Blessure


C’est un fait que nous avons tendance à se mettre en colère plus facilement, alors que souvent, juste le fait de dire pourquoi que nous sommes dans cet état pourrait éviter voir résoudre le problème.
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Blessure

 

C’est toujours plus facile de se fâcher contre quelqu’un que de lui dire pourquoi tu es blessée

Inconnu

2 cheminots sautent du train pour sauver un animal coincé sous la neige


Alors que des cheminots s’affairaient à déneiger des voies en Autriche, ils ont enterré par mégarde un chamois. Il était impossible pour la bête de sortir hors de toute cette neige. Les cheminots n’ont pas hésité d’aller déterrer le chamois coincé.
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2 cheminots sautent du train pour sauver un animal coincé sous la neige

 

Le Saviez-Vous ► Pitbull : 5 choses à savoir sur ce chien considéré comme dangereux


Le Pittbull a souvent mauvaise presse, il faut dire qu’a l’origine, il était utilisé comme chien de combat. En fait, tout dépend de son éducation et du milieu où il vit. Ce type de chien a besoin de beaucoup d’activités et une éducation stricte. Personnellement, quand je dois croiser un Pittbull, je demande au maitre quel tempérament a son chien et si je peux lui faire une caresse. C’est des chiens extraordinaires et comme n’importe quel chien, tout dépend du maitre …
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Pitbull : 5 choses à savoir sur ce chien considéré comme dangereux

 

 

chien pitbull enfant fille câlin humain

Crédits : iStock

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Le Pitbull, de son vrai nom American Pit Bull Terrier, est victime d’une mauvaise réputation. Considéré comme le chien le plus dangereux au monde, sa possession a même été interdite dans plusieurs pays, notamment en France. En effet, il est interdit de vendre, d’importer ou d’acquérir un Pitbull. Pourtant, si le Pitbull n’est pas élevé entre de mauvaises mains, il n’est pas plus agressif qu’un autre !

La preuve en 5 points.

1. Une origine qui lui fait défaut

Apparu à la fin du 18e siècle, le Pitbull a tout de suite été utilisé pour combattre les taureaux et les chiens dans les arènes et divertir alors le public de l’époque. C’est de là que lui vient sa réputation de molosse agressif et féroce, de chien tueur attiré par l’odeur du sang.

Le Pitbull n’est d’ailleurs pas considéré comme une race à part entière mais plutôt comme un type de chien. Il est généralement associé à l’American Staffordshire Terrier.

chien pitbull

Crédits : iStock

2. Il est équilibré

Le Pitbull n’est pas le vilain petit canard que l’on pourrait croire. En réalité, il fait partie des chiens les plus équilibrés qui soient. En effet, le Pitbull possède un caractère aussi stable que le Golden Retriever ou le Terre-Neuve par exemple. On voit donc bien que l’étiquette de chien méchant qu’on lui associe est complètement fausse. En réalité, tout dépend de la façon dont il est éduqué, comme n’importe quel autre chien.

Gentil, affectueux, joueur, doux et patient, notamment avec les enfants, le tempérament du Pitbull est complètement dépourvu d’agressivité envers les humains. En revanche, il peut parfois se montrer un peu querelleur avec les autres chiens.

chien pitbull

Crédits : Hugo A. Quintero G/Flickr

3. Il est très robuste

Au-delà de sa musculature puissante (20 à 30 kilos de muscles tout de même), le Pitbull bénéficie d’une santé de fer. En effet, il n’a pas de problème de santé particulier, hormis des problèmes de peau. Et pour cause, la peau du Pitbull est plus fragile que celle des autres races de chiens. Il est donc plus susceptible de développer des allergies, des inflammations, voire même des maladies de peau.

De plus, son poil étant très court, le Pitbull n’est pas protégé contre les grosses chaleurs ou le froid. Ainsi, il est nécessaire de raccourcir les promenades en été et en hiver, sous peine qu’il attrape un coup de soleil ou un coup de froid.

chien pitbull

 

Crédits : Ildar Sagdejev/Wikipédia

4. Il est infatigable

Véritable boule d’énergie, le Pitbull a un grand besoin de se dépenser. Il est indispensable de lui faire pratiquer une activité physique chaque jour afin qu’il puisse s’épanouir. Ainsi, même s’il a accès à un jardin, ce grand sportif doit sortir se balader au minimum 2 fois par jour afin qu’il puisse socialiser avec les autres chiens mais aussi explorer de nouveaux lieux et de nouvelles odeurs. En effet, le Pitbull déteste rester dans un espace clos plusieurs heures d’affilée. Il a donc besoin d’être constamment stimulé.

Ce chien n’est donc pas adapté aux personnes qui n’ont pas suffisamment de temps libre pour pouvoir combler tous ses besoins énergétiques. D’autant plus que le Pitbull doit bénéficier d’une éducation stricte (mais sans violence !), ce qui demande une certaine implication de la part de son propriétaire.

chiot heureux

Crédits : iStock

5. Il n’est pas un bon chien de garde

On pourrait penser que ce chien réputé pour faire peur grâce à son physique impressionnant est un excellent chien de garde. Que nenni ! En réalité, le Pitbull est beaucoup trop sociable avec les humains pour pouvoir assumer un tel rôle. En effet, il aura plutôt tendance à se diriger vers un étranger pour lui quémander une caresse et non pas pour le faire fuir…

 

Source

https://animalaxy.fr

Les abeilles savent compter


Si on se demande pourquoi étudier les mathématiques, quoique la réponse soit évidente, sachez que de primates, certains oiseaux, araignée, et même des abeilles comprennent les mathématiques de base. Malheureusement, avec l’effondrement des abeilles, les insecticides détruisent leurs neurones du cerveau, sans leurs capacités cognitives pour butiner.
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Les abeilles savent compter

 

Gros plan sur la tête d'une abeille.

Les abeilles ont la réputation d’être des insectes intelligents. Photo: iStock / Andy Nowack

Alain Labelle

Les abeilles mellifères peuvent réaliser des calculs mathématiques de base, ont démontré des scientifiques australiens et français.

Les chercheurs sont affiliés à l’Université RMIT et à l’Université Toulouse III – Paul Sabatier. L’année dernière, la même équipe avait établi que ces insectes sociaux étaient capables de se représenter et d’interpréter le zéro.

La présente étude montre qu’on peut apprendre aux abeilles à reconnaître les couleurs comme des représentations symboliques de l’addition et de la soustraction, et à utiliser cette information pour résoudre des problèmes arithmétiques.

La résolution de problèmes mathématiques exige un niveau d’intelligence sophistiquée, qui fait appel à une gestion mentale complexe de nombres, de règles, mais aussi à une mémoire de travail à court terme.

En outre, les opérations numériques comme l’addition et la soustraction sont complexes, parce qu’elles nécessitent deux niveaux de traitement.

Vous devez être capable de maintenir les règles d’addition et de soustraction dans votre mémoire à long terme, tout en manipulant mentalement un ensemble de nombres donnés dans votre mémoire à court terme. Le professeur Adrian Dyer, de l’Université RMIT

« De plus, nos abeilles ont également utilisé leur mémoire à court terme pour résoudre des problèmes arithmétiques, car elles ont appris à reconnaître les notions de plus et de moins comme des concepts abstraits plutôt qu’en les associant à des aides visuelles », explique le Pr Adrian Dyer.

Le saviez-vous?

  • Les abeilles n’ont qu’un million de neurones, soit 100 000 fois moins que l’humain;
  • elles possèdent une mémoire à court terme élaborée qui leur permet d’envisager les décisions à venir;
  • elles comprennent des concepts abstraits comme la similitude et la différence;
  • elles acquièrent des compétences complexes auprès d’autres abeilles.

Ces surprenantes capacités élargissent, selon les chercheurs, notre compréhension de la relation entre la taille et la puissance du cerveau.

Ainsi, même le petit cerveau d’une abeille peut réaliser des opérations mathématiques de base, une connaissance qui pourrait servir au développement futur de l’intelligence artificielle en raffinant l’apprentissage machine.

Nos résultats laissent à penser que la cognition numérique avancée pourrait être plus répandue dans la nature chez les non-humains que ce que l’on pensait. Adrian Dyer

De précédentes études ont montré que certains primates, des oiseaux comme le corbeau, et même des araignées sont capables d’additionner et de soustraire.

Le détail de ces travaux est publié dans la revue Science Advances(Nouvelle fenêtre) (en anglais).

Une abeille sur une fleur.

Une abeille. Photo : Getty Images / Peter Vahlersvik

Un cerveau déstabilisé

De plus en plus de travaux, dont plusieurs menés à l’Université Laval de Québec, montrent que l‘effondrement des colonies d’abeilles observé en Amérique et en Europe depuis une dizaine d’années est lié aux insecticides, particulièrement à ceux de la famille des néonicotinoïdes. Pour réussir à butiner, les abeilles se servent de leurs grandes capacités cognitives, mais les produits toxiques attaquent la communication entre les neurones de leur cerveau, ce qui les déstabilise et nuit au butinage.

https://ici.radio-canada.ca/

Le cerveau des femmes est “plus jeune” que celui des hommes au même âge


Les chercheurs ne savent pas trop pourquoi, mais il semble que le cerveau des femmes sont environs 3 ans plus jeunes que les hommes en comparant aux mêmes âges chronologiques
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Le cerveau des femmes est “plus jeune” que celui des hommes au même âge

 

cerveau

 

Le cerveau des femmes plus jeune que celui des hommes au même âge ? Crédits : Flickr/affen ajlfe

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

Une récente étude suggère que le cerveau des femmes est plus jeune de quasiment trois ans que celui des hommes au même âge chronologique. Cela pourrait notamment expliquer les différences de déclins cognitifs observés entre les deux sexes passés 60 ans.

Les modifications du cerveau liées à l’âge semblent s’opérer plus lentement chez les femmes que chez les hommes. C’est du moins la conclusion d’une étude menée par des chercheurs de la Washington University School of Medicine de Saint-Louis, aux États-Unis. Au même âge chronologique – nombre d’années écoulées depuis la naissance – le cerveau des femmes semble en moyenne plus jeune de quasiment trois ans comparés à celui des hommes, du point de vue métabolique. Les détails de l’étude sont publiés dans les Actes de la National Academy of Sciences.

« Nous commençons à comprendre comment divers facteurs liés au sexe pourraient affecter la trajectoire du vieillissement cérébral, et comment cela pourrait influer sur la vulnérabilité du cerveau face aux maladies neurodégénératives, explique Manu Goyal, principal auteur de l’étude. Le métabolisme cérébral pourrait nous aider à comprendre certaines des différences que nous constatons entre les hommes et les femmes à mesure qu’ils vieillissent ».

Cerveaux “plus jeunes”

Notre cerveau carbure au glucose (sucre de la famille des glucides), mais la façon dont le il sirote ce carburant évolue à mesure que nous prenons de l’âge. Les enfants, par exemple, utilisent une très grande partie de ce sucre pour favoriser le développement et la maturation du cerveau (glycolyse aérobie). Dès l’adolescence en revanche, et plus nous prenons de l’âge, moins le cerveau consacre de sucre à la glycolyse aérobie. Cette fraction diminue progressivement à mesure que l’on vieillit, et finit par se stabiliser à des quantités faibles à partir de 60 ans environ.

Il existe donc des différences de métabolisme cérébral selon les âges, mais observe-t-on également des changements selon les sexes ? Pour le savoir, les chercheurs se sont penchés sur 205 personnes – 121 femmes et 84 hommes – âgées de 20 à 82 ans.

L’idée consistait ici à mesurer le flux d’oxygène et de glucose dans le cerveau des participants, dans le but d’évaluer la fraction de sucre engagée dans la glycolyse aérobie. Les chercheurs ont ensuite formé un algorithme d’apprentissage automatique pour trouver une relation entre l’âge des personnes et leur métabolisme cérébral. L’ordinateur pouvait alors prédire l’âge chronologique d’une personne en fonction de “l’âge métabolique” de son cerveau.

Près de trois ans d’écart

Les chercheurs ont alors formé l’algorithme en utilisant uniquement les données d’âge et de métabolisme cérébral des hommes. Ils ont ensuite saisi les données des femmes dans cet algorithme pour estimer leur âge métabolique. Il en ressort alors que, entraîné sur les données des hommes, l’algorithme donnait des âges métaboliques du cerveau féminin de 3,8 ans plus jeunes que leur âge chronologique. Inversement : basé sur les données des femmes, l’algorithme a pu estimer l’âge cérébral des hommes. Le cerveau de ces messieurs était alors environ 2,4 ans plus vieux que leur âge chronologique.

« Ce n’est pas que les cerveaux des hommes vieillissent plus vite, ils arrivent simplement à l’âge adulte avec environ trois ans de plus que les femmes, explique le chercheur. Ce que nous ignorons, c’est ce que cela signifie ».

Les chercheurs suggèrent néanmoins qu’un métabolisme cérébral plus jeune pourrait expliquer pourquoi les femmes âgées ont tendance à obtenir de meilleurs résultats que les hommes du même âge aux tests cognitifs passé 60 ans.

« Nous travaillons actuellement sur une étude visant à confirmer cela ».

Source

https://sciencepost.fr

Des paillettes sur les testicules des chiens : la tendance ridicule du moment


Il y a des gens qui prennent leurs animaux comme des jouets qu’ils peuvent décorer, maquiller etc, comme ils le veulent. Une nouvelle mode ? Espérons qu’elle ne fera pas long feu. Même si c’est paillettes sont comestibles, quelle idée de mettre sur les testicules des chiens ?
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Des paillettes sur les testicules des chiens : la tendance ridicule du moment

 

testicules chiens paillettes

Depuis quelques jours, on voit fleurir sur les réseaux sociaux des photos de testicules de chien. Leur particularité ? Ils sont recouverts de paillettes !

Les modes se suivent et ne se ressemblent pas. La dernière tendance en date risque bien de vous étonner puisqu’elle ne consiste pas à déguiser son animal, mais à peindre ses testicules avec des paillettes.

Une tendance étrange

Pourquoi colorer les testicules avec des paillettes ? La réponse n’est pas bien claire pour le moment. Par contre, ce qui a été souligné par les personnes concernées par cette tendance c’est que tout cela est sans danger. En réalité, il s’agit de paillettes comestibles (utilisées en pâtisserie) qui sont collées grâce à du sirop de maïs. En gros, quand le chien se lèche, les paillettes finissent dans son estomac. Au goût, cela ne devrait même pas être désagréable.

Les salons de toilettage sont contre

Si de nombreuses personnes semblent intriguées et séduites par ce concept de testicules pailletés, les salons de toilettage font peu à peu savoir sur les réseaux sociaux qu’ils sont totalement contre cette pratique un peu ridicule et qu’ils ne répondront pas positivement aux demandes des clients à ce sujet.

https://wamiz.com

La Norvège recycle 97% de ses bouteilles en plastique !


Félicitation à la Norvège qui a pris les grands moyens pour recycler 97 % des bouteilles de plastiques. En ajoutant une taxe temporaire, cela a aidé les Norvégiens à faire des efforts pour rapporter à la consigne leurs plastiques. Espérons qu’ils continueront, car c’est des gestes concrets qui fait toute la différence.
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La Norvège recycle 97% de ses bouteilles en plastique !

 

Crédits : Max Pixelpar Yohan Demeure, rédacteur scientifique

Selon le Forum Économique Mondial, à peine plus d’un dixième des emballages plastiques produits dans le monde sont recyclés. En revanche, cette statistique peu flatteuse cache de très grandes disparités entre les pays. Par exemple, la Norvège fait figure de bon élève et frôle la perfection en matière de recyclage des bouteilles plastiques !

Le modèle norvégien

Le 26 janvier 2019, le Forum Économique Mondial a publié une vidéo louant les efforts de la Norvège. En effet, ce pays est parvenu à atteindre un taux de recyclage de 97 % de ses bouteilles en plastique, une nouvelle déjà révélée par The Guardian l’été dernier.

Le gouvernement norvégien avait décidé de frapper au porte-monnaie en mettant en place une taxe environnementale concernant les producteurs de plastique, mais aussi les particuliers. Un système de consigne a également été lancé, comme ce fût le cas en France il y a plusieurs décennies. Les consommateurs peuvent alors échanger leurs bouteilles dans plusieurs milliers de distributeurs automatiques disséminés dans tout le pays. Cela est également possible dans certains magasins et stations-service. Il avait été promis que la taxe en question serait vouée à disparaître si le taux collectif de recyclage des bouteilles en plastique atteignait au moins 95 % – ce qui a finalement été le cas.

Des initiatives variées

Si l’idéal est de renoncer à produire du plastique, la collecte et le recyclage doivent être optimisés au maximum. Par ailleurs, certaines décisions peuvent être assez radicales, comme celle de la ville de San Francisco en 2014. La municipalité avait décidé d’interdire à la vente les bouteilles d’eau en plastique. En revanche, la mesure questionnait car justement, seules les bouteilles d’eau étaient soumises à cette interdiction.

La recherche de solutions passe également par la Science. En 2018, des chimistes américains ont créé un plastique recyclable à l’infini, et une société britannique a mis au point le Nuatan, un bioplastique pouvant être mangé par les poissons sans problème. En 2016, une étude prometteuse s’était intéressée à l’Ideonella sakaiensis, une bactérie capable de décomposer le polytéréphtalate d’éthylène (PET), justement utilisé massivement dans la production de bouteilles en plastique.

Sources : PositivRClimate Action

https://sciencepost.fr/

Récupération des invendus des épiceries: une année record, dit Moisson Montréal


Montréal peut être fier malgré la difficulté de nourrir toutes les personnes dans le besoin d’avoir mis sur pied un projet pour diminuer le gaspillage alimentaire dans les épiceries et a redistribuer à des organismes communautaires.
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Récupération des invendus des épiceries: une année record, dit Moisson Montréal

 

Récupération des invendus des épiceries: une année record, dit Moisson Montréal

Archives Métro

Le programme de récupération de nourriture en supermarché a permis à 1,2 million de kilos d’invendus d’éviter les vidanges à Montréal lors de la dernière année, et de plutôt servir à nourrir des gens dans le besoin. Une année record, estime François Jolicoeur, de Moisson Montréal.

Moisson Montréal redistribue la nourriture obtenue à une longue liste d’organismes communautaires qui s’occupent de nourrir les Montréalais.

M. Jolicoeur, directeur du développement des affaires de l’organisme de bienfaisance, se réjouit du fait que la récolte de nourriture en supermarché leur a permis de mettre la main sur 500 000 kg de viande, des denrées qui se retrouvent plus rarement dans leurs entrepôts.

Les épiceries partenaires du programme sont une centaine et appartiennent aux trois grandes bannières, soit Métro, Loblaws et Sobeys. Le programme de récupération en épicerie existe depuis l’année 2013-2014. Et il a connu une croissance continue depuis, souligne M. Jolicoeur.

«Cela permet deux choses», dit-il. C’est pour le bénéfice des quelque 250 organismes communautaires que Moisson Montréal dessert dans la ville, et aussi, «ça nous aide à lutter contre le gaspillage alimentaire».

Les camions de Moisson Montréal sillonnent les rues de Montréal et se rendent dans les supermarchés participants. Ceux-ci ont déjà mis la nourriture — près de la date de péremption, mais toujours comestible — de côté ou encore au congélateur pour la viande.

«On a des protocoles pour s’assurer que la nourriture périssable soit conservée dans de bonnes conditions et soit encore propre à la consommation», indique-t-il.

Le mot-clé est «rigueur», laisse-t-il tomber. Il cite par exemple le taux de rejet moyen de la viande récupérée: il n’est que de 7%, indique-t-il, ce qui signifie que la très grande majorité des barquettes de poulet, de porc ou de boeuf sont distribuées aux organismes communautaires.

Moisson Montréal se réjouit de la vitalité de ce projet qui permet de nourrir ceux dans le besoin tout en réduisant le gaspillage alimentaire. Recyc-Québec dit avoir offert du financement au programme, ce qui a permis de financer les équipements et les fournitures nécessaires à son déploiement à plus grande échelle en 2015 et 2016.

En 2017-2018, Moisson Montréal a redistribué près de 16 millions de kilos de nourriture et d’autres produits essentiels. Environ 136 500 personnes en ont bénéficié en 2017.

https://journalmetro.com/