La vie est belle


On peut avoir tout et être malheureux et n’avoir rien et être heureux, c’est une question d’attitude envers la vie en générale.
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La vie est belle

 

 

Tu trouveras la vie vraiment belle lorsque tu apprendras à saluer au lieu d’ignorer, à parler au lieu de crier, à sourire au lieu d’être triste, et à aimer au lieu de détester

Inconnu

Le Saviez-Vous ► Pourquoi faut-il éviter de manger de la neige ?


Je croyais qu’on ne devait pas manger de la neige à cause de la pollution, ce qui est probablement vrai, mais il y a des raisons toutes aussi importantes à considérer pour ne pas avoir de plus gros problème de santé. Car la neige est trop froide et n’a pas les mêmes propriétés que l’eau liquide, ce qui peut entrainer un déséquilibre global de l’organisme.
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Pourquoi faut-il éviter de manger de la neige ?

 

par David Louvet-Rossi, Rédacteur scientifique

Lorsqu’on est en montagne à cette période, la pratique des sports d’hiver mène rapidement à la déshydratation. Qui n’a jamais eu envie de consommer une bonne poignée de neige pour y pallier ? Pourquoi est-il préférable d’éviter ?

Pourquoi est-il déconseillé de consommer de la neige fraîche, puisqu’après tout il ne s’agit que d’eau à l’état solide ? Parce que tout d’abord, son passage de l’état liquide à cette phase solide a modifié certaines des propriétés chimiques de l’eau. Mais aussi parce qu’absorbée en dose conséquente, l’impact à court terme de cette neige sur la santé peut s’avérer dangereux.

Dans ces changements de propriétés qui prennent place durant cette modification de phase de l’eau, deux éléments sont bouleversés : la température et la quantité de minéraux. La température de la neige peut en effet entraîner un choc thermique dans l’organisme qui va perdre de la chaleur. Cela pourra parfois provoquer des diarrhées aiguës, d’où la nécessité de la faire fondre avant de la consommer.

Le second élément à prendre en compte est la quantité de minéraux, devenue nulle lorsque l’eau est à l’état de neige. Sans minéraux, la neige est beaucoup moins désaltérante que l’eau. Cela peut pousser à en consommer davantage. Et cette consommation d’eau déminéralisée modifie l’homéostasie de l’organisme, selon cette étude de l’OMS. C’est elle qui joue un rôle majeur notamment pour notre température corporelle et notre débit d’afflux sanguin. En somme, l’homéostasie contribue à maintenir un équilibre global de l’organisme, qui peut alors être perturbé si l’on ingère de la neige.

Si de nombreux habitués de la montagne comme les escaladeurs et les alpinistes ont eu des problèmes après avoir consommé uniquement de la neige, on a également observé des œdèmes au cerveau et des acidoses métaboliques chez des enfants qui avaient bu cette eau déminéralisée. En conclusion, si consommer quelques flocons ne devrait pas avoir d’effets considérables sur la santé, en consommer une plus grande quantité peut être réellement dangereux pour l’organisme.

Source

https://sciencepost.fr/

Ampleur inquiétante des abus sexuels dans le sport amateur depuis 20 ans


Des parents inscrivent des jeunes à un sport amateur, et font confiance aux entraîneurs. Malheureusement, plusieurs se sentent trompés, car des adultes a qui ils ont confié ont abusé sexuellement des jeunes et certains des entraîneurs ont même été accusé d’exploitations, fabrication ou possession de pornographie juvénile.
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Ampleur inquiétante des abus sexuels dans le sport amateur depuis 20 ans

 

Le hockey compte le plus grand nombre d'entraîneurs... (Photo archives La Presse)

Le hockey compte le plus grand nombre d’entraîneurs accusés avec 86 cas, dont 59 ont donné lieu à des condamnations.

PHOTO ARCHIVES LA PRESSE

 

Agence France-Presse
Montréal

Plus de 200 entraîneurs de sport amateur au Canada ont été condamnés pour des délits sexuels contre des mineurs au cours des 20 dernières années, révèle dimanche une enquête de CBC/Radio-Canada.

Selon ce vaste coup de sonde portant sur la période 1998-2018, 340 entraîneurs de jeunes ont fait l’objet d’accusations de délits sexuels, qui ont donné lieu à 222 condamnations pour des abus contre plus de 600 jeunes de moins de 18 ans.

La chaîne ajoute que 34 cas supplémentaires font l’objet de procédures encore en cours.

Pour constituer sa base de données, CBC/Radio-Canada indique avoir épluché des milliers de dossiers judiciaires et visité de nombreux tribunaux dans l’ensemble du pays, ce qui a  permis à la chaîne de brosser un « portrait dérangeant de l’ampleur des délits sexuels commis par des entraîneurs ou des personnes en position de pouvoir dans le sport amateur canadien depuis 20 ans ».

Pour Sandra Kirby, ancienne sportive olympique, professeure de sociologie à l’université de Winnipeg et experte en matière d’abus sexuels dans le sport, les chiffres compilés par CBC/Radio-Canada pourraient n’être que la « partie émergée de l’iceberg » car tous les cas d’abus ne font pas l’objet de dénonciations.

Elle estime que les organisations sportives du pays ne peuvent ignorer ces résultats et qu’une « réforme massive » est nécessaire pour que tous les enfants s’adonnant à une activité sportive puissent le faire en toute sécurité.

Interrogée par CBC, Lorraine Lafrenière, dirigeante de l’association des entraîneurs du Canada, a de son côté jugé « déchirants » ces résultats, notant qu’ils montrent que les « parents ont un sentiment de sécurité trompeur lorsqu’ils laissent leurs enfants dans un club sportif ».

Selon CBC/Radio-Canada, les délits portent sur des abus sexuels, de l’exploitation sexuelle et la fabrication ou possession de pornographie juvénile.

Les condamnations concernent très majoritairement des hommes, 213 sur 222, mais les victimes sont autant des jeunes garçons que des jeunes filles.

Le hockey compte le plus grand nombre d’entraîneurs accusés avec 86 cas, dont 59 ont donné lieu à des condamnations.

Le soccer, qui compte le plus de pratiquants au Canada, arrive en seconde position avec 40 personnes accusées et 27 d’entre elles condamnées, mais tous les sports sont concernés, souligne l’enquête de CBC/Radio-Canada.

https://www.lapresse.ca/

Mystère : Cet homme se porte très bien malgré une boîte crânienne vide à 90%


Un homme marié, père de 2 enfants, et n’a aucun problème neurologique sauf, que 90 % des neurones de son cerveau sont absentes. Bien que plus jeune, il a été soigné pour une hydrocéphalie, le liquide est revenu dans son cerveau. Le cerveau, s’est-il adapté pour prendre la relève des pièces manquantes ?
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Mystère : Cet homme se porte très bien malgré une boîte crânienne vide à 90%

 

par David Louvet-Rossi, Rédacteur scientifique19 juillet 2016, 0 h 04 min

Âgé de 44 ans, un français marié, père de deux enfants et employé dans l’administration vit une vie assez normale, à un détail près : sa boîte crânienne est quasiment vide. Un cas très particulier qui remet en question les théories fondamentales basées sur la pleine conscience.

Le cas particulier de ce français de 44 ans avait déjà fait l’objet d’une étude parue dans la revue The Lancet en juillet 2007. Tout a commencé par une petite douleur à la jambe gauche pour l’homme, qui s’est alors rendu à l’hôpital. Une IRM a alors étonné les médecins, qui ont remarqué que son cerveau est en fait rempli de liquide. Pourtant, l’homme vit tout à fait normalement, entre vie de famille et travail, et n’a aucun antécédent de trouble neurologique.

Il faut remonter à l’enfance de cet homme, lorsqu’il souffrait d’une maladie appelée hydrocéphalie, qui désigne une accumulation de liquide céphalorachidien dans le cerveau. Les docteurs lui ont alors implanté un petit tube pour évacuer le liquide vers d’autres parties du corps, lequel lui a été retiré à ses 14 ans. Visiblement, le liquide s’est à nouveau accumulé au fil des années.

The Lancet

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Crédits : Feuillet et al/ The Lancet

Aujourd’hui, ce cas est remis à l’ordre du jour par le psychologue Axel Cleeremans de l’université de Bruxelles, pour qui le cas particulier de ce français remet en question les théories fondamentales basées sur la pleine conscience.

“Aucune théorie n’explique comment une personne, dont 90% des neurones sont absentes, peut avoir un comportement tout à fait normal” déclare-t-il.

En effet, son quotidien n’est en rien affecté alors que toutes les zones du cerveau qui contrôlent la sensibilité, la parole ou l’audition sont considérablement réduites.

Le psychologue belge avance alors une nouvelle théorie, qui est que si le cerveau n’est pas endommagé brutalement, mais petit à petit, l’organe reste capable de s’adapter. Des études en ce sens devraient être réalisées au cours des prochaines années.

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https://qz.com

Les animaux peuvent-ils être en deuil?


Sujet controversé entre scientifiques ! Cependant, du comportement animal, semble montré que certains animaux auraient conscience de la mort et vivent leur deuil à leur façon. Si les animaux ont des liens sociaux, sans vouloir humaniser les bêtes, je crois qu’il est probable qu’ils vivent des émotions de tristesse.
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Les animaux peuvent-ils être en deuil?

 

Une orque qui transporte la carcasse de son petit sur son nezUne femelle orque de la côte ouest a transporté son petit, mort, pendant des jours à l’été 2018. Photo: Ken Balcomb/Centre for Whale Research

Gaëlle Lussiaà-Berdou

Des animaux comme les orques peuvent-ils connaître des émotions comme la tristesse, le déni ou le découragement à la perte d’un proche? La question intéresse de plus en plus de chercheurs et a même donné naissance à une discipline appelée thanatologie comparée.

L’été dernier, les images d’une orque de la côte ouest transportant son bébé mort-né ont fait le tour de la planète. La femelle J35, surnommée Tahlequah par les observateurs, a mis bas fin juillet après 17 mois de gestation. Le bébé est mort à la naissance. Malgré cela, la mère a continué à garder son petit à la surface de l’eau pendant 17 jours, plongeant pour le récupérer quand il s’enfonçait dans les flots. Un exercice si épuisant que les scientifiques qui observent cette population d’épaulards ont craint pour sa vie.

« Elle était en deuil », croit Deborah Giles, directrice scientifique de l’organisme voué à la conservation des épaulards Wild Orca.

La chercheuse s’est précipitée sur place dès qu’elle a appris que la femelle avait mis bas.

« L’idée qu’elle ait pu donner naissance à un petit parfaitement formé qui a pu prendre une ou deux respirations avant de mourir… Ça a dû être horrible », dit la biologiste qui siège aussi sur le Killer Whale Recovery Task Force, un comité chargé d’établir un plan de rétablissement pour cette population menacée d’extinction établie au sud de l’île de Vancouver.

Les comportements des primates

Différentes études se penchent sur les éléphants, les oiseaux ou encore les insectes pour comprendre comment ces animaux réagissent à la mort. Sans surprise, ce sont nos plus proches parents, les singes, qui suscitent le plus d’intérêt.

En Zambie, par exemple, une trentaine de chimpanzés d’un sanctuaire ont été observés se rassemblant calmement autour d’un congénère mort d’une pneumonie. Sur des images filmées par des chercheurs américains et néerlandais, on les voit le toucher, le flairer et sa mère adoptive va même jusqu’à lui nettoyer les dents avec un brin d’herbe, du jamais-vu.

On voit la femelle chimpanzé manipuler le corps de son bébé, au sol.

Agrandir l’imageEn haut, à gauche, la femelle chimpanzé Noel s’approche du corps de Thomas, dont elle était la mère adoptive. Elle se tourne ensuite pour prendre un brin d’herbe. Elle ouvre après la bouche de Thomas pour finalement lui nettoyer les dents à l’aide du brin d’herbe. Photo : Edwin J. C. van Leeuwen, Katherine A. Cronin & Daniel B. M. Haun/Scientific Reports

Les mêmes chercheurs ont observé une femelle à la mort de son bébé de 16 mois. Après l’avoir transporté pendant toute une journée, elle l’allonge dans une clairière puis s’en approche régulièrement pour le toucher. Des gestes très inhabituels qui témoignent, selon les scientifiques, de la façon dont ces animaux apprivoisent la mort.

Sans nécessairement y voir un deuil au sens où on l’entend, des chercheurs concluent que ces primates peuvent, à la perte d’un proche, vivre un stress qui se traduit par des fluctuations hormonales et des pertes de sommeil. Des caractéristiques aussi associées au deuil chez l’humain.

La mort chez les cétacés

 

On voit le dos et la nageoire dorsale de deux orques qui filent à la surface de l'eau.

Plus tard à l’été 2018, la femelle orque J35 a été aperçue sans son bébé mort, qu’elle avait finalement abandonné. Elle chassait en compagnie de ses congénères. Photo : Ken Balcomb/Centre for Whale Research

Les mammifères marins intéressent aussi les scientifiques. Une étude publiée l’an dernier analyse 78 cas où des cétacés ont modifié leur comportement après la mort d’un congénère. Le geste le plus couramment observé est celui d’une femelle qui maintient son bébé mort à la surface, comme dans le cas de Tahlequah.

La plupart des cas recensés par les auteurs concernent des dauphins, sans doute parce qu’ils sont les plus étudiés. Les autres baleines à dents, comme les bélugas et les orques, sont aussi plus susceptibles de réagir à la perte d’un proche. Ces espèces ont des cerveaux plus développés et des liens sociaux plus solides que les autres cétacés.

En 2010, le biologiste Robin Baird a assisté à un comportement semblable de la part d’une autre femelle de la population d’orques résidentes du sud, dont le petit était mort-né. Il croit que si l’idée que ces animaux puissent vivre un deuil est de moins en moins controversée, c’est qu’on les connaît mieux qu’auparavant.

« Pensez à la vie qu’ils mènent : les femelles atteignent leur maturité sexuelle vers 16 ans, mettent bas en moyenne tous les cinq ans, vivent 60, 70 ou 80 ans, passent toute leur existence en petits groupes sociaux tissés serrés », explique-t-il. « Il n’y a aucune raison pour qu’ils ne vivent pas le même type d’émotions à la perte d’un bébé qu’un humain ou un autre mammifère. »

D’autres chercheurs sont plus sceptiques et croient que ces comportements relèvent de l’instinct, comme celui qui pousse une mère épaulard à garder son petit à la surface pour qu’il respire.

C’est le cas du biologiste Robert Pitman, qui a cosigné l’étude sur les réactions des cétacés à la mort.

« Certains individus ne se rendent peut-être même pas compte que leur petit est mort, ne comprennent pas ce qu’est la mort, mais leur instinct les pousse à faire la bonne chose, c’est-à-dire que tant que le petit est là, il faut le garder à la surface parce qu’il va peut-être s’en remettre. Je crois que certains individus savent quand laisser tomber et d’autres moins », croit ce chercheur du service des pêches de l’Administration américaine pour les océans et l’atmosphère qui passe la moitié de sa vie à observer les animaux marins, dont les cétacés.

« Je ne dis pas que le deuil n’existe pas [chez ces animaux], mais je ne crois pas qu’on ait fait la démonstration qu’il existe. Simplement parce que ça ressemble à un deuil, ça ne veut pas dire que c’en est un », estime-t-il. « Le jury ne s’est pas encore prononcé », conclut le chercheur.

Le reportage de Gaëlle Lussiaà-Berdou

https://ici.radio-canada.ca

Les oiseaux aussi souffrent du froid, voici comment les aider


Généralement, il est recommandé de ne pas nourrir les oiseaux, car ils peuvent devenir dépendant et délaissé les insectes. L’hiver, cela peut-être beaucoup plus difficile pour eux de survivre. Un coup de pouce de notre part peut améliorer leur qualité de vie. On ne doit pas donner n’importe quoi, mieux vaut une alimentation adaptée à nos petites bêtes à plumes pendant la saison froide.
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Les oiseaux aussi souffrent du froid, voici comment les aider

 

Rouge-gorge

Les rouges-gorges peuvent souffrir du froid.

© MARK HAMBLIN/REX/REX/SIPA

Par Anne-Sophie Tassart

La neige, le froid, le gel affectent de nombreux organismes, l’homme n’est pas la seule espèce touchée. Par exemple, les oiseaux comme les merles, les perdrix et les rouges-gorges s’épuisent davantage, leur accès aux ressources étant limité. Par conséquent, ils se déplacent moins et deviennent plus vulnérables. La Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) a donc tenu à rappeler qu’il est possible de leur venir en aide notamment en mettant de la nourriture à leur disposition.

L’association indique sur son site internet que les mangeoires et les abreuvoirs doivent être disposés au centre du jardin, « dans un endroit dégagé, éloigné des murs, buissons et branches latérales afin d’éviter l’accès aux prédateurs ».

Pour éviter que les oiseaux, trop nombreux, se volent dans les plumes mais aussi pour limiter la propagation de maladies, la LPO recommande de disposer plusieurs équipements différents (à suspendre, des plateaux etc…) et de les nettoyer régulièrement.

Quels aliments donnés aux oiseaux en période de froid prolongé ?

Enfin, le point essentiel : quelle nourriture donner à ces animaux ? L’association déconseille de disposer trop de graisses animales et de leur préférer les graisses végétales « si possible à base d’huile de colza ». Le pain doit être évité tandis que le lait est proscrit : les oiseaux étant totalement incapables de le digérer (en ingurgiter peut les tuer).

« Seuls les dérivés laitiers cuits, tels que le fromage, peuvent être donnés en très petite quantité », précise la LPO. Autres aliments à éviter : le pain, les mélanges de graines « très bon marché » et les biscuits pour animaux domestiques.

Selon la LPO, les meilleurs aliments sont :                                                                                                                                                            

Un mélange optimal de graines composé d’1/3 de tournesol noir, de cacahuètes et de maïs concassé
Les pains de graisse végétale simples
Les pains de graisse végétale mélangés avec des graines, des fruits rouges ou des insectes
Des graines de tournesol
(non grillées et non salées), si possible non striées, les graines noires sont meilleures et plus riches en lipides
Des cacahuètes
(non grillées et non salées) 
Les amandes, noix, noisettes et maïs concassés (non grillées et non salées)
Les petites graines de millet ou d’avoine
Les fruits décomposés
(pomme, poire flétrie, raisin)

Un petit « plus » qui ne doit plus être apporté après le mois de mars

Cependant, les oiseaux ne doivent pas être nourris toute l’année. Ces suppléments ne sont qu’à délivrer durant la mauvaise saison, en période de froid prolongé, globalement de mi-novembre à mars, explique l’association.

« Il n’est pas conseillé de nourrir les oiseaux au printemps et en été car beaucoup d’entre eux deviennent insectivores à cette saison et cela peut créer une relation de dépendance vis-à-vis des jeunes oiseaux nés dans l’année qui doivent apprendre à se nourrir par eux-mêmes », ajoute-t-elle.

https://www.sciencesetavenir.fr/

La Suisse lance un défi à 132.000 euros aux hackers


C’est un bon procédé pour essayer de sécuriser des élections par Internet. Surement, qu’il aura beaucoup de pirates informatiques qui vont vouloir relever le défi, surtout avec un prix près de $ 200 000 cad
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La Suisse lance un défi à 132.000 euros aux hackers

© Thinkstock.

La Suisse a lancé jeudi un défi aux hackers qui réussiront à pirater sa nouvelle génération de système de vote électronique, avec à la clé une récompense totalisant 150.000 francs suisses (132.000 euros).

La Chancellerie fédérale indique qu’un faux scrutin sera organisé du 25 février au 24 mars et invite les génies de l’informatique désireux d’exercer leurs talents à s’inscrire sur le site https://onlinevote-pit.ch.

Ils pourront « tenter de manipuler des suffrages, de lire des suffrages exprimés, de violer le secret du vote et de mettre hors-service ou de contourner les dispositifs de sécurité qui protègent aussi bien les suffrages que les données inhérentes à la sécurité », a-t-elle précisé dans un communiqué.

Le montant de la récompense dépendra de la capacité d’intrusion de chaque hacker. Le gros lot, de 50.000 francs suisses, reviendra à celui qui parviendra à manipuler des suffrages de façon indétectable. Violer le secret du vote sera récompensé par 10.000 francs suisses, tandis que celui qui détruira l’urne électronique remportera 5.000 francs suisses.

Les autorités suisses entendent par cet appel s’assurer de la sécurité du système de vote électronique.

https://www.7sur7.be/