Avant de changer le monde


Il faut croire que cette envie d’avoir un monde meilleur dates bien avant notre millénaire. Et la solution est toujours la même. Commencer par nous-même avant de vouloir changer les autres
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Avant de changer le

monde

 

 

 

Avant de songer à réformer le monde, à faire des révolutions, à méditer de nouvelles constitutions à établir un ordre nouveau, descendez dans votre coeur, faites-y régner l’ordre, l’harmonie, la paix. Ensuite seulement, cherchez autour de vous des âmes qui vous ressembleront et passez à l’action

Platon

Le Saviez-Vous ►Voici Ili Pika, le « lapin magique »


Ili Pika que très peu de personnes ont pu le voir de près. C’est grâce aux caméras cachées, qu’il a été possible de le présenter. Ce petit animal, ressemble à lapin et un hamster ce qui le rend si mignon. Le hic, comme bien des bêtes, ils sont en danger de disparus par la perte de son territoire
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Voici Ili Pika, le « lapin magique »

 

Grâce aux pièges photographiques, on en sait un peu plus sur le Ili Pika, habitant très discret des montagnes du nord-ouest de la Chine. © CCTV+

 

Xavier Demeersman

Journaliste

 

Les images du Ili Pika sont très rares. Découvrez-le pour la première fois en vidéo, dans son habitat naturel, au cœur des montagnes de Tianshan, en Chine. Petit portrait de cette adorable boule de poils qui vous fera craquer.

Mais quelle est donc cette adorable créature que l’on dirait échappée d’un dessin-animé japonais ? Serait-elle née du croisement entre un lapin et… un hamster ? Il s’agit du Ili pika (Ochotona iliensis), une espèce de pika qui vit dans les montagnes du nord-ouest de la Chine (province du Xinjiang), aux confins de l’Asie centrale. Comme ses cousins nord-américains, il vit notamment entre 2.800 et 4.000 mètres d’altitude et aime se nourrir de plantes. C’est à peu près tout ce que savent les scientifiques sur ces irrésistibles boules de poils.

C’est que l’Ili pika est très discret. Très peu d’êtres humains sur Terre peuvent en effet se vanter de l’avoir vu. Seuls une trentaine d’individus auraient été vus vivants depuis sa découverte il y a… 35 ans. D’ailleurs, Weidong Li, de l’Institut d’écologie et de géographie du Xinjiang, qui fut le premier à l’avoir observé, en 1983, par hasard, alors que le petit mammifère aux airs de peluche dépassait la tête (et ses drôles d’oreilles) des rochers, n’a pas eu la chance d’en revoir beaucoup les semaines suivantes. Il finit malgré tout, tant bien que mal, par en débusquer un pour le capturer afin de le caractériser.

Depuis, il y eut d’autres rencontres avec cet habitant des montagnes célestes. Et enfin, grâce aux caméras, les scientifiques en savent un peu plus sur le comportement de ce mammifère qui peut mesurer jusqu’à 20 centimètres de long. Certes, ce ne sont encore que quelques bribes mais c’est important, car l’animal est menacé de disparition – comme, hélas, beaucoup d’autres mammifères (petits et grands).

Dans les années 1990, leur population était estimée à quelque 2.000 individus. Aujourd’hui, les biologistes s’inquiètent beaucoup des effets conjugués du changement climatique (qui les oblige à migrer vers de plus hautes altitudes) qui impactent la région et de l’arrivée de nombreux éleveurs de bétails… Car les chiens qui accompagnent ces derniers, enchaînés le jour, sont libérés la nuit. Et affamés, ils pourraient s’attaquer aux derniers Ili pika qui peuplent la région… En 2008, l’Ili pika a été ajouté à la liste rouge de l’UICN des espèces menacées.

https://www.futura-sciences.com

La Russie va ouvrir un centre de clonage pour ramener des espèces éteintes à la vie


Je peux comprendre l’envie de revoir des animaux tels que le mammouth, certains chevaux disparus. Moi-même, je serais ébahi, mais ce n’est vraiment pas une bonne idée. Pourquoi investir de l’argent dans le passé alors que les animaux présents ont vraiment besoin d’aide, que ce soit une meilleure protection, faire revivre leurs habitats naturels, faire des gestes concrets contre la pollution.
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La Russie va ouvrir un centre de clonage pour ramener des espèces éteintes à la vie

 

Crédits : The Siberian Times

par  Malaurie Chokoualé

 

Certains en rêvent depuis des années, cela se précise : des scientifiques russes se rapprochent un peu plus de la résurrection grâce à l’ADN retrouvé piégé durant des dizaines de milliers d’années dans le pergélisol.

Le 30 août dernier, le Siberian Times a annoncé que l’université fédérale du Nord-Est (NEFU) à Iakoutsk fera cette semaine une proposition d’investissement de l’ordre de 400 millions de roubles (soit 4,9 millions d’euros) pour tenter de ramener à la vie des mammouths ou des rhinocéros laineux, des lions des cavernes ou encore des races de chevaux disparus.

Avec le soutien appuyé du gouvernement régional de la Yakoutie, la rectrice de l’université par interim, Evgenia Mikhailova, prévoit déjà de faire construire un « centre scientifique paléo-génétique de classe mondiale ». Il faut dire que la Yakoutie est une zone particulièrement riche en échantillons d’animaux datant du Pléistocène et de l’Holocène, car près de 80 % des échantillons issus de ces époques ont été retrouvés dans la région. Le Siberian Times explique même que des plans des locaux ont déjà été imaginés, et ceux-ci comprendront des laboratoires plongés en plein dans le pergélisol.

L’université travaille en étroite collaboration avec la Fondation de recherche biotechnologique (SOOAM), laboratoire de clonage controversé en Corée du Sud. La proposition d’investissement sera faite officiellement entre les 11 et 13 septembre prochains lors d’un forum (Eastern Economic Forum) qui se tiendra à Vladivostok, afin de débusquer les potentiels business angels intéressés par l’affaire. Avec des avantages fiscaux et un régime administratif simplifié, la Russie tente de créer des industries innovantes et d’attirer des technologies de pointe étrangères dans le pays. Le clonage d’espèces disparues, entre autres.

Source : The Siberian Times

 

https://www.ulyces.co/

Comment les mamans plantes parlent à leurs embryons


Le règne végétal ne sont pas juste des plantes qui poussent, se reproduisent, et meurent. Juste le développement de l’embryon humain ressemble d’une certaine manière à celle des plantes. Et c’est toujours une question d’hormone …
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Comment les mamans plantes parlent à leurs embryons

 

Jeune pousse | idintify media via Flickr CC License by

Jeune pousse | idintify media via Flickr CC License by

Repéré par Peggy Sastre

Repéré sur Nature Plants, IST Austria

Le mystère vient tout juste d’être percé, mais pose de nouvelles questions sur la reproduction végétale.

 

Si la grossesse humaine et la reproduction végétale semblent a priori très différentes, il existe cependant certains parallèles, notamment dans la manière dont l’embryon se développe en lien étroit avec la mère. Chez les animaux, on sait que des signaux maternels jouent sur ce développement, une régulation là aussi présente chez les végétaux, sans que la nature précise de ce signal ait été connue. Une étude vient enfin de combler cette lacune.

Menée par des scientifiques affiliés notamment à l’Institut autrichien des sciences et des technologies, elle montre comment une hormone végétale, l’auxine, est l’un des signaux permettant à la maman plante de communiquer avec son embryon et d’en réguler le développement.

«Les botanistes ont essayé de décrypter la nature du signal entre une mère et son embryon depuis des décennies», explique Jiri Friml, l’un des auteurs de l’étude. «Nous montrons que la mère est la source de l’auxine qui régule les premiers stades de développement embryonnaire».

En analysant entre autres la biosynthèse de l’hormone, les scientifiques ont été capables de démontrer que le tissu maternel englobant l’embryon dans une graine commence à produire davantage d’auxine après la fertilisation, comme si la mère «disait» à son embryon de se mettre à se développer.

En outre, cette production d’auxine régulée par les tissus maternels est cruciale pour l’embryon: lorsque cette production est stoppée, l’embryon ne se développe plus correctement, même si l’embryon produit lui-même l’hormone.

Un phénomène laissant cependant entendre que l’auxine n’est pas la seule responsable du développement embryonnaire.

«Lorsque nous avons stoppé la production maternelle d’auxine, précise Friml, l’embryon s’est développé anormalement, mais a quand même réussi à se développer.»

Un autre mystère à éclaircir…

http://www.slate.fr/

Ce que le corps ressent quand on a le cœur brisé


Après un chagrin d’amour, des symptômes physiques apparaissent et qui peut sembler à une crise cardiaque. Pour ce gendre de problème, il n’y a pas de pilule pour guérir. Seulement une promenade sur le bord de l’eau serait bénéfique.
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Ce que le corps ressent quand on a le cœur brisé

 

Partez un week-end à la mer © thinkstock.

Jeanne Poma.

Un chagrin d’amour est un grand coup de pied dans nos émotions et nos habitudes. Les manifestations sont aussi physiques.

Quand votre cœur se brise, vous avez le sentiment de perdre pied. Vous êtes abattu par les sanglots, avant de sombrer dans la mélancolie.

Les insomnies

Le premier signe sur le corps est le manque de sommeil. Vous êtes stressé, vos habitudes changent. Vous ne parvenez pas à vous calmer car le soir, vous préférez rester à l’écart mais vous réfléchissez aux évènements. Le rythme cardiaque augmente. Tout cela perturbe la routine qui vous aide à vous endormir.

Le cœur s’accélère

1 à 2 % des personnes qui ont le cœur brisé sont dans un état de stress tel qu’ils peuvent souffrir d’une crise cardiaque. Ces cas extrêmes sont traités de la même manière que les malades qui ont une insuffisance cardiaque.

Des activités positives

Malheureusement, il faut du temps pour soigner un cœur brisé et aucune pilule n’a encore été mise au point pour le guérir. Il est toutefois recommandé de s’adonner à des activités qui vous rendent heureux et qui vous détendent. Appelez un ami ou faites du yoga. Boire de l’alcool ou se goinfrer ne sont pas des solutions.

Regarder l’eau

Une étude prouve qu’une marche le long de la mer ou d’un lac aide ceux dont le cœur a été brisé. Regardez l’eau permet de réaliser inconsciemment que tout change et que demain est un autre jour. Le chagrin que vous ressentez aujourd’hui passera lui aussi.

https://www.7sur7.be/

Nos animaux nous aiment-ils vraiment?


Peut-on parler d’amour, d’affection, sentiments etc … d’un animal domestique ? Je crois plus que c’est un sentiment de confiance du moins pour le chat étant plus indépendant que le chien.
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Nos animaux nous aiment-ils vraiment?

 

© getty.

Les exemples de relations idéales voire « passionnelles » entre humains et animaux alimentent chaque jour les réseaux sociaux mais peut-on réellement évoquer le sentiment d’amour quand il émane d’un animal domestique?

La tendance du maître à analyser le comportement de son fidèle compagnon et d’en tirer des conclusions généralement tout à son honneur s’avère bien souvent inévitable. Une réaction finalement très « humaine ». Mais selon les chercheurs spécialisés dans le domaine, il convient d’éviter la « surinterprétation », relate Le Monde dans un article consacré. Selon certains, du moins, car le sujet divise la communauté scientifique.

« Émotions » ou « sentiments »

Ainsi, Aline Bertin, spécialiste du comportement des oiseaux à l’INRA, préfère parler d’émotions plutôt que de sentiments car l’attitude de l’animal s’apparente davantage, selon elle, à un état provisoire, un « instant », plutôt qu’un état de fond. Elle représente un camp de la science qui privilégie la notion d’attachement chez l’animal, pas l’amour en tant que tel.

Mais selon la psychologue Véronique Servais, professeur d’anthropologie de la communication à Liège, il faudrait désormais « franchir le pas » et parler du ressenti de l’animal.

Hormone de l’affection

Car une expérience menée au Japon, par des chercheurs de l’université d’Azabu, a démontré en 2015 que les chiens et les chats secrétaient de l’ocytocine, surnommée « hormone de l’affection et de la confiance », comme les êtres humains. Ce taux d’ocytocine varie en fonction de l’affection que l’animal reçoit de son maître.

Chiens vs chats

Constat étonnant, il est plus élevé chez le chien sollicité que chez le chat.

« De quoi confirmer toutes les thèses sur le désintérêt des chats pour notre espèce », conclut l’article du Monde en préambule du Monde Festival organisé à Paris du 5 au 7 octobre et donc le thème sera cette année… l’amour. 

Évidemment.

https://www.7sur7.be/