Plaintes


Il y a des situations que nous devons porter plainte comme par exemple un crime, mais le plus souvent, nous plaindre ne nous aide pas. Nous avons le choix soit de changer les choses et si cela est impossible que ce soit maintenant ou plus tard, mieux vaut passer à autre chose.
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Plaintes

 

 

 

Quand tu te plains, tu fais de toi une victime. Abandonne la situation, change la situation ou accepte-là. Tout le reste n’est que de la folie

Eckhart Tolle

Le Saviez-Vous ► Pourquoi dit-on le “syndrome de Stockholm” ?


La première fois que j’ai entendu parler du syndrome de Stockholm est dans une série télévisée. Curieux syndrome qui comme on peut se douter, son nom est suite a une prise d’otages à Stockholm.en Suède.
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Pourquoi dit-on le “syndrome de Stockholm” ?


Le syndrome de Stockholm est le fait pour un otage de développer vis-à-vis de son geôlier un sentiment d’empathie voire d’amitié.

Ce syndrome doit son nom à une prise d’otages qui eut lieu à Stockholm en 1973. Le 23 août un détenu en permission, Jan Erik Olsson, fit une tentative de braquage dans une banque. Lors des faits il dû se retrancher dans l’agence et prendre en otage 4 personnes. Ensuite des négociations eurent lieu avec les autorités et au bout de 6 jours, il libéra tout le monde. Ayant passé près d’une semaine avec lui, les otages développèrent un comportement curieux lors de l’arrestation, allant jusqu’à s’interposer face aux policiers venus l’arrêter.

Par la suite le syndrome pu encore être observé quand lors de son procès, les ex-otages refusèrent de témoigner contre lui. Enfin certains d’entre eux allèrent jusqu’à lui rendre visite durant son incarcération.

Après ces évènements le psychiatre suédois Nils Bejerot trouva la formule “syndrome de Stockholm”, même si le mécanisme était déjà connu auparavant et décrit par des psychanalystes comme Sandor Ferenczi qui lui parlait plutôt d’« identification à l’agresseur ».

Plus récemment, on peut citer le cas de Natascha Kampusch, cette jeune fille autrichienne, enlevée par un homme en 1998, captive pendant 8 ans, et qui avait à l’époque développé ce syndrome, en s’attachant à son ravisseur; lequel se suicida ensuite.

Ce syndrome est une manifestation inconsciente de survie, la seule façon trouvée par les victimes pour apaiser leur angoisse: s’identifier à l’agresseur. Et ça marche ! Lorsque l’on est en plein Syndrome de Stockholm, on ne souffre plus, puisque l’on adhère au point de vue de l’agresseur. On comprend et légitime largement son comportement.

Mais ce syndrome ne peut apparaitre que si les trois conditions suivantes sont réunies: d’abord l’agresseur doit être capable de justifier son acte comme répondant à ne idéologie conceptualisée. Ensuite il ne doit pas entretenir envers les otages de sentiment raciste ou de haine. Enfin il faut que les victimes n’aient pas connaissance de l’existence de ce syndrome car sinon elles en seraient en quelque sorte “vaccinés”.

https://www.chosesasavoir.com/

George Awaad, le Montréalais aux 19 langues


Français, anglais, mandarin, l’espagnol, le portugais, l’italien, l’allemand, le russe, l’hébreu, le roumain, le suédois, le géorgien, l’arménien, le cantonais, le coréen, le néerlandais, arabe, japonais et même l’espéranto sont les langues qu’un étudiant à Montréal maitrise. Il serait la personne la plus polyglotte du Canada. Présentement, il fait des recherches sur la langue maya, car c’est la prochaine langue qu’il veut apprendre. Il n’a que 20 ans, sûrement qu’il aura un bel avenir devant lui.
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George Awaad, le Montréalais aux 19 langues

Georges Awaad... (PHOTO PAUL CHIASSON, PC)

Georges Awaad

MORGAN LOWRIE
La Presse canadienne
Montréal

Quand Georges Awaad répond au téléphone, il lâche un « allô » poli, mais il peut aussi bien saluer son interlocuteur en arabe, en anglais, en japonais ou dans l’une des 15 autres langues qu’il maîtrise.

Âgé de 20 ans, l’étudiant en linguistique de Montréal parle déjà 19 langues différentes, qu’il a apprises, la plupart du temps, par une combinaison de vidéos internet, de chansons et de conversations.

« Je suis une personne très auditive, alors j’essaie de m’exposer autant que possible à la langue, en écoutant de la musique, des vidéos, des films si je les trouve, et en écoutant des conversations et en en partageant avec des amis », raconte-t-il.

M. Awaad parle également le mandarin, l’espagnol, le portugais, l’italien, l’allemand, le russe, l’hébreu, le roumain, le suédois, le géorgien, l’arménien, le cantonais, le coréen, le néerlandais et même l’espéranto. Sa langue maternelle est le français.

Très tôt, il a commencé à aimer le son de différentes langues. Son véritable intérêt est né vers l’âge de 10 ans quand il a demandé à ses grands-parents arabophones de l’aide à améliorer ses connaissances.

« J’ai dit à mes parents que j’aimais vraiment apprendre avec mes grands-parents. Ils m’ont répondu qu’il existait des sites en ligne où on peut apprendre plus de langues. »

Ses parents l’ont dirigé vers Google Traduction. Il est rapidement devenu accroc, narre l’étudiant.

Selon la plateforme d’apprentissage en ligne Babbel, George Awaad est peut-être l’étudiant le plus polyglotte au Canada.

Conjointement avec Student Life Network, Babbel a lancé une recherche plus tôt cette année pour trouver les étudiants parlant le plus de langue au pays. M. Awaad a été le choix du jury, l’impressionnant par les deux séries de vidéo présentant ses prouesses linguistiques.

« Nous sommes extrêmement impressionnés par la maîtrise des langues de Georges, en particulier pour un homme aussi jeune », s’enthousiasme Ted Mentele, un rédacteur en chef de l’équipe Didactique chez Babbel.

Malgré tout, M. Awaad ne pense pas avoir des compétences si exceptionnelles pour apprendre les langues. Son secret ? Il trouve cela amusant.

« C’est plus une passion pour moi, profère-t-il. C’est plus facile pour moi de faire l’effort d’apprendre parce que j’aime ça vraiment. Cela ne me donne pas l’impression de travailler. »

L’étudiant a du mal à identifier exactement ce qu’il aime le plus à propos des langues. Au début, il adorait les différents sons et les inflexions, mais en vieillissant, il a compris comment elles lui permettaient de nouer de nouvelles relations et d’explorer de nouvelles cultures de manière plus complète.

À titre d’exemple, il relate qu’il a pu servir d’interprète pour sa famille lors d’un voyage au Japon. Il s’est également fait de nombreux nouveaux amis dans sa quête d’interlocuteurs.

« Cela a commencé à me montrer à quel point l’apprentissage d’une nouvelle langue peut ouvrir votre esprit et votre coeur à de si nombreuses personnes dans le monde et à de nouvelles cultures. On peut comprendre le monde tellement mieux et à un niveau beaucoup plus profond. »

M. Awaad affirme que ses langues de prédilection sont sans doute le mandarin et le géorgien, en partie parce que leurs structures sont très différentes de l’anglais et du français.

Il souhaite obtenir un diplôme en linguistique à l’Université McGill avant d’entreprendre une maîtrise et un doctorat.

Il espère également pouvoir apprendre d’autres langues.

Actuellement, il travaille sur un projet visant à documenter une langue maya parlée dans le nord du Guatemala et le sud du Mexique. Il dit qu’il commence déjà à comprendre les mots et les phrases.

« C’est la prochaine langue sur ma liste. »

https://www.lapresse.ca/actual

Des oiseaux terrestres dévorés par des requins


Des scientifiques ont découvert par hasard que les requins-tigres étaient de redoutables prédateurs pour les oiseaux migrateurs. Déjà, ces oiseaux doivent affronter plusieurs obstacles que les jeunes requins sont en grand nombre à la période de migrations. Parmi les victimes, aucun oiseau étaient marins. Ce n’est que des oiseaux venant des forêts de l’Amérique du Nord.
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Des oiseaux terrestres dévorés par des requins


Des biologistes recueillent le contenu de l'estomac des requins-tigres afin de savoir ce qu'ils mangent.

Des biologistes recueillent le contenu de l’estomac des requins-tigres pour savoir ce qu’ils mangent. Photo: Université d’État du Mississippi/Marcus Drymon.

Renaud Manuguerra-Gagné

Les oiseaux migrateurs doivent affronter d’innombrables périls durant leurs longs voyages. Or, des chercheurs américains ont découvert que, pour plusieurs de ces oiseaux, ces périples peuvent se terminer entre les dents de prédateurs inattendus : des requins.

La prochaine fois que vous voyez certains oiseaux voler près de vos maisons, comme des hirondelles des pics-bois ou même certains moineaux, dites-vous qu’il y a un risque non négligeable que ces oiseaux finissent leurs jours dans le ventre d’un requin.

C’est ce qu’ont montré les travaux de chercheurs américains publiés dans la revue Ecology (Nouvelle fenêtre) qui ont démarré totalement par hasard pendant que ces scientifiques étudiaient le comportement de requins-tigres dans le golfe du Mexique.

Ces importants prédateurs sont connus pour leur tendance à être bien peu sélectifs dans leur alimentation. D’autres études ont montré qu’ils s’attaquaient à certains poissons, à des mammifères marins, à des tortues de mer et même à des déchets rejetés par les humains, comme des pneus.

En 2010, alors que les scientifiques étaient en train de capturer certains spécimens au large du Mississippi pour les baguer, l’un des plus jeunes requins, fort probablement stressé par sa capture, a régurgité son dernier repas sur le quai du navire de recherche.

Parmi les restes se trouvaient des plumes d’oiseaux, que les scientifiques ont décidé de récupérer pour analyse. S’attendant à un oiseau marin, ces derniers ont été très surpris lorsque les tests de laboratoire ont indiqué qu’il s’agissait d’un moqueur roux, un oiseau qui se trouve habituellement dans les forêts, les zones agricoles et les banlieues, bien loin du golfe du Mexique.

En fouillant dans la littérature scientifique, ils ont trouvé d’autres cas de requins ayant mangé un oiseau terrestre, mais chaque fois, l’événement était classé comme anecdotique.

Voulant voir s’il n’y avait pas autre chose de plus important derrière ces coïncidences, les chercheurs ont lancé une étude sur le sujet.

Des oiseaux forestiers au menu

L’équipe a entrepris de systématiquement évaluer le contenu de l’estomac des requins qu’ils attrapaient pendant leurs recensements. Entre 2010 et 2018, ils ont capturé 105 spécimens de requins-tigres jeunes. De ce nombre, 41 avaient dévoré un oiseau terrestre peu de temps avant leur capture.

En utilisant le séquençage ADN, les chercheurs ont identifié 11 espèces d’oiseaux différentes, tous des migrateurs qu’on trouve normalement dans des forêts d’Amérique du Nord, et aucun oiseau marin n’était parmi les victimes.

Deux éléments ont émergé de leurs données : d’abord, la vaste majorité des oiseaux dévorés ont été trouvés dans des requins entre les mois d’août et de novembre, exactement au moment où les espèces migratrices entament leur parcours vers l’Amérique du Sud.

L’autre découverte est que cette période coïncide presque toujours avec une augmentation de la population des requins-tigres. Il y a presque trois fois plus de jeunes requins-tigres durant cette période que le reste de l’année, comme si ces requins adaptaient leur cycle de reproduction à cette arrivée de nourriture venue du ciel.

Les périls du voyage

Les migrations d’oiseaux sont parmi les plus importants déplacements de populations animales du monde. Deux milliards d’oiseaux terrestres survolent le golfe du Mexique pendant leur périple au cours duquel ils devront affronter de nombreux événements météorologiques extrêmes, surtout à l’automne.

De plus, ces espèces continentales ne possèdent pas les mêmes huiles que celles qui recouvrent le plumage d’oiseaux marins, dont le rôle est de les protéger de l’eau salée. Si ces oiseaux tombent dans l’océan, que ce soit par accident ou d’épuisement, l’eau dans leurs plumes les rendra trop lourds pour redécoller, ce qui en fait une proie facile pour les requins.

Avec le nombre gigantesque d’oiseaux migrateurs passant au-dessus du golfe, même un petit nombre d’accidents peut fournir une grande quantité de nourriture facilement accessible pour des prédateurs.

Bien que d’autres études soient nécessaires pour avoir une meilleure vue d’ensemble de cette situation, l’ingestion d’oiseaux terrestres par de jeunes requins-tigres représente un type d’adaptation qu’on n’avait encore jamais observée et qui pourrait s’avérer très importante pour le mode de vie des requins.

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Un panda albinos photographié en Chine


Un panda albinos est plutôt rare, a été photographié dans une réserve naturelle en Chine. Espérons que cet animal sauvage pourra vivre en toute tranquillité.
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Un panda albinos photographié en Chine

 

Un panda géant albinos, le 20 avril 2019, dans la réserve naturelle nationale du Wolong (Chine).

© AFP

Un panda entièrement blanc a été photographié dans une réserve naturelle du sud-ouest de la Chine, un cas rare prouvant que l’albinisme existe au sein des pandas sauvages de cette région, a annoncé l’agence Chine Nouvelle.

L’animal au pelage uni et aux yeux rouges a été photographié le 20 avril dans une forêt de la province du Sichuan (sud-ouest), a précisé l’agence officielle samedi.

Le panda est un albinos âgé d’un à deux ans, a estimé Li Sheng, un chercheur spécialiste des ours à l’Université de Pékin, cité par Chine Nouvelle. La réserve naturelle nationale du Wolong, où l’animal a été repéré, a indiqué à l’AFP ne pas avoir plus de détails à son propos.

Plus de 80% des pandas sauvages de la planète vivent dans la province du Sichuan (sud-ouest de la Chine), le reste se répartissant entre le Shanxi (centre) et le Gansu (nord-ouest).

https://www.7sur7.be/