Points communs


Quand on voit les similitudes entre les humains, on devrait travailler ensemble au lieu d’être contre productif.
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Points communs

 

 

»Notre point commun le plus basique, c’est que nous habitons tous cette planète. Nous respirons tous le même air. Nous chérissons tous l’avenir de nos enfants. Et nous sommes tous mortels. » –

John Fitzgerald Kennedy

Le Saviez-Vous ► Voici comment les poils de votre chien peuvent aider les oiseaux !


Comme à chaque printemps, il y a les inondations et ca commence près de chez-moi et il y a  les oiseaux font leur nid. Ils recherchent donc des matériaux qui seront à la fois douillet, solide et chaud pour leurs petits. Au printemps, les chiens, et même les chats sont en période de mue. C’est l’occasion de mettre les touffes de poils a des endroits stratégiques pour les offrir aux oiseaux .. Attention toutefois, il faut que le poils n’ai pas recu de traitement d’anti-puce pendant plusieurs semaines
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Voici comment les poils de votre chien peuvent aider les oiseaux !

 

rejeter golden retriever être brossé

 

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Si votre chien a tendance à perdre excessivement ses poils lors de sa période de mue, notamment au printemps, sachez qu’il existe une alternative à la poubelle ! Ses poils peuvent en fait être particulièrement utiles… aux oiseaux ! Comme quoi, dans la vie tout se recycle.

Explications.

Des poils de chiens pour construire des nids

Lorsque vous brossez votre chien et que vous vous retrouvez avec des montagnes de poils à ne plus savoir qu’en faire, vous vous demandez peut-être quelle utilisation vous pourriez en faire. Un pull ? Trop compliqué. Alors, le plus souvent, ces poils tout doux finissent à la poubelle.

En réalité, il existe une façon très simple de donner une seconde vie aux poils de votre chien. En effet, il vous suffit… de les laisser dehors ! Ce geste permettra aux oiseaux de les récupérer pour construire leur nid.

En effet, le printemps est la période de reproduction chez les oiseaux. Ces derniers ont donc besoin de bâtir leur nid au plus vite afin d’accueillir leurs oisillons. Ils partent donc à la recherche de toutes sortes de matériaux, notamment des feuilles, des brindilles, de la mousse…

oiseau couve oeufs nid

Crédits : iStock

L’objectif est que le nid soit solide, bien sûr, mais aussi chaud et confortable. Or, les poils de chien constituent un matériau duveteux particulièrement apprécié des oiseaux, notamment à cause de sa douceur et de son isolation naturelle contre le froid et l’humidité.

Attention aux produits anti-puces !

Toutefois, attention, si vous prévoyez de laisser vos poils de chien à disposition des oiseaux, veillez à ne pas avoir administré de pipette antiparasitaire à votre toutou depuis plusieurs semaines. En effet, les produits anti-puces contiennent des produits chimiques qui pourraient être particulièrement nocifs pour les oiseaux…

Par ailleurs, si vous ne voulez pas laisser les poils de votre chien divaguer dans le jardin, vous pouvez les placer dans un nichoir ou une mangeoire à suif pour oiseaux. Il vous suffit ensuite de suspendre cette dernière à une branche d’arbre et le tour est joué !

Bon à savoir : les poils de chats peuvent également être utilisés, mais ils sont généralement moins épais, et donc moins résistants, que les poils de chiens.

Source

https://animalaxy.fr/

Le cime­tière de Vienne vend des Lego pour que les enfants apprennent la mort en s’amu­sant


Quand survient la mort d’un proche, il est parfois difficile de parler de la mort aux jeunes enfants. Un musée funéraire à Venise propose des ensembles Lego pour s’initier a tout ce qui touche un enterrement.
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Le cime­tière de Vienne vend des Lego pour que les enfants apprennent la mort en s’amu­sant

 

Crédits : Bestat­tungs­mu­seum Wien

par  Nicolas Prouillac

Il n’est pas simple pour les parents d’abor­der la ques­tion de la mort avec leurs enfants.

En effet, comment faire pour ne pas terro­ri­ser les tout-petits quand on est soi-même pas très à l’aise avec la fin du film ? Pour venir en aide aux familles dans l’em­bar­ras, le Bestat­tungs­mu­seum (musée funé­raire) de Vienne vend des kits Lego pour permettre aux enfants de rejouer l’en­ter­re­ment de papy ou la créma­tion de mamie au pied de leur coffre à jouets.

Crédits Bestat­tungs­mu­seum Wien

On trouve par exemple un duo exca­va­teur et pierre tombale – sous laquelle on peut glis­ser un cercueil en bois – ; ou bien un four créma­toire aux flammes rouges, accom­pa­gné d’un employé barbu à la mine pati­bu­laire qui bran­dit ce qu’on imagine être une urne funé­raire. Sans oublier le corbillard à l’an­cienne et le four­gon de la morgue, qui trans­porte les morts au frais.

Crédits : Bestat­tungs­mu­seum Wien

Selon le porte-parole du musée Florian Keusch, les premiers kits Lego ont été imagi­nés en 2016. Alors histo­riques (calèche et corbillard), ils ont été rejoints en 2018 par des repré­sen­ta­tions modernes pour aider les enfants à comprendre ce qui est arrivé à leurs aïeux·les dispa­ru·es et faire leur deuil tout en s’amu­sant.

Source : Bestat­tungs­mu­seum

 

https://www.ulyces.co

Le fossile d’un des plus grands mammifères carnivores du monde découvert au Kenya


Une nouvelle espèce éteinte qui aurait vécu, il y a 23 millions d’années. Heureusement, car ce lion était un super carnivore et son physique était assez impressionnant
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Le fossile d’un des plus grands mammifères carnivores du monde découvert au Kenya

Vue d'artiste de Simbakubwa kutokaafrika, ou « grand lion d'Afrique » en swahili. L'animal vivait durant le Miocène, il y a 23 millions d'années. C'est un des plus grands mammifères carnivores connus. © Mauricio Anton

Vue d’artiste de Simbakubwa kutokaafrika, ou « grand lion d’Afrique » en swahili. L’animal vivait durant le Miocène, il y a 23 millions d’années. C’est un des plus grands mammifères carnivores connus. © Mauricio Anton

Floriane Boyer
Rédactrice

Des paléontologues ont identifié au Kenya des restes fossiles datés de 23 millions d’années appartenant à l’unique spécimen d’une nouvelle espèce, baptisée Simbakubwa kutokaafrika, ou « grand lion d’Afrique » en swahili.

On peut affirmer que le roi des animaux ne regrettera certainement pas sa disparition, car S. kutokaafrika est un digne représentant d’un groupe éteint d’hypercarnivores appelés Hyaenodonta.

D’après ses impressionnantes canines longues de 10 cm, ses grosses molaires de 6 cm et son imposante mâchoire, ainsi qu’un os du talon et plusieurs phalanges, l’animal était l’un des plus grands mammifères carnivores connus au monde. De son vivant, il devait mesurer 2,4 mètres de long du museau à la queue, pour une hauteur de 1,2 mètres et un poids pouvant atteindre 280 kgou jusqu’à 1,5 tonne, selon les méthodes d’estimation. Les chercheurs pensent qu’il s’agissait d’un jeune adulte. Le spécimen a été redécouvert dans les collections du Muséum national de Nairobi, capitale du Kenya, où il se terrait au nez et à la barbe de tous depuis qu’il avait été sorti de terredès les années 1980. L’espèce est décrite dans un article paru dans le Journal of Vertebrate Paleontology.

https://www.futura-sciences.

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Une énigme médicale résolue grâce à une chercheuse montréalaise


Malheureusement, le cancer chez les enfants est une dure réalité. À Montréal, un lymphome a été diagnostiqué chez un enfant de 10 ans, puis plus tard chez sa soeur. Le même cancer dans une famille est, parait-il impossible. Ce cas a permis de découvrir que c’est une mutation d’un génome qui serait survenue, il y a environ 4 000 ans. Cette découverte a permis d’éviter la chimiothérapie et de soigner par l’immunothérapie simplement avec un médicament. Ce qui laisse a pensé que d’autres maladie comme la sclérose en plaques, le VIH et d’autres cancers pourront être soigné par de nouvelles formes d’immunothérapie.
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Une énigme médicale résolue grâce à une chercheuse montréalaise

 

La Dre Nada Jabado, hémato-oncologue pédiatre à l'Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill, s'entretient avec Thomas et Meagan Trinh.

La Dre Nada Jabado, hémato-oncologue pédiatre à l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill, s’entretient avec Thomas et Meagan Trinh. Photo: Radio-Canada

Dominique Forget

Grâce à deux enfants montréalais, la Dre Nada Jabado a fait une découverte majeure. Elle a identifié une maladie génétique inconnue des médecins jusqu’à présent. Elle reçoit maintenant des appels de partout dans le monde.

En 2016, les médecins de l’Hôpital de Montréal pour enfants sont abasourdis. Deux enfants se sont présentés à l’urgence avec une forme étrange de cancer, qu’on arrive mal à soigner. D’abord, un garçon : Thomas Trinh. Puis, sa sœur Meagan.

« Même le docteur nous a dit : c’est impossible. Deux fois dans la même famille, c’est impossible », se rappelle King Trinh, le père des enfants.

Thomas a 10 ans lorsque les premiers symptômes se manifestent : une fièvre persistante, puis des bosses douloureuses sous la peau. Un test médical confirme le pire. Thomas est atteint d’un lymphome, un type de cancer qui touche les lymphocytes – ces cellules du système immunitaire chargées de nous protéger contre les infections. À cause de la maladie, les lymphocytes de Thomas se multiplient de façon effrénée.

La chimiothérapie s’avère inefficace. On fait donc appel à un traitement de dernier recours. On détruit toutes les cellules du système immunitaire de Thomas et on les remplace par celles de son frère aîné, Brandon. C’est ce qu’on appelle une greffe de moelle osseuse.

La greffe est un succès. Mais pour la famille, le répit est de courte durée. Quelques mois plus tard, Meagan développe les mêmes symptômes.

On voit les deux enfants, de profil.

Thomas et Meagan Trinh étaient atteints d’une forme rare de cancer. Une greffe de moelle osseuse a permis de les guérir. Mais tous n’ont pas la même chance. Photo : Radio-Canada

La Dre Nada Jabado, hémato-oncologue pédiatre, est appelée en renfort.

« Mes collègues, dès qu’il y a une histoire un peu bizarre, ils m’appellent », raconte cette médecin, rattachée à l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill.

Gène défectueux

La Dre Jabado est une spécialiste du cancer du cerveau chez les enfants. Mais c’est aussi une experte en génétique. Elle propose à la famille Trinh de séquencer leur génome.

« Au moment où j’ai reçu les résultats, j’étais dans un congrès à Okinawa qui était ennuyant à un point inimaginable, se rappelle-t-elle. Alors j’ai ouvert. »

Sous ses yeux se trouve le génome des parents et des enfants Trinh : de longues chaînes d’ADN où se trouvent les gènes, ces recettes qui servent à fabriquer des protéines essentielles au fonctionnement du corps humain.

Chaque gène se trouve en deux copies : une héritée du père et une de la mère.

La Dre Jabado identifie rapidement un gène défectueux; une mutation, dans le jargon. Les parents Trinh – qui ne sont pas atteints de la maladie – en ont chacun une copie. Thomas et Megean ont deux copies défectueuses.

« Ce gène agit beaucoup dans le système immunitaire », explique la Dre Jabado.

Plus spécifiquement, la mutation empêche le corps humain de fabriquer une protéine appelée TIM3. Normalement, cette protéine agit comme un frein sur le système immunitaire. Quand elle ne fonctionne pas correctement, les lymphocytes T s’emballent.

Un ancêtre commun

En passant au crible les banques de données génétiques sur Internet, la Dre Jabado constate que la mutation est particulièrement répandue en Asie du Sud-Est. Plusieurs adultes sont porteurs d’une copie défectueuse et susceptible de donner naissance à des enfants malades.

« J’ai contacté une collaboratrice en Australie, un pays où se retrouvent beaucoup de patients qui viennent d’Asie du Sud-Est, partage la Dre Jabado. Je lui ai demandé si elle avait des enfants qui présentaient les mêmes symptômes que Thomas et Meagan. Elle en avait six. »

La Dre Jabado séquence le génome des enfants australiens. Ils ont la même mutation génétique que Thomas et Meagan. Grâce à d’autres collaborateurs, elle repère 32 cas similaires en France.

Elle n’est pas au bout de sa quête. Elle veut remonter jusqu’à l’origine de la mutation. Elle fait appel à Simon Gravel, expert en génétique des populations à l’Université McGill.

« On voyait la mutation au Japon, en Polynésie, chez les Maoris en Nouvelle-Zélande et en Chine, raconte le mathématicien. Si on essaie de remonter au dernier ancêtre commun de tous ces peuples, ça nous amène plusieurs milliers d’années en arrière. »

Selon les estimations, la mutation serait survenue il y a environ 4000 ans.

Une cible prometteuse pour l’immunothérapie

La bonne nouvelle pour les patients, c’est qu’ils éviteront désormais les chimiothérapies inutiles. La Dre Jabado a un traitement beaucoup plus efficace à leur proposer. Un simple médicament : la cyclosporine. Elle stoppe l’activation des lymphocytes T, permettant une rémission des patients.

La chercheuse reçoit maintenant des appels de médecins, de partout dans le monde.

Un frère et une sœur atteints d'une forme étrange de cancer, une énigme médicale

La famille Trinh a permis de faire avancer les connaissances sur cette forme rare de cancer. Photo : Radio-Canada

La portée de sa découverte va bien au-delà du traitement de lymphomes rares. Elle laisse croire qu’en bloquant le gène responsable de la protéine TIM3 chez certains malades, on pourrait donner un coup de fouet au système immunitaire. Cela pourrait ouvrir la voie à de nouvelles formes d’immunothérapie contre le cancer, la sclérose en plaques ou le VIH.

« La famille Trinh nous a donné un énorme cadeau, reconnaît la chercheuse. Pour aider d’autres patients atteints de la même maladie que Thomas et Meagan, mais surtout en montrant à la communauté scientifique que si on veut exciter le système immunitaire, c’est possiblement là qu’il faut travailler. »

https://ici.radio-canada.ca

Le plus gros perroquet du monde profite du réchauffement climatique


Un perroquet assez particulier, car il ne vole pas, il est le plus gros de tous les perroquets, il vit en Nouvelle-Zélande et en plus et l’accouplement ne se fait que tous les 2 ou 4 ans quand des baies de rimu. Les scientifiques croient que le réchauffement climatique a aidé que ces baies soient tellement abondantes que cela a incité les couples de kakapo à s’accoupler que l’espèce semble revivre à nouveau.
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Le plus gros perroquet du monde profite du réchauffement climatique

 

Cru éteint jusqu'à la découverte de quelques adultes... (PHOTO ANDREW DIGBY, AGENCE FRANCE-PRESSE)

Cru éteint jusqu’à la découverte de quelques adultes en 1970, le kakapo, cet oiseau au plumage vert et jaune qui peut atteindre jusqu’à 60 cm et peser jusqu’à 4 kilos, est le seul perroquet qui ne vole pas, et compte actuellement une population de 147 adultes.

PHOTO ANDREW DIGBY, AGENCE FRANCE-PRESSE

PARTA

Agence France-Presse
Wellington

Le plus gros perroquet du monde, le kakapo, ou perroquet-hibou, natif de Nouvelle-Zélande et espèce en danger, a enregistré cette année un nombre record de naissances, peut-être bien grâce au réchauffement climatique, selon des scientifiques néo-zélandais.

Alors qu’il y a une cinquantaine d’années, on croyait cet oiseau nocturne éteint, quelque 75 oisillons devraient survivre cette année, a expliqué à l’AFP Andrew Digby, un conseiller scientifique pour le sauvetage du kakapo en Nouvelle-Zélande.

Il surveille un programme de reproduction qui est suivi de tellement près que les scientifiques peuvent dire avec certitude que le dernier des 249 oeufs pondus cette année devrait éclore vendredi.

Cru éteint jusqu’à la découverte de quelques adultes en 1970, cet oiseau au plumage vert et jaune qui peut atteindre jusqu’à 60 cm et peser jusqu’à 4 kilos, et est le seul perroquet qui ne vole pas, compte actuellement une population de 147 adultes.

Le kakapo est aussi un perroquet inhabituel pour ce qui est de ses habitudes reproductives, a expliqué M. Digby. Les femelles ne s’accouplent que tous les deux à quatre ans, lorsque les baies de rimu dont elles se nourrissent, une plante indigène à la Nouvelle-Zélande, sont particulièrement nombreuses.

« Nous ne sommes pas sûrs de la raison, mais la baie de rimu est particulièrement riche en vitamine D, et est un super aliment, associé à la fert, ilité et la bonne santé », a-t-il précisé.

Et les baies de rimu ont été extrêmement nombreuses cette année, peut-être-c’est l’une des théories avancées-grâce au réchauffement climatique.

Au début de la saison des amours, les mâles se pavanent devant les femelles, qui choisissent un partenaire.

Après l’accouplement, la relation se termine et le mâle ne participe ni au processus d’incubation ni à l’élevage. 

Les kakapos – dont le nom signifie « perroquet de nuit » en maori – sont maintenus sur quatre îles au large des côtes néozélandaises sur lesquelles elles n’ont pas de prédateur.

Ils vivent à l’état sauvage, mais sont chacun munis d’un transmetteur radio, et les nids sont également surveillés.

« C’est probablement l’une des espèces les plus étroitement surveillées au monde », a encore souligné M. Digby, qui explique que la surveillance pourra être allégée lorsque la population aura atteint au moins 500 individus.

Selon lui, sur les 50 femelles adultes, 49 ont pondu cette année, pour un total de 249 oeufs. Sur ceux-ci, 89 ont éclos, et 75 oisillons devraient arriver à l’âge adulte.

C’est plus du double des chiffres de la dernière saison de reproduction il y a trois ans.

https://www.lapresse.ca/

Le chien serait capable de faire progresser votre enfant en lecture


Ce n’est pas la première fois qu’on parle que les chiens sont une aide précieuse pour la lecture des enfants. Grâce à cet animal, un enfant ne sent le stress quand il fait une erreur, car le chien n’a aucun jugement. Cela permet donc d’améliorer la lecture du jeune lecteur en apprentissage.
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Le chien serait capable de faire progresser votre enfant en lecture

 

Pratique courante aux Etats-Unis, les chiens qui encouragent les enfants à s'améliorer en lecture

Connaissez-vous cette pratique populaire aux Etats-Unis qui consiste à encourager les enfants à lire à côté d’un chien ? Une méthode qui permet à l’enfant d’avoir confiance en lui.

De nombreuses recherches montrent qu’un enfant qui est un grand consommateur de livres obtiendra de meilleurs résultats scolaires. Pour aider ces derniers à s’améliorer dans le domaine de la lecture, on fait de plus en plus souvent appel aux chiens.

Mais pourquoi les canidés ? Tout simplement parce qu’un chien constitue un public sans jugement et c’est souvent un être avec lequel on se sent bien. Donc si l’enfant fait une erreur, le chien ne le reprendra pas et il pourra continuer à s’entraîner et donc prendre confiance en lui.

Encourager l’enfant à lire près d’un chien 

Par « faire la lecture à des chiens », on veut simplement dire : encourager les enfants à lire à côté d’un chien. C’est une méthode existant depuis 1999 aux Etats-Unis, à travers le programme Reading Education Assistance Dogs et elle se répand depuis à d’autres pays.

Le toutou a un effet apaisant sur les gens d’où son utilité en tant que chien de thérapie. Le stress est présent au travail mais aussi dans les écoles primaires, les enfants peuvent vite se sentir sous pression et ma gérer celle-ci. L’apprentissage de la lecture pour les plus petits est une activité scolaire primordiale qui peut être source d’angoisses.

Le chien intervient pour encourager l’élève à s’améliorer et rendre cette activité plus agréable. Ainsi, l’enfant peut trouver la motivation nécessaire pour poursuivre ses efforts et sans jugement de la part de l’autre, prendre confiance en lui petit à petit.

Au Royaume-Uni, cette technique s’est de plus en plus popularisée. Par exemple, Tony Nevett et son Lévrier Danny interviennent dans de nombreuses écoles anglaises et leur présence a eu un impact positif non seulement sur la lecture mais aussi sur le bien-être et le comportement général des enfants ayant des besoins variés.

 

https://wamiz.com/