Beauté


Il est facile de voir la beauté chez les enfants et chez les jeunes. Même quand on vieillit, la beauté est toujours présente sur une forme beaucoup plus profonde
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Chaque âge a sa beauté, et cette beauté doit toujours être une liberté

Robert Brasillach

Le Saviez-Vous ► Voilà pourquoi les chiens aiment renifler nos parties intimes


Quoi de plus déplaisant de se faire sentir par un chien aux endroits intimes ? Cela n’est pourtant pas pour mal faire, mais plutôt faire plus ample connaissance. Le chien renifle plein d’information tout comme quand il le fait avec un autre chien. Heureusement, qu’il soit incapable de dire ce qu’il sent, parfois cela serait peut-être encore plus gênant.
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Voilà pourquoi les chiens aiment renifler nos parties intimes


chien museauCrédits : iStock

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Lorsqu’un chien s’approche de nous, il n’est pas rare qu’il vienne directement se placer au niveau de notre entrejambe, comme s’il était irrésistiblement attiré par cet endroit. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il s’agit bien souvent d’un moment très gênant. Et pour cause, nos parties intimes sont sensées rester… intimes ! Mais nos amis canins n’ont aucune idée du malaise qu’ils créent. Il s’agit simplement de leur manière à eux d’obtenir des informations sur nous.

Explications !

Des odeurs qui en disent beaucoup…

Vous l’aurez peut-être déjà remarqué, entre chiens, il est parfaitement normal de se renifler le derrière. En effet, lorsque deux chiens se rencontrent, ils se dirigent instinctivement vers les fesses de leur congénère afin de les renifler.

Les odeurs qu’ils y découvrent sont celles des phéromones. Il s’agit de substances chimiques produites par des glandes situées sur tout le corps des mammifères. Mais ces glandes sont souvent plus concentrées au niveau des parties anale et génitale.

chien renifle

Crédits : iStock

Grâce à leur incroyable sens de l’odorat, les chiens sont alors en mesure de “lire” les phéromones et d’en apprendre ainsi beaucoup l’un sur l’autre. En effet, ces dernières leur permettent d’identifier le sexe, l’âge, l’humeur et l’état de santé du chien qui leur fait face.

De même, ils sont également en mesure de détecter si une chienne est enceinte, si elle est en chaleur ou si elle est dans son cycle oestral (l’équivalent du cycle menstruel chez les femmes).

Un moyen de faire connaissance

Vous l’aurez compris, lorsqu’un chien vient vous sentir les parties intimes, ce n’est pas pour vous mettre mal à l’aise. Son intention est en fait de vous saluer et de vous connaître. Vous renifler de la sorte revient à vous serrer la main tout en vous demandant votre nom, votre lieu de résidence et votre humeur du jour.

En effet, les chiens agissent avec les humains comme ils le feraient avec d’autres chiens. Ils n’ont donc pas conscience que cet acharnement à vouloir renifler l’entrejambe des gens peut être mal interprété.

Par ailleurs, les glandes apocrines, qui produisent les phéromones, se situent essentiellement au niveau des aisselles et de l’aine chez l’homme. Cela explique pourquoi les chiens se dirigent immédiatement vers ces zones.

Mais certaines personnes sont plus susceptibles d’attirer l’attention des chiens, de par les fortes odeurs qu’elles dégagent. C’est notamment le cas de celles qui viennent d’avoir des rapports sexuels, des femmes qui ont leurs règles, qui sont en période d’ovulation, qui viennent d’accoucher ou encore qui allaitent.

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Un lion soigne son cancer dans un hôpital privé


En Afrique du Sud, il n’est pas facile de trouver une clinique pour soigner un lion en captivité. Un hôpital a quand même accepté de soigner l’animal qui souffre d’un cancer de la peau. Un patient quand même assez étrange dans un lit fait pour l’humain
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Un lion soigne son cancer dans un hôpital privé


 

© Kara Heynis.

Source: Daily Mail

AFRIQUE DU SUD L’animal est entré dans l’hôpital par l’arrière, afin d’éviter tout mouvement de panique.


Dans un hôpital sud-africain, le personnel hospitalier a eu la surprise de soigner un lion souffrant d’un cancer de la peau. Le roi des animaux a été ligoté et mis sous anesthésie avant d’être placé sur un lit habituellement réservé aux humains.

Un lion exceptionnel

Il n’existe pour l’instant aucune clinique qui accepte de soigner ce genre de maladie chez les animaux en Afrique du Sud, mais le Mediclinic Muelmed de Pretoria a accepté de faire une exception pour Chaos, un lion âgé de seize ans.

Chaos est arrivée dans son zoo alors qu’il n’avait que quelques jours. Très vite, il est devenu l’animal favori des soignants. Son traitement est couteux mais son capital sympathie est tel que le personnel du zoo est d’accord d’effectuer cette dépense pour lui. 

Cancer de la peau

Il y a quelques semaines, des taches avaient été découvertes sur son museau. Une biopsie avait permi d’établir la présence d’un cancer de la peau. Cinq radiothérapeutes et un oncologue ont été mobilisés pour effectuer des radiations sur l’animal. En cinq minutes, l’opération était quasiment terminée. 

Repos

Le lion se repose aujourd’hui dans un enclos, avec une lionne. Son traitement devrait s’achever d’ici un mois. Les lions vivent en général quatorze ans dans la nature et 22 ans, en captivité.

https://www.7sur7.be/

Cette ville bretonne offre 2000 € à qui déchif­frera ces inscrip­tions mysté­rieuses


Une inscription sur un rocher datant peut-être XVIIIe siècle avec des inscriptions inconnu. Le maire à lancer un appel pour quelqu’un qui pourra traduire les inscriptions avec une petite récompense de 2 000 euros qui équivaut à un peu plus de $ 3 000 cad.
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Cette ville bretonne offre 2000 € à qui déchif­frera ces inscrip­tions mysté­rieuses

Crédits : Ouest-France

par  Mathilda Caron

Dans le Finis­tère, la mairie de Plou­gas­tel-Daou­las offrira 2 000 euros à celui ou à celle qui résou­dra « le mystère de Cham­pol­lion », rappor­tait Ouest-France le 2 mai dernier. 

Ces étranges inscrip­tions gravées sur une roche, dans l’anse du Caro, datent proba­ble­ment du XVIIIe siècle.

Le texte est essen­tiel­le­ment composé de lettres capi­tales mais il y a égale­ment quelques dessins dont un voilier.

« Des gens nous disent que c’est du basque, d’autres nous disent que c’est du vieux breton mais on a encore jamais réussi à déchif­frer le texte », explique Domi­nique Cap, le maire de la ville.

La mairie a fait appel aux linguistes et aux histo­riens pour décryp­ter ce message. Un jury sélec­tion­nera ensuite l’hy­po­thèse la plus probable et décer­nera le prix au vainqueur.

Source : Ouest-France

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Près de 450 hectares de milieux humides détruits en un an


C’est à se demander à quoi sert un ministère de l’Environnement quand il autorise a détruire des milieux humides. Bien sûr, les changements climatiques y sont probablement pour quelque chose, mais le fait qu’on a détruit des marais, des cours d’eau, des marécage … nuie grandement à l’environnement et nous faisons face à des inondations qui auraient peut-être été moins destructeurs.
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Près de 450 hectares de milieux humides détruits en un an 

Le gouvernement québécois a autorisé l'an dernier la... (PHOTO BERNARD BRAULT, LA PRESSE)

Le gouvernement québécois a autorisé l’an dernier la destruction de 444 hectares de milieux humides. Québec a notamment permis le remblayage de deux marécages pour agrandir le stationnement d’Entreposage Leaseholds, à Montréal.

PHOTO BERNARD BRAULT, LA PRESSE

MARTIN CROTEAU
La Presse

(Québec) Le gouvernement québécois a autorisé l’an dernier la destruction de 444 hectares de milieux humides, l’équivalent de 700 terrains de football. C’est la preuve selon certains que la loi protège mal ces milieux névralgiques en période d’inondations.

Des documents déposés à l’Assemblée nationale révèlent qu’entre le 1er avril 2018 et le 28 février dernier, le ministère de l’Environnement a délivré 520 certificats d’autorisation pour des travaux dans des plaines inondables, des rives ou des milieux humides.

Les autorisations touchent un éventail de chantiers. On a permis par exemple à un commerce de remblayer un marécage pour agrandir son stationnement. On a autorisé la construction de ponceaux temporaires pour le futur Réseau express métropolitain (REM). Et à Québec, le réaménagement de l’échangeur qui relie les autoroutes Henri-IV et Félix-Leclerc a nécessité la destruction d’un milieu humide.

Pris ensemble, tous ces travaux ont entraîné la disparition en moins d’un an de marais, cours d’eau et tourbières d’une superficie plus grande que celle de l’île des Soeurs.

L’année précédente, la superficie détruite avait été quatre fois plus importante.

Les milieux humides jouent un rôle névralgique. Non seulement ils abritent une faune riche, mais ils agissent aussi comme des éponges qui captent les eaux de crue des rivières. Leur disparition contribue à empirer les inondations.

Les chiffres publiés par Québec font bondir Guy Garand, qui milite depuis des années pour la protection de ces habitats à Laval.

« C’est une catastrophe, a dénoncé M. Garand, qui dirige le Conseil régional de l’environnement de Laval. Les changements climatiques sont là, mais à un moment donné, il va falloir cesser la destruction des milieux humides. »

Compensation

En 2017, le gouvernement Couillard a adopté une loi qui force les promoteurs à verser une compensation financière à l’État lorsqu’ils détruisent des milieux humides.

En vertu de ce nouveau régime, Québec a autorisé la destruction de 136 hectares l’an dernier. Les redevances se sont élevées à 22 millions de dollars. L’argent sera affecté à la conservation, la restauration et la création de milieux humides.

Sous l’ancienne loi, la destruction devait être compensée « en nature » : pour chaque hectare remblayé, un promoteur ou une ville devait protéger un terrain de plus grande taille. Quelque 65 projets ont été approuvés en vertu de ce régime, l’an dernier. Ils ont entraîné la conservation de 639 hectares de milieux humides.

Selon Guy Garand, Québec doit vite resserrer les règles

« C’est un régime qui permet de payer la compensation. C’est un permis de détruire que tu achètes, et on n’est pas pour ça. »

Révision en cours

François Legault a confirmé hier que son gouvernement comptait réviser la loi qui régit l’aménagement dans les zones sensibles.

« Je ne veux pas revivre à répétition, tous les printemps, la situation qu’on a vécue cette année », a expliqué le premier ministre.

Le ministre de l’Environnement, Benoit Charette, a dit vouloir freiner la construction dans les zones inondables et mieux protéger les milieux susceptibles de contenir les crues.

« Il faudra concevoir notre développement autrement à l’avenir, a convenu M. Charette. Il y a des habitudes, comme société, qu’on avait l’habitude de perpétuer. Et on voit clairement que la nature, dans certains endroits, reprend ses droits. Donc, ce sont des façons de faire qu’on devra revoir. »

Scepticisme

La députée du Parti libéral Marie Montpetit s’est montrée sceptique face aux intentions du gouvernement de la Coalition avenir Québec. Elle a rappelé qu’en campagne électorale, François Legault promettait d’assouplir le régime de protection des milieux humides, qu’il jugeait trop sévère. Le ministre Charette a d’ailleurs confirmé cette intention en commission parlementaire il y a quelques jours.

« On a deux discours en deux semaines, a ironisé Mme Montpetit. S’il souhaite renforcer les règles, on va l’accompagner là-dedans, ça va être une bonne nouvelle. »

Québec solidaire est aussi favorable à des règles plus strictes.

« On sera exposé davantage dans le temps à ce type d’inondations, a souligné la députée Émilise Lessard-Therrien. Il faut repenser le territoire, l’aménagement du territoire. Les milieux humides, on sait que c’est la zone tampon pour amortir les crues des eaux, pour filtrer aussi le ruissellement des eaux. »

– Avec la collaboration d’Hugo Pilon-Larose, La Presse

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Des fautes d’orthographe sur plus de 45 millions de billets de 50 dollars australiens


Moi qui fais des fautes, c’est grave, mais pas cela n’implique ma méconnaissance de certaines règles de grammaire, d’accord de verbe et quelques fautes d’orthographe qui souvent elles sont souvent inconscientes. Cependant, quand c’est pour quelque chose que tout le monde se sert, c’est très fâcheux.
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Des fautes d’orthographe sur plus de 45 millions de billets de 50 dollars australiens

Une partie des 46 millions de nouveaux billets de banque de 50 dollars australiens circulent actuellement avec une même faute d’orthographe répétée à trois reprises, relèvent jeudi les médias locaux. A côté du visage de la première députée féminine Edith Cowan (1861-1932), on peut en effet y lire le mot « responsibilty » (responsabilité) au lieu de « responsibility ».

La faute a été débusquée par un auditeur attentif de Melbourne Radio. La chaîne a ensuite posté une photo du billet sur les réseaux sociaux.

La série de billets de 50 dollars comportant cette erreur est composée de 46 millions de billets, qui sont en circulation depuis le mois d’octobre. La Banque centrale australienne a annoncé que la coquille serait corrigée dans la prochaine série à être imprimée. Tous les billets actuels restent valables et conservent leur valeur faciale (

Capture d’écran. © Instagram.

Pour s’excuser, l’imprimeur a expliqué que le mot mal orthographié était écrit microscopiquement petit. Il provient d’une citation de la députée Edith Cowan, qui a déclaré:

« C’est une grande responsabilité d’être la seule femme ici. »

Le billet de 50 dollars est le plus utilisé en Australie. Il est aussi le plus retiré aux distributeurs dans les banques.

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Ne consommez pas votre placenta, disent les gynécologues


Ce n’est pas la première fois que l’on parle que des femmes consomment le placenta après l’accouchement de leur bébé. En 2017, aux États-Unis, ils avaient émis eux aussi un avertissement. Les femmes mangent le placenta, en transformant généralement en gélule disent que des bienfaits, mais aucune étude n’a vraiment été faite. Cependant, on sait qu’il y a quand même des risques de transmission d’infections et que tant qu’il n’y a pas de protocole, mieux vaut s’abstenir. En tout cas, moi, je ne serais pas du tout intéressé, même en gélule, beurk ! J’aurais eu l’impression d’avoir eu un coté cannibale.
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Ne consommez pas votre placenta, disent les gynécologues

L'une des façons les plus courantes de consommer... (PHOTO MEGAN MAY, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE)

L’une des façons les plus courantes de consommer le placenta est par l’entremise de gélules, fabriquées à partir de placenta déshydraté.

PHOTO MEGAN MAY, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE

VALÉRIE SIMARD
La Presse

Kim Kardashian l’a ingéré sous forme de capsules. Hillary Duff en a intégré à ses smoothies. Consommer son placenta après l’accouchement est une pratique qui, bien qu’assez peu répandue, suscite l’inquiétude des autorités de santé. Après Santé Canada en novembre dernier, la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC) publie une directive clinique dans laquelle elle déconseille cette pratique.

Après avoir effectué une revue des données scientifiques disponibles jusqu’à présent sur la consommation de placenta, la SOGC conclut, dans une directive publiée dans le Journal of Obstetrics and Gynaecology Canada du mois de mai, qu’elle ne peut recommander la placentophagie en raison du « manque de solides données probantes sur les bienfaits » et des effets nuisibles potentiels, soit principalement un risque d’infection chez la mère et sa transmission au nouveau-né par l’allaitement.

Les adeptes de cette pratique prêtent à la consommation du placenta, cet organe qui apporte oxygène et nutriments au foetus, plusieurs bienfaits, dont le rééquilibre du taux de fer et d’hormones, la diminution de la dépression post-partum et l’amélioration de la production de lait. On trouve sur des forums en ligne plusieurs témoignages de femmes qui disent avoir remarqué ces effets. Des sondages réalisés aux États-Unis auprès de femmes ayant consommé leur placenta rapportent aussi ces bienfaits. Leur méthodologie est toutefois critiquée par la SOGC.

« Il y a eu quelques études réalisées sur le sujet, mais qui étaient très mal faites sur le plan méthodologique, donc qui ne permettaient pas de conclure à un bénéfice, souligne la Dre Isabelle Boucoiran, obstétricienne-gynécologue au CHU Sainte-Justine et membre du comité des maladies infectieuses de la SOCG. Par contre, les risques sont clairs. Il y a des risques de transmission d’infection qui peuvent être considérés comme sévères. »

La Dre Boucoiran cite notamment le cas d’un nouveau-né, rapporté aux États-Unis par les Centers for Disease Control and Prevention, qui a été traité pour une infection au streptocoque B, une bactérie qui avait fait l’objet d’un test de dépistage négatif chez la mère pendant la grossesse et qui a été retrouvée dans les capsules de placenta déshydraté consommées par la mère.

Une pratique marginale

Kim Kardashian a consommé son placenta sous forme de gélules.

CAPTURE D’ÉCRAN TIRÉE DE TWITTER

Bien que la SOGC évoque une tendance à la hausse, au Québec, la placentophagie demeure peu répandue, selon la Dre Boucoiran. Depuis 2017, les hôpitaux sont tenus de remettre le placenta aux parents qui en font la demande, à moins qu’une analyse en laboratoire soit requise.

Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) ne compile pas de données sur le nombre de femmes qui quittent l’hôpital avec leur placenta. Mais une porte-parole du MSSS parle d’une tendance qui semble « marginale ». Précisons que les femmes qui demandent à avoir leur placenta ne souhaitent pas toutes le consommer. Certaines souhaitent l’enterrer sous un arbre, en faire fabriquer une oeuvre d’art ou un baume pour la peau.

L’une des façons les plus courantes de le consommer est par l’entremise de gélules, fabriquées à partir de placenta déshydraté. La transformation est faite par de petites entreprises, dont certaines ne s’affichent pas officiellement et qui ne font l’objet d’aucun contrôle. En novembre dernier, dans un avis mettant en garde les mères contre ces services, Santé Canada a précisé que ces produits correspondaient à la définition de drogue dans la Loi sur les aliments et les drogues et qu’elle n’avait autorisé aucun produit de santé contenant du placenta humain. C’est toujours le cas aujourd’hui, nous a confirmé un porte-parole de Santé Canada.

Propriétaire de l’entreprise Vie-ta-mine, Mélanie Mayrand offre l’encapsulation de placenta dans la région de Québec depuis 2012. Elle est d’avis qu’il est nécessaire qu’un protocole soit établi pour encadrer les services de transformation placentaire.

« Présentement, ce n’est pas fait de façon uniforme et régulée et ça pose en effet un risque potentiel de transmission d’infection ou de maladies par le sang. »

« Il y a moyen d’offrir ce service de façon sécuritaire, mais je suis d’accord avec eux [la SOGC] que présentement, il n’y a aucune façon pour une maman de s’assurer que la transformation sera faite d’une façon sécuritaire », ajoute-t-elle.

Elle se dit prête à se conformer aux exigences de Santé Canada.

« Donnez-nous les directives. J’ai appelé à quelques reprises et je n’ai pas eu de retour d’appel. De considérer que c’est un médicament, soit, mais dites-nous comment on peut se plier à la loi. »

Mme Mayrand, qui a transformé et consommé son placenta après la naissance de ses deux derniers enfants, affirme avoir vu son sommeil, son humeur et son niveau d’énergie s’améliorer.

« Autour de moi, les bénéfices qui ont été rapportés ont toujours été les mêmes, fait-elle valoir. Ce serait dommage de déposséder les femmes de cette ressource-là », croit-elle.

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