Les langues


Nous sommes issus d’ancêtres qui viennent de partout dans le monde, a travers ces gens, des langues sont nées, se sont croisées pour en former d’autres.
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Les langues

 

 

 

Toutes les langues nous apprennent que nous avons des racines un peu partout.

Alexakis Vassilis

Le Saviez-Vous ► Pourquoi les chiens mangent-ils de l’herbe ?


Les animaux savent se servir de la nature pour se soigner, les animaux domestiques ont encore cet instinct. Le chien mange de l’herbe pour des raisons médicales, il faut juste s’assurer que l’herbe n’est pas traité de produits chimiques et que l’animal soit vermifugé.
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Pourquoi les chiens mangent-ils de l’herbe ?

 

 

Vous avez peut-être constaté que votre chien consomme occasionnellement de l’herbe. Ce comportement est normal. En revanche, s’il commence à en ingurgiter de plus en plus, il faut en tenir compte et faire attention. En effet, votre chien est susceptible d’être malade.

Les raisons qui poussent un chien à manger de l’herbe

Les vétérinaires sont d’accord pour dire que la consommation d’herbe est due à plusieurs facteurs :

  • L’instinct : le régime alimentaire du loup était composé de viandes, de baies et d’herbes. Le chien possède ce comportement inné et il est donc tout à fait normal que votre compagnon agisse instinctivement en consommant de l’herbe.
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  • Pour se purifier l’estomac : un repas mal digéré et votre chien voudra ingurgiter une importante quantité d’herbe pour irriter la paroi de son estomac et donc vomir. En revanche, même après un bon repas, le chien peut consommer un peu d’herbes pour faire une purge, « nettoyer » en quelque sorte son estomac.

  • Le pica : lorsque votre chien mange presque en permanence de l’herbe, du sable ou de la terre, il est sujet au pica. Il est préférable de consulter son vétérinaire, car le pica peut être dû à des troubles du pancréas, de l’estomac ou du comportement.

  • Par manque de fibres : l’herbe préférée des chiens est le chiendent, car elle est riche en fibres. Si le régime alimentaire de votre chien comporte des carences en fibres, il est possible qu’il aille en consommer en dehors de ses repas. Dans ce cas, vous pouvez ajouter des fibres aux repas de votre chien avec des carottes, du brocoli, du céleri.

Attention à l’herbe consommée !

En règle générale, la consommation d’herbe n’est pas inquiétante. Il faut toutefois faire attention à l’herbe que votre chien consomme. En effet, si votre herbe est traitée avec des insecticides ou des produits chimiques, cela peut avoir de graves conséquences sur l’état de santé de votre compagnon.

Par ailleurs, il faut aussi veiller à ce que votre animal soit vermifugé, car les parasites déposent leurs œufs sur l’herbe.

Source

https://animalaxy.fr/

Inondations en Australie: l’armée en renfort, des crocodiles en ville


Alors que chez moi, en janvier, il faisait très froid, l’Australie a cuit au soleil. Maintenant, c’est le tour des pluies et des moussons. C’est tellement intense que les gens pourraient se retrouver nez à nez avec un crocodile nageant à travers les rues inondées.
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Inondations en Australie: l’armée en renfort, des crocodiles en ville

 

Près de 20 000 habitations risquent d'être inondées si... (PHOTO REUTERS)

Près de 20 000 habitations risquent d’être inondées si les pluies persistent.

 

Agence France-Presse
Cairns

L’armée australienne a été déployée dans certaines zones du nord-est du pays en raison d’inondations exceptionnelles qui n’arrivent que « tous les cent ans », alors que des crocodiles ont été repérés dans des rues submergées.

Les militaires ont ainsi déployé des véhicules amphibies lundi pour aller récupérer des habitants équipés de lampes frontales qui étaient perchés sur le toit de leur maison, alors qu’un déluge s’abattait sur l’État du Queensland.

Le nord tropical de l’immense île-continent est habitué en cette saison aux pluies de mousson. Mais les précipitations des derniers jours sont largement supérieures aux normales, notamment dans la ville côtière de Townsville.

Les autorités ont été contraintes dimanche d’ouvrir les vannes contre les inondations, libérant des torrents d’eau.

Le Townsville Bulletin a rapporté que des crocodiles marins avaient été repérés dans des rues inondées.

De telles précipitations, « ce n’est pas un événement qui survient tous les 20 ans, c’est un événement qui survient tous les 100 ans », avait déclaré samedi la première ministre du Queensland, Annastacia Palaszczuk.

Le Bureau australien de la météorologie avait mis en garde dimanche contre de nouvelles pluies et le risque de tornades et de vents violents dans les jours à venir.  Près de 20 000 habitations risquent d’être inondées si les pluies persistent, selon le Bureau. Écoles et tribunaux sont demeurés fermés lundi.

Selon les météorologues, un système de mousson à déplacement très lent stationnait au-dessus du nord du Queensland, et certaines zones devraient recevoir l’équivalent de plus d’une année de pluviométrie, avant une amélioration.

La région reçoit en moyenne 2000 millimètres de pluie chaque année, mais certaines villes pourraient dépasser ce seuil en seulement quelques jours.

L’Australie venait de connaître son mois de janvier le plus chaud jamais enregistré, qui a aggravé la sécheresse qui frappe l’intérieur de l’est et du sud du pays et alimenté les incendies de forêt.

Les chaleurs brûlantes ne sont pas rares durant l’été austral. Mais d’après les experts, le changement climatique a provoqué la hausse des températures, sur terre comme en mer, ce qui augmente le nombre de journées extrêmement chaudes et les risques d’incendies.

https://www.lapresse.ca/

Découverte du “roi de l’Antarctique” d’il y a 250 millions d’années


L’Antarctique,au temps de Pangée, un supercontinent abritait de nombreuses espèces animal qui ont pu ce diversifié. Parmi eux un archosaure habitant cette zone a survécu aux disparitions de masses pour ensuite s’étendre un peu partout dans le monde
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Découverte du “roi de l’Antarctique” d’il y a 250 millions d’années

 

Antarctanax shackletoni

Illustration d’artiste de Antarctanax shackletoni se faufilant sur un ancien insecte, il y a 250 millions d’années. Crédits : Adrienne Stroup, Field Museum

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

Il y a 250 millions d’années, l’Antarctique était tempéré, recouvert de forêts et de rivières. De nombreux animaux étaient présents, y compris les premiers parents des dinosaures. L’un d’eux vient d’être découvert : un reptile de la taille d’un iguane.

À cette époque, le monde n’était pas le même. La Pangée ultime, le gigantesque supercontinent en place, regroupait tous les continents d’aujourd’hui. L’Antarctique, lui, était relié à l’Amérique du Sud et au continent africain. Ce n’est qu’environ 150 millions d’années plus tard que la masse continentale – aujourd’hui recouverte de glace – s’est détachée pour venir s’installer plus au sud. En attendant, il faisait plutôt bon en Antarctique. Et les animaux prospéraient. Nous venons d’ailleurs de retrouver l’un d’eux.

Le roi de l’Antarctique

« Ce nouvel animal était un archosaure, l’un des premiers parents des crocodiles et des dinosaures, explique Brandon Peecook, chercheur au Field Museum et auteur principal de l’étude publiée dans Journal of Vertebrate Paleontology. En soi, il ressemblait un peu à un lézard, mais si l’on se réfère à la ligne de l’évolution, c’est l’un des premiers membres de ce grand groupe. Il nous explique comment les dinosaures et leurs plus proches parents ont évolué et se sont étendus ».

Le reptile vient d’être nommé Antarctanax shackletoni. Le premier terme signifie “roi de l’Antarctique”, et le second se réfère à l’explorateur Ernest Shackleton. Le squelette fossilisé est incomplet, mais les chercheurs supposent que l’ancien reptile, de la talle d’un iguane, était un carnivore qui s’attaquait à plusieurs types de proies : insectes, petits mammifères et amphibiens.

Le rebond du vivant

Les chercheurs suggèrent par ailleurs que l’espèce aurait pu profiter de la plus grande extinction de l’histoire – il y a 252 millions d’années – marquée par la disparition de 95 % des espèces marines et de 70 % des espèces terrestres. Si beaucoup d’espèces se sont effectivement éteintes, on observe dans les archives fossiles un “rebond” du vivant. De nouveaux groupes d’animaux en ont en effet profité pour combler des lacunes. C’est à ce moment précis que les archosaures, y compris les dinosaures non-aviaires, ont commencé à se multiplier sur la planète.

« Avant l’extinction de masse, les archosaures étaient uniquement présents autour de l’équateur, mais après, ils étaient partout, confirme en effet le chercheur. Et l’Antarctique avait une combinaison de ces deux groupes d’animaux : les flambants neufs et les anciens, déjà éteints ailleurs sur la planète ».

L’Antarctique, aujourd’hui territoire désolé, semblait donc autrefois un lieu d’évolution rapide où de nombreuses espèces animales ont eu l’opportunité de se diversifier.

Source

https://sciencepost.fr/

Un système de consigne à la grandeur du Québec pour remplacer les gobelets de café jetables?


Personnellement, je préfère une tasse de voyage, mais ce concept de tasse avec consigne est à mon avis une excellente idée. Tous les endroits qui vendent du café à emporter devraient adhérer à ce système élaboré par des propriétaires de café à Montréal. Ce que cela change ? Si plus d’un million de gobelets jetables sont jetés chaque minute partout dans le monde, cela aiderait a diminuer l’impact sur l’environnement.
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Un système de consigne à la grandeur du Québec pour remplacer les gobelets de café jetables?

 

 

Des propriétaires de cafés montréalais demandent l’aide du public pour élargir leur réseau à l’ensemble de la province.

 

  • Par Camille Laurin-Desjardins

LA TASSE

Vous est-il déjà arrivé d’avoir un besoin irrépressible de caféine, mais de vous sentir coupable d’acheter un café pour emporter, puisque, encore une fois, vous n’aviez pas pensé à traîner votre tasse réutilisable? Vous n’êtes pas seul. Plus d’un million de gobelets jetables sont jetés chaque minute sur la planète. C’est pour réduire ce type de déchets qu’un regroupement de cafés montréalais veut élargir son projet de consigne de gobelets réutilisables.

Le projet-pilote La tasse a été lancé en août dernier, avec 2500 tasses réutilisables dans 12 cafés de Montréal. Il s’agit d’un système de dépôt pour les contenants réutilisables de boissons à emporter. Pour 5$, vous pouvez boire votre café dans une de ces tasses, et la rapporter dans n’importe quel autre café qui utilise le même système pour vous faire rembourser. La tasse peut ensuite être lavée et réutilisée.

LA TASSECrédit : La tasse

Mais le projet est victime de son succès. Plusieurs commerces partout au Québec veulent y adhérer, si bien que l’équipe de La tasse a mis sur pied une campagne de financement pour mettre sur pied un réseau à la grandeur de la province. Elle veut recueillir 50 000$ pour acheter un minimum de 25 000 tasses.

Sauver 120 gobelets jetables par consommateur

L’équipe de La tasse estime que chaque gobelet qu’elle produit permet de sauver environ 120 gobelets jetables par consommateur de café à emporter, chaque année.

Selon plusieurs études environnementales, les gobelets jetables sont utilisés en moyenne 13 minutes, et nécessitent pour leur production une grande quantité de ressources. Et au Québec, les gobelets de papier sont très peu recyclés, puisqu’aucune filière spécifique n’existe pour traiter cette matière. Idem pour le couvercle en polystyrène.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Alexandre le Grand n’était peut-être pas mort !


Alexandre le Grand aurait probablement été diagnostiqué mort par erreur. Il a eu des douleurs au ventre avec fièvre. Il s’est retrouvé paralysé de la tête au pied et il ne pouvait pas parler, mais son cerveau fonctionnait très bien. Les scientifiques croient avoir trouvé le mal qu’il souffrait et qui a entrainer un faux diagnostique de décès.
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Alexandre le Grand n’était peut-être pas mort !

 

Nathalie Mayer
Journaliste

La mort d’Alexandre le Grand reste un mystère. Et plus encore, l’état de conservation de son corps post-mortem. Pourtant aujourd’hui, une équipe de chercheurs avance qu’un syndrome de Guillain-Barré, doublé d’un faux diagnostic de décès, pourrait scientifiquement expliquer toutes les observations rapportées.

 

Depuis plus de 2000 ans, le mystère plane sur les conditions de la mort d’Alexandre le Grand. Certains pensent qu’il a pu être empoisonné ou qu’il a succombé à un excès d’alcool. D’autres incriminent le paludisme ou la typhoïde. Toujours est-il que la légende raconte que le corps de celui qui régna sur la Macédoine, entre 356 et 323 avant J.-C, est resté six jours sans montrer le moindre signe de décomposition.

La preuve, pour les Grecs de l’Antiquité, qu’Alexandre le Grand était un dieu. Mais c’est une explication dont ne pouvaient se satisfaire les scientifiques qui envisagent aujourd’hui une nouvelle théorie. Le plus grand conquérant de son époque pourrait bien avoir souffert d’un trouble auto-immunitaire rare qui l’aurait paralysé, de la tête aux pieds. Et nous serions là face au cas le plus célèbre de faux diagnostic de décès jamais enregistré.

 

Le docteur Katherine Hall imagine qu’Alexandre le Grand a pu être en mesure d’entendre ses embaumeurs commencer leur travail. © valeggio2000, Fotolia

Le docteur Katherine Hall imagine qu’Alexandre le Grand a pu être en mesure d’entendre ses embaumeurs commencer leur travail. © valeggio2000, Fotolia

Un faux diagnostic de décès ?

Selon les historiens, Alexandre le Grand aurait d’abord ressenti des douleurs abdominales, accompagnées de fièvre. Très vite, il se serait trouvé dans l’incapacité de marcher, de bouger, puis de parler. Pourtant, son esprit serait resté vif jusqu’à sa mort.

« Il souffrait probablement d’une variante de la neuropathie axonale aigüe du syndrome de Guillain-Barré », estime le docteur Katherine Hall, de l’université d’Otago (Nouvelle-Zélande).

Une maladie que l’on contracte généralement par une infection à Campylobacter pylori. Une maladie dont il est surtout possible de se remettre.

À l’époque, les diagnostics de décès reposaient essentiellement sur la respiration et non sur le pouls. Or, dans ces conditions, la respiration du roi de Macédoine a dû être si superficielle qu’elle en était indétectable. Son corps a pu avoir du mal à réguler sa température. Ses pupilles ont pu se dilater. Conduisant à une terrible erreur de diagnostic !

https://www.futura-sciences.com/