Viser la lune


Avoir des projets permet d’avancer même si le but n’est pas toujours atteint cela permet quand même d’aller plus loin.
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Viser la lune

 

Il faut t0ujours viser la lune, car même en cas d’échec on atterrît dans les étoiles

Oscar Wilde

Le Saviez-Vous ► Saviez-vous que ces progrès de notre quotidien ont été acquis grâce à la conquête spatiale ?


Comme bien des gens, je trouve que les dépenses pour l’exploration spatiale sont exorbitant en rapport des besoins urgents sur la Terre. Cependant, il faut être réaliste, sans ces conquêtes, bien des choses utiles n’existeraient probablement pas.
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Saviez-vous que ces progrès de notre quotidien ont été acquis grâce à la conquête spatiale ?

 

airbag accident voiture

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Crédits : iStock

par Yohan Demeure

Il y a quelques jours, la NASA a fêté ses 60 ans d’existence. Il est vrai que les programmes spatiaux sont très onéreux, et qu’il y existe évidemment beaucoup d’autres problèmes sur Terre plutôt que de s’occuper de l’espace. Cependant, la conquête spatiale a permis d’innombrables progrès dans des domaines parfois étonnants !

Sur Terre, nous profitons aujourd’hui d’inventions et d’innovations issues des programmes spatiaux. Depuis que la NASA a été créée le 29 juillet 1958 par le président américain de l’époque Dwight D. Eisenhower, le budget faramineux de l’agence spatiale américaine revient régulièrement dans les conversations. Mais quels sont les progrès réalisés sur Terre grâce aux programmes spatiaux ?

Citons tout d’abord les satellites, qui sont des milliers à avoir été placés en orbite autour de notre planète. Ceux-ci permettent entre autres d’assurer les services de téléphonie mobile, de météorologie, de cartographie et de photographie de la surface de la Terre. Évoquons également les systèmes de positionnement tels que GPS et Galileo.

search GPS coordinates

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Crédits iStock

La conquête spatiale a révolutionné l’informatique. En effet, le programme Apollo a par exemple nécessité des capacités pointues en programmation, ainsi que la mise au point de systèmes embarqués très performants. Citons également les sondes, ayant mis au défi les ingénieurs en ce qui concerne la miniaturisation des équipements.

D’autres objets de notre quotidien ont été démocratisés après certains progrès spatiaux – et le moins que l’on puisse dire, c’est que la liste est longue ! Citons les pneus radiaux et les airbags de nos voitures, les poêles en téflon, les cœurs artificiels, les pompes à insuline, les couvertures de survie, les fauteuils roulants, les capteurs photo de nos smartphones, les matelas à mémoire de forme, les freins du TGV ou encore l’Imagerie par résonance magnétique (IRM).

 

Sources : Ouest FranceLe Matin Online

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L’étudiant qui a volé la vedette à Donald Trump


Ce n’est pas Donald Trump qui m’a attiré dans cet article, mais ce jeune étudiant pour 3 chose : Que c’est un évènement cocasse, que ce ne sont pas juste des supporters de Trump qui sont derrière lui et enfin, c’est que la ressemblance avec mon plus jeune fils est vraiment étonnante. Et lui, il serait assez bonasse pour faire des expressions par exprès
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L’étudiant qui a volé la vedette à Donald Trump

 

© Capture d’écran.

 

Tyler Linfesty, un étudiant américain de 17 ans, est devenu la nouvelle sensation du web suite à son attitude durant un meeting de Donald Trump dans le Montana.

Que va-t-on retenir du rassemblement organisé par Donald Trump à Billings? Pas grand chose d’autre que le comportement d’un jeune homme posté juste derrière lui, en plein dans le champ des caméras. Tout au long du discours du président américain, Tyler Linfesty a fait de nombreuses mimiques, réagissant de manière très expressive et tournant celui-ci en dérision.

Ses grimaces ont fini par alerter les organisateurs et l’équipe de Trump, qui a gentiment demandé au jeune homme d’aller un peu plus loin. Il a ensuite été remplacé par une femme beaucoup plus souriante…

« Pas fait exprès »

Retrouvé puis interrogé par les médias américains, Tyler a confirmé qu’il ne portait pas vraiment le président dans son coeur, lui qui se revendique démocrate. Mais il dit aussi que rien n’était préparé.

« Je savais que j’avais un visage expressif, mais mes réactions étaient vraiment sincères », a-t-il assuré. « Je ne l’ai pas fait exprès, je réagissais de manière spontanée en fonction de ce qu’il disait. Quand je n’étais pas d’accord avec lui, je le montrais. »

 

En attendant, le visage et les expressions du jeune homme font toujours sensation sur la toile. Le hashtag #PlaidShirtGuy est devenu viral en seulement quelques heures.

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Des centaines de pièces d’or de l’empire romain découvertes sur un chantier


Des pièces d’or datant de l’Empire romain a été trouver dans un théâtre tout près d’un forum dans la cité antique.
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Des centaines de pièces d’or de l’empire romain découvertes sur un chantier

 

Illustration. © getty.

Source: Belga

Des centaines de pièces d’or datant de la fin de l’empire romain ont été retrouvées cette semaine sur le chantier d’un ancien théâtre à Côme, dans le nord de l’Italie, a annoncé le ministère de la Culture.

Les pièces datent du Ve siècle et se trouvaient dans une sorte d’amphore en pierre dans le sous-sol du théâtre Cressoni, tout près de l’endroit où se trouvait le forum de la cité antique de Novum Comum.

Ce théâtre, inauguré en 1870, transformé en cinéma au début du XXe siècle puis fermé en 1997, devait être entièrement démoli pour permettre la construction d’une résidence de standing.

Le récipient a été découvert dans le sous-sol lors de fouilles accompagnant le creusement d’un bassin d’eau destiné à la lutte anti-incendie.

« Nous ne connaissons pas encore dans le détail la portée historique et culturelle de cette découverte mais cette zone se révèle un vrai trésor pour notre archéologie », s’est réjoui le ministre Alberto Bonisoli sur Facebook.

Selon la presse italienne, les pièces pourraient valoir des millions d’euros et les autorités envisagent de suspendre le chantier pour des fouilles plus approfondies, personne ne pouvant exclure la présence d’autres objets de valeur.

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«L’esclavage n’a jamais cessé dans le monde»


L’esclavage existe depuis des milliers d’années et malheureusement, il est encore très présent actuellement. Peut-être qu’on ne le voit pas, mais il est bien réel. L’esclavage a plusieurs visages, comme les travaux forcés, la traite d’enfants, la traite humaine souvent pour prostitution. Et même si on se dit civilisé dans un pays développé, il se peut que vous croisez une ou plusieurs victimes
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«L’esclavage n’a jamais cessé dans le monde»

 

 

Getty

Les femmes et les filles rohingyas, qui représentent 51% des camps de réfugiés au Bangladesh, sont régulièrement victimes de la traite d’êtres humains et d’abus sexuels. Les femmes âgées de 13 à 20 ans risquent d’être victimes de mariages forcés. Une majorité de femmes voyagent seules après que leur mari eut été enlevé ou tué au Myanmar.

Par Miguel Velázquez
Metro World News

L’an dernier, des images obtenues par CNN montrant des esclaves vendus sur le marché noir en Libye ont fait le tour du monde. Métro fait le point sur l’esclavage, toujours vivant, qui prend le visage de la traite humaine.

«L’Organisation internationale du travail estime que près de 21 millions de personnes dans le monde sont victimes de travaux forcés. Cette statistique comprend les victimes du trafic lié au travail et à l’exploitation sexuelle», souligne la branche des Nations unies.

Elle insiste également sur le fait que «tous les États sont touchés par le trafic humain, que les victimes quittent un pays, qu’elles y arrivent ou encore qu’elles y transitent».

«La traite est la continuité d’un vieux problème d’esclavagisme qui n’a malheureusement jamais cessé, mais qui a pris une autre forme», explique à Métro Jasmine O’Connor, directrice d’Anti-Slavery International.

Mme O’Connor ajoute que le trafic humain continue d’être un problème international parce que «des gens choisissent d’exploiter des personnes plus vulnérables et que les gouvernements ne font rien pour empêcher la chose».

Les solutions pour s’y attaquer semblent encore peu concrètes, bien que la question soit une des priorités des Objectifs de développement durable 2030 que les 190 pays des Nations unies se sont engagés à respecter en 2015.

Ces objectifs appellent à la fin de la traite des enfants et des violences commises contre eux et demandent que des mesures concrètes soient adoptées contre le trafic humain en général. Il est aussi question de stopper toute forme de violence et d’exploitation envers les femmes et les filles.

Une des mesures pour assurer la prévention de la traite exige que les «gouvernements de la planète, y compris les États-Unis, fassent tout ce qui est en leur pouvoir afin de fournir une procédure d’entrée sécuritaire et légale pour les immigrants ainsi que des normes justes en matière de travail», indique Kathleen Kim, chercheuse à la Loyola Law School, à Los Angeles.

«Les pays développés, comme les États-Unis, qui reçoivent un plus grand nombre de travailleurs issus du trafic humain, devraient aussi aider économiquement et politiquement au développement des pays d’où partent les victimes de traite», ajoute-t-elle.

Les victimes peuvent être exploitées de plusieurs façons: exploitation sexuelle, travail forcé, mariage forcé, crime forcé, servitude pour dettes et même trafic d’organes.

«Les conséquences de la traite sont terribles. Les victimes deviennent des esclaves, leur vie est contrôlée. Il n’y a pas d’issue possible, souligne Jasmine O’Connor. Le trafic est bien réel et il est plus près de vous que vous ne le croyez. Ouvrez les yeux. Regardez les gens que vous croisez dans la rue et demandez-vous s’ils sont des victimes du trafic humain. Observez les produits qui vous entourent et demandez-vous si vous participez aussi au trafic humain.»

«Toute personne mérite de vivre en liberté. Les gouvernements de la planète ont l’obligation de garantir ce droit de base», insiste Kathleen Kim.

«Tant que l’humanité sera capable de vice…»

Entrevue avec Judith Kelley, spécialiste des affaires internationales et doyenne de la Sanford School of Public Policy de l’université Duke, à Durham, en Caroline du Nord, aux États-Unis.

À quoi doit-on s’attaquer pour éradiquer le problème de la traite humaine?

Le trafic humain est le commerce et l’exploitation d’êtres humains. Le problème est aussi vieux que celui de l’esclavage. Il remonte donc à plusieurs milliers d’années, alors que la pratique était normale, voire légale. La traite humaine est une version moderne et cachée de cela. J’aimerais vous dire que le problème s’estompera, mais, comme avec n’importe quel crime, tant que l’humanité sera capable de vice, la chose persistera. Cependant, nous pouvons travailler afin de réduire le nombre de victimes. Pour ce faire, il faut poursuivre notre travail d’éducation. En ce sens, la Journée mondiale de la lutte contre la traite d’êtres humains est importante. Tout comme le fait de traquer et de condamner les trafiquants.

Quel est le coût du trafic humain à l’échelle planétaire?

C’est très difficile à établir. Les statistiques sur le nombre de victimes ne sont pas fiables. En 2012, l’Organisation internationale du travail (OIT) estimait que 20,9 millions de personnes étaient victimes de travaux forcés, mais cela n’inclut pas toutes les formes de trafic. C’est une grosse business. Une étude de 2014 de l’OIT rapportait que les profits liés au travail forcé et à la traite humaine se chiffraient à 150 G$US. En réalité, comme il s’agit de crimes cachés, ces données sont difficiles à mesurer. Le vrai coût, cependant, n’est pas chiffrable : des vies sont brisées et perdues, des enfants sont blessés, des parents sont en deuil. Il n’y a pas de prix au malheur des victimes.

Existe-t-il des programmes de soutien aux victimes afin de les aider à se relever?

Plusieurs organisations non gouvernementales viennent en aide aux victimes. Elles offrent des refuges, du soutien psychologique, des conseils légaux et, parfois, des formations professionnelles. Une liste de ces organisations est disponible en ligne (globalmodernslavery.org). Plusieurs pays ont aussi mis sur pied des services d’assistance téléphonique. La ligne américaine (1 888 373-7888) permet de communiquer des informations sur des victimes de partout sur la planète.

Quel diagnostic pouvons-nous poser?

Il est difficile de dire si le problème de la traite humaine s’aggrave ou si nous en sommes simplement plus conscients. Les arrestations et les procès sont en hausse, mais le nombre de condamnations demeure bas en comparaison de l’ampleur du problème. Davantage de pays s’attaquent au phénomène, mais plusieurs pourraient faire bien plus. Le gouvernement américain a publié un rapport sur l’implication de chaque pays. Vous pouvez ainsi voir ce que votre pays fait (ou ne fait pas).

Quels sont les facteurs qui rendent la traite humaine possible?

Tout dépend du type de trafic. Différents facteurs rendent possible l’exploitation de travailleurs, le trafic sexuel, le travail infantile, les mariages forcés… À la base, toutefois, on remarque que le trafic survient dans des populations pauvres qui recherchent une vie meilleure. Plusieurs personnes profitent de cette situation pour les exploiter.

La migration est un élément clé du problème. En quoi les récents flux migratoires ont-ils aggravé la situation?

La migration n’est pas liée directement à la traite humaine, dans le sens où les migrants initient un mouvement et font un choix somme toute consenti. Toutefois, les mouvements migratoires représentent des voyages très dangereux pour les principaux intéressés, qui doivent payer des prix exorbitants et subir des traitements épouvantables. Plusieurs passeurs deviennent des trafiquants ou, du moins, ne se soucient pas vraiment du sort des convois.

http://journalmetro.com/

Les araignées se pointent chez vous à 19h35


Ceux qui les araignées ne font pas peur, il serait intéressant de vérifier l’heure que vous voyez des araignées. À savoir si les araignées d’ailleurs aiment faire leur apparition que celles de la Grande-Bretagne
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Les araignées se pointent chez vous à 19h35

 

The spider | Matthias Ripp via Flickr CC License by

The spider | Matthias Ripp via Flickr CC License by

Repéré par Thomas Messias

Repéré sur Telegraph

Si les araignées vous donnent des sueurs froides, alors vous avez tout intérêt à ne pas être chez vous à 19h35.

C’est le résultat d’une étude tout à fait sérieuse, menée par un entomologiste de l’université de Gloucester. Le professeur Adam Hart a collecté des données dans 250 emplacements situés en Grande-Bretagne, étudiant le jour et l’heure d’apparition d’environ 10 000 araignées.

D’après le professeur Hart, c’est au cours de la première semaine du mois d’octobre que le nombre d’araignées pointant le bout de leur nez est le plus élevé. En étudiant la répartition horaire des apparitions d’araignées, il a en outre établi l’existence d’un pic significatif vers 19h35.

Hart concède que ce pic peut en partie s’expliquer par le fait qu’à cette heure, un grand nombre de personnes prend enfin le temps de s’asseoir et peut alors, volontairement ou non, observer plus attentivement la présence éventuelle d’animaux à huit pattes. Mais d’autres raisons expiquent sans doute le phénomène, ajoute-t-il, puisqu’à cette heure, des apparitions d’araignées sont constatées dans différentes pièces de la maison. Et pas seulement dans les salons et salles à manger.

«Cela doit donc tenir aussi du mode de vie des araignées», conclut Hart.

Entre 6 heures et 8 heures du matin, une forte concentration d’araignées a également été observée dans les foyers. Celle-ci s’explique avant tout par leur possibilité de faire irruption dans les éviers et les baignoires par l’intermédiaires de canalisations n’ayant pas été utilisées depuis la veille.

Man seeking woman

L’étude nous apprend également qu’environ 80% des araignées observées sont des mâles à la recherche de femelles. Plus statiques, celles-ci sont davantage présentes dans les caves ou les encadrements de portes. Les mâles, eux, se promènent plus volontiers sur les murs afin d’aller chercher des femelles.

Adam Hart a trouvé 650 espèces différentes en Grande-Bretagne. Il précise que si toutes ont la possibilité de mordre, seules 12 espèces observées disposent d’un venin susceptible de faire mal aux hommes et aux femmes.

S’il rappelle que les araignées sont des prédateurs naturels importants pour notre écosystème, Hart n’oublie pas les arachnophobes, à qui il conseille de faire le ménage très régulièrement et de maintenir portes et fenêtres fermées autant que possible. Les araignées aiment les maisons mal rangées, parce qu’elles peuvent y trouver davantage de recoins et d’obscurité, ce qu’elles apprécient particulièrement.

L’entomologiste précise néanmoins qu’il est impossible d’assurer l’absence totale d’araignées dans une maison.

«Elles trouveront toujours un moyen de rentrer», assure-t-il.

Tout notre soutien aux arachnophobes.

https://www.slate.fr/

Les mégots de cigarettes, principale source de déchets marins


Il y a environ plus de 5 milliards de filtres pour cigarettes fabriqués dans le monde fait en acétate de cellulose. Les 2/3 seraient jeté dans la nature. Plusieurs de ces mégots se retrouveront dans des cours d’eau et dans les océans. Fumer est un choix, mais où jeter ses mégots sont la responsabilité des fumeurs
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Les mégots de cigarettes, principale source de déchets marins

 

cigarette mégot plage

 

Crédits : Pixabay / Sulox32

par Brice Louvet

Si les pailles et autres sacs plastiques ont attiré l’attention du public depuis quelques années, d’autres déchets, plus vicieux, participent grandement à la pollution des océans : les mégots de cigarettes. En 32 ans, une ONG en a recueilli plus de 60 millions sur les plages.

La pollution marine est l’un des fléaux les plus importants de la planète, impliquant l’ensemble de la chaîne alimentaire. Si depuis quelques années le viseur est pointé sur les sacs plastiques, et plus récemment sur les pailles, les mégots de cigarettes sont de leurs côté passés inaperçus – du moins au plus grand nombre. L’organisation Ocean Conservancy, qui sponsorise le nettoyage de plages du monde entier chaque année depuis 1986, explique en effet avoir récolté plus de 60 millions de filtres au cours de ces 32 dernières années. C’est un tiers de tous les déchets collectés. Et c’est un gros problème.

La grande majorité des 5 600 milliards de filtres fabriqués dans le monde chaque année sont en effet chargés en acétate de cellulose, une forme de plastique qui peut mettre plusieurs années à se décomposer. On estime aujourd’hui que les deux tiers de ces filtres sont jetés dans la nature. Par le biais des égouts pluviaux, des ruisseaux et autres rivières, beaucoup se retrouvent dans les océans, nuisant à la faune marine. Des micro-plastiques auraient ainsi été décelés chez environ 70 % des oiseaux de mer et 30 % des tortues marines.

En ce sens, de nombreuses personnes tirent la sonnette d’alarme, demandant l’interdiction pure et simple de la fabrication de ces filtres.

« Ils ne présentent aucun avantage pour la santé. Ils ne sont qu’un outil de marketing. Et ils facilitent la consommation de tabac, explique Thomas Novotny, professeur de santé publique à l’Université de San Diego (États-Unis). C’est aussi un contaminant majeur, avec tous ces déchets plastiques. Il me semble évident que nous ne pouvons continuer à autoriser cela ».

Les campagnes anti-tabac et autres rappels de civilités ne portant pas leurs fruits, certains se penchent directement sur la composition de ces filtres, avec pour objectif de les rendre biodégradables. En ce sens, le chimiste Mervyn Witherspoon, par exemple, qui travaillait autrefois pour le plus grand fabricant de filtres en acétate, œuvre actuellement en tant que conseiller technique auprès de Greenbutts. Il s’agit d’une startup basée à San Diego qui tente de développer un filtre composé de chanvre de Manille et de pâte de bois, liés ensemble par un amidon naturel.

Source

https://sciencepost.fr/