Les grandes personnes


C’est la grande vérité pour les enfants !! Les adultes posent toujours les mêmes questions et souvent elles savent déjà la réponse.
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Les grandes personnes

 

 

Les grandes personnes ne comprennent jamais rien toutes seules, et c’est fatigant, pour les enfants, de toujours et toujours leur donner des explications.

Antoine De Saint-Exupéry

Cet artiste japonais peint des animaux gigantesques !


Ce genre de toile ne passe pas inaperçu ! Des animaux plus grands que nature sont mis en scène dans des décors familiers
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Cet artiste japonais peint des animaux gigantesques !

 

 

Une oeuvre d'ariduka55

Cet illustrateur japonais s’amuse à donner vie à des animaux géants sur ses toiles.

Cet artiste japonais n’a pas peur de voir les choses en grand, ou plutôt, les animaux.À travers ses toiles, il fait de magnifiques illustrations d’animaux géants, un univers fantastique à couper le souffle. Entre réalité et science-fiction, l’illustrateur invite ces grands animaux dans son monde contemporain. 

Des animaux mis en scène 

Ces animaux fantastiques sont mis en scène dans des paysages familiers, comme dans des villes, sur des immeubles ou bien à côté de monuments célèbres. Pour mettre en avant la splendeur de ces créatures, l’artiste insère régulièrement dans ses oeuvres trois petits personnages humains afin de témoigner de l’imposante taille de ces animaux.

Une palette d’animaux est présente, du chat en passant par le cochon sauvage. La mise en scène et les couleurs vives donnent envie au spectacteur de mettre en route son imagination.

Le génie se fait discret, il refuse toute interview où commandes de particuliers qui désireraient une de ses peintures. Pour acquérir une de ses oeuvres, vous devrez vous rendre sur Amazon Japon pour acheter un livre intitulé « Magalophilia » qui répertoriel’ensemble de ses dessins.

Mais maintenant, assez parlé, place à l’art à l’état pur.

 

Cet artiste japonais peint des animaux gigantesques !

 

Cet artiste japonais peint des animaux gigantesques !

Cet artiste japonais peint des animaux gigantesques !

Cet artiste japonais peint des animaux gigantesques !

 

Cet artiste japonais peint des animaux gigantesques !

https://wamiz.com/

Le Saviez-Vous ► 10 phobies animales peu connues, voire même insolites !


On connaît certaines phobies qui peuvent être de vrai cauchemar pour certaines personnes. D’autres phobies qui sont moins connues, et même surprenantes peuvent aussi être invivables pour ces personnes.
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10 phobies animales peu connues, voire même insolites !

 

iStock.com/Scacciamosche

par Clara Zerbib, journaliste animalière

On a tous des peurs plus ou moins irrationnelles, dues à une méconnaissance du sujet ou à un traumatisme de l’enfance. Par exemple, l’arachnophobie (la peur des araignées), l’ophiophobie (la peur des serpents) ou encore la cynophobie (la peur des chiens) sont plutôt courantes et donc rarement jugées. Mais d’autres peurs peuvent être tout aussi terrifiantes et pourtant ne jamais être prises au sérieux.

La preuve ici !

1. L’ailurophobie (la peur des chats)

Si vous êtes un amoureux des chats, vous pourrez avoir du mal à comprendre comment des créatures aussi douces et aussi mignonnes peuvent inspirer la peur. Et pourtant… Les personnes qui souffrent d’ailurophobie ont non seulement peur des chats mais aussi de tout ce qui y est lié. Ainsi, le son d’un ronronnement, la vue de croquettes ou de litière pour chat peut également être source d’angoisse. Imaginez la dure vie que mènent ces personnes à l’heure où les félins sont de plus en plus présents dans nos foyers !

chat

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Crédits : Pxhere

2. L’alektorophobie (peur des poulets)

Lorsqu’ils voient une poule ou un coq, les alektorophobes ont tendance à être pétrifiés de peur, voire même à avoir des palpitations cardiaques. Certains vont même plus loin puisqu’ils ont également peur des poulets morts, voire même des oeufs (on dit alors qu’ils sont ovophobes).

Par extension, les alektorophobes peuvent également être ornithophobes, c’est-à-dire avoir peur des oiseaux en général.

poules

Crédits : iStock

3. La lépidophobie (peur des papillons)

Alors que certains en font collection, d’autres ne peuvent pas les approcher, de près ou de loin. En effet, contrairement à ce que l’on pourrait penser, les papillons, avec leurs couleurs multicolores et leur grâce naturelle, ne font pas l’unanimité. Au contraire, ils sont même l’objet d’une peur irraisonnée qui est bien difficile à gérer lorsque les beaux jours arrivent…

À noter que les lépidophobes peuvent aussi être entomophobes, c’est-à-dire avoir peur des insectes en général. L’entomophobie inclut également la myrmécophobie (peur des fourmis), l’apiphobie (peur des abeilles) ou encore la katsaridaphobie (peur des cafards).

battus philenor papillon

Crédits : John Flannery/Wikimedia Commons

4. L’ostraconophobie (peur des fruits de mer)

Si à chaque fois que vous mangez dans un restaurant, vous avez peur d’apercevoir un mollusque ou un crustacé sur la table voisine, c’est que vous êtes ostraconophobe. Et ne parlons même pas de ceux qui sont vivants ! Tomber nez à nez à la mer avec un homard, un crabe ou même une huître peut être d’autant plus angoissant.

À noter que la plupart des personnes atteintes de cette phobie l’ont développé après avoir mangé des fruits de mer et être tombées malades.

crabe de cocotier

Crédits : iStock

5. La batrachophobie (peur des amphibiens)

Cette peur incontrôlée des amphibiens, et plus particulièrement des grenouilles, des crapauds et des salamandres, trouve parfois son origine dans les légendes urbaines. En effet, on dit par exemple que toucher un crapaud donne des verrues… Mais cette phobie pourrait également être liée à un dégoût pour les choses gluantes.

grenouille

Crédits : Pixnio

6. L’ (peur des chevaux)

Les chevaux sont des animaux imposants et il n’est donc pas surprenant qu’ils puissent parfois inspirer une certaine crainte. D’autant plus qu’un seul coup de sabot peut être fatal… Il arrive même que le simple son des sabots sur le sol suffise à déclencher l’anxiété des personnes atteintes de cette phobie.

cheval appaloosa

Crédits : iStock

7. La musophobie (peur des rongeurs)

Vous avez peur de tous les rongeurs ? Ou simplement des souris ou des rats ? Dans tous les cas, vous êtes musophobe ! Malgré le fait qu’elle soit très répandue, cette phobie, qui touche surtout les femmes, a le don de faire rire. Pourtant, la panique qui s’empare des musophobes lorsqu’ils aperçoivent un rongeur est bien réelle…

L’origine de la musophobie est bien souvent la peur de la saleté, cette dernière étant associée aux rats et aux souris.

souris

Crédits : iStock

8. L’ichtyophobie (peur des poissons)

Cette peur maladive des poissons s’exprime par la peur d’être entouré de poissons vivants, la peur de manger des poissons morts ou la peur de toucher des poissons. Certains sont même écoeurés par la vue ou l’odeur des poissons sur les étals de marchés par exemple.

poisson rouge

Crédits : iStock

9. L’arctophobie (peur des ours)

Non seulement les personnes atteintes de cette phobie ont peur des ours (et on peut les comprendre) mais en plus elles ont peur de toutes leurs représentations… Cela signifie que la simple vue d’un ours en peluche peut être source de panique ! Imaginez en période de Noël…

ours

 

Crédits : Pxhere

10. La cuniculophobie (peur des lapins)

Un simple dessin de lapin peut faire bondir d’horreur les cuniculophobes. On imagine alors aisément qu’ils ne crient pas qu’ils sont atteint de cette phobie sur tous les toits, sous peine de subir quelques moqueries…

lapin

 

Crédits : Simona R/Pixnio

Source

https://animalaxy.fr/

Des astronautes découvrent une nouvelle espèce de crustacé


Quoi de mieux pour les astronautes de couronner un séjour dans des grottes dans le but d’expérimenter la noirceur, la promiscuité, le froid, l’humidité et le confinement tout en cherchant des formes de vie, de trouver une nouvelle espèce de cloporte qui vit dans des mares souterraines..
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Des astronautes découvrent une nouvelle espèce de crustacé

 

Une étendue d'eau souterraine dans une des grottes de Sardaigne explorées par les astronautes au cours du programme d'entraînement CAVES de l'Agence spatiale européenne (ESA). © ESA–V. Crobu

Une étendue d’eau souterraine dans une des grottes de Sardaigne explorées par les astronautes au cours du programme d’entraînement CAVES de l’Agence spatiale européenne (ESA). © ESA–V. Crobu

Durant une expédition dans le système de grottes de Supramonte en Sardaigne en 2012, des astronautes en entraînement ont collecté de curieux petits crustacés incolores et aveugles dans une mare souterraine, qui se se sont avérés appartenir à une nouvelle espèce, annonce l’Agence spatiale européenne (ESA) dans  un communiqué.

Nommée Alpioniscus sideralis, du mot latin pour sidéral (qui a rapport aux astres) en clin d’œil aux astronautes, l’espèce est décrite dans un article paru dans le journal ZooKeys. Ce minuscule cloporte d’eau douce, de moins de 8 mm de long, est un des rares à être retourné à une vie aquatique. On appelle en effet cloportes un ensemble de crustacés qui ont évolué pour devenir terrestres.

Des astronautes internationaux (ESA, Nasa, Canada, Russie, Japon et Chine), accompagnés de spéléologues et de biologistes, ont contribué à la découverte de A. sideralis, survenue dans le cadre du programme Cooperative Adventure for Valuing and Exercising human behaviour and performance Skills (CAVES) organisée par l’ESA. Ils passent six jours dans l’humidité, le froid, l’obscurité, la promiscuité et le confinement des grottes sardes pour se préparer aux missions spatiales, mais aussi à la recherche de vie, ici d’organismes adaptés à une vie souterraine comme A. sideralis.

Ce petit crustacé découvert par les astronautes dans les grottes de Sardaigne est un représentant d'une espèce auparavant inconnue, nommée Alpioniscus sideralis. © ESA–M. Fincke

Ce petit crustacé découvert par les astronautes dans les grottes de Sardaigne est un représentant d’une espèce auparavant inconnue, nommée Alpioniscus sideralis. © ESA–M. Fincke

https://www.futura-sciences.com

Des médecins manifestent contre les armes à feu partout au pays


Le Canada n’a peut-être pas le même nombre de blessures ou de morts par arme à feu qu’aux États-Unis, mais nous ne sommes pas obligés d’attendre pour régler, du moins diminuer les conséquences dues aux armes à feu. Les médecins et le personnel de la santé ont protesté haut et fort pour que le gouvernement agisse. Mais comme tous bons politiciens, le ministre de la Sécurité frontalière et de la Réduction du crime organisé, a bien entendu, mais pour agir, c’est autre chose.
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Des médecins manifestent contre les armes à feu partout au pays

 

Les médecins réclament une interdiction complète de posséder... (PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE)

 

Les médecins réclament une interdiction complète de posséder des armes de poing et armes d’assaut ainsi que l’adoption du projet de loi C-71 qui renforce l’encadrement des armes à feu.

UGO GIGUÈRE
La Presse Canadienne
Montréal

Chaque semaine, l’équipe de traumatologie du Centre universitaire de santé McGill (CUSM) doit traiter au moins un patient victime d’une blessure par arme à feu. Mercredi, les médecins et autres professionnels de la santé sont sortis dans la rue pour joindre leur voix à celles de leurs collègues de 13 hôpitaux à travers le Canada afin de dire haut et fort qu’ils en ont assez.

D’après la coalition Doctors for Protection from Guns, les armes à feu représentent un grave problème de santé publique au pays.

Des chirurgiens traumatologues, chefs de départements, infirmières et préventionnistes du CUSM ont tenu une conférence de presse pour réclamer l’interdiction complète des armes de poing et des fusils d’assaut au Canada. Un message relayé d’un océan à l’autre.

«On voit depuis 2013 une augmentation de 42% de la mortalité liée à des blessures par armes à feu au Canada. À Montréal, on voit une augmentation du nombre de patients blessés ou morts par des armes à feu. Il est temps qu’on change notre façon de parler des armes à feu. C’est un enjeu de santé publique et il faut qu’on le dise», a déclaré le chirurgien traumatologue Jeremy Grushka.

«Quand on regarde la manière dont on gère cette problématique d’un point de vue de santé publique, je pense qu’on pourrait faire mieux», poursuit le chef du département de traumatologie Tarek Razek.

Celui-ci ne croit pas que le Canada soit allé assez loin pour appliquer les meilleures pratiques de sécurité afin de réduire au minimum les risques que représentent les armes à feu dans la société.

«D’un point de vue de santé publique, c’est comme les voitures. Est-ce qu’il y a toujours des accidents de voiture? Oui. Mais est-ce qu’on réduit le risque au minimum d’avoir des accidents?», compare-t-il.

Militant au sein du regroupement Poly se souvient, Jean-François Larrivée a salué l’appui des médecins dans ce combat pour restreindre l’accès aux armes. Celui-ci a perdu sa jeune épouse dans la tuerie survenue à Polytechnique Montréal en 1989.

«Je milite depuis 30 ans pour le souvenir de Maryse et des autres filles. Les médecins ont une voix qui porte. Ils sont pragmatiques, ils ont une influence intellectuelle, ils ont un leadership», se réjouit-il.

«Je veux aider les autres femmes à ne pas subir le même drame et si on peut sauver une vie ça aura valu la peine», souligne M. Larrivée.

Comment soigner une blessure

Le personnel soignant du CUSM est exaspéré au point où l’équipe de prévention commence à enseigner au public les techniques de premiers soins en cas de blessures par balles.

Tara Grenier, coordonnatrice du programme de prévention des blessures au CUSM, transmet aux élèves du secondaire, à des employés d’usine et au public en général des méthodes pour stopper l’hémorragie causée par une balle ou une arme blanche.

«Ce sont des techniques de guerre qu’on emploie dans le monde civil. On est rendu là. Peut-être qu’on pourra sauver des gens au lieu qu’ils meurent au bout de leur sang», mentionne la thérapeute sportive.

Ottawa tend l’oreille

Le Dr Tarek Razek espère sincèrement que sa voix et celles de ses collègues soient entendues. Selon lui, le fait qu’ils soient en première ligne pour constater les ravages causés par les armes donne du poids à leurs arguments.

Sur la colline parlementaire à Ottawa, le ministre de la Sécurité frontalière et de la Réduction du crime organisé, Bill Blair, a dit tendre l’oreille aux revendications des médecins.

«J’ai rencontré plusieurs fois des regroupements de médecins. Leur point de vue est pertinent, ils sont en première ligne pour traiter des victimes de blessures par armes à feu. Je crois qu’il y a des choses que l’on doit faire pour protéger nos communautés et nous sommes prêts à considérer des mesures qui empêcheraient les gens mal intentionnés de se procurer des armes pour blesser ou tuer», a-t-il commenté.

Le ministre n’a cependant pas l’intention d’accélérer le processus comme l’ont fait les élus de Nouvelle-Zélande à la suite de la tuerie de Christchurch.

«Je pense que les Canadiens s’attendent à ce qu’on écoute les différentes opinions de la population afin de trouver le meilleur moyen de rendre nos communautés plus sécuritaires», a mentionné M. Blair.

https://www.lapresse.ca/

Pour Greta Thunberg, son autisme est un "super pouvoir"


Greta Thunberg s’est fait connaitre par son discours sur l’environnement à l’ONU, et est l’instigatrice des grèves pour le climat par des étudiants. Pourtant, cette adolescente est autiste, plus précisément le syndrome d’Asperger. Elle a sûrement été très entouré pour être un leader pour l’environnement. Je trouve que cela est encourageant pour des parents qui ont des enfants autistes
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Pour Greta Thunberg, son autisme est un « super pouvoir »

 

Greta Thunberg lors d’un discours à Berlin, Allemagne, le 29 mars 2019. © afp.

La jeune égérie de la lutte contre le dérèglement climatique estime que l’autisme peut-être un « super pouvoir » s’il est géré dans de bonnes circonstances et avec les bons ajustements.

La jeune Suédoise Greta Thunberg s’est fait connaître mondialement pour avoir initié la grève étudiante pour le climat. Depuis la fin du mois d’août, l’adolescente de seize ans sèche en effet les cours chaque vendredi pour faire le piquet devant le parlement suédois à Stockholm. Le 4 décembre 2018, Greta Thunberg prend la parole à la COP24, le sommet des Nations unies sur les changements climatiques, et appelle les jeunes du monde entier à faire la grève des cours une fois par semaine. Un appel reçu cinq sur cinq en Belgique, comme on peut le constater depuis le mois de janvier.

Adulée par certains, détestée par d’autres

En quelques mois à peine, la jeune suédoise est devenue une icône de la lutte contre le dérèglement climatique. Adulée par certains, critiquée voire détestée par d’autres, la native de Stockholm ne laisse personne indifférent. Et pour cause, il n’est pas commun de voir une jeune fille de 16 ans remettre les grands leaders mondiaux à leur place. Une précocité mentale qu’elle doit en partie à une particularité dont elle est fière.

En effet, Greta Thunberg, comme sa soeur Beata, est atteinte du syndrome d’Asperger, un trouble autistique sans déficience intellectuelle. Le syndrome d’Asperger se caractérise notamment par une altération des interactions sociales générant de l’isolement et de la souffrance, mais aussi par le développement d’intérêts concernant des domaines variés comme les sciences, la littérature, les mathématiques ou encore l’écologie dans le cas de la Suédoise.

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Une baleine enceinte meurt en Sardaigne après avoir avalé 22 kilos de plastique


Qu’est-ce que des sacs de plastique, des tubes, un bidon de lessive ? Déjà que les filets, et des lignes de pêche sont probablement plu difficile a enrayer, quoique ceux qui les utilisent en sont responsables, le plastique est un énorme problème qu’il faut agir au plus vite
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Une baleine enceinte meurt en Sardaigne après avoir avalé 22 kilos de plastique

 

Des sacs poubelles, des filets, des lignes de pêche, des tubes et un bidon de lessive ont notamment été découverts dans l’estomac de l’animal. © DR.

En 2050, on estime qu’il y aura davantage de plastique que de poissons dans les océans.

Le corps sans vie d’une baleine enceinte a été retrouvé le jeudi 28 mars sur une plage touristique de Porto Cervo, dans le nord de la Sardaigne. Plus de 22 kilos de plastique ont été retrouvés dans la carcasse du mammifère marin, ainsi qu’un foetus mort. 

Selon CNN, des sacs poubelles, des filets, des lignes de pêche, des tubes et un bidon de lessive ont notamment été découverts dans l’estomac de l’animal.

« Y-a-t-il encore quelqu’un qui dit que ce ne sont pas des problèmes importants »

Une triste découverte qui a fait réagir le ministre italien de l’Environnement, Sergio Costa.

« Y-a-t-il encore quelqu’un qui dit que ce ne sont pas des problèmes importants », interroge le ministre sur sa page Facebook, invitant dès lors « chaque pays » à « mettre en oeuvre les politiques » pour limiter tant que possible l’usage du plastique.

Ce nouveau cas n’est pas sans rappeler un récent précédent. Il y a quelques jours à peine, une autre baleine est morte de faim avec 40 kilos de déchets en plastique dans son estomac après s’être échouée aux Philippines.

La vente de plastique à usage unique bientôt interdite dans l’UE

Alors qu’un continent de plastique est en train de se former au beau milieu de l’océan Pacifique, une étude du Forum économique mondial et de la fondation Ellen McArthur estime qu’il y aura plus de plastique dans l’océan que de poissons en 2050. Face à cette triste réalité, l’Union européenne a réagi en décidant d’interdire la vente des plastiques à usage unique en 2021.

     

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Dons d’organes : la N.-É. opte pour le consentement automatique


Je trouve que l’idée de la Nouvelle-Écosse est bonne que le don d’organe soit automatique. Ceux qui ne veulent pas devront faire les démarches pour ne pas être un donneur. Cela serait une première au Canada et aussi en Amérique du Nord, mais cette façon de faire, existe dans d’autres pays dans le monde.
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Dons d’organes : la N.-É. opte pour le consentement automatique

Un ambulancier porte une glacière bleue pour un don d'organes. Une civière se trouve en avant-plan.

Le projet de loi déposé par le gouvernement n’entrera pas en vigueur avant au moins un an. Photo: iStock

Radio-Canada

Le premier ministre de la Nouvelle-Écosse, Stephen McNeil, a déposé mardi un projet de loi pour renverser la pratique actuelle en matière de don d’organes et de tissus. En vertu de cette loi, tous les Néo-Écossais seront automatiquement considérés comme donneurs potentiels.

Ce serait, selon la province, une première en Amérique du Nord. Une fois la loi adoptée, c’est ceux qui refusent de devenir donneurs qui devront se manifester.

C’est une très belle journée, s’est réjoui le directeur médical du programme provincial de dons d’organes Legacy of Life, Stephen Beed.

Cette idée a commencé à prendre de l’ampleur il y a près de 15 ans, a-t-il fait remarquer. Plusieurs autres pays comme la Belgique et l’Espagne ont déjà légiféré en ce sens.

En Nouvelle-Écosse, l’ancien gouvernement néo-démocrate avait déposé un projet de loi similaire en 2010, mais la loi n’est jamais entrée en vigueur.

Contrairement à aujourd’hui, le programme provincial de dons d’organes n’était pas prêt à un tel changement à l’époque, selon son directeur médical.

Accès inégal en Nouvelle-Écosse

Il reste encore du travail à faire à travers la province pour égaliser l’accès au don d’organe.

Je veux être capable de dire que tous les Néo-Écossais, peu importe où ils vivent, peu importe leur code postal, auront le même accès au don d’organe. Stephen Beed, directeur médical, Legacy of Life

Il espère que le nouveau programme sera en place dans 12 ou 18 mois.

Entre-temps, les travailleurs de la santé de première ligne devront notamment être formés pour mieux reconnaître les donneurs d’organes potentiels et les référer aux équipes spécialisées.

Pour le spécialiste québécois en matière de don d’organes, Pierre Marsolais, l’éducation des professionnels est la chose primordiale à faire. Le consentement automatique n’est pas une solution, selon lui.

Il faut que les travailleurs de la santé soient capables d’identifier le donneur, de soutenir une famille et de créer un lien de confiance fort avec elle, parce que les proches du donneur, dit-il, donneront seulement leur approbation à condition qu’il soit décédé.

Si vous êtes convaincu qu’il n’est pas décédé, consentement présumé ou pas, vous allez dire non.Pierre Marsolais, médecin coordonnateur, Centre de prélèvement d’organes, CIUSS nord de l’île de Montréal

Pas avant un an

Le premier ministre Stephen McNeil estime de son côté que ce projet de loi vient répondre à un besoin dans la province. La Nouvelle-Écosse a un des plus gros taux de donneurs consentants au pays.

Ça ne se traduit pas toujours par un don, a-t-il dit.

Nous savons que dans plusieurs parties de la province, incluant celle où je vis, qui est une partie rurale de la Nouvelle-Écosse, nous avons du travail à faire. Stephen McNeil, premier ministre, N.-É.

Le premier ministre s’est engagé à mettre en place les services nécessaires pour rendre le nouveau système accessible partout en Nouvelle-Écosse.

La loi ne sera pas en vigueur avant au moins un an.

Le ministre de la Santé, Randy Delorey, a indiqué qu’une période de 12 à 18 mois sera nécessaire pour, entre autres, éduquer le public à propos du changement.

Malgré cette nouvelle loi, le ministre encourage les citoyens à discuter de leur volonté avec leurs proches afin que ce soit clair le moment venu.

Il n’est pas clair quelles répercussions ce changement aura sur le nombre de dons.

Le directeur du programme provincial, Stephen Beed, prend en exemple les régions en Europe où ce changement a provoqué une hausse des dons allant jusqu’à 35 %.

Avec les informations de CBC

https://ici.radio-canada.ca/