Le changement


Il arrive des évènements malheureux, on ne sait jamais si c’est un tournant qui donnera un sens positif à notre vie étant donné que nous ne connaissons pas notre avenir proche et lointain.
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Le changement

 

 
Sache que le changement commence parfois par une chute. Alors ne la maudit jamais. C’est au sol que se trouve l’humilité

Yasmin Mogahed

Le Saviez-Vous ► Comment vous devez boire un chocolat pour l’apprécier


Les amateurs de chocolat chaud pourraient apprécier plus la saveur dans une tasse orange. Les couleurs ont un impact important dans nos vies, même dans l’alimentation.
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Comment vous devez boire un chocolat pour l’apprécier

 

Voici comment vous devez boire un chocolat pour l’apprécier

Le 4 février 2019.

Si vous trouvez que votre café a un goût étrange aujourd’hui, peut-être faut-il changer de tasse ! De nombreuses études ont été réalisées sur le lien entre la couleur de notre vaisselle et la saveur de nos aliments. Toutes parviennent à cette même conclusion, notre cerveau est très sensible aux couleurs.

Un chocolat chaud serait meilleur dans une tasse orange

De quelle couleur est votre tasse ? Et appréciez-vous réellement votre boisson au petit-déjeuner ? Ces deux questions n’ont, semblent-ils aucun lien, et pourtant, l’étude d’une équipe de chercheurs de l’université polytechnique de Valence, en Espagne, et de l’université d’Oxford, au Royaume-Uni, datée de 2012 et exhumée par nos confrères de Futura Sciences, a prouvé que la couleur d’un contenant pouvait altérer, ou améliorer la saveur d’une boisson.

Pour parvenir à ce résultat, ces chercheurs ont invité 57 personnes à boire un chocolat chaud, ou plutôt 4, dans des tasses de couleur différente. Toutes avaient un intérieur blanc, mais l’extérieur était blanc, crème, orange ou rouge. Les buveurs étaient ensuite invités à noter leurs impressions sur la boisson qu’ils venaient de consommer.

Couleur et goût sont intimement liés dans notre cerveau

Au terme de cette expérience, les auteurs de l’étude ont recoupé les informations réunies et ont réalisé que les chocolats chauds servis dans des tasses, de couleur orange ou crème, avaient globalement été considérés comme meilleurs que dans les deux autres tasses.

Ce n’est pas la première fois qu’une étude établit un lien entre couleur et goût. Toujours d’après une recherche scientifique menée à Oxford, la couleur de nos couverts aurait un impact non-négligeable sur la façon dont nous apprécions notre nourriture.

« Avant même que la nourriture soit dans notre bouche, notre cerveau a déjà formé un jugement sur elle, ce qui affecte l’ensemble de notre expérience alimentaire », expliquaient alors les auteurs de cette étude.

Parmi leurs conclusions, l’une évoquait la manière de manger du fromage. Celui-ci serait notamment plus salé s’il est consommé piqué sur un couteau, plutôt qu’avec une fourchette. À vous de faire le test !

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Un plom­bier découvre une épée du XIVe siècle sous un trot­toir au Dane­mark


Il y a des journées qui peuvent être exceptionnelles et j’imagine que c’est plombier étaient heureux d’être au travail quand ils ont découvert une épée datant du Moyen-âge.
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Un plom­bier découvre une épée du XIVe siècle sous un trot­toir au Dane­mark 

 

Crédits : Northern Jutland Histo­ri­cal Museum

par  Laura Boudoux

Alors qu’ils travaillaient sur un chan­tier de construc­tion, dans une rue d’Aal­borg au Dane­mark, un plom­bier et un conduc­teur d’en­gin ont décou­vert une épée médié­vale incroya­ble­ment bien conser­vée.

Sous les pavés, mardi 5 février 2019, les deux hommes ont remarqué quelque chose d’étrange et ont décidé de contac­ter le musée d’His­toire local. Les archéo­logues ont alors déterré une arme longue d’1,1 m, pesant 1 kg et datant du XIVe siècle, rapporte le média danois anglo­phone The Local.

L’épée est d’une « qualité de fabri­ca­tion extrê­me­ment bonne » et a certai­ne­ment été conçue par un maître forge­ron de l’époque.

L’arme appar­te­nait donc proba­ble­ment à un membre de l’élite locale, seigneur féodal ou cheva­lier. Elle est en excellent état, et les archéo­logues ont assuré qu’elle avait certai­ne­ment été enter­rée dès le Moyen-Âge. 

Crédits : Northern Jutland Histo­ri­cal Museum

Les archéo­logues s’in­ter­rogent désor­mais sur les raisons qui ont poussé son proprié­taire à l’aban­don­ner là. Ces épées étaient en effet habi­tuel­le­ment trai­tées avec le plus grand respect, et enter­rées de manière plus céré­mo­nieuse que celle qui a été retrou­vée dans l’une des plus vieilles rues d’Aal­borg. L’une des hypo­thèses est donc qu’elle a pu être perdue lors d’une bataille, avant d’être piéti­née et recou­verte de boue.

Sources : The Local

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Ces chim­pan­zés ont fabriqué une échelle avec des branches pour s’éva­der d’un zoo


Ces chimpanzés rêvent aussi de liberté et un zoo n’est pas l’endroit que la liberté a du sens. Des singes ont été capables d’imaginer et d’installer le nécessaire pour prendre la fuite. Malheureusement pour eux, peine perdue … Les murs se referment.
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Ces chim­pan­zés ont fabriqué une échelle avec des branches pour s’éva­der d’un zoo

 

Crédits : Chan­tal Baxter

par  Laura Boudoux

Un groupe de chim­pan­zés du zoo de Belfast, en Irlande, a tenté de s’éva­der samedi 9 février 2019. Les primates ont réuni de grosses branches avant de les ados­ser au mur d’en­ceinte de leur enclos. Seul l’un d’entre eux est parvenu à l’es­ca­la­der, lais­sant ses compères dans leur prison à ciel ouvert, rapporte la BBC. Hélas, il a été rattrapé peu de temps après.

Les respon­sables du zoo, qui ont récu­péré l’évadé, ont expliqué qu’une tempête récente avait dété­rioré le mur d’en­ceinte, permet­tant aux chim­pan­zés de le grim­per plus faci­le­ment. Une vidéo enre­gis­trée par des visi­teurs montre l’ani­mal se prome­nant dans le zoo, visi­ble­ment perplexe et ne sachant pas vrai­ment où aller. Un « événe­ment très inha­bi­tuel », d’après la porte-parole du zoo.

« Ce sont des primates intel­li­gents, ils savent qu’ils ne sont pas censés se retrou­ver en dehors de cette enceinte, et ils y retournent d’eux-mêmes », a assuré la porte-parole du zoo. « Nous aimons leur offrir un envi­ron­ne­ment natu­rel dans leur enclos, notam­ment avec des arbres, mais nous allons les véri­fier », a-t-elle déclaré suite à l’in­ci­dent, préci­sant que les arbres envi­ron­nant seraient arra­chés si néces­saire. Les chim­pan­zés savent surtout qu’ils n’ont aucune envie de rester enfer­més.

Sources : BBC/ Face­book

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Près de la moitié des espèces d’insectes en déclin dans le monde


Un monde sans insecte, ça vous tente ? Cela serait une catastrophe et il semble que les insectes vont tout droit a une extinction comme les dinosaures. Si cela arrive, l’écosystème sera en péril.
Il faut interdire au plus vite les pesticides, restaurer les lieux humides, etc…
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Près de la moitié des espèces d’insectes en déclin dans le monde

 

ALE-KS VIA GETTY IMAGES

L’Europe aurait perdu près de 80% de ses insectes en moins de 30 ans, contribuant à faire disparaître plus de 400 millions d’oiseaux.

Près de la moitié des espèces d’insectes, essentiels aux écosystèmes comme aux économies, sont en déclin rapide dans le monde entier, alerte une étude qui met en garde contre un « effondrement catastrophique » des milieux naturels.

« La conclusion est claire: à moins que nous ne changions nos façons de produire nos aliments, les insectes auront pris le chemin de l’extinction en quelques décennies », soulignent les auteurs de ce bilan « effrayant », synthèse de 73 études, qui pointe en particulier le rôle de l’agriculture intensive.

Aujourd’hui, environ un tiers des espèces sont menacées d’extinction « et chaque année environ 1% supplémentaire s’ajoute à la liste », ont calculé Francisco Sanchez-Bayo et Kris Wyckhuys, des universités de Sydney et du Queensland.

Ce qui équivaut, notent-ils, « au plus massif épisode d’extinction » depuis la disparition des dinosaures.

« La proportion d’espèces d’insectes en déclin (41%) est deux fois plus élevée que celle des vertébrés et le rythme d’extinction des espèces locales (10%) huit fois plus, » soulignent-ils.

Quand on parle de perte de biodiversité, le sort des grands animaux capte souvent l’attention. Or les insectes sont « d’une importance vitale pour les écosystèmes planétaires »: « un tel événement ne peut pas être ignoré et devrait pousser à agir pour éviter un effondrement des écosystèmes naturels qui serait catastrophique », insistent les scientifiques, dans ces conclusions à paraître dans la revue Biological Conservation.

Exemple de service vital rendu par les insectes, et sans doute le plus connu, la pollinisation des cultures.

A l’inverse, exemple d’impact de leur disparition sur toute la chaîne alimentaire: le déclin « vertigineux » des oiseaux des campagnes révélé en France en 2018.

« Il n’y a quasiment plus d’insectes, c’est ça le problème numéro un », expliquait alors un des auteurs de l’étude française, Vincent Bretagnolle: car même les volatiles granivores ont besoin d’insectes à un moment dans l’année, pour leurs poussins…

Papillons, coccinelles, fourmis

Selon une étude parue fin 2017 et basée sur des captures réalisées en Allemagne, l’Europe aurait perdu près de 80% de ses insectes en moins de 30 ans, contribuant à faire disparaître plus de 400 millions d’oiseaux.

Oiseaux, mais aussi hérissons, lézards, amphibiens, poissons… tous dépendent de cette nourriture.

A l’origine de cette chute des insectes, les chercheurs australiens désignent la perte de leur habitat (urbanisation, déforestation, conversion agricole) et le recours aux pesticides et engrais de synthèse, au coeur de l’intensification des pratiques agricoles ces soixante dernières années.

L’étude se base notamment sur les cas de l’Europe et des États-Unis, où l’on dispose des suivis les plus réguliers.

« Mais vu que ces facteurs s’appliquent à tous les pays du monde, les insectes ne devraient pas s’en tirer différemment dans les pays tropicaux et en développement ».

A ces raisons s’ajoutent les agents pathogènes (virus, parasites), les espèces invasives et enfin le changement climatique mais surtout à ce stade dans les régions tropicales.

Le recul des insectes, qui forment les deux tiers des espèces terrestres, remonte au début du XXe siècle, mais s’est accéléré dans les années 1950-60 pour atteindre « des proportions alarmantes » ces 20 dernières.

Parmi les plus affectés, les lépidoptères (les papillons), les hyménoptères (abeilles, guèpes, fourmis, frelons… présents sur tous les continents sauf en Antarctique) et les coléoptères (scarabées, coccinelles).

Quelque 60% des espèces de bousiers sont ainsi sur le déclin dans le bassin méditerranéen. Et une espèce d’abeilles sur six a disparu au niveau régional, dans le monde.

Les insectes aquatiques ne sont pas épargnés, qu’il s’agisse des libellules ou des éphémères.

« Restaurer les habitats, repenser les pratiques agricoles, avec en particulier un frein sérieux à l’usage de pesticides et leur substitution par des pratiques plus durables, s’imposent urgemment », soulignent les auteurs du rapport, qui appellent aussi à assainir les eaux polluées, en ville comme en milieu rural.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Les lions de Namibie s’attaquent désormais aux créatures marines


Les lions de Namibie avaient été exterminés du a un problème de cohabitation avec l’humain, car ils chassaient le bétail. Quelques années plus tard, il fut réintroduit dans une région désertique du pays. Les lions ont réussi à s’adapter en changeant leur mode d’alimentation en attaquant des animaux marins.
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Les lions de Namibie s’attaquent désormais aux créatures marines

 

lion

Une lionne qui vient de chasser un cormoran. Crédits : P Stander/Journal namibien de l’environnement

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

Les lions de la Côte des Squelettes, une région désertique de Namibie, s’attaquent désormais régulièrement aux phoques et oiseaux marins pour se nourrir. Pour certains spécimens, ces sources de nourriture constitueraient près de 80 % de leur régime alimentaire.

Les années 1980 ont vu disparaître les lions de Namibie. Problèmes de cohabitation. Les fauves s’attaquaient au bétail et les paysans ripostaient en tirant dessus, ou en les empoisonnant. Résultat : en 1990, tous les lions de la côte avaient été exterminés. Quelques années plus tard, une loi de conservation fut néanmoins instaurée, et en 1997, une petite population de lions spécialement adaptés pour vivre dans des conditions désertiques est revenue s’installer. Les Hommes ne pouvant (légalement) plus s’attaquer aux lions, les populations de fauves se sont peu à peu rétablies. Et elles continuent de s’adapter, en se nourrissant désormais de phoques, cormorans et autres oiseaux marins.

Une traque de plus en plus régulière

La première fois, c’était en 2006 : un chercheur vit alors une lionne attaquer, tuer et manger un phoque à fourrure. Jusqu’en 2016, ce comportement a été observé neuf fois. Il s’agissait plus d’une traque opportuniste : les lions ne chassaient pas délibérément les phoques. Cependant, cela a changé il y a environ trois ans. Les précipitations se sont faites de plus en plus rares. Plutôt que de brûler de l’énergie à suivre les proies vers des zones plus humides, les lions ont commencé à se servir sur place. La chasse aux phoques (mais pas que) est alors devenue de plus en plus régulière.

Près de 80 % de leur régime alimentaire

Philip Stander, qui suit les populations de lions dans la région depuis de nombreuses années, a récemment rapporté le cas de trois jeunes lionnes, âgées d’un an. En mars 2017, orphelines, les trois sœurs ont commencé à chasser les cormorans, explique-t-il dans le dans le Namibian Journal of Environment.

« Poussées par la faim et le désespoir, les jeunes lionnes ont réussi à se frayer un chemin sur les dunes et à nager sur une île près d’une source d’eau douce non loin de la côte, peut-on lire. Elles ont commencé à tuer des cormorans qui dorment sur l’île la nuit, et ont ensuite appris à chasser un plus large éventail d’oiseaux, notamment les flamants roses et les sarcelles d’hiver ».

 Cette chasse aux oiseaux est tellement devenue régulière que ces espèces marines constituaient désormais 79 % de leur régime alimentaire.

« [Les lions] ont trouvé une ressource marine riche et fiable pouvant fournir une source d’énergie importante lorsque leurs ressources alimentaires terrestres traditionnelles sont rares », explique le chercheur. Et les fauves pourraient continuer de s’adapter. « Les observations préliminaires laissent également à penser qu’ils pourraient apprendre à s’attaquer à d’autres organismes marins, note le chercheur, tels que les crustacés, les crabes ou les tortues de mer ».

Source

https://sciencepost.fr/

Produits de santé naturels: coup de semonce du Bureau de la concurrence


Si le Bureau de la concurrence du Canada surveille l’industrie de santé naturel, comme il le prétend, ce sera une bonne chose. Tous ces produits dont on promet une de perte de poids, santé et tout le tralala, ne pourront plus faire des profits sur le dos des consommateur, car la facture de l’amende sera vraiment salée..
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Produits de santé naturels: coup de semonce du Bureau de la concurrence

 

 

CHARDAY PENN VIA GETTY IMAGES

«Ce thé fera fondre vos kilos en trop», «Perdez 10 livres en 2 jours», «Un corps de rêve pour l’été».

OTTAWA — «Ce thé fera fondre vos kilos en trop», «Perdez 10 livres en 2 jours», «Un corps de rêve pour l’été»: face à de telles promesses de perte de poids de l’industrie des produits de santé naturels, le Bureau de la concurrence du Canada donne un coup de semonce.

Le sous-commissaire adjoint par intérim à la direction des pratiques commerciales trompeuses, Jean-Pierre Bornais, fait état de plusieurs plaintes concernant cette industrie «de plus en plus profitable». Le Bureau de la concurrence a donc cru bon rappeler cette semaine qu’il la tient à l’oeil.

Et les produits dotés d’une licence de Santé Canada ne sont pas à l’abri, souligne M. Bornais, alors que l’impression générale qu’ils créent va parfois au-delà de ce qui a été approuvé.

En vertu de la Loi sur la concurrence, les indications relatives au rendement ou à l’efficacité d’un produit doivent déjà avoir été mises à l’épreuve de manière «suffisante et appropriée».

En d’autres termes, les vendeurs et promoteurs ne peuvent pas évoquer des vertus qu’ils ne sont pas en mesure de démontrer, résume M. Bornais, car l’amende peut s’avérer salée.

Pour une première offense, certaines pratiques trompeuses sont passibles d’une sanction maximale de 750 000 $ pour un individu et de 10 millions $ pour une entreprise. En cas de récidive, ces sommes grimpent respectivement à 1 million et 15 millions $.

https://quebec.huffingtonpost.ca/