Liberté


On se fait peut-être une idée fausse de la liberté. Faire ce que l’on veut, quand on veut n’est probablement pas vraiment pour être libre, car elle amène des conséquences souvent indésirables.
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Liberté

 

 

La liberté n’est pas de faire ce qu’on veut, mais ce qu’on a le droit de faire.

Victor Cousin

Trop gros, ce rat alle­mand est resté coincé dans une bouche d’égout


L’obésité n’est pas juste un problème humain. Les rats trop gourmands peuvent aussi avoir un surplus de poids. En Allemagne, un rat a vécu un moment vraiment stressant. Il est resté pris dans un trou d’un couvercle d’égout. En Allemagne, des pompiers sont venus le délivrer. Et malgré que c’est un animal qui est détesté par la plupart des gens … Les pompiers l’ont remis en liberté.
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Trop gros, ce rat alle­mand est resté coincé dans une bouche d’égout

 

Le Saviez-Vous ► Combien de bactéries sont échangées lors d’un baiser


80 millions de bactéries échangées lors d’un baiser de 10 secondes. Alors que pensez des baisers plus longs et langoureux. Heureusement, que donner beaucoup de baiser ne fait que renforcer notre immunisation …
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Combien de bactéries sont échangées lors d’un baiser

 

 

Céline Deluzarche
Journaliste

 

La bouche abrite en moyenne 700 variétés de bactéries différentes. Une variété déterminée en grande partie par l’âge, l’alimentation et la génétique, mais aussi… par les embrassades avec ses partenaires.

Surnommé « french kiss », le baiser avec la langue est pratiqué par 90 % des cultures dans le monde. Et ce geste est tout sauf anodin pour notre microbiote buccal. Selon une étude néerlandaise publiée en 2014 dans le journal Microbiome, pas moins de 80 millions de bactéries sont échangées lors d’un baiser de 10 secondes. Les chercheurs ont interrogé 21 couples sur leurs habitudes en matière de baisers, fréquence, durée… puis ont prélevé des échantillons sur la langue et dans leur salive afin d’analyser la composition. Ils ont ensuite fait boire à un des membres du couple un yaourt contenant des probiotiques, et ont constaté que la quantité de bactéries probiotiques avait été multipliée par trois dans la salive du receveur. Ils en ont ensuite déduit le chiffre de 80 millions.

Le baiser : une immunisation contre les maladies ?

Autre observation allant dans le même sens : les couples qui s’embrassent souvent (au moins neuf fois par jour) finissent par acquérir un microbiote salivaire quasi identique.

« Plus vous êtes en couple longtemps avec quelqu’un, plus vous aurez de chances de partager une collection similaire de bactéries sur la langue », souligne Remco Kort, l’auteur principal de l’étude. Par ailleurs, certaines bactéries s’échangeraient plus facilement que d’autres, qui restent « collées » à la langue.

Si la quantité de microbes échangés vous effraye, sachez qu’il faut au contraire s’en réjouir.

« De nombreuses études montrent que lorsque la diversité des bactéries s’accroît chez un individu, cela s’avère une bonne chose », assure Remco Kort.

Le baiser agirait ainsi comme une sorte « d’immunisation », en exposant l’organisme à un plus grand nombre de micro-organismes.

« De ce point de vue, le baiser est un bon moyen de rester en bonne santé », sourit le chercheur.

Encore faut-il que la personne que vous embrassez ne soit pas malade ou n’ait pas une hygiène buccale qui laisse à désirer.

https://www.futura-sciences.com/

Des vidéos montrant aux enfants comment se suicider sur YouTube


YouTube kids est destinée aux enfants, et bien sûr, on croit qu’on évite ainsi des vidéos indésirables. Il semble que non. Des vidéos circulent malheureusement, qui montre comment se suicider et cela va encore plus loin, des vidéos sur YouTube Kid circulent sur les violences des armes à feu, trafic humain, abus sexuel, etc .. Il est important de les signalés, mais malheureusement cela prend quelques jours pour YouTube de les supprimer
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Des vidéos montrant aux enfants comment se suicider sur YouTube

 

Article 13 YouTube

La plateforme YouTube Kids a été créée pour offrir un contenu adapté à un jeune public. Pourtant, une mère a découvert avec horreur qu’elle renfermait des vidéos troublantes, dont une montrant comment s’enlever la vie.

Free Hess a consulté un tel contenu en juillet dernier, quand une autre mère l’a alertée de la situation. Elle et son fils regardaient une vidéo sur YouTube Kids quand, inséré au milieu de la production, un homme en verres fumés est apparu pour montrer à son fils comment s’ouvrir les veines.

Hess, elle-même une pédiatre, a immédiatement signalé le contenu à YouTube, en plus de publier des articles sur des groupes parentaux. Selon son témoignage, la compagnie a mis une semaine avant de retirer le contenu.

Si elle croyait le problème éradiqué, ce dernier est réapparu dernièrement, cette fois sur la principale plateforme de YouTube. Encore une fois, la publication a été signalée par de nombreux utilisateurs et YouTube l’a retirée quelques jours plus tard.

«Cela me met en colère, m’attriste et me frustre, a déclaré Hess au réseau CNN. Je suis une pédiatre et je vois de plus en plus d’enfants arriver avec des blessures qu’ils se sont eux-mêmes infligées lors de tentatives de suicide. Je n’ai aucun doute que les réseaux sociaux y sont pour quelque chose.»

Lorsque Mme Hess s’est rendue sur YouTube Kids pour naviguer à travers la plateforme plus en profondeur, elle affirme avoir découvert encore plus de contenus horrifiants. Selon son témoignage, elle y a trouvé des vidéos faisant l’apologie du suicide, de l’exploitation sexuelle, du trafic humain, de la violence par arme à feu et de la violence conjugale. Une vidéo, inspirée du jeu vidéo «Minecraft», montre même une tuerie dans une école.

La dame implore Google (la compagnie mère de YouTube) d’accorder davantage de ressources pour contrer ce genre de contenus, particulièrement sur la plateforme jeunesse.

En réponse aux demandes de Mme Hess, YouTube a indiqué dans une déclaration qu’elle travaillait à rendre les vidéos sur YouTube Kids les plus adaptées possible aux familles et que la compagnie prenait les commentaires de ses utilisateurs au sérieux.

«Les vidéos signalées sont revues manuellement 24 heures 24 et 7 jours 7. Toute vidéo qui n’a pas sa place sur notre application est retirée», a-t-elle rappelé.

En attendant, Free Hess estime qu’il est également de la responsabilité du parent de vérifier les contenus consultés par son enfant sur YouTube Kids ou toute autre plateforme de divertissement en ligne.

«Il y a une fracture entre les connaissances technologiques de l’enfant et celles de son parent parce que ceux-ci n’ont pas grandi dans cet environnement», affirme-t-elle.

Elle encourage également les parents à continuer de travailler ensemble pour combattre le problème.

https://www.tvanouvelles.ca/

Les images perturbantes d’un ado de 13 ans accro aux jeux vidéo


C’est pitoyable ! 48 heures sans arrêt pour jouer à un jeu vidéo. Un jeune ado ne va plus à l’école a cause de son addiction. Sa mère tente de le raisonner, mais peine perdue, alors elle tente une nouvelle approche qui fait rire d’autres personnes alentour. Cela ne semble pas le déranger pour autant.
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Les images perturbantes d’un ado de 13 ans accro aux jeux vidéo

VIDÉO Un adolescent de 13 ans accro aux jeux vidéo a été filmé dans un cybercafé aux Philippines. Sur la vidéo perturbante, on peut voir sa mère, Lilybeth Marvel, le nourrir de force tandis qu’il ne quitte pas l’écran des yeux.

L’ado est obsédé par le jeu Rules of Survival. Il ne va plus à l’école et peut passer 48 heures à jouer sans aucune pause, même pas pour aller aux toilettes.

Selon The Mirror, la mère de l’ado accro l’a houspillé pour qu’il arrête les jeux en ligne, sans succès. Elle tente donc une « approche différente ».

« J’essaie de lui faire sentir que, quoi qu’il se passe dans sa vie, je suis sa mère, je l’aime et je prends soin de lui. »

L’année passée, l’Organisation Mondiale de la Santé a reconnu l’addiction aux jeux vidéo comme un problème de santé mentale.

Un psychologue australien, spécialisé dans les problèmes familiaux, explique à news.com que certains enfants de l’âge de six, sept et même huit ans ont des problèmes d’incontinence parce qu’ils n’écoutent pas leurs fonctions corporelles lorsqu’ils jouent à des jeux vidéo

https://www.7sur7.be/

Né à 268 grammes, un bébé reçoit son congé de l’hôpital


On n’arrête pas le progrès en médecine. En néonatalogie, un bébé de 22 semaines de 0,268 grammes a eu 5 moins de soins pour prendre plus de 3 kilos quand il a pu enfin sortir de l’hopital.
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Né à 268 grammes, un bébé reçoit son congé de l’hôpital

 

Un nourrisson né prématurément et pesant alors 268 grammes a rejoint son domicile en bonne santé avec un poids plus que décuplé après 5 mois en unité de soins, a annoncé l’Hôpital universitaire Keio à Tokyo.

Jamais au monde, un garçon aussi petit au moment de l’accouchement n’avait quitté la maternité sain et sauf, selon les données connues.

La naissance de ce foetus avait été provoquée à 24 semaines d’aménorrhée (ou 22 semaines de grossesse), en raison d’un arrêt de croissance. Il était alors si petit qu’il tenait dans la paume de la main d’un adulte.

Après cinq mois passés en service de néonatologie, il pesait 3238 grammes à sa sortie de l’hôpital la semaine dernière et boit normalement du lait, selon un communiqué des médecins.

« Je suis heureuse qu’il ait tant pris de poids, car franchement, je n’étais pas sûre qu’il survive », a déclaré sa mère dans un message transmis aux médias.

Tout en soulignant que les décisions concernant les très grands prématurés exigent prudence et éthique, le médecin qui a suivi ce nourrisson, Takeshi Arimitsu, dit avoir à coeur de « faire savoir que même quand un bébé naît très petit, il existe une possibilité qu’il puisse quitter la maternité en forme ».

Le taux de survie des nouveaux-nés de moins de 300 g est cependant encore faible, souligne l’hôpital, « surtout lorsqu’il s’agit d’un garçon ».

Ces enfants doivent ensuite bénéficier d’une attention médicale particulière au moins durant leurs premières années.

De précédents cas de sortie de l’hôpital après plusieurs mois sans problème de santé de nourrissons garçons nés avec un poids de moins de 300 g avaient été enregistrés en Allemagne en 2009 (274 g) ainsi qu’au Japon en 2009 (297 g), 2011 (294 g) et 2015 (289 g), selon un registre international tenu par l’Université d’Iowa (États-Unis).

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Voici le premier pantalon indestructible qui dure 100 ans


Un pantalon qui dure 100 ans, donc plus qu’une vie d’adulte. Il résiste au feu, imperméable, extensible, protège du vent … Il est très cher, mais peut-être pour certains travailleurs, cela finirait par être rentable.
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Voici le premier pantalon indestructible qui dure 100 ans

 

Céline Deluzarche
Journaliste

Résistant à l’abrasion, à la torsion, aux déchirures, au vent et à l’eau, ce pantalon permet même de traverser un feu sans se brûler ! À contre-courant de la fast-fashion, ce vêtement durable a été mis au point par une startup en collaboration avec un groupe spécialiste des textiles militaires.

Des vêtements toujours moins chers pour vendre toujours plus : tel est le modèle économique de la plupart des enseignes de mode. Les marques à petit prix ont ainsi instauré le concept de « fast fashion », qui conduit à un énorme gaspillage textile. En France, 2,5 milliards de vêtements sont ainsi mis sur le marché chaque année, soit 600.000 tonnes selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe). Une personne achète aujourd’hui 60 % de vêtements en plus qu’il y a 15 ans et les conserve moitié moins longtemps, révèle une étude McKinsey.

À contre-pied de cette tendance, la startup Vollebak vient de lancer un pantalon conçu pour durer… 100 ans. Il a été testé avec une machine mécanique qui frotte inlassablement le tissu jusqu’à ce que les fibres cèdent. Résultat :

« Alors qu’un tissu polyester classique résiste à 25.000 tours, chaque fibre de notre pantalon était intacte après 100.000 cycles », assure Nick Tidball, le cofondateur de Vollebak.

Outre sa résistance exceptionnelle aux déchirures et à l’abrasion, le « 100 Years Pants » est imperméable, respirant, extensible, coupe-vent, et permet même « de marcher à travers un feu».

Bref, il sera difficile d’en venir à bout, à moins d’être déchiqueté par un grizzly.

Le pantalon Vollebak est vendu 575 euros… pour une durée de vie affichée de 100 ans. © Vollebak, Sun Lee

Le pantalon Vollebak est vendu 575 euros… pour une durée de vie affichée de 100 ans. © Vollebak, Sun Lee

    Un sandwich de trois couches de tissu

    Conçu à l’origine pour les soldats opérant en situations extrêmes, ce pantalon est fabriqué dans un tissu spécial développé par la marque suisse Schoeller, spécialisée dans les textiles techniques pour la police et les militaires.

    Alors que la plupart des vêtements résistants au feu sont lourds, inconfortables et contiennent des produits chimiques, le « 100 Years Pants » promet d’être « un des pantalons les plus confortables que vous n’ayez jamais porté », garantit Nick Tidball.

    Le secret de ce matériau innovant ? Un sandwich de trois couches de tissu différents. La couche extérieure fait office de protection contre le vent et l’eau. Celle du milieu joue le rôle « d’airbag » : elle peut gonfler de 1.000 fois sa taille instantanément et former ainsi une barrière ignifugeinfranchissable. La couche intérieure, tissée en fibre aramide ultra-fine, consolide le tout et apporte le confort.

    En mode survie

    En outre, le pantalon est doté de 5 poches, dont 4 zippées, et renforcé à tous les endroits les plus sollicités (fesses, genoux…). Chaque couture est doublée avec du fil spécial ultra-résistant conçu pour la torsion et l’étirement, et les chevilles sont protégées par une membrane en polyuréthane que, « même des crampons ne peuvent pas traverser ». Il est équipé de boucles de paracorde dans une petite puce sous la ceinture. Cette corde en nylon multibrins a d’ailleurs été utilisée par les cosmonautes pour s’arrimer dans l’espace !

    « Elle pourra éventuellement vous servir à allumer un feu si vous ne disposez de rien d’autre sous la main », souligne la marque.

    Veste en graphène et blouson en Kevlar

    Ce n’est pas la première fois que la marque s’illustre pour ses vêtements indestructibles. En 2017, elle avait sorti un blouson renforcé en Kevlar, également conçu pour durer 100 ans, et une veste phosphorescente. En juillet 2018, elle avait présenté la première veste en graphène capable de se transformer en véritable radiateur. Reste à savoir qui est prêt à débourser 575 euros ($ 853 canadien) (même avec frais de port offerts vers l’Europe) pour s’offrir un tel pantalon. Certes, cela représente seulement 5,75 euros par an… à condition de vivre suffisamment longtemps pour vérifier la promesse, ce qui ne sera pas évident si vous vivez des aventures aussi dangereuses que celles prévues par le vêtement.

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • La startup Vollebak a mis au point un pantalon conçu pour durer 100 ans.

  • Résistant aux flammes, imperméable, respirant et extensible, il est constitué d’un sandwich de trois couches de tissu.

  • La marque est spécialiste des vêtements innovants, avec déjà à son actif, la première veste en graphène.

https://www.futura-sciences.com

Un produit antibactérien populaire interférerait avec les antibiotiques


La résistance aux bactéries et aux antibiotiques est de gros problème et des scientifiques viennent de constater que bien des produits ménager en sont une des causes, et aussi d’autres produits tel que parfum, maquillage, des cartes de crédit etc ..
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Un produit antibactérien populaire interférerait avec les antibiotiques

 

Le triclosan fait partie des ingrédients de ce... (Photo Kiichiro Sato, archives AP)

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Le triclosan fait partie des ingrédients de ce savon antibactérien.

PHOTO KIICHIRO SATO, ARCHIVES AP

 

JEAN-BENOIT LEGAULT
La Presse Canadienne
Montréal

Un produit antibactérien que l’on trouve dans une vaste gamme de produits ménagers semble plutôt renforcer la résistance des bactéries aux antibiotiques.

Le triclosan se retrouve dans des produits comme les lotions, les parfums, les désodorisants, les produits de santé naturels, les dentifrices, les rince-bouche, les désinfectants/nettoyants pour les mains, les savons pour la peau, les shampoings et les produits de maquillage pour les yeux et le visage. On en retrouverait même dans les vêtements, les jouets et les cartes de crédit.

On l’utilise comme agent de conservation, pour prévenir les odeurs, pour tuer ou éliminer les bactéries, et pour empêcher la croissance de bactéries, de champignons et de moisissures, peut-on lire sur le site de Santé Canada.

Des chercheurs de l’Université Washington, à Saint-Louis, ont constaté, lors d’expériences chez des souris, qu’une exposition au triclosan permet aux bactéries de résister à des doses d’antibiotiques qui leur seraient autrement mortelles. Qui plus est, cet effet protecteur a été mesuré face à de multiples classes d’antibiotiques.

« Ce n’est pas forcément surprenant, a réagi le docteur Christian Baron, le vice-doyen à la recherche et au développement de la Faculté de médecine de l’Université de Montréal. C’était déjà connu dans la communauté scientifique que des substances comme le triclosan […] qu’on trouve dans des produits comme le savon n’ont pas leur place-là. Il est clair qu’il y a des effets négatifs potentiels. »

Les chercheurs ont traité aux antibiotiques deux groupes de souris souffrant d’une infection urinaire. L’un des deux groupes a aussi reçu de l’eau à laquelle on avait ajouté du triclosan. L’urine de ce groupe contenait cent fois plus de bactéries que l’urine de l’autre, ce qui témoigne d’une efficacité réduite des antibiotiques.

Le triclosan est une substance toxique pour les bactéries. Sa présence provoque chez elles un état d’alarme qui leur confère ensuite une résistance à plusieurs molécules, et notamment aux antibiotiques.

« C’est comme l’alarme de feu d’une maison a illustré le docteur Baron. La bactérie est alertée, et ça augmente sa résistance. »

La puissante Food and Drug Administration des États-Unis s’est positionnée, en 2017, contre l’ajout de triclosan au savon, en évoquant notamment des préoccupations liées à la sécurité et à un manque d’efficacité.

Le triclosan fait actuellement l’objet d’au moins deux autres études : une étude animale qui porte sur le risque de développer un cancer de la peau après une exposition prolongée au triclosan et une autre qui essaie de déterminer si le triclosan se décompose en d’autres produits chimiques, sur la peau humaine, après une exposition aux rayons UV.

« C’est très difficile pour des agences comme Santé Canada de bannir ce genre de produit, mais au moins elles peuvent faire des recommandations, et je pense que les recommandations sont très claires depuis plusieurs années, a dit Christian Baron. Les consommateurs devraient réaliser que ces produits-là ne sont pas meilleurs (que) d’autres produits. Ça ne va pas les protéger, par contre ils vont avoir des effets négatifs. »

Les conclusions de cette étude sont publiées par le journal scientifique Antimicrobial Agents & Chemotherapy.

https://www.lapresse.ca/