle ils trouveront une réserve d’eau datant du dernier âge de glace. © Carlos Alvarez-Zarikian, université de Chicago
Pour mieux comprendre le climat du futur
Mais, lorsqu’ils ont analysé l’eau contenue dans ces carottes, surprise : elle était bien plus salée que l’eau de mer classique. Et des tests plus poussés en laboratoire, portant sur les constituants chimiques et les isotopes contenus dans l’eau, ont montré que cette eau provenait d’une époque lointaine. Depuis le dernier âge de glace, elle a migré à travers la roche pour être découverte aujourd’hui seulement.
Cette eau, vieille d’environ 20.000 ans, devrait permettre aux chercheurs d’en apprendre un peu plus sur la situation de la Terre à l’époque du dernier âge glaciaire. Reconstruire la circulation océanique, le climat et les conditions météorologiques qui existaient alors pourrait éclairer sur la façon dont le climat de notre planète évoluera dans le futur.
Trouver des animaux fossilisé est normal, mais un banc de poissons est plutôt rare. Ces poissons nageaient, il y a 50 millions d’années. Il n’y a rien de surprenant que cette espèce de poissons soient éteinte après toutes ces années.
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Ce banc de 257 petits poissons mesurant entre 1 à 2 cm nageait dans des lacs de l’ouest des États-Unis il y a 50 millions d’années. © Nobuaki Mizumoto et al., Proceedings of the Royal Society B., 2019
Floriane Boyer
Rédactrice
Pour une raison encore inconnue, pas moins de 257 minuscules poissons se sont retrouvés figés dans la roche il y a 50 millions d’années (Ma) alors qu’ils nageaient vraisemblablement tous ensemble
Tel un arrêt sur image, ce fossile exceptionnel semble avoir immortalisé le déplacement en banc de ces poissons de 10 à 23 mm de long, de l’espèce éteinte Erismatopterus levatus, attestant que ce comportement d’agrégation serait apparu depuis au moins l’Éocène (-56 à -34 Ma).
Le groupe se plie en effet à des règles sociales révélatrices – répulsion entre proches voisins pour éviter les collisions, attraction entre membres éloignés pour assurer la cohésion -, auxquelles s’ajoutent une forme oblong caractéristique et le fait que l’écrasante majorité des poissons soit orientée dans le même sens, d’après une étude.
Ce banc de poissons fossilisés offre de précieuses informations sur la dynamique des populations de poissons il y a 50 millions d’années. Crédits : Mizumoto et al. 2019
Une hypothèse suggère que ce banc de poissons ait été enseveli par l’effondrement soudain d’une dune de sable en eaux peu profondes. Elle est impossible à vérifier parce qu’on ne dispose pas des couches sédimentaires qui enfermaient le fossile au départ. Exhumé de la formation de la Green River enjambant les États américains du Colorado, du Wyoming et de l’Utah, il a été conservé dans un musée au Japon, où les chercheurs l’ont redécouvert en 2016.
https://www.futura-sciences.com/
Un menteur fini toujours par échapper des brins de vérités même s’il se rétracte après coup. Si, en temps que président des États-Unis, il est impossible de destitué Donald Trump, peut-on au moins espérer qu’aux prochaines élections présidentielles, les Américains décideront que cette saga doit prendre fin autant pour eux que pour les relations internationales.
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Photo: Andrew Harnik/APDonald Trump
Le président américain Donald Trump a affirmé jeudi, pour la première fois, que la Russie l’avait aidé à être élu à la Maison-Blanche en novembre 2016, avant de faire rapidement machine arrière.
«Russie, Russie, Russie! C’est tout ce qu’on entendait au début de cette chasse aux sorcières. Et aujourd’hui, la Russie a disparu parce que je n’avais rien à voir avec le fait que la Russie m’ait aidé à être élu», a tweeté le président américain.
Moins d’une heure plus tard, depuis les jardins de la Maison-Blanche, il corrigeait le tir. «Non, la Russie ne m’a pas fait élire», lançait-il, avant de s’envoler pour le Colorado.
«Vous savez qui m’a fait élire? Je me suis fait élire», ajoutait le 45e président des États-Unis, qui avait suscité un tollé au sein de son propre camp lorsqu’il avait, lors d’une conférence de presse à Helsinki avec Vladimir Poutine, semblé accorder plus de valeur aux propos de son homologue russe qu’aux conclusions des agences de renseignement américaines sur ce sujet explosif.
Ces propos contradictoires interviennent au lendemain de la première déclaration publique du procureur spécial Robert Mueller qui a mené à bien l’enquête russe.
Dans un discours d’une dizaine de minutes, l’ancien patron de la police fédérale (FBI) a redit qu’il n’avait pas rassemblé «de preuves» d’une entente entre Moscou et l’équipe de campagne du candidat Trump.
Mais il a aussi pris soin de souligner qu’il ne pouvait pas exonérer le président des soupçons d’entrave à la justice.
«Si nous avions eu la conviction que le président n’avait clairement pas commis de délit, nous l’aurions dit», a-t-il lancé.
Le procureur spécial, un homme austère qui a mené ses investigations à l’écart des regards, a souhaité que son intervention publique mette un point final à son travail. Alors que les parlementaires démocrates ont évoqué l’idée de l’auditionner, il a «espéré» ne pas avoir à le faire.
«Je ne fournirai pas plus d’informations que ce qui est public si je devais témoigner au Congrès», a-t-il déclaré, renvoyant vers son rapport d’enquête, qui «parle de lui-même».
Pour Donald Trump, l’affaire est close.
«Pour moi, c’est identique au rapport (…) C’est ce que nous disons: il n’y a pas d’obstruction, pas de collusion, il n’y a rien, rien si ce n’est une chasse aux sorcières», a-t-il martelé.
Interrogé sur le professionnalisme de M. Mueller, il a directement mis en doute son intégrité:
«C’est quelqu’un qui n’aime pas Donald Trump».
Si l’allocution de M. Mueller n’a pas apporté d’éléments véritablement nouveaux, elle a relancé les appels à entamer une procédure de destitution à l’encontre du président, un sujet qui divise profondément les démocrates.
Ces derniers disposent de la majorité à la Chambre des représentants et sont donc en mesure de lancer cette procédure d’«impeachment». Mais compte-tenu de la majorité républicaine au Sénat, elle est quasiment sûre d’échouer.
Plusieurs candidats à la primaire, dont les sénatrices Kamala Harris et Elizabeth Warren, se sont dits favorables à une initiative en ce sens.
«S’il s’agissait de toute autre personne que le président des États-Unis, il serait menotté et inculpé», a déclaré cette dernière sur ABC.
Nombre de ténors démocrates sont cependant réticents à s’engager dans cette voie, craignant que cette bataille ne rende inaudible leur message de campagne et exaspère des électeurs, lassés des guerres politiques à Washington.
«Rien n’est exclu et personne n’est au-dessus des lois», a affirmé mercredi la chef de la Chambre, Nancy Pelosi. Mais avant de se lancer, «on veut être sûr d’avoir un dossier en béton».
Donald Trump redoute-t-il le lancement d’une procédure de destitution?
«Je ne vois pas comment ils pourraient faire cela», a-t-il répondu jeudi avant de monter dans l’hélicoptère présidentiel Marine One, qui l’attendait sur les pelouses de la Maison-Blanche.
«Toute cette affaire n’est qu’un gigantesque harcèlement présidentiel».
Il y a des cancers qui sont peut-être génétiques, d’autres par l’environnement, mais il y a aussi ceux causé par une mauvaise alimentation. Manger trop de viande rouge, les aliments transformés, ainsi que les boissons sucrées seraient des causes de cancer qui pourraient pourtant être évités
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par Brice Louvet, rédacteur scientifique
Une étude récente suggère que plus de 80 000 cas de cancers diagnostiqués chaque année aux États-Unis pourraient être liés à une mauvaise alimentation. La consommation excessive de viande transformée et le manque de céréales complètes sont pointés du doigt.
S’appuyant sur un nouveau modèle mathématique, des chercheurs de l’université Tufts ont récemment estimé qu’en 2015, aux États-Unis, 80 110 nouveaux cas de cancers auraient été favorisés par un mauvais régime alimentaire. Cela représente environ 5% du nombre total de cas de cancer diagnostiqués cette année-là. D’après les chercheurs, c’est à peu de choses près équivalent au pourcentage de cas de cancers liés à la consommation d’alcool (4 à 6% des cas de cancers annuels). Ils détaillent leurs travaux dans la revue JNCI Cancer Spectrum.
Trop de viandes, pas assez de céréales complètes
Parmi les aliments sous-consommés par les Américains figurent notamment les céréales complètes, les fruits ou les légumes. En contrepartie, de nombreuses personnes se tournent vers les aliments connus pour favoriser la croissance de certains cancers. Cela inclut notamment les viandes rouges, ou transformées et les boissons sucrées.
Pour cette étude, les chercheurs ont examiné les données de plusieurs enquêtes nationales sur le régime alimentaire américain. Grâce à un modèle informatique, ils ont ensuite pu établir un lien avec les cas de cancers déclarés en 2015. Parmi les maladies déclarées influencées par le régime alimentaire, on retrouve en premier lieu le cancer colorectal (38% du total). Sont également représentés les cancers de la bouche, du pharynx et du larynx, de l’utérus et du sein post-ménopausique. La tranche d’âge la plus touchée était celle des 45 – 64 ans.
“Nos résultats soulignent la possibilité de réduire le fardeau du cancer et les disparités aux États-Unis en améliorant la consommation de nourriture“, explique Fang Fang Zhang, principal auteur de l’étude.
Les chercheurs appellent les autorités sanitaires à mieux informer les consommateurs, par le biais d’étiquettes, sur les bienfaits des céréales complètes et les dangers des viandes transformées.
Tourner le dos à la malbouffe
Rappelons qu’il y a quelques jours, une étude nous révélait que les aliments ultra-transformés nous poussent à manger davantage. Cela nous fait donc prendre plus de poids que la consommation d’aliments non transformés. Le fait de prendre conscience de ces mécanismes biologiques pourrait alors aider certaines personnes à se tourner malgré la tentation vers des alternatives plus saines.
On le rappelle, outre le fait de ne pas fumer et de faire un peu d’exercice, la clé d’une bonne santé est de tourner le dos aux aliments transformés riches en sucre, en sel et en gras. Contre les cancers, favorisez donc une alimentation riche en céréales complètes, fruits, légumes et haricots.
J’en reçois beaucoup de courriel bidons, je ne sais pas trop pourquoi j’ai beau les bloqués, ils reviennent en changeant quelque peu leur adresse courriel. J’ai eu la Caisse Populaire, des banques européennes, FedEx, des fausses factures, etc. … En tout cas, bien que bloqué, il est important de ne pas cliquer sur les liens qu’ils indiquent dans leur message et ne jamais donnés des informations confidentiels comme les mots de passe …
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DUSANPETKOVIC VIA GETTY IMAGES
David Paddon
La Presse Canadienne
TORONTO — Les fraudeurs se montrent de plus en plus créatifs dans l’enrobage de courriels contenant des liens et des pièces jointes dangereux, et les entreprises canadiennes semblent plus susceptibles de se laisser prendre au piège que celles d’autres pays.
«Nous avons tout vu, des faux papiers de divorce aux faux diagnostics médicaux, qui ne s’adressent parfois même pas au destinataire du courriel», a observé Ryan Kalember, vice-président principal de Proofpoint, lors d’une entrevue réalisée en marge d’une conférence sur la cybersécurité à Toronto.
«Les humains sont des créatures naturellement curieuses. Nous allons nous faire avoir jusqu’à un certain point.»
Une analyse récente de Proofpoint a révélé que près de 100 campagnes de cybercriminalité avaient visé le Canada entre le 1er janvier et le 1er mai de cette année, en plus de milliers de campagnes génériques ayant rejoint le Canada par l’entremise d’internet.
Un type de logiciel malveillant observé par Proofpoint était DanaBot, qui a été utilisé pour envoyer des leurres évoquant Postes Canada.
«Nous avons vu plusieurs campagnes s’appuyer sur l’image de marque de Postes Canada. Et ce n’est pas inhabituel. Les leurres de livraison de colis figurent toujours dans le top cinq en termes d’hameçonnage efficace pour les fraudeurs», a expliqué M. Kalember.
Pour les personnes qui reçoivent de tels courriels, le danger est de télécharger par inadvertance un logiciel susceptible de saisir des mots de passe, envoyer davantage de pourriels frauduleux pour atteindre d’autres victimes ou verrouiller l’accès aux fichiers système.
David Masson, directeur national de Darktrace au Canada, une entreprise spécialisée dans la cybersécurité, reconnaît que les escroqueries visant à détourner des marques connues sont assez courantes à travers le monde et que l’expérience du Canada est similaire.
Mais le spécialiste note aussi que, selon les résultats d’une analyse effectuée par Darktrace l’année dernière, ses clients canadiens étaient environ trois fois plus susceptibles de télécharger des logiciels malveillants que ses clients d’autres pays.