Les deux loups


Nous avons une conscience qui fait la différence entre le bien et le mal, enfin pour la plupart. Il arrive que ce soit c’est un combat qu’on essaie de résister. Notre attitude joue beaucoup sur le choix de nos actes.
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Les deux loups

 

Il y a une bataille de deux loups à l’intérieur de nous

Proverbe Cherokee

L’un est la mal.
C’est la colère, la jalousie, la cupidité, la rancoeur, les mensonges, l’infériorité et l’égo.

L’autre est le bien.
C’est la joie, la paix, l’amour, l’espoir, l’humilité, la gentillesse, l’empathie et la vérité.

Le loup qui gagne est celui que vous nourrissez

Ce chien goûte à des fruits exotiques dans une vidéo


Ce chien s’appelle Kakoa, il goûte des fruits exotiques et on voit très bien s’il aime ou pas. Il n’est pas sous pression. Parmi les fruits, le kiwi est vraiment le fruit que ce chien a en horreur. En fait, c’est une nouvelle mode qui fait fureur sur YouTube, généralement, c’est des personnes qui font ce genre de chose. J’ai déjà vu ce genre de vidéo, Sydney adore cela, moi pas du tout, d’ailleurs, je trouve énervant d’entendre et de voir quelqu’un manger de la sorte.
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Ce chien goûte à des fruits exotiques dans une vidéo




On vit vraiment à une drôle d’époque !

Le web regorge vraiment de petites pépites ! Dans cette vidéo au concept on ne peut plus décalé, un magnifique chien appelé Kakoa goûte à des fruits exotiques et donne son avis sur leurs goûts et textures tandis qu’un micro capte le moindre son émis pendant sa dégustation.

Vous vous demandez à quoi cela sert ? C’est normal !

C’est une nouvelle mode qui fait fureur sur Youtube : l’ASMR. L’ASMR, ou Autonomous sensory meridian response (ou réponse autonome sensorielle culminante en français), c’est un ensemble de réactions que l’on peut avoir au niveau de la tête, du crâne et du cuir chevelu, mais également ailleurs sur le corps, lorsqu’on se détend dans un environnement calme. Ces réactions peuvent notamment survenir lorsqu’on se fait masser la tête ou couper les cheveux, par exemple.

Or, depuis quelques années, des vidéos Youtube ASMR rencontrent un certain succès sur la toile. Dans ces vidéos, des personnes chuchotent dans un micro, tapotent des objets du bout des doigts ou mangent leurs plats préférés en répétant des mots en boucle, le tout pour détendre leurs auditeurs qui gagnent en calme et qualité du sommeil, et ce sans massage ni rendez-vous chez le coiffeur.

Comme toute tendance qui rencontre un certain succès, l’ASMR a été beaucoup parodié et moqué avec plus ou moins de bienveillance sur les réseaux sociaux. Et c’est vrai que cette pratique décalée a de quoi surprendre au début !

La vidéo du jour est à mi-chemin entre une parodie et une vraie vidéo ASMR. On y découvre un magnifique Husky aux yeux bleus qui goûte à des fruits exotiques (noix de coco, kiwi, mangue, fruit du dragon…) à côté d’un micro qui capte le moindre bruit émis par la bouche du toutou. Pour rendre le tout plus drôle, le maître du chien a ajouté de petites appréciations sur chaque fruit basées sur les réactions du chien.

Cela donne lieu à une vidéo qui fait rire, émerveille (les yeux de ce chien sont si captivants !) et fait voyager le temps d’une vidéo de 3 minutes. C’est drôle, et ça détend. Et on a tous besoin d’un peu plus de rires et de détente dans nos vies, non ?

https://wamiz.com/

Le Saviez-Vous ► 8 animaux que vous ne verrez qu’en Australie


 

En Australie, existe des animaux bien particulier qu’on ne voit pas ailleurs, sauf malheureusement dans des zoos ou des gens ont décidé d’avoir un animal exotique chez eux. Tout le monde connait le kangourou, le diable de Tasmanie, ou encore le koala, mais d’autres sont moins bien connu.
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8 animaux que vous ne verrez qu’en Australie

8 ANIMAUX QUE VOUS NE CROISEREZ QU’EN AUSTRALIE!

par Patrick

L’Australie est cette grande île d’Océanie bien connue dans le monde pour sa Grande Barrière de Corail, ses kangourous, son Opéra de Sydney…

Mais savez-vous que, grâce à l’isolement de ce grand territoire depuis plus de 150 millions d’années, l’Australie a développé une faune unique avec des animaux absolument inédits et introuvables dans d’autres pays ? Ainsi, voici 8 animaux que vous ne rencontrerez qu’en Australie !

1. L’ornithorynque

Ce surprenant mammifère à bec de canard, queue de castor, pattes de loutre et qui pond des œufs émerveille tous les touristes par son aspect si original ! Timide et discret, il est réparti sur toute la côte ouest de l’Australie. L’espèce est quasi menacée, il est donc nécessaire de la préserver et de respecter son environnement.

ornithorynque

Crédits : iStock

2. Le kangourou arboricole

Saviez-vous qu’une espèce de kangourou vit dans les arbres ? À l’origine, les macropodidés (famille des marsupiaux) vivaient dans les arbres et ont évolué plus tard sur terre. Il existe cependant encore une espèce plus petite que ses cousines, le kangourou arboricole, qui vit encore dans les arbres de l’Australie ! On peut la rencontrer dans l’extrême nord-est de l’île, dans la région du Queensland.

kangourou arboricole dendrolague

Crédits : Richard Ashurst/Wikipédia

3. Le koala

Avec le kangourou, le koala est le symbole de l’Australie ! Dans le Queensland, on les retrouve dans de nombreux parcs, mais on peut aussi les voir dans la nature, surtout sur la Great Ocean Road dans le Victoria et à Magnetic Island.

koala

Crédits : Jimmy Baikovicius/Free Stock Photos

4. Le quokka

C’est comme un kangourou miniature. Le quokka est complètement inoffensif. Il n’hésite s’ailleurs pas à approcher les humains et irait même jusqu’à vouloir s’amuser avec eux ! Il affiche également un petit rictus, ce qui lui a valu le surnom de l’« animal le plus heureux du monde ». Cet animal vit sur Rottnest Island, à l’ouest de l’Australie. Il faut tout de même faire attention à ce petit marsupial car il est classé vulnérable sur l’échelle d’extinction.

quokka

Crédits : Barney Moss/Flickr

5. Le wombat

Le wombat est le cousin du koala ! Cette petite boule de poil ne vit qu’en Australie et il est assez rare de l’observer en journée, car il passe les siennes à dormir. Lors de randonnées, il est possible de tomber sur ses crottes carrées qui témoignent de sa présence. C’est en Tasmanie qu’il sera le plus probable de le rencontrer.

wombat

Crédits : JJ Harrison/Wikipédia

6. Le kookaburra

Ce martin-chasseur bien propre à l’Australie a la particularité d’avoir un chant proche d’un rire ! On l’appelle l’oiseau rieur et on peut l’entendre partout en Australie dans les zones boisées et à proximité de zones dégagées où il peut chasser.

kookaburra

Crédits : GDW.45/Wikimedia Commons

7. Le casoar à casque

Ce grand animal vit dans le nord-est de l’Australie et compte parmi les espèces d’oiseaux les plus vieilles au monde ! Le casoar n’a presque pas évolué depuis l’époque des dinosaures (il a juste perdu ses ailes). Il est fréquemment observé dans la forêt tropicale de Daintree au nord de Cairns (Daintree National Park). L’espèce est vulnérable, il ne faut pas la déranger.

casoar

Crédits : bernswaelz/Pixabay

8. Le diable de Tasmanie

Ce petit marsupial très connu notamment grâce au personnage de dessins animés Taz des Looney Tunes vit sur l’île de Tasmanie au sud de l’Australie. Malheureusement, l’espèce subit un cancer de plus en plus fréquent, l’espèce est gravement en danger et il est assez difficile de pouvoir les observer.

diable de tasmanie

Crédits : pen_ash/Pixabay

Source

https://animalaxy.fr//

Il est tout à fait humain de s’énerver contre son wifi


Intéressant !!! Sans doute, qu’un moment donné, vous avez vécu ce genre d’expérience, un moment passionnant et hop ! Plus rien. Un peu comme une panne de courant lors d’un film, ou un évènement sportif, vraiment intéressant au moment le plus captivant, panne de courant, ou plus d’internet. La frustration pouvant aller a des injures. Un peu comme une panne de courant lors d’un film, ou un évènement sportif, vraiment intéressant au moment le plus captivant, panne de courant, ou plus d’internet. C’est notre façon comme un animal pris au piège de réagir jusqu’à ce qu’on retrouve notre calme.
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Il est tout à fait humain de s’énerver contre son wifi


L'animal qui sommeille en nous se réveille au moindre bug de wifi. | Norbu Gyachung via Unsplash

L’animal qui sommeille en nous se réveille au moindre bug de wifi. | Norbu Gyachung via Unsplash

Repéré par Ines Clivio

Lorsque nous devons affronter des frustrations aussi triviales qu’une panne d’internet, rationalité et logique sont balayées.

Repéré sur The Guardian

Nous marchons sur deux jambes, nous habillons, aimons l’art et nous délectons des joies de l’esprit d’un livre bien écrit: loin de nous l’idée de nous considérer comme des animaux guidés par leur seul instinct. Mais imaginez-vous au moment-clé de cet épisode final tant attendu –le dernier de Game of Thrones, par exemple, à cet instant précis où une unique pensée vous habite tout entier: que va-t-il se passer? Imaginez que soudain, l’image se gèle sur le visage de votre héros et qu’une triste conclusion s’impose: le wifi ne fonctionne plus.

Un événement d’une triste banalité qui peut pourtant produire un fort sentiment de rage, comme un animal pris au piège qui lutterait pour sa vie pour s’en délivrer. Mais nous ne pouvons ni mordre, ni griffer notre box wifi, cet ennemi carré qui nous fixe de ses deux LED rouges. Ainsi émerge, selon le Dr Douglas Fields, neurologue aux Instituts américains de la santé, une frustration bestiale.

Liberté contrainte

Dans son livre Pourquoi nous craquons: comprendre le circuit de la rage dans notre cerveau, il recense plusieurs facteurs qui nous font perdre la raison, ces déclencheurs de nos pulsions primaires. Celui qui est à l’œuvre dans la panne de wifi est, explique-t-il, le «stopping trigger». Il décrit une situation où notre liberté est contrainte, stoppée par un facteur externe: le piège pour l’animal, le lag du wifi pour nous:

«Les animaux lutteront violemment pour échapper aux contraintes, jusqu’à se ronger la patte s’ils sont pris dans un piège. Les humains ne sont pas différents, affirme le chercheur. Le fait d’être attaché, coincé, emprisonné ou empêché de poursuivre ses désirs déclenchera cette poussée de rage. L’émotion qui l’accompagne est la frustration.»

Un peu comme lorsqu’on est coincé dans un bouchon ou un ascenseur. La seule issue consiste alors à essayer d’agir: d’où la personnification de l’objet de nos tourments, en hurlant sur sa box –«Pourquoi tu me fais ça?!»–, en pestant contre les feux rouges ou en tambourinant sur les portes de l’ascenseur.

Selon Fields, la seule issue pour nous sortir de cet état de rage serait de reprendre le contrôle. Et quand c’est impossible, de respirer un grand coup.

http://www.slate.fr/

Ces scien­ti­fiques pensent avoir décou­vert le lieu de nais­sance du canna­bis


L’origine du cannabis n’est pas une certitude, mais ce que l’on sait, c’est qu’il aurait apparu il y a plus de 19 millions d’années. Par l’étude du pollen, il se pourrait qu’il soit natif quelque part en Chine.
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Ces scien­ti­fiques pensent avoir décou­vert le lieu de nais­sance du canna­bis


Crédits : Andrew

par  Mathilda Caron

Une équipe d’ar­chéo­bo­ta­nistes de l’uni­ver­sité du Vermont pense avoir décou­vert la véri­table origine du canna­bis, rappor­tait Live Science le 20 mai.

D’après leur étude, les premières plantes magiques seraient appa­rues il y a envi­ron 19,6 millions d’an­nées en Asie centrale, sur le plateau tibé­tain.

Les cher­cheurs se sont tour­nés vers le pollen des plantes de canna­bis, étudié pour la première fois les années 1930, afin d’ai­der à retra­cer l’his­toire de la plante. Ils ont analysé 155 études sur les pollens des varié­tés géné­tiques Canna­bis et Humu­lus, afin de voir clai­re­ment d’où semblait prove­nir le canna­bis.

« La clas­si­fi­ca­tion du canna­bis et de son centre de diver­sité [la zone biogéo­gra­phique d’où semble prove­nir une variété géné­tique parti­cu­lière] reste un grand débat », dit avec précau­tion John McPart­land, prin­ci­pal auteur de l’étude.

Toutes ces données ont amené les cher­cheurs à conclure que le canna­bis est possi­ble­ment apparu pour la première fois au nord-ouest de la Chine, à proxi­mité du lac Qinghai. Puis, il y a envi­ron six millions d’an­nées, le canna­bis se serait répandu vers l’ouest, attei­gnant la Russie et l’Eu­rope. Ce n’est encore qu’une hypo­thèse, mais la recherche progresse.

Source : Live Science

https://www.ulyces.co/

Arrêtez de faire la cuisine à votre chat


Faire la bouffe maison pour les chats, ou même pour les animaux domestiques, il faut vraiment savoir leur besoin nutritionnel. Il semble que la plupart que l’on trouve sur l’Internet ou dans des livres spécialisés ne seraient pas équilibrés, pire certains ingrédients sont toxiques.
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Arrêtez de faire la cuisine à votre chat


L'alimentation maison n'est pas nécessairement meilleure. | meineresterampe via Pixabay

L’alimentation maison n’est pas nécessairement meilleure. | meineresterampe via Pixabay 

Repéré par Peggy Sastre

Plus d’une centaine de recettes ont été passées au crible par des vétérinaires et le résultat n’est pas fameux.


Repéré sur Journal of the American Veterinary Medical Association, Université de Californie à Davis

L’air du temps est au fait-maison et à tout ce qui peut nous préserver de la supposée toxicité du monde extérieur. Les animaux de compagnie ne sont pas épargnés par cette tendance et de plus en plus de gens choisissent ainsi de se détourner de l’alimentation industrielle pour faire eux-mêmes la cuisine à leurs chats. Mais selon des chercheuses de la faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Californie à Davis, ces recettes prétendument plus saines que les bonnes vieilles croquettes et pâtées disponibles dans les supermarchés ne le sont pas forcément… et peuvent même être dangereuses pour les matous.

Sur les 114 préparations analysées dans leur étude, sélectionnées à la fois sur internet et dans des livres spécialisés, Jennifer Larsen et ses collègues ont trouvé que près de 40% ne fournissaient aucune consigne alimentaire, avec le reste souffrant d’informations lacunaires ou ambiguës, notamment sur la qualité nutritionnelle de la recette.

Qu’elles aient ou non été conçues par des vétérinaires, ces recettes ne consignaient pas suffisamment de nutriments, même si celles écrites par des vétérinaires présentaient moins de carences en nutriments essentiels. En général, les recettes manquaient d’au moins trois nutriments et, pour certaines, l’absence concernait pas moins de dix-neuf nutriments essentiels. En outre, de nombreuses recettes étaient très carencées, avec moins de 50% des apports recommandés en choline, fer, zinc, thiamine, vitamine E et manganèse –dont les chats ne peuvent se passer.

Ingrédients potentiellement toxiques

Sur les 114 recettes analysées, seules cinq (toutes rédigées par des vétérinaires) étaient de bonne tenue nutritionnelle.

Concernant les cas les plus préoccupants, 7% des recettes intégraient des ingrédients potentiellement toxiques pour les chats, comme l’ail, les oignons et les poireaux. Les chercheuses soulignent également que plusieurs recettes se basent sur des produits d’origine animale crus sans aucune mention des dangers de contamination bactérienne. Enfin, certaines recettes à base d’os oubliaient de préciser qu’ils devaient être broyés pour éviter les déchirures gastro-intestinales.

«L’alimentation maison n’est pas nécessairement meilleure», résume Larsen, qui ajoute que les peurs des croquettes industrielles sont infondées.

Si vous voulez vraiment faire la cuisine à votre chat, assurez-vous que vos recettes sont sûres, équilibrées et adaptées à votre animal –et les vétérinaires sont là pour préciser la marche à suivre.

http://www.slate.fr/

Comment démasquer quelqu’un qui ment


Il y a des mensonges pour ne pas blesser, mais d’autres sont plus graves. ou vraiment inutile. Avec l’ère des fausses nouvelles doivent-on accepter ces mensonges ? Dans la vie de tous les jours, comment détecter un menteur. Même si nous avions un polygraphe, ou encore qu’on observe pour détecter le non-verbal ne sont pas sûr à 100%. Le mieux est écouté et poser des questions. Et pour les fois que j’ai essayé, cela fonctionne assez bien.
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Comment démasquer quelqu’un qui ment

Pinocchio par-ci, Pinocchio par-là | Alex Bikfalvi via Flickr CC License by

Pinocchio par-ci, Pinocchio par-là | Alex Bikfalvi via Flickr CC License by


Repéré par Léa Polverini


Commencez par ne plus vous fier aux roulements d’yeux.


Repéré sur The Guardian

Fin avril, le Washington Post annonçait que Donald Trump venait de passer la barre des 10.000 déclarations fausses et trompeuses depuis son accession au pouvoir. Un beau record pour celui qui a largement popularisé l’expression de «fake news», qui sature désormais le paysage médiatique. Le mensonge connaît aujourd’hui son heure de gloire, cependant que les «vérités» dites alternatives font florès.

Cela signifierait-il que nous vivons dans des sociétés où il est plus acceptable de mentir?

Pour Robert Feldman, professeur de psychologie à l’Université du Massachusetts et auteur de The Liar in Your Life, «les présidents –même ceux que vous n’aimez pas– sont des modèles, et si vous voyez quelqu’un avec beaucoup de prestige mentir constamment et s’en tirer, comme cela semble être aujourd’hui le cas, cela fournit un modèle de ce qui est acceptable».

Tous loucheur·ses?

Mais comment dès lors repérer ces menteurs et menteuses qui bourgeonnent autour de nous? La croyance populaire veut que le menteur ait l’air louche: son œil partirait du mauvais côté lorsqu’il inventerait une histoire, strabisme intempestif n’échappant pas aux regards les plus affûtés, qui auraient tôt fait de débusquer l’entourloupe. Pour peu que le bigleux malhabile s’invente une crédibilité à coups de «en vérité…» surjoués, il est déjà cuit. En réalité, ces critères sont à peu près aussi fiables qu’une recette de grand-mère mal recopiée.

«Quand nous nous engageons dans la détection passive de mensonges –en regardant les gens pour essayer de déterminer s’ils mentent ou non– la conclusion générale est que nous arrivons à un résultat de très piètre qualité. Nous avons environ 54% de chances d’avoir raison. Lancer une pièce vous donnerait 50% de précision», estime Gordon Wright, co-directeur de la section de psychologie de Goldsmiths’.

Les tests polygraphiques ou les détecteurs de mensonges ont un taux de précision d’environ 65% à 70%, et les expériences qui envisagent les mouvements complets du corps peuvent arriver jusqu’à 85%, mais il va sans dire que ces méthodes ne sont pas de rigueur dans la vie courante.

À cela, il faut encore ajouter le fait que menteurs et menteuses peuvent anticiper sur ces attentes, et infléchir leur comportement en fonction :

 «les menteurs regardent les gens plus intensément –ils jouent avec ces stéréotypes», précise Wright.

Que disent les intriguant·es?

Que faire lorsqu’on ne possède donc pas l’attirail d’une salle d’interrogatoire? Déjà, arrêter de s’en remettre au mythe du comportement non verbal. Ensuite, se concentrer sur ce que les gens disent, plutôt que sur la façon dont ils le disent.

Pour Pär-Anders Granhag, professeur de psychologie à l’Université de Göteborg, un bon moyen est de tester la «technique des questions imprévues», qui consiste à poser des questions auxquelles les menteurs ne se sont pas préparés.

«Les menteurs se préparent plus que ceux qui disent la vérité. Si vous ne posez que des questions qui ont été anticipées, vous jouez leur propre jeu. Ceux qui disent la vérité peuvent répondre à ces questions car ils puisent dans leur mémoire, tandis que les menteurs auront plus de difficultés, parce qu’ils ont préparé des réponses toutes faites aux questions prévues, mais ne se sont pas préparés à d’autres questions», explique-t-il.

Les personnes qui mentent sont également plus susceptibles de s’ajuster aux réactions de leur auditoire, puisqu’elles cherchent avant tout à le convaincre, ce qui n’est pas nécessairement le but de quelqu’un qui vous raconterait une vérité comme une autre.

«Elles voient si la personne les croit ou non, et si elles soupçonnent que non, elles peuvent changer leur histoire, ajouter plus de détails», relève Granhag.

Dans le jeu du mensonge, nous sommes également victimes de nos propres préjugés. Nous sommes plus prompts à croire quelque chose qui correspond à nos propres opinions, même si ce quelque chose est erroné ou de mauvaise foi. Les petits mensonges sont aussi ce qui scande notre quotidien:

«la plupart du temps, ils ont des conséquences très mineures et n’ont pas d’importance, mais ils servent à lubrifier les rouages de l’interaction sociale», souligne Feldman.

C’est ainsi que l’on se retrouve à complimenter tel et telle amie sur son pull affreux, le sourire étant plus socialement acceptable que l’ahurissement. Dans ces cas-là, mieux vaut s’en remettre au bon sens.

http://www.slate.fr/

Lutter contre l’obsolescence programmée


Pour ma part, je trouve que c’est criminel le programme l’obsolescence programmée sur les appareils électroniques. Obligées, les gens à acheter un appareil neuf ou bout que quelques années. C’est une surconsommation des appareils et en plus, cela est un problème environnemental. Sans parler de certains composants sont produits dans des pays pauvres dont des enfants participent au travail pour aider la famille à survivre au détriment de leur santé
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Lutter contre l’obsolescence programmée

Radio-Canada

Pendant que les gouvernements envisagent d’agir contre l’obsolescence programmée, des initiatives citoyennes voient le jour. De plus en plus de gens choisissent de réparer leurs objets électroniques plutôt que de les jeter.

Depuis 20 ans, Yan Gagnon donne une deuxième vie à des électroménagers brisés. Il constate que la qualité de ces appareils diminue et que les pièces de rechange sont coûteuses et difficiles à trouver.

Malgré tout, plusieurs de ses clients insistent pour les réparer plutôt que de les jeter, comme l’explique notre journaliste Kim Vermette dans son reportage.

https://ici.radio-canada.ca/