Avoir toujours raison, c’est de se mentir à soi-même
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Apprendre
Tu n’apprends rien dans la vie si tu penses que tu as toujours raison
Keanu Reeves
Avoir toujours raison, c’est de se mentir à soi-même
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Tu n’apprends rien dans la vie si tu penses que tu as toujours raison
Keanu Reeves
La Japonaise Manami Nomura, 33 ans, a perdu son bras dans un grave accident de la route en 2004. Elle poursuivi son but de devenir championne de natation, et a terminé 4e au Jeux paralympiques de Pékin en 100 m brasse et 8e aux Jeux de Londres, selon sa biographie sur les sites des Jeux paralympiques. Elle a même été plus loin grâce à une prothèse adaptée pour jouer du violon. Il faut dire qu’elle a une excellente dextérité, car le violon n’est pas l’instrument le plus facile à jouer.
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D’où vient l’idée de faire 10 000 pas par jour, nous assure une meilleure santé ? Est-ce un nombre réel ou arbitraire. ? L’effort, l’endurance sont important, Faire 10 000 pas pour un peut être sans trop d’effort, alors que pour d’autre, faire la moitié demande beaucoup d’effort.
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Pas besoin de se fatiguer | Volcano Olmez via Unsplash CC License by
Repéré par Barthélemy Dont
Repéré sur The Guardian
Faire 10.000 pas par jour pour rester en bonne santé. Podomètre, fitbit, montres connectées… il existe toute une industrie destinée à nous permettre de vérifier si l’on respecte bien ce mantra. 10.000 pas qui préviendraient l’obésité, empêcheraient le diabète et avec un peu de chance, feraient revenir l’être aimé. C’est une croyance si bien ancrée que l’on ne se pose plus la question de savoir si elle est fondée ou pas.
Pourtant, ce chiffre parfois attribué à tort à l’OMS, est totalement arbitraire. En 1964, les Jeux olympiques de Tokyo rencontrent un succès populaire massif. Pour surfer sur la tendance, l’entreprise d’électronique Yamasa-Tokei met en vente un podomètre portatif, le Manpo-kei, qui en japonais veut dire «10.000 pas-mètre».
Un nombre arbitraire
À l’époque, le nombre de 10.000 ne s’appuie sur rien. Il représente simplement l’idée que se font les créateurs du podomètre d’une vie saine et active. Un nombre complètement arbitraire, mais qui va servir de base aux futures recherches sur le sujet. Une équipe de l’université de Kyushu, qui étudie la pertinence de ce nombre, calcule que les habitants et habitantes du pays font en moyenne 3.500 à 5.000 pas par jour et que, en effet, augmenter ce nombre à 10.000 réduit les risques de problèmes de coeur et d’artères bouchées.
C’est là que se situe le problème. Un mode de vie sédentaire est mauvais pour la santé, donc si l’on compare l’activité physique moyenne d’une population sédentaire à celle d’une population active –tous autres critères égaux par ailleurs–, la seconde est forcément en meilleure santé. Les études successives ont continué à prendre comme référence les fameux 10.000 pas, confortant ainsi les études précédentes, alors que rien ne dit que 8.000 ou 12.000 ne seraient pas préférables.
D’ailleurs, réfléchir uniquement en terme de nombre de pas est une aberration, car l’intensité de l’effort importe au moins autant que la quantité.
L’OMS recommande par exemple pour les adultes de 18 à 64 ans, «150 minutes d’activité d’endurance d’intensité modérée ou au moins soixante-quinze minutes d’activité d’endurance d’intensité soutenue».
Pourtant, les 10.000 pas restent la référence, et peuvent avoir des conséquences néfastes. Pour les personnes atteintes de diabète ou très sédentaires, passer directement de zéro à 10.000 pas par jour peut être un changement trop brutal.
Ce n’est pas la première fois qu’une transplantation de visage. Une quarantaine a été effectué dans le monde. Au Québec, c’est la première fois mais aussi M. Desjardins est le plus vieux au monde à recevoir ce genre de greffe. Avec ce visage, il a pu retrouver des dents, lèvres, l’odorat, et respirer sans trachéotomie.
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Graham HughesGraham Hughes / La Presse Canadienne
Par Sidhartha Banerjee, La Presse canadienne
MONTRÉAL — Sept ans et demi après avoir été gravement défiguré dans un accident de chasse, le sexagénaire qui a reçu une greffe du visage il y a quatre mois se porte bien, a précisé mercredi l’équipe médicale montréalaise qui a réalisé l’exploit.
Dans ce que les médecins qualifient de «première canadienne», des chirurgiens de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont ont réussi à greffer un nouveau visage à Maurice Desjardins, âgé de 64 ans. L’opération, qui a duré 30 heures, a été pratiquée en mai dernier. Cette opération avait déjà été pratiquée une quarantaine de fois dans le monde depuis 2005, mais selon l’équipe montréalaise, dirigée par le chirurgien plasticien Daniel Borsuk, M. Desjardins serait le plus vieux receveur d’une telle greffe du visage.
Le docteur Borsuk, qui enseigne aussi à l’Université de Montréal, a indiqué que la délicate opération avait été le résultat d’années de travail concerté et méticuleux de l’équipe, et aussi «du courage et de la coopération incroyables» du patient et de sa famille. Mais pour M. Desjardins, il n’y avait pas d’autre option, soutient le chirurgien.
«Imaginez: vous souffrez chez vous en silence pendant des années et vous ne sortez pas aussi souvent que vous le voudriez, vous dormez dans une pièce à part, à cause du son de la trachéotomie (ouverture dans la trachée): vous menez une existence très difficile», a expliqué le chirurgien. «Et puis, du jour au lendemain, vous avez droit à une deuxième chance.»
Pouvoir sortir sans gêne
Un accident de chasse en 2011 avait laissé M. Desjardins sans mâchoire, sans nez et sans dents. Il vivait constamment dans la douleur et l’isolement, même après cinq chirurgies reconstructives. En s’adressant au docteur Borsuk à Montréal, il espérait pouvoir respirer normalement, parler correctement, et retrouver un nez, des lèvres, des mâchoires et des dents. Le docteur Borsuk a ajouté mercredi que M. Desjardins voulait aussi pouvoir sortir sans gêne avec sa petite-fille.
Le patient a été soigneusement suivi pendant des années avant l’intervention.
«Nous voulions nous assurer qu’il était en bonne santé», indique le docteur Borsuk. «Ses besoins étaient réels, il n’y avait pas d’autre option pour lui, il n’y avait aucune autre possibilité qu’il retrouve une vie normale.»
L’hôpital Maisonneuve-Rosemont offre la seule équipe multidisciplinaire au Québec pour la chirurgie cranio-maxillo-faciale adulte. Le chirurgien a précisé que l’équipe d’experts comprenait aussi un psychologue, qui a évalué les capacités mentales de M. Desjardins au fil des ans.
«Il est si fort mentalement que même avec tout ce qui a été fait, il a déjà commencé à (accepter) son nouveau visage», a soutenu M. Borsuk. «Nous comptions là-dessus.»
Le chirurgien a décrit la procédure comme «une combinaison de science, de technologie, d’ingénierie et d’art», qui a nécessité des années de planification et de formation à la morgue de l’hôpital, afin de minimiser les risques et maximiser les résultats.
L’opération a nécessité l’expertise de neuf chirurgiens, de multiples spécialistes et la collaboration de plus de 100 professionnels, dont des médecins, des infirmières et de nombreux autres membres du personnel.
Après sept ans et demi de calvaire, 30 heures sur la table d’opération et une semaine aux soins intensifs, M. Desjardins, en découvrant son nouveau visage dans un miroir, a levé le pouce et a serré son chirurgien dans ses bras.
Pas n’importe quel donneur
Transplant Québec, l’organisme responsable des dons d’organes, a souligné la générosité de la famille du donneur non identifié, qui a autorisé le prélèvement. Le docteur Borsuk a précisé que contrairement à des organes internes, le visage ne pouvait provenir de n’importe quel donneur: il devait avoir la même couleur de peau, la même taille, la même structure osseuse, et jusqu’à la même couleur de cheveux.
Louis Beaulieu, de Transplant Québec, a déclaré qu’une fois le donneur identifié, un consentement spécial avait été obtenu pour la procédure de transplantation faciale, ce qui a été fait de façon éthique et respectueuse, puisque la famille du donneur était bien sûr endeuillée.
Ni M. Desjardins ni sa femme n’étaient présents mercredi à la conférence de presse, mais quatre mois après l’opération, le docteur Borsuk a indiqué que le patient se remettait bien et pouvait respirer sans trachéotomie, mastiquer avec ses nouvelles mâchoires, sentir et parler correctement.
La convalescence et la réadaptation prendront encore au moins un an, car M. Desjardins doit réapprendre des gestes quotidiens comme manger, boire et même sourire. Il prendra aussi pour le reste de sa vie des médicaments immunosuppresseurs, pour éviter le rejet du nouvel organe.
Quant aux enjeux éthiques d’une transplantation de visage d’un autre être humain, M. Borsuk ne considère pas que cette greffe diffère d’une autre. Car sous le visage transplanté il y a quatre mois, on retrouve le même Maurice Desjardins, a-t-il rappelé aux journalistes mercredi.
«À l’époque de nos grands-parents, c’est le nom qui signifiait quelque chose. Aujourd’hui, les gens veulent voir votre visage.»
Les Américains dont les états sont directement concernés par l’ouragan Florence doivent être stressés, depuis des jours ont annonce que Florence sera un ouragan destructeur, puis baisse d’intensité, mais les pluies seront par contre diluvienne et ils prévoient donc de grandes inondations.
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AP
La côte est des États-Unis n’a plus que quelques heures à attendre avant l’arrivée de l’ouragan Florence, qui s’est encore un peu essoufflé mais qui reste extrêmement dangereux car il draine des pluies diluviennes et un risque d’inondations catastrophiques.
«Des bandes de pluies accompagnées de rafales de vents dignes de la force d’une tempête tropicale arrivent sur les côtes des Outer Banks en Caroline du Nord», a indiqué jeudi le Centre national des ouragans (NHC) dans son bulletin de 8h00 (12h00 GMT).
«Une montée des eaux et des chutes de pluies potentiellement mortelles sont attendues», a-t-il prévenu.
L’oeil de l’ouragan, qui a été rétrogradé dans la nuit de mercredi à jeudi en catégorie 2 (175 km/h), sur une échelle Saffir-Simpson qui en compte cinq, «va approcher les côtes de Caroline du Nord et du Sud plus tard aujourd’hui».
Il menace des millions d’habitants sur les côtes et à l’intérieur des terres car, outre la hausse du niveau de l’océan (jusqu’à près de 4 mètres), il est gorgé d’eau (jusqu’à un mètre de pluie). Il se déplaçait à 20 km/h mais devrait ralentir, donc déverser ses pluies au-dessus des mêmes zones.
«Nous sommes totalement prêts pour l’ouragan Florence, tandis que la tempête grossit encore et est plus puissante. Soyez prudents!», a tweeté jeudi matin le président Donald Trump.
Environ 1,7 million de personnes ont été sommées de se mettre à l’abri loin du littoral de la Caroline du Sud, de la Caroline du Nord et de la Virginie. Ces trois États de la côte atlantique sont les plus menacés, mais la Géorgie a aussi décrété, mercredi, l’état d’urgence pour débloquer des moyens matériels par précaution.
Wilmington, station balnéaire de Caroline du Nord comptant un peu plus de 100 000 habitants, s’est préparée à l’impact. Jeudi matin, Florence se trouvait à 275 km des côtes.
Les rues étaient quasi désertes mercredi déjà, les commerces et les habitations calfeutrés derrière des planches de contreplaqué, les supermarchés vidés et les pompes à essence à sec.
«Wilmington reste soudée», «Flo, tu n’es pas la bienvenue ici», pouvait-on lire sur la devanture du bar Tavern Law.
«Evacuez»
Les appels à évacuer rapidement les zones à risques se sont multipliés mercredi.
«Après aujourd’hui, il sera vraiment trop tard. N’attendez pas la dernière minute», a lancé Brenda Bethune, la maire de Myrtle Beach, célèbre station balnéaire de Caroline du Sud.
Dans un camp de mobil-homes de la banlieue de Wilmington, les habitants s’apprêtaient à partir après avoir protégé portes et fenêtres.
«J’ai deux enfants et je veux les emmener aussi loin que possible d’ici et des dangers de l’ouragan», a expliqué à l’AFP Alondra Espinoza.
Solange Iliou Thompson, propriétaire du restaurant Indochine, a choisi de rester même si son établissement est fermé, faute de main d’oeuvre.
«Moi je reste ici, le bâtiment est solide, je n’ai aucune inquiétude, le bouddha va nous protéger», a témoigné cette Vietnamo-Bretonne, installée depuis plus de 40 ans aux États-Unis.
«Il n’y a rien à faire, on ne peut pas arrêter Mère Nature», a-t-elle ajouté, alors que le vent a commencé à se lever sur Wilmington en début d’après-midi mercredi.
«J’ai téléchargé des films coréens pour passer le temps et nous avons de quoi faire avec le vin et les réserves du restaurant», a-t-elle expliqué.
À 300 km plus au sud, Charleston comptait aussi des irréductibles.
«J’ai fait Hugo», a dit à l’AFP un électricien de 50 ans rencontré à une station-essence de Charleston, ville touristique de Caroline du Sud, en faisant référence à l’ouragan qui avait ravagé l’État en 1989. «Il y aura un peu plus d’eau mais on va s’en sortir, j’ai confiance. On a tout ce qu’il faut, on est prêt».
Florence va «être comme un direct de Mike Tyson sur la côte» des Carolines, a prévenu Jeff Byard, responsable de l’Agence fédérale de gestion des situations d’urgence (Fema).
Selon le fournisseur d’électricité Duke Energy, basé à Charlotte (Caroline du Nord), entre un et trois millions d’usagers pourraient être victimes de coupures de courant dans les deux Etats de Caroline et les réparations pourraient durer plusieurs semaines.
Le gouverneur de Géorgie Nathan Deal a expliqué vouloir «mobiliser toutes les ressources disponibles» pour faire face au vents violents et à la pluie intense.
Il est certain que pour nous occidentaux, nous n’aurions pas l’idée de manger du chien ou du chat. Alors que certains pays, cela fait parti de leur menu comme au Viêtnam dans la ville d’Hanoi. Cependant, les autorités soucieuses de leur réputation face aux étrangers, exhortent les habitants à délaisser la viande de chat et de chien qui de toute manière pourrait transmettre des maladies comme la rage.
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Viande de chien grillée proposée dans une rue de Hanoï (archives, septembre 2012) © epa.
Les autorités vietnamiennes ont demandé mardi aux habitants de Hanoï de cesser de consommer de la viande de chien, soulignant que ce plat populaire ternissait l’image du pays auprès des étrangers et comportait des risques de propagation de la rage.
Rôtie, bouillie ou cuite à la vapeur, la viande de chien est vendue dans les marchés et les commerces alimentaires de Hanoï, connue pour les préparations appétissantes que l’on peut acheter dans la rue. Ce plat est traditionnellement consommé avec du vin de riz ou de la bière..
Risque de contamination
Le Comité populaire de Hanoï a enjoint les habitants à délaisser la viande de chien afin d’empêcher la diffusion de la rage et d’autres maladies transmises par l’animal. Il les a également appelés à cesser de manger de la viande de chat, moins populaire que la viande de chien, mais que l’on peut toujours se procurer dans les zones rurales.
Réputation en jeu
Le Comité a souligné qu’il s’agissait de préserver la réputation de Hanoï en tant que « capitale civilisée et moderne » auprès des étrangers.
« Le commerce, le meurtre et la consommation de viande de chien et de chat ont suscité des réactions négatives chez les touristes et expatriés vivant à Hanoï », selon le Comité.
Image du pays à l’étranger
En outre, soucieux d’améliorer l’image du pays, le Comité a souligné que le meurtre de ces animaux était un acte cruel et émis l’espoir qu’on y mettra fin. Il y a environ 493.000 chiens et chats à Hanoï, dont la très grande majorité sont des animaux domestiques. Un millier de commerces vendent de la viande de chien.
Trois décès à Hanoï
Trois personnes sont mortes de la rage à Hanoï depuis début 2018, tandis que deux autres ont été contaminées, selon des chiffres officiels. Connue pour ses plats vendus dans la rue, la capitale offre également des aventures culinaires comme les grenouilles sautées, des embryons de canard fertilisés ou la viande de tortue en ragoût.
Chat ou pas chat, la plupart des gens doivent quitter le domicile pour aller travailler. Que fait le chat pendant ce temps-là ? S’ennui-il ? Tout dépend du caractère du chat, mais au cas, il y a des petits trucs pour tromper l’ennui.
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Les chats sont souvent présentés comme des animaux indépendants qui aiment être seuls. Mais peuvent-ils souffrir de la solitude ? Combien de temps un chat supporte-t-il de rester à seul sans déprimer ? Que fait-il en attendant votre retour ?
Combien de temps mon chat peut-il rester seul ?
Eh bien encore une fois, ça dépend ! D’abord de votre chat et de son caractère. Un chat très fusionnel sera plus perturbé qu’un chat distant c’est évident. Le nombre d’heures d’absence est aussi à prendre en compte. Jusqu’à 8 h maximum c’est généralement plus facile. Mais certains commenceront à s’impatienter au bout de 2 heures là où d’autres ne remarqueront pas votre départ avant 12 heures !
Bien entendu il est encore question de sevrage social. S’il n’est pas fait correctement le chat a plus de mal à s’auto gérer.
Que fait mon chat quand je ne suis pas là ?
Et que fait-il pendant votre journée de travail ? Eh bien généralement il dort. Il va se lever, manger, se toiletter, passer par la litière quelques fois avant de refaire une sieste.
De fait, quand vous rentrez il semble impatient de vous retrouver, débordant d’énergie.
Principalement la cause de ces longues siestes est l’ennui. Un univers peu enrichissant pour lui, et ce même s’il a beaucoup de jouets car il n’y a personne pour les lancer. Mieux vaut privilégier les jouets interactifs à déclenchement différé. De même, un fond sonore peut l’occuper un moment (cd de sons de la nature, radio, télé, etc.).
Quelques étagères pour escalader les meubles, une chasse au trésor (friandises ou croquettes cachées à des endroits différents chaque jour), jouets olfactifs à la valériane ou aux olives. Voilà tout autant d’idées pour améliorer son territoire en plus des basiques que tout le monde connaît ! On peut aussi combiner tout ça en tout ou partie, mais aussi changer régulièrement pour continuer à le surprendre.
Pensez à passer un moment avec lui à votre retour pour le saluer et lui permettre de vous retrouver sereinement. Caresses ou jeu, suivant ses envies. Et surtout n’en faites pas trop au moment du départ, pour ne pas l’angoisser davantage. Un simple « à tout à l’heure, je reviens ! Comme d’habitude » accompagné d’une brève caresse est plus rassurant que des au revoir qui s’éternisent.
Allez c’est l’heure de partir, bonne journée à Félix !
Marie-Hélène Bonnet
Comportementaliste du chat
www.comportement-chat.com