Arc-en-ciel


Les nuages sombres (Pas mon nuage quand même ;-)) passent et viennent, alors dans ce temps-là, il faut de si peu pour mettre un peu de soleil pour ces personnes qui sont tristes.
Nuage

 

Arcenciel

 

Essayer d’être un arc-en-ciel dans le nuage de quelqu’un


Inconnu

Un étrange arachnide a une tête de chien


 

L’auteur de cette vidéo est du photographe Andreas Kay, qui depuis 2011 documente la diversité de la vie en Équateur. L’animal est un arachnide et ressemble à une araignée avec une tête de chien, pourtant non, il n’en est pas une. Il est connu sous le non de vendangeur ou encore un nom plus bizarre, papa aux longues jambes. Cet arachnide n’a pas de venin et donc inoffensive. L’animal est présent depuis au moins 400 millions d’années.
Nuage

 

Un étrange arachnide a une tête de chien

Le Saviez-Vous ► Pourquoi il est impossible de roter dans l’espace


 

Pas de rots, mais plus de pets, il doit avoir de drôles d’odeurs dans la station spatiale
Nuage

 

Pourquoi il est impossible de roter dans l’espace

 

Chris Hadfield, dans la Station spatiale internationale en décembre 2012. AFP PHOTO / HANDOUT / NASA HO / NASA / AFP

Chris Hadfield, dans la Station spatiale internationale en décembre 2012. AFP PHOTO / HANDOUT / NASA HO / NASA / AFP

Repéré par Grégor Brandy

Aujourd’hui dans la rubrique «un astronaute répond à vos questions».

La meilleure façon d’avoir une réponse sur ce qui se passe dans l’espace est probablement de demander à un astronaute. Alors quand un internaute du nom de Greg Switzer est tombé sur un «fun fact» au dos d’une capsule de jus de fruits assurant qu’il est impossible pour un astronaute de roter dans l’espace, il a directement demandé à un concerné.

«Est-ce que c’est vrai Commandant Hadfield? Et si oui, pourquoi?»

Même si le nom de Chris Hadfield ne vous dit rien, vous avez très probablement déjà entendu parler de lui. Il s’agit de l’astronaute qui a repris la chanson «Space Oddity» de David Bowie et en a fait un clip à bord de la Station spatiale internationale (ISS), en 2013. (Quartz rappelle par ailleurs que David Bowie avait tellement aimé cette version qu’il s’était arrangé pour qu’elle bénéficie d’une dispense temporelle de copyright afin qu’elle puisse rester en ligne, après avoir été supprimée une première fois par YouTube.)

Au total, Chris Hadfield a passé 166 jours dans l’espace et est le premier Canadien à avoir servi en tant que commandant de l’ISS. Autant dire qu’il est plus que qualifié pour répondre à ce genre de questions.

Et c’est ce qu’il a fait.

«Vous ne pouvez pas roter dans l’espace, parce que l’air, la nourriture et les liquides qui se trouvent dans votre estomac sont tous en train de flotter ensemble comme des bulles pleine de morceaux. Si vous rotez, vous vomissez à l’intérieur de votre bouche. Alors, devinez où finit l’air coincé?»

Au cas où, vous n’auriez pas tout à fait compris, (ou si vous voulez juste être sûrs de la réponse), Chris Hadfield avait été un peu plus clair dans une série de questions-réponses avec des lecteurs australiens, en 2013:

«Il y a plus de pets dans l’espace parce qu’il est impossible de roter en apesanteur.»

De quoi permettre à Quartz de répondre une fois pour toute à ces questions:

«Pas de rots, plus de pets, et non, on ne peut pas utiliser ses propres flatulences pour se propulser dans la navette. Croyez-en Hadfield, il a déjà essayé.»

http://www.slate.fr

Un vin de 2000 ans retrouvé en Chine


Il parait qu’un vin bien vieillit peut donner une bonne saveur au vin, alors quoi penser d’un vin vieux de 2 000 ans.
Nuage

 

Un vin de 2000 ans retrouvé en Chine

 

Institut de recherche archéologique de Shaanxi Le récipient du centre contenait le précieux liquide.

Des archéologues chinois ont découvert dans une tombe de la province du Henan un récipient en bronze vieux de 2000 ans contenant un liquide qui pourrait être du vin, a annoncé mardi l’agence Chine nouvelle.

Le récipient scellé contenait environ 3,5L d’un liquide jaune qui avait une forte odeur de vin chinois lorsqu’il a été ouvert, ont indiqué les archéologues.

Ce liquide sera soumis à des examens de laboratoire pour déterminer sa teneur en alcool, a indiqué mardi Shi Jiazhen, chef de l’Institut d’Archéologie et des Vestiges culturels de la ville de Luoyang.

Une lampe en forme d’oie sauvage a été également découverte dans la tombe, qui abritait des restes de la personne qui y avait été ensevelie, a ajouté M. Shi.

Le vin daterait de la dynastie des Han occidentaux (202 av-J.C. à 8 après J.C). L’agence n’a pas précisé comment le récipient avait été fermé et le liquide préservé sans s’être évaporé.

Des découvertes d’alcool datant de cette période ont déjà été faites, a relevé l’agence, précisant que les boissons alcoolisées à base de riz et de sorgho, souvent conservées dans des récipients ouvragés en bronze, jouaient un rôle important dans les cérémonies et les rituels.

En 2010, des archéologues ont découvert un récipient vieux de 2400 ans contenant de la soupe dans une tombe mise au jour lors de travaux d’extension de l’aéroport de Xian, non loin du mausolée de l’empereur Qin et sa célèbre armée de guerriers et de chevaux en terre cuite.

http://journalmetro.com/

La vidéo de cet ourson persévérant provoque un débat inattendu


Quand on voit le courage de l’ourson de remonter la pente pour rejoindre sa mère, malgré les descentes sur ce verset de montagnes, on ne peut qu’être attendri. Mais voilà ! Le drone est t’il responsable de la direction pris par la maman ? N’est-il pas une cause de peur qui laisse ces animaux dans un état de stress ? C’est magnifique de voir la nature en pleine action, mais les drones doivent aussi respecter une distance acceptable pour ne pas effrayer les animaux.
Nuage

 

La vidéo de cet ourson persévérant provoque un débat inattendu

 

 

La vidéo d’un ourson grimpant une montagne enneigée pour rejoindre sa mère a ému un nombre impressionnant d’internautes. Mais certains accusent l’utilisateur du drone qui les filmait d’avoir fait peur à l’ourse et son petit, les poussant à emprunter une voie dangereuse.

À première vue, la scène parait à la fois drôle et émouvante. Surtout que la petite bête, récompensée pour son courage et son abnégation, parvient finalement à ses fins après plusieurs tentatives. Tout est bien qui finit bien, donc.

Une scène devenue virale

La vidéo a été partagée ce week-end par Ziya Tong, présentatrice de Discovery Channel et directrice du CA du WWF Canadien. Sa vidéo a rencontré un franc succès, comptabilisant quelque centaines de milliers de retweets et de likes. Publiée un jour plus tôt par la chaîne YouTube ViralHog, la scène se serait déroulée au mois de juin dernier dans la région de Magadan, en Russie.

Le drone volait-il trop près?

Mais derrière les images de cette courageuse ascension se trouve évidemment un drone, qui a filmé la scène. Et pour certains commentateurs, dont des scientifiques, c’est précisément l’engin, en volant trop près, qui a poussé l’ourse et son petit à emprunter cette voie dangereuse.

« S’il vous plaît, retirez cette vidéo. L’opérateur vidéo a harcelé et mis en danger la vie de ces ours. La vraie leçon ici est de garantir le respect de la faune et de la distance », écrit notamment une spécialiste de l’université du Maine.

Une version des faits partagée par un autre scientifique.

« L’ourson était terrifié en essayant de s’éloigner d’un drone qui le poursuivait et la mère était tiraillée entre la peur pour sa sécurité et celle de son petit. Stressés de la même manière que les êtres humains sont stressés par des situations traumatiques. »

D’autres estiment par contre que le drone était suffisamment loin des animaux, ajoutant qu’il semblait proche à cause du zoom.

Confrontée à un débat aussi inattendu que démesuré, Ziya Tong a publié un second message dans lequel elle affirme que cette vidéo représentait aussi un exemple d’utilisation médiocre et inappropriée de drones. La présentatrice renvoyant ses abonnés à un guide d’utilisation des drones pour étudier la faune

.

https://www.7sur7.be

À 11 ans, il refuse de ranger sa chambre, abat sa grand-mère puis se suicide


Oui encore aux États-Unis ! L’enfant aurait probablement explosé un jour ou l’autre, mais avec une arme accessible, il a été impossible de concevoir qu’un enfant de 11 ans aurait tuer sa grand-mère à bout portant et se suicider par la suite.
Nuage

 

À 11 ans, il refuse de ranger sa chambre, abat sa grand-mère puis se suicide

 

Archives Métro

Un garçon de onze ans, qui refusait de ranger sa chambre comme on le lui demandait, s’est saisi d’une arme appartenant à son grand-père, a tué sa grand-mère d’une balle dans la tête puis s’est suicidé, selon des médias locaux en Arizona.

Yvonne Woodard, 65 ans, a été abattue alors qu’elle regardait la télévision avec son époux à leur domicile de Litchfield Park, au nord-ouest de Phoenix.

Le couple, qui avait la garde exclusive de l’enfant, avait passé la journée à lui demander de ranger sa chambre, ce qu’il avait obstinément refusé, a expliqué le grand-père à la police.

Selon un porte-parole du shérif du comté de Maricopa, le couple était assis dans son canapé lorsque le garçon a surgi par derrière, tirant une balle dans la tête de sa grand-mère à l’aide d’une arme de poing appartenant à son grand-père.

Le premier réflexe de ce dernier a été de poursuivre l’enfant mais il s’est ravisé pour porter secours à son épouse. Son petit-fils en a profité pour se suicider avec l’arme.

«Rien ne laissait penser que le petit-fils pouvait être un danger pour lui-même ou autrui», a précisé le porte-parole du shérif.

Une enquête a été ouverte pour préciser les circonstances du drame.

http://journalmetro.com

Vieux-Montréal: un cheval de calèche s’effondre et meurt


Il est clair que se promener en calèche dans le vieux Montréal doit être féérique, cependant avec la circulation, le bruit, c’est un gros stress pour un cheval. En plus si le cheval se remet d’une maladie ou qu’il est maltraité n’a pas à subir les rues de la ville. Ce que je ne comprends pas, la mairesse parle d’interdire les calèches en ville en 2020, mais pourquoi pas cette année ou l’an prochain
Nuage

 

Vieux-Montréal: un cheval de calèche s’effondre et meurt

 

Le cheval Zeus appartenait à Luc Desparois, propriétaire... (PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE)

 

Le cheval Zeus appartenait à Luc Desparois, propriétaire de Services de calèches et traîneaux Lucky Luc. Cette entreprise, qui a le monopole des calèches à Montréal, a maintes fois été dénoncée par les organismes de défense des animaux.

PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE

ISABELLE HACHEY
La Presse

Un cheval de calèche s’est écroulé dimanche après-midi dans le Vieux-Montréal. L’animal est mort après avoir été secoué de convulsions, un triste incident qui risque de relancer le débat sur l’éthique dans l’industrie des calèches.

Encore sous le choc, la cochère Shanna Lalonde a raconté que le cheval, Zeus, s’était mis à tousser sans pouvoir s’arrêter, rue Saint-Jean, à l’angle de la rue du Saint-Sacrement.

« J’ai débarqué mes clients, je l’ai détaché de la calèche, j’ai essayé de l’aider à passer sa toux. Ça n’a pas passé et il s’est effondré par terre. »

Zeus appartenait à Luc Desparois, propriétaire de Services de calèches et traîneaux Lucky Luc. Cette entreprise, qui a le monopole des calèches à Montréal, a maintes fois été dénoncée par les organismes de défense des animaux, qui jugent la pratique cruelle et les chevaux, maltraités.

En septembre 2017, un autre cheval s’était d’ailleurs effondré dans le Vieux-Montréal. Cocotte était restée près de huit minutes au sol, inerte, avant de se relever. Des images filmées par des passants avaient alors soulevé l’indignation des citoyens. M. Desparois s’était défendu en affirmant que la jument s’était « simplement endormie ».

Celui que l’on surnomme le « King des calèches » semblait catastrophé devant son cheval mort, dimanche après-midi. « Voir si on a besoin de ça », a-t-il maugréé. L’incident risque en effet d’apporter de l’eau au moulin de l’administration de Valérie Plante, qui a annoncé la disparition des calèches à Montréal à partir de 2020.

M. Desparois compte s’adresser aux tribunaux pour faire reculer la Ville dans ce dossier.

« Des chevaux, il y en a qui meurent partout. Nous, à Montréal, on les garde souvent vieux parce qu’on se fait des relations avec eux, on travaille avec eux. Il y a des cochers qui restent sur la job pour le cheval, pas pour la job. C’est des amis, des partenaires de travail », a-t-il fait valoir.

Selon la cochère Shanna Lalonde, Zeus avait « un petit restant de grippe » dimanche matin, mais rien de grave. Le gros cheval alezan avait eu droit à « presque deux semaines de vacances » pour s’en remettre.

« On travaille dans le public avec des animaux, on est habitués de soigner des animaux, a dit M. Desparois. Ça ne serait pas à notre avantage de ne pas en prendre soin. Ce ne sont pas des machines. »

En avril 2016, un rapport du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation a constaté l’insalubrité de l’écurie de M. Desparois. L’entreprise a été condamnée à une amende de 600 $. Selon le rapport, les chevaux étaient forcés de se coucher dans leur crottin.

À la même époque, un cheval avait été blessé après avoir été percuté par un véhicule dans le Vieux-Montréal. L’incident avait poussé l’ancien maire Denis Coderre à imposer un moratoire sur les calèches. Un juge avait ensuite forcé le maire à reculer, décrétant qu’il n’avait pas le droit de suspendre les permis de tous les cochers.

À l’été 2015, d’anciens cochers avaient dénoncé les conditions de vie des chevaux du « King des calèches » au Journal de Montréal. Le quotidien avait alors fait état de journées de 16 heures et d’injection de puissants anti-inflammatoire aux chevaux boiteux pour les forcer à travailler malgré leurs blessures.

https://www.lapresse.ca/

Découverte d’une nouvelle espèce de dinosaure à long cou


Une nouvelle espèce de dinosaure, bien que disparue, il y a 110 millions d’années a été découvertes grâce à des ossements de trois dinosaures à long cou en Argentine
Nuage

 

Découverte d’une nouvelle espèce de dinosaure à long cou

 

dinosaure

 

Crédits : DariuszSankowski / Pixabay

par Brice Louvet

Une équipe de paléontologues annonce la découverte d’une nouvelle espèce de dinosaure au long cou, évoluant il y a 110 millions d’années au niveau de l’actuelle Argentine.

Trois nouveaux sauropodes (un adulte et deux jeunes spécimens) appartenant à une toute nouvelle espèce ont récemment été découverts en Argentine, rapporte une équipe de paléontologues. Ces trois dinosaures se déplaçaient probablement en groupe, et seraient morts en même temps. Baptisée Lavocatisaurus agrioensis, les premières analyses suggèrent que cette espèce pouvait atteindre les 12 mètres de long. Les détails de l’étude ont été publiés dans la revue Acta Palaeontologica Polonica.

« Nous avons trouvé la plupart des os du crâne : le museau, les mâchoires, beaucoup de dents, ainsi que les os qui définissent les orbites oculaires. Nous avons ainsi pu créer une reconstruction quasi complète », explique José Luis Carballido, chercheur au musée Egidio Feruglio, à Trelew en Patagonie, et principal auteur de l’étude. Il ajoute que des « parties du cou, de la queue et du dos ont également été retrouvées ».

Lavocatisaurus agrioensis dinosaure sauropode Argentine

Voici à quoi pouvait ressembler Lavocatisaurus agrioensis, un nouveau sauropode qui évoluait dans ce qui était autrefois l’Argentine. Crédits : Wikipedia

Petite particularité : le lieu de la découverte, jugé autrefois désertique. C’est un environnement différent de celui apprécié par les autres sauropodes, qui préféraient les zones plus humides.

« On peut imaginer que ce groupe de sauropodes ait pu s’adapter pour se déplacer dans des environnements plus arides, avec peu de végétation, peu d’humidité et peu d’eau, propose le chercheur. C’est un endroit où vous ne chercheriez normalement pas de fossiles ».

Malgré sa grande taille, Lavocatisaurus agrioensis était en revanche loin d’être le plus grand des sauropodes. À titre d’exemple, Argentinosaurus pouvait dépasser les 120 tonnes. De son côté, Supersaurus – qui évoluait il y a entre 157 et 145 millions d’années (Jurassique supérieur) – pouvait atteindre 34 mètres.

Source

https://sciencepost.fr/