Ardeur


On est bon pour compliquer les choses, et ce, sans aide. Pourtant, il serait moins ardu de chercher è se simplifier la vie et probablement nous serions tellement plus heureux.
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Ardeur

 

L’homme devrait mettre autant d’ardeur à simplifier sa vie qu’il en met à la compliquer.

Henri Bergson

Un gigantesque aquarium se fissure au milieu d’un centre commercial


Encore chanceux que les poissons n’ont pas eu des conséquences de cette fissure qui d’après la vidéo est assez importante … Dommage que les poissons ne sont pas remis dans leur environnement
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Un gigantesque aquarium se fissure au milieu d’un centre commercial

 

 

5/04/19 – 09h33  Source: Sputnik News

Jeanne Poma

VIDÉO L’aquarium de 24 mètres de haut abritait 2.000 poissons rares, issus des océans Pacifique et Indien et de la mer Rouge.

À Moscou, les clients du centre commercial Oceania ont la possibilité d’emprunter un ascenseur pour admirer des requins ou des mérous géants, entre deux achats. L’aquarium vient de subir plusieurs mois de travaux de rénovation.

Pourtant, une fissure s’est malheureusement formée cette semaine dans l’aquarium, ce qui a provoqué une inondation dans les étages inférieurs du centre commercial. Aucun poisson n’a été blessé.

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Le Saviez-Vous ► Top 10 des animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne


En forêt amazonienne cache toutes sortes d’animaux, certains sont très dangereux, ils peuvent être gros, mais aussi très petits. Bref, ce n’est pas des animaux qu’on aimerait se retrouver nez à nez avec eux. Cependant, il est malheureux que certaines espèces sont en voie de disparition.
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Top 10 des animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne

 

Les animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne

Crédits : iStock

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Avec sa superficie de 2,12 millions de kilomètres carrés, la forêt amazonienne est la plus grande forêt tropicale du monde. Elle abrite une flore et une faune exceptionnelle, avec des milliers d’espèces animales différentes, sans compter les millions d’insectes. Mais parmi tous ces animaux (dont la plupart sont en voie de disparition) se trouvent des créatures pour le moins dangereuses que vous n’aimeriez certainement pas rencontrer au détour d’un chemin…

1. L’anaconda géant

Aussi appelée anaconda vert, l’anaconda géant est le plus grand serpent du monde. Et pour cause, il peut mesurer jusqu’à 9 mètres de long et peser plus de 250 kg. Il vit exclusivement en Amérique du Sud, notamment dans les marais, les ruisseaux et les rivières de la forêt amazonienne. Non venimeux, ce serpent tue sa proie par constriction (en l’étouffant) puis l’avale entièrement. Ainsi, il se nourrit principalement de cerfs, de caïmans, de tortues et même de jaguars.

serpent anaconda

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Crédits : Jeff Kubina/Flickr

2. La grenouille venimeuse

Cette grenouille aux couleurs vives est considérée comme l’un des animaux les plus dangereux au monde. La raison ? Une seule dose de son venin secrété par sa peau pourrait tuer 10 humains adultes en quelques minutes !

grenouille poison

Crédits : GrrlScientist/Flickr

3. Le caïman noir

Avec une taille qui peut aller jusqu’à 6 mètres de long, le caïman noir a de quoi impressionner. Il est même considéré comme l’un des crocodiles les plus grands du monde. Avec sa mâchoire puissante, il attrape sa proie et la noie puis l’avale en entier.

caiman noir

Crédits : Bernard DUPONT/Flickr

4. Le jaguar

Le jaguar est le félin à la morsure la plus puissante du monde. En effet, cette dernière est bien plus efficace pour tuer les proies que celle du tigre ou même du lion. Et même s’il ressemble au léopard, le jaguar est plus grand et plus lourd.

jaguar

Crédits : iStock

5. L’anguille électrique

L’anguille électrique n’est pas vraiment une anguille mais plutôt un poisson qui ressemble à une anguille. Que ce soit pour chasser ou pour se défendre, cet animal a une technique imparable : libérer de l’électricité pour paralyser sa proie. Ensuite, il ne lui suffit plus qu’à attendre qu’elle se noie pour la dévorer

anguille électrique

Crédits : Doug Letterman/Flickr

6. Le piranha

Réputé pour son agressivité, le piranha n’est en fait pas aussi dangereux qu’il n’y paraît pour l’être humain. En effet, même s’il est capable de tuer de petits animaux sans aucun problème, les humains sont des proies bien trop grosses pour lui. Cependant, il est tout de même capable de leur infliger des blessures profondes grâce à ses dents tranchantes et à sa mâchoire particulièrement puissante.

piranha

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Crédits : Lilla Frerichs/Public Domain Pictures

7. Le requin-taureau

Le requin-taureau, qui dépasse rarement les 3 mètres de long, est l’un des requins les plus agressifs qui soient. Il vit dans les eaux boueuses et peu profondes de la rivière Amazone et n’hésite pas à s’attaquer aux humains. Et chose rare : il est capable de passer de l’eau salée à l’eau douce et inversement !

requin taureau

Crédits : Jeff Kubina/Wikipédia

8. La fourmi balle de fusil

La fourmi balle de fusil fait partie des insectes à la piqûre la plus douloureuse au monde. En effet, sa piqûre serait aussi douloureuse qu’un coup de fusil. De plus, l’effet de son venin peut agir pendant plus de 24 heures. Ainsi, cette fourmi de grande taille est tout à fait capable de tuer de petits animaux, comme un écureuil par exemple.

fourmi balle

Crédits : emills1/Flickr

9. L’araignée-banane

L’araignée-banane doit son nom à son habitude de se cacher dans les régimes de bananes. Mais elle se retrouve également dans les habitations, donnant lieu à de nombreux cas de morsures chaque année. En effet, dotée d’un puissant venin, cette araignée peut provoquer une paralysie et, plus rarement, la mort

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araignée banane

Crédits : Bernard DUPONT/Wikimedia Commons

10. Le mille-pattes géant à pattes jaunes

Considéré comme la plus grande scolopendre au monde, ce mille-pattes carnivore peut mesurer jusqu’à 40 centimètres de long. Animal très agressif et venimeux, sa morsure n’est cependant pas mortelle pour l’être humain, hormis chez les petits enfants, même si elle est très douloureuse. Il se nourrit de petits animaux, notamment d’araignées, de lézards, de rongeurs, de petits serpents et même de petits oiseaux.

mille pattes

Crédits : Tod Baker/Flickr

Source

https://animalaxy.fr/

Les Raëliens demandent à l’ONU de construire une ambas­sade pour accueillir les extra­ter­restres


Cela fait longtemps que nous n’avions pas entendu parler des Raëliens. Voilà qu’ils demandent à l’ONU de construire une ambassade pour accueillir des extraterrestres qui seraient les créateurs des humains .. Gare a nous, si nous ne les accueillons pas comme il se doit … 😉
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Les Raëliens demandent à l’ONU de construire une ambas­sade pour accueillir les extra­ter­restres

 

par  Laura Boudoux

Les Raëliens demandent aux Nations Unies d’or­ga­ni­ser une confé­rence inter­na­tio­nale, pour « discu­ter des arran­ge­ments diplo­ma­tiques en vue de la créa­tion d’une ambas­sade pour accueillir une civi­li­sa­tion extra­ter­restre sur Terre ».

Fondé en 1974 en France, la secte croit en l’exis­tence des « elohim », des êtres intel­lec­tuel­le­ment supé­rieurs qui auraient créé la vie sur Terre, et devraient faire leur grand retour sur notre planète « avant 2035 ». Leur projet loufoque a même un site dédié.

Le 2 avril 2019, le site offi­ciel de l’or­ga­ni­sa­tion, inscrite sur la liste des sectes dange­reuses depuis 1995, a donc réclamé l’in­ter­ven­tion de l’ONU, afin qu’une ambas­sade dédiée aux extra­ter­restres soit construite quelque part dans le monde. Daniel Turcotte, « guide Raëlien et assis­tant de Raël pour le projet Ambas­sade », a même déclaré le samedi 6 avril « Jour­née de l’Am­bas­sade Extra­ter­restre ». D’après lui, plusieurs pays seraient inté­res­sés par le projet et prêts à accueillir la nouvelle ambas­sade.

« Il devient évident qu’une civi­li­sa­tion extra­ter­restre prépare notre huma­nité à un contact offi­ciel, à travers un nombre crois­sant d’ap­pa­rences d’ov­nis et de cercles de culture très complexes à travers le monde », assure Daniel Turcotte.

Il regrette que de nombreux pays « se préparent à une guerre contre eux », encou­ra­geant plutôt un « mouve­ment mondial de paix ». On ne sait pas d’où il tient que qui que ce soit se prépare à une guerre inter­ga­lac­tique.

Sur le site français de la secte, les Raëliens préviennent que l’hu­ma­nité fait désor­mais face à deux choix :

soit nous accueillons les extra­ter­restres correc­te­ment, « et nos Créa­teurs nous ferons progres­si­ve­ment béné­fi­cier de la connais­sance scien­ti­fique et philo­so­phique qu’ils ont accu­mu­lée durant les 25 00 0 dernières années », soit nous échouons et « l’Hu­ma­nité se détruira d’elle-même proba­ble­ment dans un avenir proche ».

Les Nations Unies n’ont pas encore commenté l’af­faire.

Source : Rael Press

https://www.ulyces.co/

Le Japon vient de bombar­der un asté­roïde à plus de 320 millions de km de la Terre


Le Japon aurait réussit a partir d’une de ses sondes de bombarder un astéroïde dans le but de former un cratère pour faire des analyses plus tard.
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Le Japon vient de bombar­der un asté­roïde à plus de 320 millions de km de la Terre

 

Crédits : JAXA/Ulyces

Par par  Laura Boudoux

C’est la première fois dans l’his­toire de l’hu­ma­nité qu’un pays bombarde un asté­roïde.

Vendredi 5 avril, l’Agence d’ex­plo­ra­tion aéro­spa­tiale japo­naise (JAXA) a annoncé qu’elle venait de frap­per un asté­roïde avec un missile.

La sonde spatiale Haya­bu­sa2, lancée en 2014, a ainsi achevé la dernière phase de sa mission : toucher l’as­té­roïde Ryugu, situé à plus de 320 millions de kilo­mètres de la Terre, avec un petit explo­sif, dans l’es­poir d’y faire un cratère.

« Haya­bu­sa2 fonc­tionne norma­le­ment. Nous four­ni­rons plus d’in­for­ma­tions quand nous aurons confirmé qu’un cratère a bien été formé sur Ryugu », fait savoir la JAXA.

L’im­pact a été immor­ta­lisé par un appa­reil photo déployé par la sonde, et l’image montre bien la pous­sière cosmique soule­vée par la déto­na­tion, indique Mother­board.

Le but du bombar­de­ment de Ryugu était de créer un cratère arti­fi­ciel à la surface de l’as­té­roïde. Haya­bu­sa2 en prélè­vera plus tard un échan­tillon, afin que le sol soit analysé par des scien­ti­fiques sur Terre.

Les recherches pour­raient aider à « clari­fier l’ori­gine de la vie » dans l’uni­vers, selon la JAXA, puisque Ryugu est un asté­roïde extrê­me­ment ancien.

Sources : JAXA / Mother­board

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Les baleines empruntent les mêmes routes migratoires depuis 270 000 ans


Prendre la même route depuis plus de 200 000 ans, c’est ce que font les baleines grises et le moyen pour le savoir sont des petits animaux appelé des balanes. Ils se fixent sur une partie du corps pour toute la vie. Ils donnent des informations très importantes pour les chercheurs.
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Les baleines empruntent les mêmes routes migratoires depuis 270 000 ans

 

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

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Attachés au dos de certaines baleines, les balanes enregistrent des détails sur les routes empruntées par les cétacés. Elles les conservent également, même après leur fossilisation. Et nous savons que les voies migratoires n’ont guère changé depuis très longtemps.

De petites balises GPS

Les balanes sont des petits crustacés qui s’accrochent sur le dos, la tête ou la queue des baleines à bosse et baleines grises, et y restent plantés toute leur vie. Ces animaux y trouvent leur compte. Ils se fixent sur une surface relativement sûre, et profitent de trajets gratuits vers certaines des eaux les plus riches en micro-organismes du monde pour pouvoir se nourrir. Enfin, lorsque les baleines se rassemblent pour s’accoupler, c’est également l’occasion pour ces crustacés de faire de même, avec plus de partenaires potentiels.

Mais le plus important – du moins pour cette étude – c’est qu’au cours de leur vie, les balanes se développent en ajoutant du carbonate de calcium provenant de l’eau de mer à leurs coquilles. Ce faisant, ces petits animaux deviennent alors de véritables indicateurs des conditions océaniques changeantes. Mieux encore, ils conservent ces informations en se fossilisant.

Les détails de l’étude sont publiés dans la revue PNAS.

balane

Trouvée au Panama, cette balane fossilisée a déjà fait de l’auto-stop sur une baleine à bosse il y a plusieurs milliers d’années. Crédits : Larry Taylor, UC Berkeley

Les mêmes routes depuis 270 000 ans

En étudiant les rapports isotopes d’oxygène dans les coquilles de bernaches, qui changent en fonction de l’état de l’océan, les chercheurs peuvent alors cartographier les chemins empruntés de chaque baleine hôte, des lieux de reproduction du Pacifique sud aux aires de nourrissage plus de l’Alaska et de l’Arctique. En analysant des spécimens fossilisés de balanes, une équipe de l’Université de Californie, à Berkeley, s’est alors aperçue que les baleines à bosse et grises modernes empruntent les mêmes voies migratoires que celles de leurs parents préhistoriques, il y a 270 000 ans.

« L’un des aspects les plus intéressants du document, selon moi, c’est que nous trouvons des preuves de migrations de toutes ces populations anciennes, sur trois sites communs et à différentes époques, explique Larry Taylor, principal auteur de l’étude. Ces résultats nous montrent que ces animaux, qui vivaient il y a des centaines de milliers d’années, entreprenaient tous des migrations d’une ampleur similaire à celles des baleines modernes ».

Ces informations permettront aux chercheurs de comprendre l’impact des schémas migratoires sur l’évolution des baleines au cours des 3 à 5 millions d’années passées. Il serait également intéressant d’étudier la manière dont les cétacés se sont adaptés aux changements climatiques passés, dans le but de prévoir la réaction de leurs homologues modernes face aux changements environnementaux actuels.

Source

https://sciencepost.fr/

Les forêts protègent les animaux contre le réchauffement climatique


Si une chose qu’on peut faire pour les animaux pour les protéger des changements climatiques est bien de protéger les forêts. Ils peuvent en effet, moins ressentir les vagues de chaleur grâce aux feuillages des arbres.
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Les forêts protègent les animaux contre le réchauffement climatique

 

© getty.

Les forêts jouent un rôle de protection pour les animaux qui y vivent, ressort-il d’une étude internationale dirigée par l’Université de Gand. Le réchauffement climatique a effectivement moins d’impact dans une forêt qu’à l’extérieur, grâce à l’effet isolant de la cime des arbres. La différence de température atteint 4 degrés.

Des chercheurs de huit universités ont comparé les différences de températures dans les bois et celles dans les zones « ouvertes ». Les mesures montrent que la température maximale en forêt est inférieure de 4 degrés par rapport à l’extérieur.

« Le feuillage des arbres crée une couche isolante au-dessus de la forêt », explique le professeur Pieter De Frenne.

Lors de basses températures en hiver et durant les nuits, il fait environ plus chaud de 1 degré dans les bois.

Vagues de chaleur moins ressenties

Ainsi, les vagues de chaleur en été sont moins ressenties en forêt. Les plantes et animaux qui s’y trouvent sont en conséquence moins touchés par le phénomène du réchauffement climatique que les espèces vivant en dehors.

« Etant donné que les forêts couvrent un quart de la surface de la Terre et abritent deux tiers de la biodiversité, cela a une grande importance pour les prévisions en matière de changement climatique », pointent les chercheurs.

Ceux-ci démontrent que la hausse des températures maximum en forêt évolue donc bien moins vite que prévu. À mesure que le climat se réchauffe, la différence de température dans les bois et à l’extérieur augmente.

Les forêts jouent donc un rôle « d’amortisseur », de « tampon » face au réchauffement climatique, d’où l’intérêt de les protéger, insistent les chercheurs.

Les mesures ont été prises en 98 lieux répartis sur tous les continents.

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Un décès sur cinq lié à une mauvaise alimentation


Même si l’étude des liens sur la mauvaise alimentation et les décès n’est pas établi avec autant de certitude que la cigarette, il semble quand même clair qu’une mauvaise alimentation comporte des gros risques sur la santé cardiovasculaire ainsi que le diabète.
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Un décès sur cinq lié à une mauvaise alimentation

 

Selon l'étude, les boissons sucrées, la viande transformée... (PHOTO DANIEL ACKER, ARCHIVES BLOOMBERG NEWS)

Selon l’étude, les boissons sucrées, la viande transformée et le sel sont trop consommées.

PHOTO DANIEL ACKER, ARCHIVES BLOOMBERG NEWS

 

Agence France-Presse
Paris

Un décès sur cinq dans le monde en 2017, soit 11 millions, était lié à une mauvaise alimentation, avec une surconsommation de sel, de sucre ou de viande et des apports insuffisants en céréales complètes et en fruits, selon une étude parue jeudi.

La quasi-totalité de ces décès a été provoquée par des maladies cardiovasculaires, et le reste par des cancers et le diabète de type 2, souvent associé à l’obésité et aux modes de vie (sédentarité, alimentation déséquilibrée), selon cette étude publiée dans The Lancet.

En janvier, la revue médicale avait publié une première étude réalisée par les mêmes scientifiques. 

Elle préconisait de diviser par deux la consommation mondiale de viande rouge et de sucre et de doubler celle des fruits, des légumes et des noix pour aboutir à un régime bon pour la santé et pour l’environnement.

L’étude publiée jeudi porte sur 195 pays. Selon ses conclusions, les principales carences dans l’alimentation mondiale concernent les noix et les graines, le lait et les céréales complètes. À l’inverse, les boissons sucrées, la viande transformée et le sel sont trop consommées.

« Cette étude montre ce que nous sommes nombreux à penser depuis des années : une mauvaise alimentation est responsable de davantage de morts qu’aucun autre facteur de risque au monde », a affirmé l’un des auteurs, Christopher Murray.

Il dirige l’Institut de métrologie et d’évaluation de la santé (IHME, Université de Washington), organisme financé par la fondation Bill et Melinda Gates.

L’étude met en évidence de grosses disparités selon les pays. Ceux avec les plus importants taux de décès liés à une mauvaise alimentation sont l’Ouzbékistan et l’Afghanistan.

À l’inverse, ceux où cette proportion est la plus faible sont Israël, la France, l’Espagne et le Japon.

Les auteurs reconnaissent toutefois des limites à leur étude. Parmi elles, le fait que le lien entre l’alimentation et les décès ne peut être établi avec autant de certitude que dans le cas d’autres facteurs de risques, par exemple le tabac.

https://www.lapresse.ca