Vidéo – Même sur 200 mètres, il est quasiment impossible de suivre le rythme du recordman du monde du marathon


Je ne serais jamais capable de courir aussi vite et longtemps sur mon tapis roulant.
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Vidéo – Même sur 200 mètres, il est quasiment impossible de suivre le rythme du recordman du monde du marathon

 

Repéré par Grégor Brandy

Le record du monde du marathon, ce ne sera pas pour tout de suite.

Combien de temps peut-on tenir le rythme du recordman du monde du marathon? Probablement beaucoup moins que ce que l’on pensait au départ.

Alors que le marathon de New York doit se dérouler ce 4 novembre, Digg vient de relayer une vidéo publiée il y a quelques jours par le site Runner’s World (que vous pouvez regarder ci-dessus) et sur laquelle on peut voir plusieurs personnes sur un tapis roulant tenter de suivre le rythme imprimé par Eliud Kipchoge lors du marathon de Berlin en septembre dernier. Le Kényan avait bouclé les 42,195 kilomètres en 2 heures 1 minute et 39 secondes pour établir le nouveau record du monde.

La vidéo a été tournée avant le marathon de Chicago et montre plusieurs personnes monter sur le tapis roulant et tenter de suivre le rythme sur 200 mètres. Pour ne pas tomber, il fallait courir à 20,81 km/h de moyenne, soit parcourir les 200 mètres en 34 secondes.

«C’est simplement incroyable»

Si plusieurs ont réussi (même si certains ont visiblement passé pas mal de temps à tenter de retrouver leur souffle ensuite), d’autres ont fini tête la première sur le tapis avant de glisser sur les matelas installés judicieusement au bout.

«Je dirais que c’est la même sensation qu’un gros sprint, sauf qu’à la fin on est toujours sur le tapis de course, et on ne peut pas s’arrêter et il faut continuer de courir, explique l’une des participantes. Je suis toujours en sueur, mon cœur bat la chamade, et ça fait déjà deux ou trois minutes que je suis descendue.»

Certes, la grande majorité des personnes qui se sont pris au jeu n’étaient clairement pas équipées pour l’occasion (non, courir un 200 mètres en 34 secondes en sandales n’est vraiment pas une bone idée). Reste que cela donne une idée de la performance réalisée par le marathonien kényan. Même Noelle Montcalm, une athlète canadienne présente aux Jeux olympiques de Rio sur 400 mètres haies et 4×400 mètres n’en revenait pas:

«C’est incroyable de courir aussi vite pendant aussi longtemps. C’est simplement incroyable.»

http://www.slate.fr/

Le Saviez-Vous ► Le roi qui n’aimait pas les chats


Une autre époque difficile pour les chats en France sous le règne d’Henri III. Ce roi souffrait d’une phobie des chats, sa peur était tellement intense qu’il pouvait s’évanouir juste a la vue d’un matou. Avec sa position de roi, il put ordonner de tuer tous les chats rencontrés. Comme dit l’auteur, heureusement qu’il n’a pas vécu à l’ère des réseaux sociaux
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Le roi qui n’aimait pas les chats

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On connait à Henri III – dernier représentant de la lignée des Valois et Roi de France de 1574 à 1589 – un penchant marqué pour les Mignons (sobriquet donné aux courtisans dont il s’entourait car ceux ci était outrageusement fardés et fanfreluchés).

Mais force est de constater que ce qualificatif ne s’appliquait pas aux chats pour le roi.

En effet, Henri III était atteint d’ ailourophobie , c’est à dire qu’il avait une peur viscérale et incontrôlée des chats.

C’est bien simple, il ne les supportait pas !

Portrait de henri III henri 3

Les archives rapportent que sa névrose était telle, qu’il était incapable de rester seul dans une pièce où il y avait un chat et qu’il lui arrivait de s’évanouir à leur simple vue !

Les chats pullulant littéralement au 16ème siècle, on imagine aisément le calvaire que vivait Henri III.

Mais étant le roi, il se concocta un petit plan d’action « anti-chat » de son cru et employa les grands moyens pour tenter de vivre mieux avec sa phobie… au détriment des minous évidemment !

Il commença par interdire purement et simplement à quiconque vivait à la cour d’en posséder un.

Même les enfants furent interdits de chaton.

Tout ça fonctionna somme toute assez bien, et Henri III pu vivre relativement sereinement en son château de Saint–Cloud.

Mais Roi c’est pas un métier d’intérieur. Il faut sortir souvent…

Interdire à tous ses sujets de posséder des chats semblant un peu compliqué (voire carrément utopiste); Henri III décida donc de sécuriser la zone de façon plus drastique : il ordonna à ses gens d’arme de tuer le moindre matou qu’ils croiseraient.

grumpy cat pour illustrer l'article PCPL dédier à l'ailurophobie de Henri III c'est à dire la peur viscerale et incontrolée des chats sur PCPL

Bilan :

On estime que plus de 30.000 chats passèrent au fil de l’épée durant les 15 années que dura le règne d’Henri III !

Finissons quand même en précisant qu’Henri III n’est pas le seul « Grand de ce Monde » a avoir souffert d’ailurophobie ; Alexandre le Grand, Jules César, Napoléon Bonaparte ou Pierre de Ronsard souffraient du même mal, comme en témoignent ces quelques lignes du poète :

« Homme ne vit qui tant haïsse au monde

les chats que moi d’une haine profonde.

Je hais leurs yeux,leur front et leur regard.

En les voyant je m’enfuis d’autre part.

Tremblant de nerfs,de veines et de membres… »

Finalement tous ces messieurs on eut de la chance de ne pas vivre à l’ère des réseaux sociaux et des lol-cats !

https://droledhistoire.fr/

Un boa albinos découvert au milieu de vêtements donnés à une association caritative


J’aimerais bien toucher à un serpent sauf que j’estime que ces bêtes dangereuses, ou pas, ne devraient pas se retrouver dans des appartements. Ils ne sont pas dans leur environnement naturel. De plus, sa fuite aurait pu causer sa perte à cause qu’un humain voulait l’avoir comme animal de compagnie.
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Un boa albinos découvert au milieu de vêtements donnés à une association caritative

 

Capture d'écran YouTube - TODAY’S TMJ4

Capture d’écran YouTube – TODAY’S TMJ4

Repéré par Grégor Brandy

Repéré sur Star-Telegram, NBC, Gizmodo

Surprise!

Ils ne s’attendaient probablement pas à ça. Des employés d’un entrepôt de Goodwill à Fort Worth, dans le Texas, sont tombés sur un boa constricteur albinos au milieu de vêtements donnés, le 1er novembre, raconte Gizmodo.

«J’étais en train de faire basculer la machine, et quand j’ai ramené le panier, le serpent était suspendu au-dessus du vide, explique à NBC l’une des personnes qui s’occupe du traitement des dons. J’étais un peu effrayée et je me disais que ça ne pouvait pas être une illusion. C’était bien réel.»

Heureusement pour tout le monde, il se trouve que l’un de ses supérieurs a déjà possédé des serpents et savait comment gérer la situation. Il a finalement réussi à le récupérer et à le placer en sécurité.

 «Je ne sais pas comment ce serpent est arrivé ici. Je ne sais pas si quelqu’un l’a placé là par malveillance. Peut-être qu’ils voulaient s’en débarrasser et ne savaient pas comment, ou peut-être qu’il voulait juste être au chaud. Il était au milieu d’une pile de vêtements.»

De retour chez lui

Deux jours plus tard, il a obtenu sa réponse, raconte le Star Telegram. Le serpent, répondant au doux nom de Toki, appartient à Austin Pair, un Texan de 22 ans, qui en avait perdu la trace en mai dernier, alors qu’il était parti en vacances à Hawaï, et quand le serpent avait forcé l’entrée du vivarium dans lequel il se trouvait. Avec ses colocotaires, ils ont bien retourné la maison dans laquelle ils vivaient, mais sans succès. Austin Pair s’est finalement résigné: Toki avait disparu.

Alors comment le serpent a-t-il fini dans le panier à vêtements de Goodwill? Le jeune Texan a une théorie. Il y a quelque temps, il a déménagé et s’est débarrassé de deux canapés et de vêtements au passage.

«Il imagine que Toki devait vivre dans le canapé qu’il a récemment amené dans un centre de dons. Il pense que le froid de l’entrepôt a poussé le serpent à sortir du canapé et aller se réchauffer au milieu des vêtements.»

Il se trouve que les serpents de cette taille peuvent «bien se porter avec seulement un repas par semaine, et peuvent survivre pendant plusieurs mois sans nourriture».

Le serpent a en tout cas eu beaucoup de chance, poursuit le Star Telegram, qui détaille les bons choix qu’il a dû faire pour être retrouvé vivant. Mais Toki est probablement le seul à connaître la totalité de cette histoire.

«J’aimerais bien parler Fourchelang, conclut Austin Pair. Il pourrait nous dire beaucoup de choses.»

http://www.slate.fr/

La Corée du Nord réfute un rapport sur les agressions sexuelles


 

La Corée du Nord se préoccupe plus de son image que la protection des femmes. Ils refusent d’avouer leur inaction face aux violences sexuelles faites aux femmes, ils aiment mieux accusée ces femmes de rebut de la société.
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La Corée du Nord réfute un rapport sur les agressions sexuelles

 

« La violence sexuelle en Corée du Nord est... (Photo Dita Alangkara, archives AP)

« La violence sexuelle en Corée du Nord est un secret de polichinelle, largement toléré et non traité », a déclaré Human Rights Watch.

PHOTO DITA ALANGKARA, ARCHIVES AP

 

Agence France-Presse
Séoul

La Corée du Nord a rejeté dimanche un rapport de Human Rights Watch (HRW) sur les agressions sexuelles commises notamment par les policiers à l’encontre des femmes en Corée du Nord, affirmant qu’il s’agit d’une « manigance politique » destinée à « ternir l’image » du pays.

Dans un rapport publié jeudi dernier, basé sur des entretiens avec 54 transfuges nord-coréens, l’organisation de défense des droits de la personne basée aux États-Unis a dépeint un sombre tableau des viols et autres agressions perpétrées par les personnels de sécurité, tels que les gardes-frontières, mais aussi des civils en position d’autorité. 

L’association nord-coréenne pour les études sur les droits de la personne, citée par l’agence officielle nord-coréenne KCNA, a rétorqué que ce rapport « grotesque » faisait « partie d’une manigance politique montée par les forces hostiles… pour ternir l’image de la RPDC » [NDLR : République populaire démocratique de Corée, le nom officiel de la Corée du Nord].

« C’est aussi une provocation extrêmement dangereuse destinée à inverser le courant de paix et de prospérité sur la péninsule coréenne », a affirmé l’organisme nord-coréen, ajoutant que les femmes questionnées dans le cadre de l’enquête appartenaient au « rebut de l’humanité ».

Parmi les auteurs d’agressions cités dans le rapport de HRW figurent des gérants d’entreprises publiques, des gardes déployés sur les marchés ou dans les postes de contrôle routier ainsi que des « policiers, des magistrats, des soldats et des contrôleurs à bord des trains ». 

Une quadragénaire qui vendait des textiles se souvient avoir été traitée comme un jouet sexuel « à la merci des hommes ».

« Quand ça leur prenait, les gardes sur les marchés ou les policiers me demandaient de les suivre dans une pièce vide, à l’extérieur du marché ou dans un autre endroit de leur choix », a témoigné cette femme citée dans le rapport de HRW.

« La violence sexuelle en Corée du Nord est un secret de polichinelle, largement toléré et non traité », a déclaré Kenneth Roth, directeur général de HRW.

Le régime nord-coréen affirme qu’il protège et défend « les droits de la personne authentiques » et que l’Occident n’a pas à imposer ses critères en la matière au reste du monde.

https://www.lapresse.ca/

La voiture autonome pourrait faire le tri des personnes à sauver en cas d’accident !


Utiliser l’intelligence artificielle pour faire le profil des victimes en cas d’accident, me dérange et encore plus si les accidents sont avec des voitures autonomes. On enlève le côté humain pour décider qui peut mourir et qui peut vivre …
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La voiture autonome pourrait faire le tri des personnes à sauver en cas d’accident !

 

accident voiture

Crédits : PxHere

par Yohan Demeure

Une enquête menée par des scientifiques américains a permis d’affirmer que de nombreuses personnes étaient favorables au fait que l’intelligence artificielle puisse choisir qui devrait mourir et survivre en cas d’accident, et ce en fonction du profil des victimes !

L’enquête réalisée par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) – publiée dans la revue Nature le 24 octobre 2018 – a été menée auprès de deux millions de personnes à travers le monde (dans plus de 200 pays). Il s’agissait de connaître leur sentiment vis à vis des accidents impliquant des voitures autonomes.

Selon les résultats de cette enquête, la majorité des personnes sondées se sont montrées favorables à ce qu’une sorte d’échelle de priorité soit mise en place et respectée par l’IA dans le cas d’accidents. Il est ici question du type de profil des victimes. Par exemple, les sondés ont indiqué préférer que l’IA choisisse – s’il est impossible de faire autrement bien sûr – de sauver un·e jeune en bonne santé plutôt qu’une personne âgée ou malade. Citons un autre cas de figure : un groupe de 7 personnes devrait être sauvé au détriment d’un groupe plus restreint.

Il s’agit d’une vision plutôt déroutante, mais il faut savoir que les personnes interrogées ont été soumises à des dilemmes comme le dilemme du tramway, décrit pour la première fois en 1985 (voir schéma ci-après). Ce dernier consiste à se poser la question de savoir s’il est moral qu’une personne puisse effectuer un geste bénéficiant à un groupe de personnes, mais nuisant en conséquence à une personne hors de ce groupe.

dilemme du tramway

Crédits : Wikipedia

L’enquête du MIT montre une certaine tendance, ponctuée de quelques différences suivant les régions du globe. Par exemple, le sacrifice des anciens est bien moins plébiscité dans les pays asiatiques. De manière générale, ce genre d’enquête pourrait influencer les choix des fabricants de voitures autonomes, ainsi que la législation qui sera élaborée pour réguler ce domaine.

Sources : MIT Technology ReviewVentureBeatSiècle Digital

https://sciencepost.fr

Une nouvelle espèce d’oiseau primitif identifiée


Ce n’est pas vraiment un reptile ni vraiment un oiseau qui a vécu il y a 400 millions d’années, mais il serait peut-être l’évolution des oiseaux d’aujourd’hui qui peuvent voler.
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Une nouvelle espèce d’oiseau primitif identifiée

 

Archaeopteryx lithographica oiseau reptile dinosaures

Illustration d’Archaeopteryx lithographica, une espèce transitoire entre les reptiles et les oiseaux. Crédit : ZHAO CHUANG

par Brice Louvet

Une équipe de paléontologues annonce avoir identifié une nouvelle espèce appartenant au genre Archaeopteryx, ces petites créatures qui firent la transition entre les dinosaures et les premiers oiseaux. Et il semblerait que cette nouvelle espèce était capable de voler.

Les détails de l’étude sont rapportés dans la revue dans la revue Historical Biology.

Archaeopteryx était oiseau primitif : imaginez un petit animal pas plus grand qu’une poule, mais qui présente des dents et des doigts griffus, évoluant il y a environ 150 millions d’années. On dénombre à ce jour une douzaine de squelettes appartenant aux deux espèces connues, Archaeopteryx lithographica et Archaeopteryx siemensii. Mais à ces deux espèces s’ajoute aujourd’hui une troisième – Archaeopteryx albersdoerferi -, dont le nom rend hommage à Raimund Albersdörfer, ancien propriétaire du fossile qui le mit il y a quelques années à la disposition des chercheurs.

Cette nouvelle espèce se détache aujourd’hui des autres. Plus jeune d’environ 400 000 ans, il semblerait en effet que l’animal était capable de voler, contrairement aux autres.

Comme tous les autres “oiseaux” de son genre, Archaeopteryx albersdoerferi était capable de «saisir et trancher des proies, telles que des lézards, des insectes, des escargots et des vers, explique Martin Kundrát, paléontologue à l’Université Pavol Jozef Šafárik, en Slovaquie. Je le décrirais comme un poulet avec des dents et une longue queue osseuse».

Mais il présentait également une configuration squelettique qui, selon les chercheurs, lui aurait permis de s’envoler. Des analyses par microtomographie synchrotron révèlent en effet qu’Archaeopteryx albersdoerferi présentait des os minces et remplis d’air, une plus grande zone de fixation des muscles de vol et une configuration renforcée d’os dans son poignet et des pattes.

Archaeopteryx – et cette nouvelle espèce en particulier – se présentent ainsi comme des démonstrations remarquables du cours de l’évolution. Pas tout à fait un reptile, mais pas tout à fait oiseau. L’espèce se place donc entre les deux, incarnant une espèce “transitoire qui vient combler un chaînon manquant entre les dinosaures éteints et les oiseaux modernes.

Source

https://sciencepost.fr/