Critique


Quand on déteste une personne, c’est facile de critiquer, mais si on apprend à la connaître alors la critique peut être différente. Quand on aime une personne, généralement la critique est souvent pour mieux la guider.
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Critique

 

 

Pour critiquer les gens il faut les connaître, et pour les connaître, il faut les aimer.
 
Coluche

Un lynx coincé au sommet d’un poteau électrique


Un lynx jouant à chat perché s’est retrouvé dans une mauvaise situation sur un poteau électrique sur le bord de l’autoroute en Floride aux États-Unis. Les secours ont coupé le courant et on encourager l’animal à descendre. Heureusement, un lynx est plus apte qu’un chat domestique a redescendre tout seul.
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Un lynx coincé au sommet d’un poteau électrique

Le Saviez-Vous ► Les animaux peuvent-ils être allergiques ?


Comme les humains, les chats et les chiens peuvent souffrir d’allergie. Les coupables peuvent être la salive de puce, les acariens, le pollen et même l’alimentation. Même si l’allergie sera présente pendant toute la vie de l’animal, il existe des traitements pour les aider

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Les animaux peuvent-ils être allergiques ?


Christian Mueller /Shutterstock.com

L’allergie existe chez le chien comme chez le chat. Fréquent, ce problème se manifeste essentiellement par des atteintes de peau – la dermatite atopique – ou par des troubles respiratoires.

La salive des puces, les acariens et les aliments sont les causes les plus fréquentes d’allergie, chez le chien et le chat. Ainsi, la dermatite par hypersensibilité aux piqûres de puces (DHPP) est particulièrement fréquente.

 « Quelques piqûres suffisent à déclencher des réactions souvent importantes », souligne l’Ecole nationale vétérinaire d’Alfort (EnvA), sur son site internet.

La dermatite atopique elle, est une réaction à des allergènes de l’environnement comme des acariens ou des pollens. Mais des aliments peuvent aussi être en cause. Par exemple : la viande de bœuf ou de poulet, des céréales (blé, riz…), des conservateurs ou des colorants.

Démangeaisons

Si les allergies alimentaires peuvent se manifester tôt – dès l’âge de 6 mois chez certains chiens – les premiers symptômes apparaissent généralement entre 1 et 3 ans. Les démangeaisons sont à surveiller. Les vétérinaires parlent de prurit : grattage, mordillement, léchage. Des « boutons » ou des plaques rouges peuvent aussi apparaitre sur différentes parties du corps comme la face, les oreilles, les pattes et la croupe.

En présence de signes inquiétants, sollicitez le vétérinaire.

Aujourd’hui, « les possibilités diagnostiques et thérapeutiques sont performantes », conclut l’EnvA. Et n’oubliez pas que malgré tout, « un animal allergique le reste toute sa vie ».

Source : Ecole nationale vétérinaire d’Alfort (EnvA), Unité de Parasitologie – Mycologie – Maladies parasitaires et fongique.

Ecrit par : David Picot – Edité par : Emmanuel Ducreuzet

https://destinationsante.com/

Un jeune garçon devient le plus jeune porteur d’un bras bionique


C’est un beau cadeau pour ce jeune adolescent. Cela va surement l’aider pour vivre mieux avec ce bras bien spécial

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Un jeune garçon devient le plus jeune porteur d’un bras bionique


Un jeune Britannique a reçu un cadeau particulier pour son anniversaire : une nouvelle prothèse permettant de palier à l’absence de sa main droite à la naissance.

L’entreprise Open Bionics conçoit des bras bioniques qui répondent aux signaux électriques des muscles. Freddie Payne est le plus jeune patient à recevoir un tel traitement, qui coûte près de 15 000$.  

Le système de santé français finance déjà entièrement de telles prothèses pour certains patients. L’entreprise britannique compte percer dans les marchés internationaux au cours des prochaines années.

https://www.lapresse.ca/

Cet oiseau disparu il y a 136 000 ans est revenu d’entre les morts


C’est curieux, un oiseau qui a existé il y a plus 100 000 ans, incapable de voler aurait disparu avec l’atoll lors de la montée des eaux. L’atoll a réapparu et avec ce râle de cuvier.
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Cet oiseau disparu il y a 136 000 ans est revenu d’entre les morts

Crédits : Charles J Sharp

par  Mathilda Caron

Alors qu’il avait disparu dans la submer­sion de l’île d’Al­da­bra il y a plus de 100 000 ans, le râle de cuvier est récem­ment réap­paru au même endroit, rappor­tait le Daily Mail le 10 mai dernier.

Origi­naire de Mada­gas­car, cet oiseau vivait dans des forêts tropi­cales de cet archi­pel inha­bité des Seychelles, au milieu de l’Océan Indien. Ayant perdu la capa­cité de voler, il n’avait pu échap­per à la montée des eaux. Quand le niveau de la mer a fini par bais­ser, l’atoll a refait surface et les animaux avec.

Des cher­cheurs de l’uni­ver­sité de Ports­mouth et du Musée d’his­toire natu­relle de Londres ont alors comparé des fossiles datant de plus de 100 000 ans, avec ceux d’aujourd’­hui, pour véri­fier qu’il s’agis­sait bien de la même espèce. 

« Ce proces­sus où des espèces distinctes ayant des adap­ta­tions simi­laires ou paral­lèles se déve­loppent à partir du même ancêtre, à diffé­rents moments dans le temps, est appelé « évolu­tion itéra­tive » », explique le paléon­to­lo­giste Julian Hume.

Source : The Daily Mail

https://www.ulyces.co/

Il est grand temps qu’on se mette à recycler les couches


Dans le monde, il y a 187 milliards de couches sont jetées à la poubelle. C’est un gros problème écologique. Bien sûr, il existe des couches lavables, mais malheureusement, ce n’est pas tout le monde qui sont bien organisé pour éviter les infections chez les bébés. Procter & Gamble est à l’essai pour recycler les couches et réutilisés ce qui peut être recyclés avec un processus complexe, mais cela semblerait être efficace
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Il est grand temps qu’on se mette à recycler les couches


Big Bang Baby | Coastal Elite via Flickr CC License by

Big Bang Baby | Coastal Elite via Flickr CC License by

Repéré par Thomas Messias

Chaque année, 187 milliards de couches jetables sont mises à la poubelle, et leur recyclage pose salement problème.

Temps de lecture: 2 min — Repéré sur BBC

Le chiffre donne le vertige et la nausée. Chaque année dans le monde, 187 milliards de couches sont jetées à la poubelle, ce qui est d’autant plus préoccupant que les couches en question sont loin d’être simples à recycler. Les partisan·es des couches lavables vous diront que la solution pour éviter cette pollution supplémentaire consiste à investir dans des systèmes plus écologiques. Mais il faut bien reconnaître que le système des couches lavables nécessite une organisation bien réglée à base de lessives régulières et de surveillance des stocks. La couche jetable n’est pas écologique et finit par coûter plus cher que la lavable (pour laquelle l’investissement de départ finit par être rentabilisé), mais elle facilite la vie…

La BBC a envoyé le journaliste scientifique David Shukman en Italie, à Trévise, où des solutions de recyclage des couches sont actuellement à l’essai sous l’égide de Procter & Gamble, premier producteur mondial de couches jetables. La première étape de la chaîne de recyclage consiste à nettoyer grossièrement les couches en ôtant les excréments qui s’y trouvent. Vapeur, température élevée, haute pression: elles sont ensuite soumises à une succession d’épreuves permettant d’en séparer les différents éléments.

Complexe mais efficace

Tous ensemble, ces éléments sont ensuite séchés dans un four, ce qui permet d’en ôter les éventuelles bactéries. Puis arrive l’étape du tri, où chaque type de matériau sera regroupé dans un pôle différent afin de pouvoir être réutilisé. Litière, bouteilles en plastique, cartes de visite… les destinations des différents composants sont diverses et variées, avec apparemment peu de perte.

http://www.slate.fr/

Un rare ibis falcinelle aperçu en Nouvelle-Écosse


Un oiseau qui généralement a son territoire dans le coin de Portland aux États-Unis s’est vraiment perdu en volant près d’Halifax en Nouvelle-Écosse au Canada. C’est quand même une bonne distance de son point d’origine
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Un rare ibis falcinelle aperçu en Nouvelle-Écosse

L'ibis falcinelle a été aperçu dans les marais... (PHOTO LAURIE ANN QUIGLEY, LA PRESSE CANADIENNE)

L’ibis falcinelle a été aperçu dans les marais près de Brookfield, à environ 80 kilomètres au nord de Halifax.

PHOTO LAURIE ANN QUIGLEY, LA PRESSE CANADIENNE

La Presse Canadienne
Brookfield

Des photographes de la nature sont rassemblés dans une zone marécageuse dans le centre de la Nouvelle-Écosse dans l’espoir de pouvoir surprendre la dernière espèce d’oiseau à s’y présenter.

L’ibis falcinelle est un oiseau échassier à grand bec qui se nourrit notamment d’insectes à l’état de larve, de têtards, d’amphibiens.

Un membre de cette espèce, que l’on peut rarement admirer dans la province, a été aperçu dans les marais près de Brookfield, à environ 80 kilomètres au nord de Halifax.

David Currie, le président de la Société d’ornithologie de la Nouvelle-Écosse, dit que cet oiseau fait partie d’un groupe croissant d’espèces migratoires qui s’aventurent de plus en plus vers le nord du continent à cause du réchauffement des températures.

Selon lui, la limite septentrionale pour observer l’ibis falcinelle est située près de Portland dans le Maine. On peut rarement le croiser dans les Maritimes, habituellement après une tempête ou si l’oiseau s’est égaré au cours de sa migration.

Au cours de la dernière semaine, les ornithologues amateurs ont publié des photographies de l’ibis volant et s’alimentant sans prendre garde aux nombreuses personnes qui observaient le moindre de ses mouvements.

Certaines photographies montraient une image précise des couleurs rougeâtres et brunâtres sur le cou de l’oiseau.

M. Currie dit que la vue d’un oiseau égaré est toujours lui laisse un goût doux-amer, car si cela est emballant pour les amis des oiseaux, cela signifie aussi que cette créature est loin de ses compagnes de reproduction potentielles.

https://www.lapresse.ca/

Bientôt du plastique qui se recycle à l’infini ?


Ce n’est qu’en laboratoire, mais il sera probablement possible de recycler bientôt le plastique à l’infini, car pour le moment ce n’est pas tous les plastiques qui le sont et ceux qui peuvent être recyclé le sont généralement une fois et la qualité est altérer.
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Bientôt du plastique qui se recycle à l’infini ?


plastique dechets

Bientôt une méthode pour recycler le plastique à l’infini ? Crédits : PxHere

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

Des chercheurs annoncent avoir mis au point une méthode permettant la décomposition du plastique au niveau moléculaire. Un nouveau procédé qui pourrait autoriser le recyclage infini, sans détériorer la qualité de la matière.

Recycler le plastique, c’est compliqué. Ça coûte cher aussi, et dans la plupart des cas, on n’arrive à le recycler qu’une seule fois, altérant au passage la qualité de la matière. Il va donc falloir trouver une solution au problème global de pollution plastique. Si certains préfèrent se tourner vers d’autres matières plus durables, d’autres en revanche se focalisent sur un moyen de perfectionner le processus de recyclage. C’est notamment le cas d’une équipe de chercheurs du Berkeley Lab, aux États-Unis.

« La plupart des plastiques n’ont jamais été faits pour être recyclés, explique dans un communiqué Peter Christensen, principal auteur de l’étude. Mais nous avons découvert une nouvelle façon d’assembler les plastiques. Une méthode qui prend en compte le recyclage d’un point de vue moléculaire ».

Disséquer le plastique

Le plastique se compose de polymères, des grosses molécules elles-mêmes composées de plus petites molécules appelées monomères. Fabriquer du plastique consiste ensuite à ajouter des produits chimiques qui viennent se coller aux monomères. Vous rendez ainsi la matière plus dure, plus souple, de telle ou telle couleur, etc. Le problème, c’est que ces produits sont très difficiles à éliminer pendant le processus de recyclage. En conséquence, des morceaux de plastique de différentes compositions chimiques se retrouvent mélangés. Vous obtenez alors un plastique de mauvaise qualité qui, dans la plupart du temps, ne peut plus supporter un second procédé de recyclage.

Un nouveau processus, détaillé dans la revue Nature, s’appuie sur l’ajout d’un acide permettant de séparer les additifs chimiques des monomères. Une fois la décomposition moléculaire opérée, il est possible de créer un nouveau plastique tout en garantissant la même intégrité que l’original. Pour l’heure, les premiers tests se sont effectués uniquement en laboratoire. Il va donc falloir optimiser le processus pour que nous puissions, peut-être un jour, nous appuyer dessus. Mais les chercheurs sont sur la bonne voie.

« C’est le moment de commencer à réfléchir à la façon de concevoir des matériaux et des installations de recyclage permettant l’utilisation de plastiques circulaires », note Brett Helms, co-auteur de l’étude.

Et il y a urgence. Des micro-plastiques sont aujourd’hui retrouvés dans les entrailles de la Terre, et jusqu’aux plus hauts sommets. Les plastiques sont partout, et leur utilisation ne fait qu’augmenter. Il y a quelques jours, un rapport alarmant du Fonds Mondial pour la Nature (WWF) estimait que la présence de plastique dans les océans pourrait même doubler au cours de la décennie 2020-2030.

Source

https://sciencepost.fr/