Les mauvaises choses


Personne ne connait l’avenir, ils nous arrivent tous des moments très difficile à vivre et qu’on se demande comment passer au travers. Alors que la vie continue, et qu’en fin du compte, les aléas rencontrés, nous a amener à quelque chose de mieux
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Les mauvaises choses

 

 

Parfois, les mauvaises choses qui nous arrivent nous mettent sur le chemin d’une meilleur suite.

Inconnu

Le Saviez-Vous ► Quelle est la différence entre l’herbe à chat et l’herbe-aux-chats ?


La plupart des gens, du moins ceux qui ont des chats, savent ce qu’est l’herbe-aux-chats. L’herbe à chat est peut-être moins connu et pourtant très utile pour les chats
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Quelle est la différence entre l’herbe à chat et l’herbe-aux-chats ?

 

Crédits : iStock

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Vous les voyez partout, mais vous ne savez pas à quoi elles servent ? Pire, vous ne savez pas comment les différencier ? Pas de panique, on vous explique enfin ce que sont l’herbe à chat et l’herbe-aux-chats, ainsi que leurs différences !

L’herbe à chat

Les chats sont connus pour être des animaux très propres. Et pour cause, ils passent une grande partie de leur temps à faire leur toilette. Or, lorsqu’ils se lèchent, ils ingèrent une plus ou moins grande quantité de poils morts. Ces poils forment ensuite des boules de poils dans leur estomac.

Si elles ne sont pas régurgitées, ces boules de poils peuvent représenter un grand danger pour la santé des chats, car elles peuvent obstruer leur appareil digestif. C’est pour cette raison que les chats ayant accès à un jardin mangent parfois de l’herbe, car cela les aide à vomir ces boules de poils et donc à se purger. Ainsi, pour aider nos petits félins vivant en appartement à expulser eux aussi les boules de poils contenues dans leur estomac, il est nécessaire de leur proposer de l’herbe à chat.

chat herbe

Crédits : iStock

L’herbe à chat correspond à de jeunes pousses de blé, d’avoine, d’orge ou encore de seigle. Elle permet de satisfaire les besoins en végétaux du chat mais aussi et surtout de favoriser sa digestion. Vendue dans le commerce, vous pouvez également la faire pousser vous-même dans votre appartement ou votre jardin. Cela évitera également à votre chat de mâchouiller vos plantes, qui peuvent être toxiques pour lui.

L’herbe-aux-chats

L’herbe-aux-chats qualifie en réalité de nombreuses plantes ayant un effet attractif et euphorisant sur les chats. La plus connue est la cataire, une plante appartenant à la famille de la menthe et dont l’odeur provoque chez le chat des hallucinations, comme le ferait la marijuana ou le LSD chez l’Homme. Une vraie drogue, en quelque sorte !

Ainsi, si votre chat vient à renifler de la cataire (attention, cette plante ne se mange pas !), il se mettra à adopter un comportement étrange. Il pourra se lécher frénétiquement, secouer la tête dans tous les sens, faire des bonds et se rouler ou se frotter à la plante durant de longues minutes. Bref, devenir tout foufou ! Mais rassurez-vous, la cataire n’est pas nocive pour votre chat, le seul risque à lui en donner trop souvent est d’en faire disparaître les effets.

herbe aux chats

Crédits : KENPEI/Wikimedia Commons

Cette plante est particulièrement utile pour stimuler votre chat ou pour lui donner envie de s’intéresser à un objet en particulier. Par exemple, si votre matou n’a de cesse de faire ses griffes sur votre canapé alors que vous lui avez acheté un griffoir, pulvérisez un peu de cataire sur le griffoir et votre chat sera irrésistiblement attiré par ce dernier. Vous pouvez également mettre un peu de cataire déshydratée à l’intérieur d’un jouet afin de convaincre votre chat de jouer avec.

https://animalaxy.fr/

La beauté rend heureux: logique mais désormais scientifiquement prouvé


Ce n’est pas vraiment surprenant que d’aller dans un bel environnement qu’il soit naturel ou non permet de se sentir bien. Quoique, je pense que la nature est encore plus profitable que les constructions humaine. Donner aux villes des endroits attrayants donnerait un second souffle a bien des quartiers.
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La beauté rend heureux: logique mais désormais scientifiquement prouvé

 

Paysage de Savoie (mont Granier) © getty.

Vivre dans un bel endroit rend heureux. Quand la science vient confirmer la découverte de l’instinct.

C’est désormais scientifiquement prouvé grâce aux conclusions d’une recherche dirigée par Chanuki Seresinheet réalisée en collaboration avec l’université de Warwick (Royaume-Uni).

Confrontés à une série de photos prises aux quatre coins du Royaume-Uni, des volontaires ont permis de distinguer des tendances récurrentes. Si les gens confient être plus heureux dans les « environnements les plus pittoresques », la nature ne possède heureusement pas le monopole du bonheur. En effet, la chercheuse a pu démontrer que les constructions humaines pouvaient également contribuer au bien-être intérieur: les ponts ou les immeubles à l’architecture soignée, par exemple. relate le magazine Nature, relayé par Slate. 

Une observation intéressante et qui vient conforter la nécessité de repenser l’environnement urbain pour optimiser le bien-être de la population. 

Mais quel est donc le point commun de ces « beaux endroits », naturels ou urbains? Selon Chanuki Seresinhe, le secret réside dans leur « charge cognitive ». Le paysage doit attirer l’attention sans surcharger, de façon à rendre agréable sa contemplation:

« De jolies rues avec une vue dégagée et peu de distractions peuvent également être revigorantes. Un bel environnement capte notre attention plus longtemps et permet de bloquer l’intrusion de pensées négatives », précise la chercheuse.

https://www.7sur7.be/

La station spatiale internationale est pleine de bactéries !


Les astronautes qui séjournent dans la station spatiale internationale, n’y vont pas seuls. Ils amènent avec eux des petits amis à leur insu dont certains pourraient causer des problèmes de santé. Bien que les bactéries et champignons peuvent aussi fonctionner autrement dans l’espace, rien ne dis qu’à la longue, ils pourraient s’affaiblir ou devenir plus dévastateurs. Cela me fait penser à la colonisation dont des colons on contaminer des autochtones qui n’avaient pas d’immunité contre certaines maladies.
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La station spatiale internationale est pleine de bactéries !

 

Tracy Caldwell Dyson dans l'ISS Cupola.

par Yohan Demeure, rédacteur scientifique

Des chercheurs ont examiné la Station spatiale internationale (ISS) durant des mois afin de déterminer la quantité de bactéries présentes à bord. Or des bactéries, il y en a énormément. Quels sont les risques ?

Une grande variété de bactéries

L’étude pilotée par le docteur Kasthuri Venkateswarana du Jet Propulsion Laboratory (États-Unis) et la docteure Aleksandra Checinska Sielaff de l’Université d’État de Washington aura porté sur 14 mois. Il s’agissait de déterminer la quantité de bactéries et autres champignons présents à bord de l’ISS. Et force est de constater qu’il y a de la vie sur l’ISS, selon les résultats publiés dans la revue Microbiome le 8 avril 2019.

Les chercheurs ont déterminé la présence de 133 populations de bactéries diverses et 81 populations de champignons. Parmi ces organismes, certains sont inoffensifs, mais d’autres pourraient représenter un danger. En effet, les célèbres Staphylococcus représentent à eux seuls 26 % de la population bactériologique de l’ISS. Citons également la présence de protéobactéries Pantoea (23 %), connues pour engendrer des maladies chez les végétaux mais pouvant également toucher les humains. Quant aux Bacillus, ceux-ci sont présents à hauteur de 11 %.

Des staphylocoques présents dans l’ISS !
Crédits : Wikipedia

Quels impacts sur les humains ?

Selon les meneurs de l’étude, il a été par le passé démontré que certains microbes présents dans les espaces intérieurs sur Terre pouvaient avoir des conséquences sur la santé humaine. Ainsi, lorsque les astronautes effectuent des vols spatiaux,leur immunité est altérée et ces derniers n’ont pas accès aux mêmes ressources médicales que celles présentes sur notre planète. Rappelons que la plupart des bactéries présentes sur l’ISS ont été apportées par les astronautes eux-mêmes.

Ceux que les chercheurs nomment les “agents pathogènes opportunistes” font donc l’objet d’interrogations, mais les certitudes sont finalement peu nombreuses. Le fait est que les bactéries pourraient réellement engendrer des maladies chez les astronautes de l’ISS. En revanche, cela dépend de plusieurs facteurs tels que l’état de santé de chaque personne, mais surtout du fonctionnement des organismes dans l’environnement spatial, bien différent de celui de la Terre.

Cette étude constitue le premier catalogue complet de bactéries et de champignons retrouvés au sein de systèmes fermés dans l’espace. Ces recherches pourront être utilisées affin d’aider à développer des mesures de sécurité répondant aux exigences de la NASA en matière d’habitation humaine dans les espaces lointains.

Sources : ZME SciencePresse Citron

https://sciencepost.fr/

Autisme : le transfert de microbiote intestinal montre son efficacité


Une piste intéressante, voir prometteur pour ceux qui souffrent d’autisme. Depuis quelque temps, les chercheurs s’intéressent au microbiote intestinale. Il semblerait que les autismes ont un microbiote intestinal anormal. Alors, des transplantations fécales ont été testées sur des autismes et le résultat est encourageant. Des autismes sévères ont vu une nette amélioration de leur état. Il faut toutefois d’autres essais pour confirmer si cela serait traitement efficace.
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Autisme : le transfert de microbiote intestinal montre son efficacité

 

Nathalie Mayer
Journaliste

Les personnes atteintes d’autisme présenteraient un microbiote intestinal anormal. Il y a deux ans, des chercheurs ont donc tenté de transplanter des microbiotes sains sur des enfants malades. Aujourd’hui, ils notent une nette amélioration de leur état de santé.

L’autisme place les personnes qui en souffrent dans une véritable situation de handicap social. Et sa prévalence semble aller croissante. Il y a dix ans, les spécialistes estimaient qu’une naissance sur 150 était concernée. Aujourd’hui, ils évoquent une naissance sur 80 en France et même une sur 60 aux États-Unis. Une augmentation qui est peut-être à imputer, au moins partiellement, à une définition plus large de la maladie sous le terme de troubles du spectre autistique (TSA) et à des diagnostics de l’autisme plus sûrs.

Toujours est-il que la question taraude les chercheurs. Ils proposent pour l’heure des traitements à base de thérapie comportementale, d’approches diététiques ou encore de médicaments psychiatriques. Des traitements qui demeurent peu efficaces. Mais des chercheurs de l’université de l’État d’Arizona (États-Unis) publient aujourd’hui les résultats encourageants des travaux qu’ils ont menés sur une thérapie nouvelle : le transfert de microbiote intestinal.

En effet, depuis quelque temps, de nombreuses équipes étudient le lien entre microbiote intestinal et diverses pathologies.

« Nous avons noté un lien fort entre les microbes qui vivent dans nos intestins et les signaux qui se propagent dans notre cerveau », explique Rosa Krajmalnik-Brown.

De quoi faire penser à certains qu’une flore intestinale altérée pourrait induire des TSA.

Chez les enfants autistes, le microbiote intestinal semble moins diversifié que chez les autres enfants et même privé de certaines souches des bactéries les plus importantes. Or des travaux suggèrent que nos microbiomes intestinaux affectent la communication cérébrale et la santé neurologique. © Shireen Dooling, Université de l’État d’Arizona

Chez les enfants autistes, le microbiote intestinal semble moins diversifié que chez les autres enfants et même privé de certaines souches des bactéries les plus importantes. Or des travaux suggèrent que nos microbiomes intestinaux affectent la communication cérébrale et la santé neurologique. © Shireen Dooling, Université de l’État d’Arizona

    Des symptômes de TSA en net recul

    D’autant qu’entre 30 et 50 % des enfants atteints d’autisme présentent aussi des problèmes gastro-intestinaux à l’origine d’un inconfort et de douleurs chroniques. Alors les chercheurs américains ont fait subir à 18 petits patients, un traitement à base de transplantations de microbiote fécal. Comprenez que les selles d’un donneur sain ont été introduites dans le tube digestif de ces patients afin de rééquilibrer leur flore.

    Un traitement relativement lourd qui comprend la prise préalable d’antibiotiques et d’un suppresseur d’acidité gastrique, un nettoyage des intestins et surtout, un transfert quotidien de microbiote pendant sept à huit semaines. Mais un traitement qui semble valoir le coup puisque la santé intestinale des enfants s’est améliorée. Et en prime, il a été constaté une réduction de 45 % des principaux symptômes de TSA. Une amélioration qui se poursuit deux ans après le traitement.

    44 % des patients traités sont passés sous la barre des TSA « légers »

    Ainsi au lancement de l’étude, 83 % des participants avaient été diagnostiqués autistes « graves ». Ils ne sont plus que 17 % aujourd’hui. 44 % sont même passés sous la barre des TSA

    « légers ». Reste désormais à mieux comprendre les mécanismes sous-jacents. Et à tempérer un peu les enthousiasmes, car « d’autres essais cliniques plus importants seront nécessaires avant que le traitement ne soit homologué ».

    Objectif : optimiser la posologie et la durée et déterminer si des doses de rappel peuvent être utiles.

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Les traitements existants contre l’autisme manquent d’efficacité.

  • Des chercheurs ont mené une étude sur un nouveau traitement : le transfert de microbiote intestinal.

  • Celui-ci semble se montrer efficace, même deux ans après.

  • Des essais de plus grande ampleur seront toutefois nécessaires à confirmer la bonne nouvelle.

https://www.futura-sciences.com

Cet homme va se nour­rir exclu­si­ve­ment de bière pendant 46 jours


Pour les chrétiens qui font le carême, c’est un mois de jeûne ou du moins partiellement. Inspiré par des moines du XVIIe siècle qui se nourrissait lors de carême de pain et d’eau, un homme aux États-Unis a décidé de faire un peu la même chose avec de la bière pendant 46 jours. Ouf, la déshydratation, les calories, le foie et plus encore sans compter le risque de dépendance sont des risques qu’il n’a probablement pris en considération. Espérons pour lui, qu’il a quand même un suivi médical dans sa beuverie.
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Cet homme va se nour­rir exclu­si­ve­ment de bière pendant 46 jours

 

par  Laura Boudoux

Direc­teur des ventes dans une bras­se­rie de Cincin­nati, aux États-Unis, Del Hall a décidé d’adop­ter un régime bien parti­cu­lier pour le carême.

 Depuis le 6 mars 2019, il a ainsi aban­donné tout type de nour­ri­ture, pour ne survivre qu’en buvant de la bière, rapporte le site local Cincin­nati.com. Pendant 46 jours, jusqu’au 18 avril, Del Hall s’ins­pire ainsi des moines du XVIIe siècle, pour qui la bière était un peu « du pain liquide ».

Pour l’Amé­ri­cain, ce régime est l’oc­ca­sion de recon­nec­ter avec la tradi­tion ances­trale du jeûne, mais aussi de soigner son « addic­tion à la nour­ri­ture ».

« Quand ce sera terminé, j’es­père que lorsque j’au­rai faim, et que de la nour­ri­ture malsaine sera à portée de main, je choi­si­rai de ne rien manger du tout ou d’op­ter pour une alter­na­tive plus heal­thy », explique Del Hall.

Il précise qu’il s’au­to­rise égale­ment le café noir, l’eau pétillante et le thé non sucré pendant son jeûne.

Crédits : Del Hall/Face­book

Inter­rogé une semaine après le début de son nouveau régime, il a reconnu que les premiers jours n’avaient pas été simples.

« Les 2e et 3e jours ont été plutôt diffi­ciles. J’avais envie d’al­ler m’ache­ter un taco après quelques bières, parce que c’est ce que je fais habi­tuel­le­ment. Aujourd’­hui, je me sens extrê­me­ment bien. J’ai l’im­pres­sion que ce brouillard mental s’est levé », assu­rait-il, préci­sant que le senti­ment de faim avait fini par dispa­raître.

Puri­fi­ca­tion par la bière.

Sources : CBS Los Angeles / Cincin­nati.com

https://www.ulyces.co/