Ses raisons


Non pas qu’il ne faut pas avoir des raisons pour agir, mais il y a des comportements comme la violence, la malhonnête etc .. qui ont aussi des raisons qui ne sont pourtant pas justifiables.
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Ses raisons

 

« Ce qui est terrible sur cette terre, c’est que tout le monde a ses raisons. »        
 
Jean Renoir

Le Saviez-Vous ► Etes-vous atteint du syndrome de Stendhal?


Il existe des syndromes qui sont vraiment étonnants, Le syndrome de Stendhal est relier à la beauté dans le domaine des arts. Des touristes tombent en extasient devant une oeuvre pouvant avoir un sentir une défaillance, et les battements du coeur s’accélèrent.
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Etes-vous atteint du syndrome de Stendhal?

 

Florence, Musée des Offices

Florence, Musée des Offices — SIPA

«Peut-on mourir d’art?» Nous sommes en 1817, Stendhal est à Florence; il vient de visiter l’église Santa Croce et se sent défaillir, les battements de son cœur s’accélèrent, il est dans «une sorte d’extase».

«Absorbé dans la contemplation de la beauté sublime, je la voyais de près, je la touchais pour ainsi dire. J’étais arrivé à ce point d’émotion où se rencontrent les sensations célestes données par les Beaux Arts et les sentiments passionnés

Ce sentiment de faiblesse soudaine due à l’art a été revécu depuis par d’autres que par l’auteur du Rouge et le Noir et de La Chartreuse de Parme. En 1979, des psychiatres commencent à y voir une maladie clinique, recensent les cas observés (des centaines) et dressent des typologies (les Florentins sont immunisés, les Européens sont très exposés…) Une étude est menée cet été même à Florence, pour étudier les comportements des touristes, et voir leurs réactions à l’art.

Le projet est ambitieux: il s’agit d’organiser un parcours, autour d’œuvres spécifiques, pour découvrir leur effet sur les touristes. Les spectateurs verront mesurées leur fréquence cardiaque, respiratoire, leur tension, la consommation d’oxygène, comme autant de témoignages de la corrélation psycho-émotive. Puis des tests d’écriture créative seront passés, en lien avec les œuvres vues, pour évaluer le syndrome de manière qualitative et connaître la manière dont une œuvre d’art peut se ressentir.

Palazzo Medici Riccardi

Le lieu précis est le Palazzo Medici Riccardi, qui date du 15e siècle – il avait été construit pour les Médicis, puis fut la propriété des Grands Ducs de Florence. Beaucoup de ses œuvres ont désormais été dispersées, et il abrite désormais des bureaux…

Si ce lieu-ci n’est pas forcément propice à ravir tous les touristes, il existe des variantes de ce syndrome. Comme celui de Jérusalem, qui est d’ordre plus psychiatrique. C’est la sacralité d’une ville qui provoque l’émoi: un délire mystique dans des villes saintes – comme Jerusalem. Une centaine de touristes sont atteints chaque année – certains s’évanouissent; d’autres se prennent pour Jésus. D’autres font l’un puis l’autre.

A l’inverse, le syndrome de Paris touche des Japonais qui pensaient trouver dans la capitale une ville lumière qu’ils avaient fantasmée et qui n’est pas à la hauteur. La déception est alors telle que certains sont contraints au rapatriement. Voire à l’hospitalisation.

https://www.20minutes.fr/

Des fonctions du cerveau de porcs restaurées après leur mort


Une étude glauque, mais il semble que cela puisse aider à sauver des fonctions cérébrales lors d’un ACV et une récupération cellulaire après une blessure. L’étude se comportait à rétablir des fonctions du cerveau des têtes de cochon (séparé du corps) quelques heures après la mort de l’animal. Bien que l’activité électrique n’a pas été observée, ils ont quand même réussi une restauration des vaisseaux sanguin, quelques activités cérébrales etc ..
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Des fonctions du cerveau de porcs restaurées après leur mort

 

Un cochon.

Un cochon Photo: Reuters / Laszlo Balogh

Radio-Canada

Certaines fonctions du cerveau de porcs ont été rétablies dix heures après leur mort, montrent les travaux de scientifiques américains.

Le neuroscientifique Nenad Sestan et ses collègues de l’Université Yale estiment que le résultat de leur recherche remet en question l’idée grandement répandue de la nature irréversible de la cessation de certaines fonctions cérébrales après la mort.

Elle pourrait aussi fournir une nouvelle façon de concevoir l’étude de maladies comme l’Alzheimer.

De l’activité, mais pas électrique

Images microscopiques.

Sur ces images, on voit les neurones en vert, les astrocytes en rouge et les noyaux cellulaires en bleu. À gauche, l’image représente le cerveau du porc 10 heures après sa mort; à droite, le cerveau du porc après avoir été traité. Photo : Yale School of Medecine

Les cerveaux de 32 cochons ont été recueillis dans une usine de transformation de viande quatre heures après leur mort.

Ils ont ensuite été connectés à un système de pompe qui reproduisait leur pouls pendant six heures. Ce système injectait dans les organes un liquide spécialement conçu contenant du sang synthétique transportant de l’oxygène et des médicaments.

Les chercheurs ont constaté, dix heures après la mort des bêtes, que plusieurs fonctions cellulaires de base, que l’on pensait arrêtées quelque temps après l’arrêt du flux sanguin et de l’apport en oxygène, ont été restaurées.

Les chercheurs ont observé :

  • une réduction de la mort des cellules cérébrales;
  • une restauration des vaisseaux sanguins;
  • une certaine activité cérébrale;
  • une réponse normale aux médicaments.

Le cerveau intact d’un grand mammifère conserve une capacité auparavant sous-estimée de restauration de la circulation et de certaines activités moléculaires et cellulaires plusieurs heures après l’arrêt circulatoire. Nenad Sestan, chercheur de l’Université Yale

Les auteurs de ces travaux publiés dans le journal Nature(Nouvelle fenêtre)(en anglais) n’ont toutefois pas observé de signaux électriques habituellement associés au fonctionnement normal du cerveau.

À aucun moment nous n’avons observé d’activité électrique associée à la perception ou à la conscience. Cliniquement parlant, ce n’est pas un cerveau vivant, mais un cerveau actif sur le plan cellulaire. Zvonimir Vrselja, chercheur de l’Université Yale

Le saviez-vous?

 

  • Des scientifiques espagnols ont montré en 2018 que des changements génétiques continuent de se produire dans certains tissus du corps au cours des 24 heures qui suivent la mort d’une personne.
  • Des chercheurs européens et américains avaient établi en 2017 que certains gènes chez la souris et le poisson-zèbre restaient actifs jusqu’à quatre jours après leur mort.

La mort cérébrale

La mort cellulaire dans le cerveau est généralement considérée comme un processus rapide et irréversible. Coupée de l’oxygène et de l’approvisionnement en sang, l’activité électrique du cerveau et les signes de conscience disparaissent en quelques secondes, tandis que les réserves d’énergie s’épuisent en quelques minutes.

Les connaissances actuelles laissent à penser qu’une cascade d’événements à l’échelle moléculaire est ensuite activée, et qu’elle entraîne une dégénérescence généralisée et irréversible.

Les présents travaux révèlent cependant que les petits échantillons de tissus montrent toujours des signes de viabilité cellulaire, même lorsque le tissu est prélevé plusieurs heures après la mort.

Cette nouvelle connaissance ne présente pas d’intérêt médical immédiat, mais la technique utilisée pourrait un jour permettre d’aider les médecins à sauver les fonctions cérébrales des personnes qui ont subi un AVC ou encore à tester l’efficacité de thérapies ciblant la récupération cellulaire après une blessure.

https://ici.radio-canada.ca/

Un bébé naît deux mois après son jumeau


Des jumeaux nés a 2 mois d’intervalle. Le petit garçon est né seulement à 24 semaines alors que sa petite soeur est né à 33 semaines.. Grâce à l’équipe médicale qui a pu laisser intacte le placenta qui a permis a cette petite fille de poursuivre sa croissance jusqu’à sa naissance
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Un bébé naît deux mois après son jumeau

 

KAMSING VIA GETTY IMAGES

Dénouement heureux pour une situation plutôt complexe!

Une maman italienne a d’abord donné naissance à Alessandro le 24 décembre dernier, puis à Andrea le 22 février, événement rarissime pour des jumeaux, a indiqué jeudi à l’AFP une responsable de la maternité du nord de l’Italie où ont eu lieu les deux accouchements.

La mère de 40 ans avait dû être hospitalisée d’urgence en décembre 2018 et avait accouché d’Alessandro, bébé prématuré de 800 grammes âgé de moins de 6 mois (24 semaines).

Grâce à l’équipe médicale, le placenta est resté intact et l’autre jumeau a pu poursuivre sa croissance dans le ventre de sa mère.

L’histoire, très compliqué d’un point de vue médical, a eu un dénouement heureux lorsque 60 jours plus tard, Andrea, 3 kilos, a vu le jour à 33 semaines (8 mois).

« Toute la famille va bien, elle devrait sortir d’ici quelques jours », a précisé la responsable de la « Fondation pour l’Enfant et sa Mère » de la ville de Monza (près de Milan), qui gère la maternité. « C’est la première fois que nous voyons un cas de ce type », a-t-elle souligné.

Les deux jumeaux n’auront paradoxalement pas le même âge, ce qui a suscité la perplexité des services administratifs au moment de rédiger le certificat de naissance, raconte le père.

« Doit-on écrire que c’est le jumeau d’un autre qui n’est pas encore né? », se sont-ils demandés.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Des scientifiques veulent cloner un cheval vieux de 42.000 ans avec du sang liquide


En décembre 2018, on parlait qu’on espérant trouver de l’ADN d’un poulain vieux de 42 000 milles ans très bien conservé. En faisant l’autopsie, les scientifiques ont découvert de l’urine ainsi que du sang. Grâce à ce sang, ils veulent cloner ce poulain. Imaginez les mêmes scientifiques travaillent aussi pour faire revivre un mammouth. Le gouverneur de Yakoutie en Russie, veut créer un parc préhistorique avec des animaux cloné, Tiens donc, a-t’il pris l’idée des films Jurrassic parc ? Pourtant, il y a déjà bien des animaux à sauver avant de ranimer des animaux préhistoriques.
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Des scientifiques veulent cloner un cheval vieux de 42.000 ans avec du sang liquide

 

Céline Deluzarche
Journaliste

Le premier animal préhistorique à renaître ne sera peut-être pas le mammouth mais un cheval. Des chercheurs russes et sud-coréens viennent d’autopsier un poulain retrouvé dans le pergélisol l’an dernier, qui serait l’animal préhistorique le mieux préservé au monde.

« Le monde va bientôt assister à la naissance d’un clone de cheval de 42.000 ans ».

L’annonce provient Michil Yakovlev, le directeur de la communication de l’Université fédérale du Nord-Est de Yakutsk (Nefu). Une équipe de scientifiques russes et sud-coréens vient de procéder à la dissection d’un poulain retrouvé congelé dans le permafrost en août 2018 et compte utiliser ses cellules pour le ressusciter. Le projet serait tellement avancé que les chercheurs affirment être déjà à la recherche d’une mère porteuse.

Un état de préservation exceptionnel

L’optimisme des chercheurs s’explique par l’état de préservation incomparable du poulain.

Il s’agit de « l’animal issu de l’âge de glace le mieux préservé au monde », assure ainsi Semyon Grigoryev, directeur du Musée du Mammouth à Yakutsk (Russie).

Le poulain est mort quelques jours après à sa naissance, sans doute en se noyant dans la boue, son appareil gastro-intestinal étant rempli de limon.

« C’est une découverte exceptionnelle, insiste Semyon Grigoryev dans le Siberian Times. D’habitude, les animaux préservés dans la glace sont incomplets, déformés ou complètement momifiés. Ici, même ses poils sont préservés, ce qui est incroyablement rare pour une découverte aussi ancienne ».

Le cheval a été retrouvé congelé dans le cratère de Batagai en Sibérie.  © The Siberian Times, YouTube

Le poulain, de la race Lenskaya, éteinte il y a environ 4.000 ans, provient du cratère de Batagai dans la région de Yakoutie, en Sibérie. Cette dépression impressionnante d’un kilomètre de long pour 100 mètres de profondeur abrite de nombreux restes spectaculaires d’animaux préhistoriques : défenses de mammouth, carcasse de rhinocéros laineux, perdrix, bison ou chevaux congelés.

L’urine « la plus vieille du monde »

Les scientifiques ont réussi à extraire des muscles « rougeoyants » et des vaisseaux sanguins contenant du sang liquide.

« Nous avons même trouvé de l’urine dans la vessie. C’est l’urine la plus vieille du monde ! » sourit Semyon Grigoryev.

Les chercheurs vont du coup pouvoir procéder à une série d’analyses (taux de protéines, glucose, bilirubine, hémoglobine, leucocytes, pH, etc…) pour mieux connaître l’animal.

    Les deux équipes de scientifiques sont dirigées par le profes­seur sud-coréen Hwang Woo-suk, déjà en charge de « ressusciter » le mammouth laineux à partir de spécimens retrouvés congelés dans le permafrost. Une perspective qui excite les scientifiques du monde entier : un projet concurrent mené par George Church, de l’université de Harvard aux États-Unis, mise quant à lui sur l’édition génétique pour créer un hybride d’éléphant d’Asie portant quelques gènes de mammouth laineux. Des projets restés jusqu’ici sans succès.

    Un parc zoologique préhistorique peuplé d’animaux clonés

    D’après le gouverneur de la province de Yakoutie, interrogé par le Siberian Times, le clonage du mammouth devrait être réalisé d’ici « environ dix ans ». Il devrait alors rejoindre le poulain cloné dans le futur parc zoologique préhistorique que compte créer le gouverneur. Peuplé d’animaux clonés d’après des spécimens retrouvés congelés dans le permafrost, comme le lion des cavernes ou le bison, il devrait attirer les touristes dans la région reculée de Yakoutie. Rien en revanche sur un retour du Tyrannosaurus Rex.

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Un cheval de 42.000 ans découvert gelé dans le permafrost sibérien vient d’être autopsié.

  • En raison de son exceptionnel état de préservation et de la présence de sang liquide, les scientifiques pensent qu’il est possible de le cloner.

  • La même équipe travaille sur le clonage du mammouth laineux et d’autres animaux congelés retrouvés dans la région.

 

https://www.futura-sciences.com

Vivre comme sur Mars? Une base ouvre dans le désert chinois


Je ne sais pas si un jour, des hommes et des femmes pourront aller sur Mars, mais l’idée est intéressante pour les étudiants et même pour le tourisme.
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Vivre comme sur Mars? Une base ouvre dans le désert chinois

 

Les premiers à visiter la «Base Mars 1» sont des adolescents.

Une impressionnante base spatiale éducative a ouvert au public mercredi en Chine dans un endroit reculé du désert de Gobi: elle présente aux visiteurs à quoi la vie pourrait ressembler sur Mars.

Point d’astronautes ni de petits hommes verts dans ces bâtiments blancs sortant du sable ocre au milieu de collines arides.

La base aux lignes futuristes et épurées, installée dans la province du Gansu, est équipée d’un dôme couleur argent et de neuf modules, qui abritent des lieux de vie, une salle de contrôle, une serre ou un sas.

GALERIE PHOTOBase Mars 1Voyez les images

L’inauguration du site survient à l’heure où la Chine rattrape petit à petit son retard sur les Etats-Unis et la Russie en matière d’exploration spatiale. Elle ambitionne notamment d’envoyer un jour un homme sur la Lune.

L’agence spatiale chinoise prévoit d’envoyer un véhicule téléguidé sur la vraie planète rouge l’an prochain.

Les adolescents ont enfilé mercredi des combinaisons avant de partir en randonnée dans le désert, où ils ont pu explorer des grottes dans un paysage rappelant celui de Mars. La ville la plus proche est Jinchang, à environ 40 kilomètres.

Ce programme a reçu l’aide du Centre des astronautes de Chine et du China Intercontinental Communication Centre (CICC), une société de production audiovisuelle publique.

La base est spécifiquement destinée à la popularisation des connaissances spatiales auprès des élèves mais elle devrait également accueillir des touristes, ont indiqué les organisateurs

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https://quebec.huffingtonpost.ca/

L’ori­gine des bâtis­seurs de Stone­henge révé­lée par des tests ADN : ils venaient de Médi­ter­ra­née


Ils semblent que les bâtisseurs de Stonehenge n’aient pas la même origine que ceux qui ont instaurer l’agriculture en Grande-Bretagne. L’un venait de la Turquie et l’autre de l’Espagne et du Portugal.
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L’ori­gine des bâtis­seurs de Stone­henge révé­lée par des tests ADN : ils venaient de Médi­ter­ra­née

 

par  Laura Boudoux

 

À Londres, des cher­cheurs viennent de lever le voile sur les origines des bâtis­seurs de Stone­henge, le monu­ment méga­li­thique érigé au Royaume-Uni entre –2800 et –1100. Pour cela, ils ont comparé l’ADN prélevé sur les restes humains retrou­vés à proxi­mité des lieux à celui de personnes vivant à la même époque en Europe, raconte la BBC.

D’après leurs résul­tats, publiés le 15 avril 2019, ceux qui ont bâti Stone­henge auraient initia­le­ment voyagé d’Ana­to­lie, la Turquie d’aujourd’­hui, vers la pénin­sule ibérique, avant de traver­ser la France, puis la Manche.

Lorsque les cher­cheurs ont analysé l’ADN des premiers agri­cul­teurs britan­niques, ils ont en effet décou­vert qu’il était plutôt simi­laire à celui des humains qui vivaient dans les zones de l’Es­pagne et du Portu­gal actuels. En plus de l’agri­cul­ture, les migrants néoli­thiques arri­vés en Grande-Bretagne par la France semblent avoir intro­duit la tradi­tion de la construc­tion de monu­ments dans le pays. Ils utili­saient pour cela de grosses pierres appe­lées méga­lithes, et Stone­henge fait partie des œuvres construites par ces personnes d’ori­gine médi­ter­ra­néenne.

Si le Royaume-Uni était avant cela habité par des groupes de chas­seurs-cueilleurs, et il semble­rait que les agri­cul­teurs, arri­vés vers 4000 av. J.-C., aient peu à peu remplacé ces popu­la­tions.

« Nous ne trou­vons aucune preuve de la présence des chas­seurs-cueilleurs occi­den­taux britan­niques chez les agri­cul­teurs du Néoli­thique après leur arri­vée », confirme ainsi Tom Booth, spécia­liste de l’ADN au Muséum d’his­toire natu­relle de Londres. « Cela ne signi­fie pas que les deux groupes ne se mélan­geaient pas du tout, mais que la taille de leur popu­la­tion était peut-être trop petite pour avoir laissé un quel­conque héri­tage géné­tique », explique-t-il.

Source : BBC

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