Le Saviez-Vous ► Cerveau du bébé : 5 idées reçues sur les premiers apprentissages


Il n’y a pas un bébé pareil, et il n’y a pas de mode d’emploi qui viens avec chaque bébé. Cependant, nous avons des normes qui doivent être flexibles pour aller selon le développement de l’enfant et non notre bon vouloir.
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Cerveau du bébé : 5 idées reçues sur les premiers apprentissages

 

Apprentissage du bébé

Il n’est pas nécessaire de mettre l’enfant en position assise ou, pis, debout, avant que lui-même ne soit en mesure de le faire.

© EMMA KIM / CULTURA CREATIVE / AFP

Par Sylvie Riou-Milliot

Accompagner le développement de son bébé, c’est bien. Encore faut-il respecter son rythme.

1. L’aider à marcher avant 1 an, c’est bon pour son développement

Non. Le bébé a besoin de découvrir l’espace à son rythme, en fonction de la maturation de son squelette, du développement de ses muscles. L’acquisition de la marche, en moyenne à 1 an, se fait plus ou moins vite selon chacun, parfois plus tardivement, en passant ou non par la phase « je rampe ».

Il n’est pas nécessaire de mettre l’enfant en position assise ou, pis, debout, avant que lui-même ne soit en mesure de le faire. Pas besoin non plus de le soutenir en permanence. Il est en revanche important de lui permettre de faire lui-même ses propres découvertes.

« On peut ainsi autoriser des entreprises audacieuses, comme monter ou descendre seul du canapé, en restant évidemment à proximité, précise Chantal de Truchis, psychologue, qui s’appuie sur les travaux de l’institut Pikler-Loczy (Budapest, Hongrie). Les enfants laissés libres de leurs mouvements ne se lancent pas dans ce qui les dépasse. Ils sont prudents, tombent moins et se font moins mal que ceux que l’on stimule ou accompagne en permanence. »

2. Avant 3 ans, on peut tout lui apprendre : lecture, calcul, puzzles…

Non. C’est inutile car toutes ces sollicitations extérieures interfèrent avec le propre rythme de l’enfant. Comme la marche, elles ne tiennent pas compte de son temps à lui. Il ne faut donc pas brûler les étapes.

« En France, on ne fait pas assez confiance aux propres potentialités des enfants, précise Chantal de Truchis. On croit encore qu’il faut insister et insister encore. »

C’est l' »hyper-éducation », un comportement également pointé par le neuroscientifique américain John Medina, qui peut se révéler contre-productive car elle génère du stress face à des attentes trop rigides hors de portée du jeune enfant.

3. Lui faire écouter du Mozart « in utero » le rendra génial

Pas sûr ! L’appétence des bébés pour Mozart, promue par une étude très médiatisée dans les années 1990, n’a en fait jamais été confirmée. Les chercheurs savent aujourd’hui que l’écoute in utero de sons doux et émis à un volume raisonnable reste en mémoire jusqu’à l’âge de 6 mois comme l’a montré, par exemple, un travail finlandais publié en 2013 dans Plos One, sur l’écoute précoce à partir de la 27e semaine de gestation. Mais de là à booster par ce moyen le développement psychologique, non ! Plusieurs études émettent en effet des doutes sur l’effet à long terme. Mais rien n’arrête le marketing…

Une société espagnole commercialise ainsi depuis un an sur Internet, par l’intermédiaire d’une clinique privée spécialisée dans la fertilité, un dispositif pour iPod… intra-vaginal ! Elle a même organisé en décembre 2015 un spectacle de chansons de Noël interprétées par une artiste face à un public de futures mères ainsi équipées. Le premier concert pour fœtus !

4. Les écrans avant 2 ans, c’est éducatif

Avec prudence et jamais seul. L’Académie des sciences dans son premier rapport sur  » L’enfant et les écrans «  (2013) a banni fermement avant l’âge de 2 ans, date de l’apparition du langage, toute exposition à la télévision et aux DVD, des outils jugés trop passifs. Quant aux tablettes numériques interactives visuelles et tactiles, le rapport précisait qu’avant 2 ans elles peuvent être utilisées dans le cadre d’un éveil précoce. Les bébés aiment en effet toucher, leur première forme d’intelligence étant purement sensorimotrice.

Le format des tablettes est donc très approprié à leurs découvertes. Mais les auteurs du rapport, comme Olivier Houdé, professeur de psychologie cognitive à l’université Paris-Descartes, insistent pour que le bébé ne soit jamais laissé seul avec la tablette mais toujours en compagnie d’un adulte.

5. Avant 2 ans, les bébés doivent dormir

Oui mais pas trop. Car il est aussi très important de respecter les activités naturelles du bébé que sont le mouvement, la découverte.

Par conséquent, en dehors du besoin de sommeil très important à cette phase (lire S. et A. n° 838, décembre 2016), entre dix et dix-sept heures par jour, « il vaut mieux ne pas les laisser allongés ou assis, engoncés sur des coussins trop confortables, souligne Chantal de Truchis. Au contraire, leur dynamique de découverte est facilitée s’ils sont posés sur le sol recouvert d’un tapis mince, entourés de jeux et d’objets qui leur correspondent. Dans ces conditions, un bébé ne s’ennuie jamais et pleure moins ! »

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Inde: un bébé passe sous un train et s’en sort indemne


 

Le coeur m’a arrêté !! Le bébé est tombé juste au bon endroit pour ne pas être estropié.En Inde plus de 15 000 mort chaque année à cause des trains surpeuplés. Il est peut-être temps que le gouvernement réagisse au plus vite.
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Inde: un bébé passe sous un train et s’en sort indemne

 

 

Agence France-Presse
New Delhi

 

Un bébé passé sous un train après être tombé sur la voie ferrée s’en est sorti sain et sauf dans une gare en Inde, un accident largement partagé jeudi sur les réseaux sociaux.

PHOTO AFP/NNIS

L’incident, filmé par un téléphone portable à Mathura, dans l’État d’Uttar Pradesh (nord), montre un train rouler au-dessus du bébé alors que des spectateurs désespérés assistent impuissants à la scène. 

Selon les médias indiens, la fillette d’un an est tombée dans l’espace entre le wagon et le quai au moment où ses parents, pressés par la foule, descendaient du train. Elle était coincée sur le dos, couchée le long de la voie, alors que le train vrombissant quittait le quai, reprenant de la vitesse, sans la toucher.

Une fois le train parti, un homme a rapidement ramassé l’enfant, miraculeusement indemne. 

Les parents ont lâché malencontreusement l’enfant alors qu’ils étaient pressés par la foule, selon les médias indiens.

Les autorités ont profité de l’incident pour rappeler les usagers à la vigilance sur les trains bondés.

« Nous menons activement des campagnes de sensibilisation des personnes contre le fait de voyager sur les toits ou de se tenir sur les marchepieds des trains », a déclaré G K Bansal, un porte-parole des chemins de fer.  

L’immense réseau ferroviaire indien est connu pour être surpeuplé et fréquemment le lieu d’accidents. Il est courant que des voyageurs meurent en traversant des voies illégalement ou en tombant d’un train bondé. 

Chaque année, 15 000 passagers meurent dans des accidents ferroviaires en Inde, selon un rapport gouvernemental publié en 2012.

Le gouvernement a promis de consacrer 137 milliards de dollars sur cinq ans pour moderniser le réseau ferroviaire en mauvais état.

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Déversement à Terre-Neuve: 15 oiseaux enduits de pétrole


15 oiseaux qui ont subi les conséquences de la marée noire près de Terre-Neuve, enfin du moins ce qui ont été trouver, car la réalité pourrait être bien pire.
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Déversement à Terre-Neuve: 15 oiseaux enduits de pétrole

 

Les experts en oiseaux de mer affirment qu'une... (Photo Jae C. Hong, archives Associated Press)

Les experts en oiseaux de mer affirment qu’une estimation du nombre d’oiseaux tués par la marée noire pourrait prendre des mois, mais que le bilan va probablement augmenter.

PHOTO JAE C. HONG, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS

 

La Presse Canadienne
Saint-Jean

Au moins 15 oiseaux de mer enduits de pétrole ont été repérés après le plus grand déversement jamais enregistré au large des côtes de Terre-Neuve, mais une biologiste a prévenu que les déversements antérieurs démontrent qu’il pourrait en réalité y en avoir plusieurs milliers.

La firme d’hydrocarbures Husky Energy a rapporté les observations mercredi et confirmé la présence d’un oiseau mort depuis qu’environ 250 000 litres de pétrole se sont déversés dans l’océan vendredi lors d’une violente tempête.

La plate-forme SeaRose tentait de reprendre la production quand une panne s’est produite, provoquant le déversement.

Les experts en oiseaux de mer affirment qu’une estimation du nombre d’oiseaux tués par la marée noire pourrait prendre des mois, mais que le bilan va probablement augmenter.

Gail Fraser, une biologiste des oiseaux de mer de l’Université York, a déclaré que même un petit nombre d’oiseaux enduits de pétrole suscite des inquiétudes, puisque cela témoigne de dommages probablement beaucoup plus graves.

« Le fait qu’ils aient trouvé des oiseaux enduits de pétrole signifie qu’il y a probablement beaucoup plus d’oiseaux qui ont subi le même sort », a dit Mme Fraser.

Les marées noires antérieures ont abouti à des estimations du nombre de décès d’oiseaux, qui se chiffrent par milliers, a-t-elle déclaré.

Le déversement de Terra Nova en 2004, qui avait déversé 165 000 litres de pétrole dans l’océan, aurait tué environ 10 000 oiseaux.

La biologiste a noté que l’incident de Terra Nova avait déversé moins de pétrole dans l’océan, mais que cela s’était produit à la même période de l’année que le dernier incident, ce qui signifie qu’un nombre similaire d’oiseaux tels que des guillemots et des tourterelles se seraient trouvés dans la région.

Selon Mme Fraser, « des millions » d’oiseaux migrent vers la région depuis l’Arctique à cette période de l’année, et les conditions difficiles de la fin de semaine rendent impossible un décompte précis des oiseaux tués.

« Les conditions étaient terribles et il est difficile d’obtenir de bonnes estimations du nombre d’oiseaux de mer susceptibles d’avoir été tués, a-t-elle dit. On peut seulement faire de notre mieux. »

Les oiseaux de la région sont particulièrement sensibles à la pollution par les hydrocarbures, a prévenu Mme Fraser. Les oiseaux peuvent mourir d’hypothermie si même une petite quantité d’huile tache leur plumage.

Ils ont également de faibles taux de reproduction et une longue durée de vie, ce qui signifie qu’un impact important sur la population fait vraiment mal.

Mme Fraser déplore qu’on ne tienne pas toujours compte de ces réalités lorsque les entreprises sont condamnées à une amende pour avoir nui aux populations d’oiseaux de mer.

Une amende de 3 millions a été infligée à Syncrude Canada en 2008 lorsque plus de 1600 canards sont morts après avoir atterri dans un bassin de résidus. À titre de comparaison, Petro-Canada a reçu une amende de 290 000 $ pour le déversement de Terra Nova qui aurait tué 10 000 oiseaux.

« Tuer 10 000 oiseaux de mer est une grosse affaire écologique et l’amende devrait en tenir compte », a dit Mme Fraser.

Scott Tessier, le directeur général de l’Office Canada-Terre-Neuve-et-Labrador des hydrocarbures extracôtiers, a déclaré qu’aucune nappe de pétrole n’avait été repérée sur l’eau lundi ou mardi, ce qui signifie que le pétrole s’est probablement dégradé au point de ne plus pouvoir être nettoyé.

La commission se concentre maintenant sur la surveillance de la faune et son enquête sur l’incident.

Les exploitants de l’industrie extracôtière de Terre-Neuve sont responsables du respect de leurs propres plans en matière de sécurité et de protection de l’environnement. L’organisme de réglementation surveille et enquête au besoin.

Trevor Pritchard, le vice-président principal de Husky Energy au Canada atlantique, a assuré que son équipe avait suivi les plans et les procédures de l’entreprise, et que celle-ci enquêtait sur les causes du dysfonctionnement de l’équipement.

« Nous n’avons rien vu qui nous indique que nous n’avons pas suivi nos procédures internes », a dit M. Pritchard.

Husky fournit les procédures au conseil de réglementation, mais un porte-parole de Husky a déclaré dans un courriel que la société « ne divulguait pas ses procédures d’exploitation spécifiques publiquement pour des raisons de sécurité et commerciales ».

M. Pritchard dit que Husky ne redémarrera pas la production tant qu’elle n’aura pas « pleinement confiance » dans l’intégrité du système sous-marin.

« Personne ne voulait que cet incident se produise. C’est une mauvaise journée pour nous. Pouvons-nous changer des choses, oui, nous le pouvons. Je ne sais pas encore ce qu’elles sont », a déclaré M. Pritchard.

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En Italie, la Tour de Pise penche un tout petit peu moins


La tour de Pise en Italie a été restaurée pour ne plus risquer de s’affaisser. Elle s’est même redressée un peu. De toute manière, si la tour de Pise serait droite alors qu’elle a toujours été croche, cela ôterait tout son cachet unique de ce monument.
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En Italie, la Tour de Pise penche un tout petit peu moins

 

Le Groupe de surveillance de la tour, instauré pour surveiller l’évolution des travaux de restauration, a annoncé dans un communiqué qu’après 17 années d’observation, « la Tour de Pise est stable et son inclinaison a très légèrement baissé ». © getty.

La célèbre tour penchée de Pise a cessé de s’affaisser doucement et s’est même redressée d’un soupçon, grâce à des travaux d’ingénierie lancés pour sauver ce monument médiéval devenu une attraction touristique majeure dans le centre de l’Italie, ont annoncé mercredi des experts.

Le Groupe de surveillance de la tour, instauré pour surveiller l’évolution des travaux de restauration, a annoncé dans un communiqué qu’après 17 années d’observation, « la Tour de Pise est stable et son inclinaison a très légèrement baissé ». Selon Nunziante Squeglia, professeur d’ingénierie à l’Université de Pise, cité par des médias italiens, le monument de 58 mètres s’est redressé… de 4 centimètres.

Le Groupe de surveillance avait été instauré après d’importants travaux menés entre 1993 et 2001 sous la houlette de Michele Jamiolkowski, un ingénieur polonais naturalisé italien, pour sauver la tour qui risquait de s’écrouler.

Une tour qui n’a jamais été droite

La tour avait été fermée au public pendant la durée des travaux, qui ont coûté plus de 28 millions d’euros. Le plus célèbre campanile du monde, qui penchait alors de 4,50 mètres par rapport à son axe vertical avait pu être redressé de 40 cm.

Mais il est improbable que la tour se redresse complètement, d’autant qu’elle n’a jamais été droite. Sa construction a débuté en août 1173 et elle a commencé à pencher dès les premiers étages terminés, pour s’affaisser encore plus après son achèvement en 1372.

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L’humanité face à un risque de catastrophes climatiques simultanées


Les années à venir seront difficiles,et les catastrophes seraient de plus rapproché et plus violent sans compter qu’ils pourront être défilée en cascade comme a vécu entre autre la Floride
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L’humanité face à un risque de catastrophes climatiques simultanées

 

L'an dernier la Floride a subi une grave... (Photo HECTOR RETAMAL, AFP)

 

L’an dernier la Floride a subi une grave sécheresse, des températures record, une centaine d’incendies et l’ouragan Michael. Sur cette photo, une scène de désolation laissée par Michael.

PHOTO HECTOR RETAMAL, AFP

 

Agence France-Presse
Paris

D’ici à la fin du siècle, certaines régions du monde pourraient faire face à des catastrophes climatiques multiples, jusqu’à six en même temps, de la canicule aux incendies en passant par les inondations, selon une nouvelle étude.

« L’humanité va être confrontée aux impacts dévastateurs combinés d’aléas climatiques multiples qui interagissent », a indiqué l’un des auteurs Erik Franklin, chercheur à l’Institut de biologie marine de l’université d’Hawaii.

« Ils se produisent aujourd’hui et ça va continuer à empirer », a-t-il déclaré à l’AFP.

Les émissions de gaz à effet de serre à l’origine du changement climatique sont déjà responsables de l’augmentation de la température de la planète. 

Dans les régions sèches, cela peut conduire à la sécheresse voire à des incendies dévastateurs. Dans les zones plus humides, pluies et inondations se multiplient tandis que des super tempêtes se forment au-dessus des océans réchauffés.

Jusqu’à maintenant, les scientifiques se sont penchés sur ces catastrophes principalement par type. Mais l’étude publiée lundi dans la revue Nature Climate Change met en garde contre la possibilité, voire la probabilité qu’elles se déchaînent en cascade.

L’an dernier la Floride a subi une grave sécheresse, des températures record, une centaine d’incendies et l’ouragan Michael. 

« Se concentrer sur un risque peut cacher les impacts d’autres aléas, conduisant à une évaluation incomplète des conséquences du changement climatique sur l’humanité », a commenté l’auteur principal Camilo Mora, de l’université de Hawaii.

La probabilité de cette simultanéité dépend de la géographie et des efforts à réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Si, comme le prévoit l’accord de Paris sur le climat de 2015, le monde parvient à limiter son réchauffement au pire à +2 °C par rapport à l’ère pré-industrielle, New York subira probablement un aléa climatique unique chaque année à la fin du siècle.

Mais si les émissions de C02 continuent au rythme actuel, la mégalopole américaine pourrait en subir jusqu’à quatre en même temps, tout comme Mexico ; Sydney et Los Angeles trois et les côtes atlantiques brésiliennes cinq.

Même selon les scénarios optimistes, « l’exposition cumulée et croissante à une multitude d’aléas climatiques va frapper les pays riches et pauvres de la même façon », souligne l’étude.

Les chercheurs se sont basés sur des milliers d’études se penchant sur 10 aléas spécifiques, la plupart un à la fois (incendies, inondations, augmentation du niveau de la mer, tempêtes, sécheresses, acidification de l’océan…) et ont regardé leur impact sur six aspects de la vie humaine (santé, alimentation, eau, économie, infrastructure et sécurité).

« Si nous ne prenons en compte que les effets les plus directs du changement climatique, canicules ou tempêtes par exemple, inévitablement, nous serons pris de court par des menaces plus importantes qui, en se combinant, peuvent avoir un effet plus large sur la société », a commenté un autre auteur, Jonathan Patz, de l’Université du Wisconsin.

Si les zones côtières tropicales devraient être les plus touchées, les zones tempérées proches des régions polaires, comme la Tasmanie ou certaines parties du Canada et de la Russie, pourraient être davantage épargnées.

Dans le pire scénario, « le Groenland semble être le moins touché par des aléas climatiques multiples », a noté Franklin.

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