Ce jour


Il y a des moments qu’on aimerait que cela passe plus vite et pourtant … Après, c’est fini avec ou sans regret, ces moments ne reviendront jamais.
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Ce jour

 

 

 

Ce jour ne reviendra plus. Chaque jour est un joyau sans prix

Maitre Takuan

Le Saviez-Vous ► Les souris aiment-elles vraiment le fromage ?


On croit, a tord que les souris adorent le fromage. C’est une croyance qui date du Moyen-âge. Mais la réalité tout autre.
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Les souris aiment-elles vraiment le fromage ?

 

par Clara Zerbib, journaliste animalière

 

Dans l’imaginaire collectif, les souris sont souvent associées au fromage. Et notamment au gruyère et à ses petits trous dont elles seraient à l’origine. On les représente d’ailleurs régulièrement, notamment dans les dessins animés, en train de se faufiler la nuit dans les cuisines pour récolter quelques miettes de fromage.

 Mais est-ce vraiment leur plat préféré ? Pas si sûr…

D’où vient cette croyance ? 

Le mythe selon lequel les souris raffoleraient du fromage tire probablement son origine du Moyen-Âge. À l’époque, le stockage des aliments était bien différent de celui d’aujourd’hui. Et pour cause, ils n’avaient pas de réfrigérateur !

Ainsi, ils suspendaient les pièces de viande au plafond à l’aide de crochets et mettaient les céréales dans des sacs. Quant au fromage, il était stocké sur de grandes roues protégées bien souvent d’une simple couche de cire. En effet, il avait besoin d’être laissé à l’air libre pour pouvoir mûrir. Il était donc à la portée des souris, contrairement à la viande.

Cependant, il a récemment été prouvé que seules les souris affamées étaient susceptibles de se nourrir de fromage. En effet, c’est loin d’être leur aliment préféré…

souris

Crédits : iStock

Les souris préfèrent les aliments riches en sucre

En 2006, une étude de la Manchester Metropolitan University a révélé que les souris se tournaient plus volontiers vers des aliments riches en glucides, tel que les céréales, les fruits, les légumes ou encore les aliments sucrés, comme le chocolat.

D’après les tests réalisés, les cacahuètes sont particulièrement prisées des souris. Et pour cause, elles possèdent deux fois plus de calories que le fromage et sont donc bien plus énergétiques. Ainsi, pour survivre, les petits rongeurs savent qu’ils doivent se tourner vers ce type d’aliments.

De plus, le fromage n’est pas un aliment que les souris retrouvent dans leur milieu naturel puisqu’il est fabriqué par les humains. Ainsi, lors de leur évolution et lors du développement de leurs besoins nutritionnels, elles n’ont pas été confrontées au fromage et ne l’ont donc pas inclus dans leur régime alimentaire.

Par ailleurs, l’odeur et le goût du fromage, plutôt forts, ne sont pas très appréciés par les souris. En effet, leur odorat étant très développé, elles ont tendance à rejeter les aliments trop odorants. Ainsi, elles peuvent tout de même en manger, mais uniquement si elles n’ont pas le choix.

Source

https://animalaxy.fr/

Comment interpréter les émojis lors d’un procès?


Qui aurait cru que des emoji pourraient servir de preuves lors d’un procès. Surtout, que ces symboles peuvent avoir plusieurs significations dépendant de l’auteur. Cela risque de compliquer les choses qu’on en tienne compte ou non.
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Comment interpréter les émojis lors d’un procès?

 

Une image montrant divers émojis, dont un coeur blanc, une personne en fauteuil roulant de profil et une boîte de jus rouge.

Le sens des émojis peut varier selon le contexte. Photo: Emojipedia

Que signifie réellement un émoji? C’est la question que de plus en plus de juges se posent, alors que ces petits symboles colorés font leur apparition dans les procès.

Le professeur de droit américain Eric Goldman suit l’évolution de l’utilisation des émojis dans le contexte de procès aux États-Unis depuis quelques années. Selon lui, le nombre de cas dans lesquels des émojis sont présentés à titre de preuves explose actuellement.

M. Goldman affirme que le premier procès à mentionner les émojis (le terme utilisé était alors « émoticônes ») aux États-Unis a eu lieu en 2004. Depuis lors, au moins 171 autres litiges ont fait mention des émojis ou des émoticônes, dont 30 % en 2018. Un graphique présenté sur son blogue montre que l’utilisation des émojis en cour suit une croissance exponentielle.

Le professeur souligne toutefois que ses données ne sont pas exhaustives étant donné qu’il est difficile de répertorier automatiquement tous les cas. Les chiffres officiels sont donc probablement supérieurs.

Un sens ambigu

Les tribunaux ne sont toutefois pas toujours bien outillés pour interpréter ces symboles, dont le sens peut varier considérablement selon le contexte dans lequel ils sont utilisés.

Un tribunal israélien a notamment été confronté à ce problème en 2017, alors qu’un propriétaire immobilier poursuivait un couple qui l’avait approché pour louer son logement. Le couple avait envoyé un message disant que la maison l’intéressait et qu’il voulait négocier les détails.

Ce dernier était accompagné d’une série d’émojis : une danseuse, deux femmes déguisées en lapin, une main avec deux doigts levés, une comète, un écureuil et une bouteille de champagne. Les locataires potentiels ont toutefois cessé de répondre au propriétaire après ce message.

La poursuite a alors tenté de convaincre le juge que les émojis démontraient bel et bien l’intérêt et le sérieux du couple et que l’absence de réponse subséquente constituait une forme de rupture de contrat. Le juge a retenu l’argument, indiquant dans son jugement que les « icônes transmettaient un grand optimisme » et le couple a été condamné à payer 2900 $ en dommages au propriétaire de l’immeuble.

Les émojis sont souvent ignorés

De tels cas sont toutefois très rares, selon Eric Goldman. Ce spécialiste explique que dans la majorité des cas, les juges préfèrent ignorer les émojis, comme si ceux-ci ne faisaient pas partie du message. Cela constitue un problème, selon M. Goldman.

« On lirait une phrase de façon très différente si elle était suivie d’un émoji de clin d’œil que sans ce symbole », a-t-il expliqué à The Verge.

Le fait que de nombreux symboles diffèrent d’un appareil à un autre risque aussi de causer de nombreux maux de tête aux juges au cours des prochaines années, explique-t-il.

Avec les informations de The Verge

https://ici.radio-canada.ca/

Il reçoit une contravention pour avoir marché dans la rue à cause de la glace


Avec la neige, la pluie, le redoux, le gel, les trottoirs sont désastreux que ce soit à Montréal ou même chez moi à Gatineau. Faut dire que cette année, les piétons marche à la dure. Moi-même, je préfère marcher dans la rue que sur les trottoirs  même s’ils sont déneigés à cause de la glace cabossées ou que c’est glissant. Je trouve que c’est du zèle de la part du policier surtout tard le soir.C’est certain que sur une rue passante, on endure les trottoirs, mais un moment donné avec l’hiver que nous avons, je crois qu’il faut faire la part des choses
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Il reçoit une contravention pour avoir marché dans la rue à cause de la glace

 

Un Montréalais entend contester le constat d'infraction dont il a écopé pour... (Photo David Boily, archives La Presse)

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

SARA CHAMPAGNE
La Presse

Un Montréalais entend contester le constat d’infraction dont il a écopé pour avoir marché dans la rue afin d’éviter un trottoir recouvert de neige et de glace.

Selon le récit raconté sur les ondes de CBC news, Lateef Martin marchait le long de la rue Messier, samedi vers 1 h 30 du matin, dans l’arrondissement Le Plateau-Mont-Royal, quand il aurait été intercepté par un patrouilleur du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).

M. Martin a raconté qu’il a été arrêté quand il a refusé de fournir une preuve d’identité au patrouilleur. L’homme à la peau noire, qui marchait la tête recouverte d’un capuchon, avance que « sa race » a probablement été un facteur dans son arrestation. Il soutient qu’il revenait à pied d’une soirée chez un ami.

« Naturellement, j’ai décidé de marcher dans la rue parce que c’était plus sécuritaire. L’un de mes amis a chuté et s’était blessé au genou sur ce même tronçon de trottoir plus tôt dans la journée. […] J’ai voulu être prudent », a-t-il relaté.

M. Martin a reçu un constat de contravention de 48 $ pour avoir contrevenu à l’article 452 du Code de la route stipulant qu’un piéton doit emprunter le trottoir plutôt que la rue quand il y a en un longeant une artère.

« Je pense sincèrement qu’il (le policier) a décidé de me donner une contravention parce que j’ai refusé de lui dire où j’allais, et parce que je lui ai répondu sèchement », a précisé M. Martin.

Le SPVM a refusé de commenter l’affaire hier, CBC news n’est pas parvenu à obtenir les commentaires de la Ville de Montréal.

Chaque année, la Ville de Montréal verse des milliers de dollars en dédommagements à des citoyens pour des chutes sur les trottoirs de son territoire. Récemment, la mairesse de Montréal, Valérie Plante, a annoncé la révision des pratiques de déglaçage sur les trottoirs, notamment avec l’utilisation de chenillettes surnommées « croque-glaces ». 

https://www.lapresse.ca/

Une application mobile pour mieux traiter la dépression


D’ici l’été, on prévoit mettre une application pour ceux qui sont en dépression. Il sera utilisé avec le médecin traitant. En fait, d’après ce que je comprends, ce sera comme un journal et sera un outil pour mieux suivre un patient. Cette application pourra être personnalisée selon les besoins.
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Une application mobile pour mieux traiter la dépression

 

Une personne d'apparence déprimée est assise sur un banc à l'orée d'un tunnel.

L’application permet d’enregistrer comment le patient se sent, de jour en jour, et de semaine en semaine. Photo: iStock

La Presse canadienne

Un groupe de cliniciens, d’ingénieurs et de récents diplômés et d’étudiants de l’Université McGill a développé une application pour téléphone intelligent destinée à mieux soigner les personnes qui combattent la dépression, en se servant notamment du pouvoir de l’intelligence artificielle.

Visant à construire un pont entre la médecine et la technologie, l’application Aifred Health est en lice pour le premier prix du prestigieux concours AI XPRIZE, d’une valeur de trois millions de dollars.

Une personne sur neuf dans le monde va devoir affronter une dépression majeure dans sa vie, souligne David Benrimoh, directeur scientifique d’Aifred Health. La plupart d’entre elles ne vont pas recevoir le meilleur traitement du premier coup. De nombreuses personnes devront faire quatre ou cinq essais avant de trouver le bon traitement, déplore en entrevue le médecin, qui s’est spécialisé en psychiatrie après une maîtrise en neurosciences.

L’idée de cet « outil d’aide à la prise de décision clinique » vient de Kelly Perlman, cofondatrice d’Aifred Health, souligne M. Benrimoh.

Il est lui-même membre fondateur avec Sonia Israel, Marc Miresco et Robert Fratila.

Il s’agit aussi d’une « application tandem », qui devrait être utilisée avec un suivi médical ou de psychothérapie, ajoute-t-il.

Évaluer et traiter

L’application, également accessible par ordinateur, permet d’enregistrer comment le patient se sent, de jour en jour et de semaine en semaine. Cela permet de surveiller les symptômes des patients et de voir la progression du traitement. « Juste ça, ça va beaucoup aider », dit-il.

L’application d’Aifred a aussi intégré un algorithme qui offre aux médecins des possibilités de traitements, basés sur les meilleures pratiques, afin de structurer le traitement de la dépression.

 « Ça rassemble toutes les connaissances que l’on a déjà, et ça les simplifie de façon très claire. »

Puis, l’intelligence artificielle (IA) aide à déterminer le meilleur traitement pour chacun des patients, selon les différentes options qui s’offrent : types de médicaments, dosage, psychothérapie, neuro-modulation, exercice et méditation.

Notre système fournira un rapport expliquant les caractéristiques importantes qui ont conduit à une prédiction de traitement.

Extrait du site Internet d’Aifred Health

Une application encore en test

Qu’est-ce qu’une application peut changer dans la vie d’une personne souffrant de dépression? D’abord, elle va redonner aux patients du pouvoir sur leur vie, leur permettre de comprendre leur situation et de constater leur progression. Elle va aussi aider à trouver le meilleur traitement, plus rapidement. Ce qui raccourcit d’autant le temps qui va s’écouler avant de voir des résultats, selon le médecin-psychiatre.

Cela fait presque deux ans que l’équipe planche sur l’application. Ils sont encore à l’étape des tests, dont certains ont été effectués auprès de médecins de l’Hôpital général juif de Montréal. L’équipe a aussi reçu de bons retours de la part de psychiatres qui ont testé l’algorithme de traitement. Et si tout va bien, l’application sera disponible pour les patients cet été.

Mais cette application sera-t-elle efficace pour les personnes qui souffrent de dépression sévère, peinant à sortir de leur lit et n’ayant probablement pas l’énergie pour entrer des informations dans leur téléphone intelligent? Pour ces patients-là, M. Benrimoh convient que c’est très difficile. Mais il indique avoir conçu le design de l’application pour qu’elle soit simple et rapide à utiliser. « Quelques minutes par semaine [suffisent]. »

Les questions portent sur l’humeur, le niveau d’énergie, l’appétit et le sommeil. Certaines questions seront personnalisées : si le patient est très irritable ou a de la difficulté à faire une activité spécifique, un suivi sera fait à ce sujet. Au début de l’utilisation, des questions portant sur l’historique médical et sur les médicaments déjà pris seront posées.

« C’est pour que l’IA puisse bien travailler », fait-il valoir.

D’ailleurs, le recours à l’intelligence artificielle est nécessaire selon lui.

Ce n’est pas juste un truc que l’on met là-dedans parce que c’est cool, parce que c’est sexy. C’est parce que c’était un problème que nous n’étions pas capables de résoudre sans IA, qui fait des prédictions [en ce qui concerne] l’individu.

David Benrimoh, directeur scientifique d’Aifred Health.

Décrocher un prix

S’étalant sur quatre ans, la compétition AI XPRIZE offre des prix en argent pour encourager le développement de technologies qui peuvent bénéficier à l’humanité.

Alors que l’équipe d’Aifred Health entre dans la dernière année du concours, elle se situe en première place parmi 30 équipes restantes. Au départ, 143 équipes étaient en lice.

« J’ai vraiment confiance en mon équipe, et on a la chance de représenter notre ville, Montréal », dit David Benrimoh.

« On était un peu l’équipe « underdog » avant », ajoute-t-il, indiquant être en compétition avec de grandes entreprises.

David Benrimoh dit avoir eu le soutien de District 3, à l’Université Concordia, et des accélérateurs Centech et Start up en résidence de Desjardins Lab.

« On a eu beaucoup de soutien de la communauté entrepreneuriale de Montréal. »

L’équipe de Aifred Health devra toutefois attendre 2020 avant de savoir si elle rapportera le prix dans la métropole.

https://ici.radio-canada.ca/

La Chine inter­dit son camp de base de l’Eve­rest aux touristes et leurs montagnes de déchets


Moi, je ne comprends pas, comment des alpistes affrontent le mont Everest et laisse des déchets derrière eux. Me semble que c’est accomplissent de soi autant physique que morale, mais une victoire qui détruit l’environnement annule leur exploit.
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La Chine inter­dit son camp de base de l’Eve­rest aux touristes et leurs montagnes de déchets

 

par  Malaurie Chokoualé 

L’Eve­rest compte deux camps de base. Le premier, côté népa­lais, se trouve à 5 364 mètres d’al­ti­tude et se situe sur le versant sud de la montagne. Le second est logé du côté tibé­tain à 5 154 mètres d’al­ti­tude, mais désor­mais, seul·e·s les déten­teurs·­rices d’un permis d’es­ca­lade pour­ront s’y rendre. La Chine a rendu sa déci­sion publique le 15 février, d’après la BBC, pour préser­ver les lieux des nombreux touristes irres­pec­tueux·euses.

Ces camps sont utili­sés par les alpi­nistes pour s’ac­cli­ma­ter à l’al­ti­tude, mais il est évident que la ferme­ture de l’un d’entre eux va compliquer l’as­cen­sion. En effet, alors que le camp népa­lais néces­site une randon­née de huit jours, celui du Tibet est quant à lui acces­sible en voiture.

Mais au diable l’ac­ces­si­bi­lité. Outre les graf­fi­tis qu’elles ne cessent de retrou­ver, les auto­ri­tés chinoises tentent depuis plusieurs années de gérer l’énorme problème des déchets du site, à cause de la masse de touristes incons­cients·es de leur impact.

Les dernières données dispo­nibles concer­nant le nombre de visi­teurs·euses datent de 2015 et cette année-là, 40 000 personnes étaient passées par là. Par cette inter­dic­tion, la Chine espère rame­ner ce nombre à 300 personnes par an.

Source : BBC

https://www.ulyces.co

A cause d’une maladie rare, ce chat a un pelage hors du commun


Un chat noir et blanc, du genre smoking a une maladie rare, la même que chez les humains. Le vitiligo. Avec le temps, son poil blanc couvre une grande partie de son corps avec quelques taches de poils noirs. Heureusement, que le vitiligo n’est pas dangereux.
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A cause d’une maladie rare, ce chat a un pelage hors du commun

 

Elli le chat avant et après sa transformation

A sa naissance, Elli le chat avait le pelage noir et blanc et avait l’air de porter un smoking qui lui donnait vraiment la classe. Aujourd’hui, son pelage a beaucoup changé, mais il est toujours aussi beau !

Lorsqu’Elli a été adoptée, elle n’avait que 4 mois et vivait avec sa sœur dans de piètres conditions dans une ferme. Les deux chatons étaient recouverts de mites et avaient des infections dans les oreilles. Leur héroïne et future propriétaire, Nicole, les a trouvées dans cet état et a su qu’elle devait les ramener chez elle pour les aider à retrouver la forme.

A force de patience et de soins vétérinaires, les deux chatons ont remonté la pente et se sont détendues dans leur nouvelle maison. Elles avaient toutes les deux un beau pelage qui ressemblait à un smoking très classe, et faisaient la paire à se pavaner toutes les deux sous les yeux de leur maîtresse !

Elli en particulier était déjà très câline et affectueuse, et avait tendance à se comporter plus comme un chien qu’un chat, à vouloir jouer tout le temps. Et c’est lors d’une session de jeu que Nicole a remarqué une petite tâche blanche sur le corps du chat. Pensant d’abord qu’une petite poussière s’était posée sur le dos du matou, elle s’est ensuite rendu compte qu’en réalité, c’était le poil du chat qui avait changé de couleur.

En se rendant avec son chat chez le vétérinaire, Nicole a appris qu’Elli avait une maladie très rare qui touchait moins d’un pourcent des chats : le vitiligo, une maladie chronique de l’épiderme qui se caractérise par des tâches de dépigmentation sur la peau et/ou les poils.

Cela n’est pas du tout douloureux et a seulement des conséquences esthétiques. Aujourd’hui, Elli est recouverte de petites tâches blanches et ressemble de plus en plus à une chouette blanche, surtout quand elle se met en hauteur pour surveiller chaque fait et geste de sa maîtresse !

Son joli pelage moucheté ajoute à son charme, et Elli est de plus en plus adorable chaque jour. Elle aura bientôt 3 ans, et vit sa vie à fond ! Sa maîtresse est ravie de passer du temps avec elle, et remarque chaque jour des changements sur son pelage. Finalement, ce sont souvent les petits « défauts » qui font craquer les autres !

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