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Même si on essaie plusieurs fois un projet, ce n’est pas assuré qu’on puisse réussir. Il se peut que ce ne soit pas le bon moment ou qu’il y a autre chose de mieux qui nous attend.
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Si tu ne réussis pas la première fois, essaie encore, mais n’insiste pas plus. Il est inutile de perdre son temps.
 
W.C. Fields

Des coquerelles pour réduire le gaspillage alimentaire


Trouver des coquerelles chez-soi, il faut appeler les exterminateurs. Pourtant, en Chine, ils ont trouvé une manière écologique de les utiliser pour lutter contre le gaspillage alimentaire par leur appétit vorace. Quand ils meurent, ces insectes sont réduits en farine haute en protéine et nourrissent les volailles et le cycle continu.
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Des coquerelles pour réduire le gaspillage alimentaire

 

Le Saviez-Vous ► Les oiseaux pyromanes


L’Australie perd des milliers d’hectares à cause du feu. Il y a des feux qui sont malheureusement causés par des oiseaux de proie. Ces oiseaux ont compris que le feu, leur permet de faire sortir leurs proies éventuelles des forêts ou de la brousse.
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Les oiseaux pyromanes

 

La peur des vaccins menace officiellement la santé mondiale


Les campagnes d’anti-vaccin risquent de faire reculer les avantages des maladies qui avaient quasi disparu. Plusieurs décident de ne pas vacciner croyant que cela fait plus de tort que de bien. Des maladies comme la rougeole reviennent à la surface, et pourtant les vaccins ont sauvé des millions de vies
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La peur des vaccins menace officiellement la santé mondiale

 

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par Brice Louvet, rédacteur scientifique

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) vient de lister dix des problèmes qui nécessiteront le plus d’attention en 2019. Et parmi eux figure le refus de vacciner, qui menace d’inverser les progrès accomplis dans la lutte contre certaines maladies évitables.

L’OMS estime que la vaccination permet actuellement de prévenir 2 à 3 millions de décès par an. Elle considère également qu’environ 1,5 million de décès en plus pourraient être évités si la couverture mondiale de la vaccination venait à s’améliorer. Une étude publiée il y a un peu plus d’un an suggérait de son côté que depuis 2001 et d’ici 2020, les programmes de vaccination (hépatite B, papillomavirus, rougeole, fièvre jaune, rubéole, ou encore trois souches bactériennes qui causent la pneumonie et la méningite) auront permis de sauver près de vingt millions de vies dans les pays les plus pauvres.

Une méfiance envers les vaccins

Malheureusement, des campagnes anti-vaccins circulent depuis quelques années en nombre sur Internet, menant de nombreuses personnes à se méfier des vaccins. Une certaine complaisance semble également s’être installée, notamment à l’égard de la rougeole qui fait son grand retour. L’année dernière, le nombre de cas de rougeole signalés a augmenté de plus de 30 % dans le monde. Tous ces facteurs contribuent aujourd’hui à faire hésiter beaucoup de personnes à se faire vacciner, si bien que les nombreux progrès enregistrés au cours de ces dernières décennies pour tenir en échec des maladies facilement évitables pourraient bien ralentir.

rougeole

Les cas de rougeole se multiplient dans le monde. Crédits : Wikimedia Commons

En ce sens, l’OMS prend le problème très au sérieux, et exhorte les agents de santé à conseiller les moins informés en matière de couverture et de composition vaccinales. L’organisation note également son intention d’intensifier ses efforts de lutte contre le cancer du col de l’utérus, en augmentant la couverture du vaccin contre le VPH (en prenant exemple sur l’Australie). Des vaccins contre la polio devraient également être distribués en Afghanistan et au Pakistan pour tenter d’endiguer complètement la maladie.

Les principales menaces

Parmi les autres menaces qui pèseront en 2019 sur la santé mondiale figurent également la pollution atmosphérique, ou encore les problèmes de diabète, le cancer et les maladies cardiovasculaires. Une pandémie de grippe est également source d’inquiétudes : « la seule chose que nous ne savons pas, c’est quand elle va frapper et quelle sera sa gravité », peut-on lire dans le rapport. La résistance aux antibiotiques fait elle aussi partie des préoccupations, tout comme la dengue, qui sévit depuis des décennies. L’OMS compte également renforcer les soins médicaux primaires dans les pays pauvres. Vous pouvez voir le rapport complet ici.

Source

https://sciencepost.fr/

Une ingénieure explique pourquoi le mur de Trump serait inefficace


Le fameux projet du mur-frontière de Donald Trump aurait été imaginé par des entrepreneurs et non par des ingénieurs. Ils n’ont pas pensé du point vu technique de ce mur qui serait vraiment inefficace et surtout à un prix exorbitant. Il serait un obstacle en cas d’inondation et le moyen d’escalader ce mur demande un minimum d’imagination.
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Une ingénieure explique pourquoi le mur de Trump serait inefficace

 

© afp.

L’ingénieure civile américaine Amy Patrick estime que le mur imaginé par Donald Trump pour séparer les États-Unis du Mexique n’est pas réalisable et serait totalement inefficace.

Dans un long message qui a fait le buzz sur Facebook Outre-Atlantique, Amy Patrick a expliqué pourquoi, d’un point de vue technique, le mur est « un véritable désastre ». 

« Trump n’a pas embauché d’ingénieurs pour concevoir la chose. Il a sollicité des offres auprès d’entrepreneurs, pas d’ingénieurs. Cela signifie que le mur n’a pas été conçu par des professionnels », a écrit la jeune femme, qui est licenciée en génie civil, en ingénierie des structures et qui a « plus de dix ans d’expérience sur des projets de haute performance ».

Selon Amy Patrick, le mur pourrait entraîner des dommages écologiques et augmenterait même le risque d’inondation.

« Cela perturbera notre capacité à drainer les terres lors d’inondations subites. Tout ce qui empêche l’eau de se rendre à l’endroit où elle doit aller (peu importe qu’il y ait des trous dans le mur ou non) augmentera considérablement le risque d’inondation », a-t-elle expliqué. 

Si le coût du mur semblait déjà gigantesque (il avait premièrement été fixé à 15 milliards de dollars), il aurait pourtant été sous-estimé.

« Il ne tient pas compte des reprises, des complexités au-delà de la conception du prototype, des paramètres permettant d’empêcher la création d’inondations et de risques pour l’environnement, de la refonte de l’ingénierie, etc. Il sera supérieur à 50 milliards de dollars ».

Un mur inefficace

En plus des problèmes apportés par le mur, Amy Patrick estime qu’il sera totalement inefficace.

« Je pourrais acheter une échelle coulissante de neuf mètres et mettre une selle pas chère sur le dessus du mur pour l’enjamber facilement ».

Sans parler des drones, en plein développement, qui pourront bientôt soulever une personne sans difficulté.

« Ils sont suffisamment bas, silencieux et petits pour permettre aux personnes de passer rapidement au-dessus de tout mur que nous pourrions construire sans être détecté avec notre configuration de surveillance actuelle ».

« Je ne sais pas à qui ils ont parlé de la conception du mur et de son efficacité, mais il est certain que ce n’était pas quelqu’un qui faisait preuve d’imagination technique », a-t-elle lancé.

La conclusion de l’ingénieure est sans équivoque:

« Assurons la sécurité à la frontière, évidemment, mais faisons-le intelligemment. Le mur n’est pas une solution intelligente. Ce n’est pas efficace. Ce n’est pas bon marché. Les rendements diminueront également à mesure que la technologie progressera. C’est une idée ridicule qui ne sera jamais exécutée avec succès et, en tant que telle, constituerait un gaspillage monumental d’argent ».

https://www.7sur7.be/

Besoin de vous souvenir de quelque chose ? Dessinez-le !


Je trouve que cette méthode de virtualisation d’information à ne pas oublier très intéressante. Le dessin serait même efficace chez les jeunes, mais aussi chez les personnes âgées qui ont des troubles de mémoires liés à l’âge, à la maladie comme la démence, l’Alzheimer.
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Besoin de vous souvenir de quelque chose ? Dessinez-le !

 

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par Brice Louvet, rédacteur scientifique

Si vous avez besoin de vous souvenir de quelque chose, dessinez-le. C’est du moins la conclusion d’une étude menée auprès de personnes âgées. Les techniques de visualisation impliqueraient en effet davantage de régions cérébrales en lien avec la mémoire.

L’étude ciblait ici les personnes âgées (plus de 80 ans), mais des moins de 20 ans étaient également impliqués. Le résultat est le même : pour se souvenir de quelque chose, il est préférable de le dessiner plutôt que de l’écrire. Une étude qui pourrait permettre de faciliter un peu la vie des personnes souffrant de troubles de la mémoire inhérents à la vieillesse, de la maladie d’Alzheimer ou de démence. Et que ceux qui ne savent pas dessiner se rassurent, pas besoin d’être un artiste pour mettre votre cerveau “de votre côté”. Les détails de l’étude sont publiés dans la revue Current Directions in Psychological Science.

Dessiner pour se souvenir

Dans le cadre de cette étude, des chercheurs de l’Université de Waterloo, au Canada, on fait passer différents tests de mémoire à 48 participants. La moitié était âgée d’environ 20 ans et l’autre moitié d’environ 80 ans. Placé devant une série de mots, chaque participant devait soit les écrire, soit dessiner ce qu’ils représentaient.

La seconde partie du test visait à évaluer le nombre de mots retenus par chaque participant. Entre les deux tests, les volontaires ont été invités à écouter différents sons. L’idée consistait à perturber le processus de mémorisation. Au final, il en est alors ressorti que les mots les plus “retenus” étaient ceux dont les représentations avaient été dessinées. Et ce quel que soit le groupe de participants (jeunes ou plus âgés). Les plus jeunes ont eu tout de même plus de facilités à retenir les mots qui avaient été écrits. Mais pour les plus âgés, c’est clairement le dessin qui fonctionne.

Un moyen d’aider les personnes atteintes de démence

« Dessiner des images est vraiment une tâche simple, et qui peut facilement être mise en œuvre dans la vie quotidienne pour améliorer la mémoire, explique Melissa Meade, principale auteure de l’étude. Par exemple, dessiner une image de certains produits d’épicerie que vous devez acheter plus tard. Ou bien dessiner le repas que vous prévoyez de préparer. Dessiner fera en sorte que ces informations seront mémorisées beaucoup plus longtemps que si elles avaient été écrites. Nous sommes vraiment encouragés par ces résultats, poursuit-elle, et cherchons des moyens de les utiliser pour aider les personnes atteintes de démence, confrontées à un déclin rapide de la mémoire et de la fonction du langage ».

Pourquoi le dessin paraît-il plus efficace ? Pour les chercheurs, le simple fait de dessiner implique plusieurs manières de se représenter une même information : visuelle, spatiale, ou encore verbale. Davantage de régions cérébrales actives dans le stockage de la mémoire seraient donc impliquées, favorisant ainsi nos capacités à nous rappeler de telle ou telle information.

Source

https://sciencepost.fr/

L’addiction aux réseaux sociaux incite à faire les mauvais choix


C’est bien d’être connecté aux réseaux sociaux, mais il faut aussi modérer nos ardeurs. L’addiction des réseaux sociaux peut avoir les mêmes conséquences que l’addiction aux drogues, alcool, etc.
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L’addiction aux réseaux sociaux incite à faire les mauvais choix

 

Monkey Business Images/shutterstock.com

Selon des chercheurs américains, la fréquentation excessive des réseaux sociaux biaiserait la prise de décision. Un point commun avec les sujets dépendants aux opioïdes, à la cocaïne ou aux amphétamines.

La dépendance avec ou sans substance (alcool, cannabis, jeux vidéo, sexe…) est connue pour altérer la lucidité. Qu’en est-il de l’addiction aux réseaux sociaux ? Celles et ceux incapables de réfréner un clic pour scroller sur les dernières publications et partager leur quotidien souffrent-ils d’addiction ? Et si oui, comment cela se traduit-il ?

Pour le savoir, des scientifiques de l’Université du Michigan (Etats-Unis) ont sélectionné 71 volontaires. Chacun a renseigné par questionnaire son utilisation de Facebook, son sentiment lorsqu’il se connecte puis ferme l’onglet. Autre item interrogé, la place de ce réseau social dans sa vie étudiante ou professionnelle.

Une prise de décision équivalente à celle des usagers de drogue

Chaque participant a ensuite passé le test de l’Iowa Gambling, habituellement employé par les psychologues pour évaluer la capacité à prendre une décision. Résultats, les plus indécis étaient aussi ceux qui se connectaient massivement à Facebook. Les consommateurs « d’opioïdes, de cocaïne et d’amphétamines obtiennent les mêmes résultats : leur mécanisme de prise de décision est altéré de la même façon que les accros à Facebook », déclare le Pr Dar Meshi, principal auteur de l’étude.

« Etant donné le nombre de personnes ultra-connectées sur les réseaux sociaux, il semble important de comprendre l’impact de cette vie numérique », déclare le Pr Meshi. « Certes, ces plateformes ont de nombreux bénéfices sur la vie des gens, mais elles représentent aussi une menace quand les usagers deviennent incapables de s’en séparer. Nous devons mener d’autres études pour confirmer que les connexions intempestives aux réseaux sociaux constituent bien une réelle addiction. »

  • Source : Journal of Behavior Addictions,
  • Ecrit par : Laura Bourgault – Edité par : Vincent Roche

https://destinationsante.com/

Un Améri­cain a payé 100 000 dollars aux auto­ri­tés pakis­ta­naises pour tuer une chèvre mena­cée


Même si une partie de l’argent des permis pour chasser des espèces menacés, cela m’apparait malheureux. Déjà, ces animaux risquent de disparaître pour plusieurs raisons, si en plus, des gens riches paient une fortune pour avoir leur trophée, ce sont des animaux sacrifiés pour la cupidité des chasseurs
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Un Améri­cain a payé 100 000 dollars aux auto­ri­tés pakis­ta­naises pour tuer une chèvre mena­cée

 

par  Ulyces

 

Le markhor est l’ani­mal natio­nal du Pakis­tan

Un chas­seur améri­cain a versé 100 000 dollars (88 000 euros) aux auto­ri­tés pakis­ta­naises pour pouvoir tuer un markhor ou « chèvre à corne », l’ani­mal emblé­ma­tique du pays. Il y a moins de 6 000 markhors dans la nature, la plupart vivant dans les montagnes entre l’Af­gha­nis­tan et le Pakis­tan. Il s’agit donc d’une espèce mena­cée, comme le rappor­tait The Inde­pendent le 16 janvier dernier.

Des photos du chas­seur améri­cain – présenté par les médias pakis­ta­nais comme un certain John Amis­toso – ont été publiées par des jour­naux locaux. On l’y voit prendre la pose auprès du markhor mort. La chasse, qui a eu lieu samedi dernier dans la région de Bunji, à quelque 60 km de la capi­tale régio­nale Gilgit, était la première chasse au markhor de la saison.

Cinquante autres bouque­tins et 12 moutons bleus, une chèvre de montagne qu’on ne trouve que dans les chaînes de l’Hi­ma­laya, ont été tués depuis le début de la saison en novembre, a annoncé le respon­sable du dépar­te­ment de la faune, Mujeeb Sardar. En octobre dernier, le gouver­ne­ment de Gilgit-Baltis­tan a mis aux enchères une série de permis de chasse d’ani­maux rares. Le quota de chasse est fixé chaque année sur la base d’enquêtes menées par de soi-disant « experts » de la faune.

Près de 80 % de l’argent obtenu grâce aux permis serait reversé à la commu­nauté de cette région monta­gneuse, le reste irait au gouver­ne­ment local. À en voir sa page Face­book, ce n’est pas le premier markhor abattu par Amis­toso. Des photos de 2017 et 2018 le montrent posant aux côtés des dépouilles de deux autres sous-espèces de markhor, les varié­tés Sulei­man et Cache­mire.

Source : The Inde­pendent

https://www.ulyces.co/