Le bonheur dépend de nous et seulement de nous, bien sur d’autres peuvent y contribuer, mais au final, c’est notre attitude qui donnera la note
Nuage
Clé
Ne met pas la clé de ton bonheur dans la poche de quelqu’un d’autre.
Robin Williams
Le bonheur dépend de nous et seulement de nous, bien sur d’autres peuvent y contribuer, mais au final, c’est notre attitude qui donnera la note
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Clé
Ne met pas la clé de ton bonheur dans la poche de quelqu’un d’autre.
Robin Williams
Vous vous souvenez de Skippy, le kangourou ? Voici, Megan, est la version Lévrier pour faire des bonds étonnants pour un chien.
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L’être humain aurait parfois besoin d’une leçon d’humilité face aux autres espèces qui font partie de ce monde. Sommes-nous aussi performants en tout, que ce soit la vitesse, notre ADN, notre force etc. ?
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L’Homme, cet étrange animal, existe depuis 2,5 millions d’années, depuis les premières tailles de pierre d’Homo habilis. L’humanité a connu depuis des phases très difficiles et, parmi la douzaine d’espèces du genre Homo, une seule subsiste encore aujourd’hui : la nôtre.
Pourtant, les scientifiques estiment qu’elle a frôlé l’extinction il y a plusieurs dizaines de milliers d’années, quand la population se résumait à quelques milliers d’âmes, réparties sur le territoire africain. Homo sapiens a résisté… et même mieux que cela, puisqu’il a depuis colonisé tous les continents, tous les milieux, et s’est adapté à tous les climats. L’humanité compte aujourd’hui plus de 7 milliards de membres et gouverne le monde.
Une domination sans partage due à des capacités supérieures à tous les niveaux ? Même pas, comme le révèle ce diaporama. L’Homme n’est pas le plus grand, ni le plus fort. Il n’a pas le plus gros cerveau. Il n’est pas celui qui vit le plus longtemps. On peut toujours lui opposer un animal qui fait mieux. L’occasion pour nous de faire preuve d’un peu d’humilité…
On vous dit souvent que vous avez une cervelle de moineau ? C’est un très beau compliment ! Pendant longtemps, pour se rassurer, l’espèce humaine a considéré que l’intelligence était fonction du rapport entre la taille du cerveau et la taille du corps… et elle croyait être la championne, selon ce critère.
C’est faux ! Le cerveau humain, représenté ici par Albert Einstein, ne compte que pour 2 à 2,5 % du poids du corps alors que chez le moineau, la proportion s’élève à 7 % !
© Skeeze, Wikipédia, DP et InformiguelCarreño, CC by-sa 4.0
Le guépard peut se moquer en regardant courir Usain Bolt, recordman du monde du 100 m (9 secondes 58 centièmes) et du 200 m (19 secondes 19 centièmes). Certes, le Jamaïcain reste l’Homme le plus rapide de l’histoire. Lorsqu’il a réalisé ces exploits, il a parcouru la ligne droite à la vitesse moyenne de 37,58 km/h départ arrêté, avoisinant les 45 km/h après environ 80 m de course.
Un résultat pourtant bien lent pour un guépard (Acinonyx jubatus) qui franchirait la ligne du 100 mètres en un peu plus de 3 secondes lancé à sa vitesse maximale : 110 km/h. Il mettrait juste un peu plus de temps départ arrêté.
© Aktiv I Oslo.no, CC by-nc 2.0, JonathanC Photography, Shutterstock et Aki Sasaki, CC by-nc 2.0
Se rêvant appartenir à l’espèce la plus complexe, l’Homme a un temps estimé que son génome devait être composé de 100.000 gènes, travaillant de concert pour aboutir à une telle perfection. Quelle désillusion quand la carte du génome humain révéla qu’on ne disposait que de 23.000 gènes environ !
Surtout, quelle surprise lorsque l’on découvrit que la daphnie rouge (Daphnia pulex), une puce d’eau transparente de quelques millimètres, en possédait 31.000, soit 8.000 de plus…
Alors, le plus haut degré de complexité dépend-il vraiment du nombre de gènes ?
© Carl Sagan, DP et Paul Hebert, CC by 2.5
Robert Wadlow est reconnu comme étant l’Homme le plus grand du monde avec une taille de 2,72 mètres. Il souffrait d’une hypertrophie de l’hypophyse, ce qui se traduisait par une production excessive d’hormones de croissance, le transformant en géant. Il grandissait encore à 22 ans, lorsqu’il mourut.
Mais ce n’est rien comparé à ce que lui oppose le monde animal ! Si tout le monde pense à la girafe (plus grand animal terrestre qui dépasse allègrement les 5 m) ou à la baleine bleue (jusqu’à 30 m de long), on oublie souvent le ver lacet (Lineus longissimus) qui, malgré son petit centimètre de diamètre, détient le titre d’animal le plus long du monde. Certains spécimens dépassent les 55 m !
© Ollyy, Shutterstock et Helena Samuelsson, CC by 3.0
Dans chaque cellule humaine (à quelques exceptions près), on trouve un noyau d’ADN long de 3,2 milliards de paires de base. Si on le déplie, on obtient un filament d’environ un mètre, preuve qu’il est extrêmement compacté pour tenir dans une sphère de quelques micromètres.
Dans le règne animal, le plus fort de tous est un poisson étrange appelé protoptère éthiopien (Protopterus aethiopicus). Son génome se compose de 132,8 milliards de paires de base. Déplié, le filament d’ADN est long de 45 mètres !
© Luc Viatour et Daderot, DP
La vue est un sens particulièrement important pour l’espèce humaine. Nos ancêtres sautant de branches en branches, nous avons hérité de leur capacité à apprécier les distances et de leur sens du détail. Pourtant, les rapaces nous surpassent largement quand il est question de vision !
Doté de la meilleure vue du règne animal, un aigle peut distinguer un objet de 10 cm depuis 1 km de hauteur. À pareille distance, les yeux humains ne perçoivent que des objets de 26 cm. Cet oiseau voit donc 2,5 fois mieux que nous !
© ChristianGeorg, DP et Macro eye, Shutterstock
L’Homme est recouvert de poils mais, sur la majorité de son corps, ceux-ci sont très courts, ce qui donne l’illusion d’un singe nu, à l’exception de quelques régions, comme le pubis, les aisselles… et le sommet du crâne ! Là-haut, les cheveux se comptent en moyenne au nombre de 150.000, soit une densité de 500 par cm².
Une moyenne ridiculement faible à côté de la loutre de mer (Enhydra lutris) qui, elle, comprend aussi 150.000 poils… mais pour chaque cm² !
© Andrew Reding, CC by-nc 2.0 et Celso Pizzolato, Shutterstock
Chez la femme, la grossesse c’est 9 mois de bons et de moins bons moments : la douleur au moment de l’accouchement est forte et même à la limite de l’intolérable chez certaines. Pourtant, à la naissance, le bébé humain est presque un prématuré tant il n’est pas dégourdi. Une gestation plus longue se traduirait cependant par l’impossibilité physique de laisser passer un être aussi gros par les voies naturelles.
L’éléphante, en revanche, doit donner naissance à un éléphanteau de plus de 100 kg, qui, très vite, apprend à marcher. Il faut donc le laisser plus longtemps dans l’utérus : jusqu’à 22 mois !
© Vasilyev Alexander et Andrzej Kubik, Shutterstock
Les centenaires sont de plus en plus nombreux. Les progrès de la médecine repoussent chaque année de 3 mois notre espérance de vie. L’aînée de l’humanité, Jeanne Calment, est morte à l’âge de 122 ans. Elle est née en 1875, avant même que Graham Bell n’invente le téléphone, et elle a fini par décéder en 1997, alors que les portables commençaient à coloniser le marché.
Si son existence a pu lui paraître longue, qu’en est-il des tortues géantes des Galápagos, qui atteignent assez régulièrement les 150 ans ? Et sans aucun médicament ! Décidément, Jean de la Fontaine avait raison, c’est toujours la tortue qui gagne à la fin…
© Bernard Gagnon, GFDL et Lena1, DP
L’espèce humaine peut se vanter d’avoir franchi les 2 m 45 par l’intermédiaire d’un homme : Javier Sotomayor. C’est déjà énorme, mais bien peu comparé à certains félins comme le puma ou le tigre, qui atteignent au moins 4 m.
Cela en devient ridicule en comparaison de la puce, si l’on ramène la performance à la taille de l’animal. L’insecte, qui mesure quelques millimètres, peut en effet sauter 300 fois sa taille. À l’échelle d’un homme d’1 m 80, cela équivaut à un saut de… 540 m. Le plus dur sera la chute !
© Marie-Lan Nguyen et Katja ZSM, CC by 3.0
L’Iranien Hossein Reza Zadeh a fait très fort à l’épaulé jeté en 2004, aux Jeux olympiques d’Athènes. La performance est immense : 263 kg portés à bout de bras. Selon la Fédération internationale d’haltérophilie, aucun autre être humain n’a fait mieux. Mais ce gaillard de 190 kg n’a porté finalement que 1,4 fois son propre poids…
C’est déjà pas mal, mais cela amuserait le bousier s’il savait qu’on acclame ce genre de champions. Du haut de ses quelques grammes, l’insecte peut soulever des charges de l’ordre du kilogramme !
Le Britannique Robert Knell s’est livré à une expérience assez inédite pour regarder quelle charge relative le bousier pouvait supporter. Le scarabée portait sur son dos un récipient qui se remplissait d’eau au fur et à mesure. L’animal a finalement arrêté de marcher lorsqu’il portait sur ses épaules l’équivalent de 1.141 fois son propre poids… Il faudra encore beaucoup d’entraînement à Hossein Reza Zadeh avant de soulever 217 tonnes !
© Peter van der Sluijs, GFDL et Pixabay CCO
Le Brésilien César Cielo est le nageur le plus rapide de l’histoire, détenteur des records du monde du 50 m (20 secondes 91 centièmes) et du 100 m nage libre (46 secondes 91 centièmes). Sur cette seconde distance, il a nagé à 7,7 km/h : il est donc allé plus vite qu’un humain marchant.
Bel exploit, sachant malgré tout qu’il a bénéficié d’un plongeon et d’une coulée lui permettant d’améliorer un peu sa moyenne. À titre de comparaison, certains marlins, comme le voilier de l’Indo-Pacifique (Istiophorus platypterus) ici en photo, peuvent atteindre les… 110 km/h !
© Stockphoto mania, Refat, Shutterstock
Dans l’eau, soit on descend en profondeur, soit on tient longtemps, mais il est difficile pour l’Homme de faire les deux ! Ainsi, l’Autrichien Herbert Nitsch est descendu en apnée « no limit » jusqu’à 214 m de profondeur, record du monde homologué, au terme d’une plongée de 4 min 24. De son côté, le Français Stéphane Mifsud tient 11 mn 35 s la tête sous l’eau au niveau de la surface, sans bouger. Des performances surnaturelles !
Pourtant, il y a beaucoup mieux parmi les mammifères. Le cachalot va ainsi se nourrir jusqu’à 2.000 m de profondeur, après plus d’une heure sans être remonté respirer !
© Gabriel Barathieu, CC by-sa 2.0 et Dudarev Mikhailn, Shutterstock
Le 29 mai 1953, l’alpiniste néo-zélandais Edmund Hillary et le Sherpa Tensing Norgay devinrent les premiers êtres humains à atteindre le toit du monde, le mont Everest, qui culmine à 8.848 m. Des températures glaciales, des niveaux d’oxygène très bas… si haut, le terrain est très hostile.
Cela n’empêche pourtant pas les oies à tête barrée (Anser indicus) de voler en formation à des altitudes de 9.000 m !
© Travel Stock, Raju Soni, Shutterstock
L’Homme a toujours rêvé de prendre de la hauteur et s’amuse à grimper sur ce qu’il trouve en milieu naturel (falaises, roches, etc.). Certains s’attaquent même aux constructions humaines. C’est le cas par exemple d’Alain Robert, surnommé le Spiderman français, du fait des nombreux gratte-ciel qu’il a escaladés à mains nues et sans être assuré.
Pour le gecko, cette performance qui nous paraît inouïe relève de la normalité. Il possède des pattes extrêmement adhésives, montées de fines lamelles qui profitent des anfractuosités les plus fines du décor. Les chercheurs veulent s’en inspirer pour développer des robots tout-terrain.
© Photobac et Kittipong053, Shutterstock
Il est des animaux assez extraordinaires. Le genre Gerris regroupe différentes espèces d’insectes dotées d’une capacité spéciale : ils peuvent marcher sur l’eau. Ils profitent de leur légèreté et de terminaisons hydrophobes au bout de leurs pattes pour flotter, un peu comme s’il y avait de l’huile sur de l’eau.
Naturellement, il est impossible pour l’Homme de réaliser une telle performance. Alors, pour se donner l’illusion de dompter la nature, il s’est créé une planche de surf et la laisse courir devant les vagues.
© MarkMirror et Trubavin, Shutterstock
Une idée à la Trump non pas pour l’immigration, mais pour empêcher un glacier de fondre trop vite et retarder la montée des niveaux des mers. Est-ce que cela vaut la peine ? Peut-être, à la condition que des actions concrètes sont faites à la source, et ce, dès maintenant
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Crédits : iStock
par Brice Louvet
Une équipe de chercheurs proposait il y a quelques jours un plan complètement fou visant à limiter la fonte des glaciers de l’Antarctique et du Groenland. Ce phénomène risque d’élever le niveau des mers, et de ce fait menace les millions de personnes vivant sur les côtes.
Des centaines de millions de personnes vivent aujourd’hui sur les côtes de notre planète. Ces habitants – et les infrastructures qui les accompagnent – sont ainsi les premiers concernés par la hausse du niveau de la mer. Si plusieurs facteurs peuvent expliquer ces évolutions de niveaux, l’un des plus importants reste la fonte des plus grands glaciers du monde. Pour prévenir les dommages occasionnés, une équipe de chercheurs propose une idée, qui se présente aujourd’hui comme “le plus grand projet de génie civil de l’histoire de l’humanité”. Le principe ? Construire une structure de soutien directement sous les glaciers pour les empêcher de s’effondrer.
Ce n’est pour l’heure qu’une idée sur le papier.
Ce type «d’intervention sur la calotte glaciaire d’aujourd’hui serait à la limite des capacités humaines», admettent en effet les chercheurs, qui publient leurs travaux dans la revue Cryosphere.
Mais ils rappellent tout de même qu’il y a «suffisamment de glace empilée sur l’Antarctique pour élever les mers du globe de près de 60 mètres».
Pour leur étude, les chercheurs se sont concentrés sur Thwaites, un gigantesque glacier de l’Antarctique, de plus en plus fragile. À lui seul, il a le potentiel d’augmenter le niveau de la mer de trois mètres environ. Deux méthodes sont proposées. La première consiste à soutenir le glacier avec une série de monticules sur environ 300 mètres, par-dessous. Dans ce cas, les eaux plus chaudes pourraient encore venir se frotter au glacier, mais cette structure aurait au moins la capacité de l’empêcher de s’effondrer. Avec cette méthode, les chercheurs estiment qu’il y a 30% de chance que le glacier ne s’effondre pas au cours des 1000 prochaines années.
Vient ensuite la seconde approche, bien plus compliquée : construire un mur sous le glacier, ce qui empêcherait cette fois-ci l’eau chaude venue des bas-fonds de se frotter à la glace. Les chances de réussite sont ici estimées à 70%, toujours pour les 1000 prochaines années.
Si les idées proposées sont en théorie potentiellement faisables sur le plan technique (quoique), ces deux méthodes, aussi bonnes soient les intentions, ne proposent qu’un “pansement”. Elles ne régleront pas le problème du réchauffement climatique. La hausse du niveau de la mer n’est qu’une conséquence parmi tant d’autres. Nous devons ainsi tout mettre en oeuvre, non pas pour colmater les brèches, mais pour s’attaquer directement à la source du problème.
Chacun ses rêves ! Je n’arrive pas à comprendre comment on peut changer d’apparence à ce point. En vieillissant, il fera un clown tout ridé et triste sous son faux sourire.
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Crédits : Richie the Barber/Facebook
par Malaurie Chokoualé
Il aurait pu continuer à se maquiller de temps à autre, mais Richie the Barber a préféré que ces touches de couleurs deviennent permanentes.
Ce barbier de Los Angeles a décidé de se faire tatouer le visage et poser des implants en silicone sous les sourcils pour les rehausser. Les yeux cernés de bleu, le nez, la bouche et les sourcils colorés de rouge, Richie est très fier de son apparence pour le moins… troublante.
« Je vais vous dire pourquoi j’ai tatoué mon visage. C’est parce que j’ai toujours voulu être un clown », explique-t-il au début d’une vidéo postée sur sa chaîne YouTube.
En remontant un peu dans ses souvenirs, il se rappelle de sa première rencontre avec un clown quand il était petit. Il dit avoir été stupéfait et qu’il a immédiatement voulu en être un lui aussi. Avec le temps, il dit avoir compris que personne ne le comprenait vraiment, et il est devenu ce qu’il appelle un « clown de placard » attendant de faire son improbable coming out.
Des années plus tard, il a déménagé à Hollywood et là, tout a changé. Après avoir acheté un monocycle, il a commencé à jongler un peu partout et a intégré des lancers de confettis dans ses rasages. Puis, il est passé au tatouage. Dans sa vidéo, il explique également que son obsession pour les clowns et ses tatouages ont bien eu une incidence sur sa vie personnelle, mais qu’importe, il a continué de suivre son rêve. Aujourd’hui, il est barbier, et surtout il est clown tout le temps, comme il en avait toujours rêvé.
Crédits : Richie the Barber/Facebook
Sources : Richie the Barber/Facebook
Après le mauvais temps …
Je reviens à mes habitudes, j’ai fait un tour autour des rues de mon quartier, et les dégâts dû à la tornade ont été assez près chez moi, a moins de 5 minutes de marche. Plus loin par contre, … Cela va prendre du temps a se remettre
Pour ma part, mes plus grosses pertes ont été ce qui avait dans mon frigo … C’est moins pire que tout perdre jusqu’à un toit sur la tête.
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