Les erreurs


Tout le monde fait des erreurs, mais ce n’est pas tout le monde qui sont prêt à les avouer pour en tirer une leçon pour plus tard
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Les erreurs

 

 

Soyez assez modeste pour accepter vous erreurs, assez intelligent pour tirer une leçon et assez mature pour les rectifier

Inconnu

Le Saviez-Vous ► D’où vient l’expression “lune de miel”?


La lune de miel est une expression qui vient de très loin et qui dans des temps reculés  et l’expression avait vraiment un rapport avec le miel et la lune
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D’où vient l’expression “lune de miel”?

 

Une lune faite de miel ? Voilà qui est bien farfelu… Mais d’où vient cette expression romantique aux saveurs sucrées qui fait de nos jours allusion au “voyage de noces” ?

La lune de miel ne daterait pas d’hier. L’expression aurait pris tout son sens à Babylone, il y a quelques milliers d’années, désignant le mois suivant le mariage d’après le calendrier lunaire.

Plusieurs sources s’accordent à dire que de l’hydromel, boisson fermentée faite d’eau et de miel, était consommé pendant le premier mois du mariage, à volonté.

D’autres sources affirment que le père de la mariée devait offrir à son gendre de la bière au miel, pendant le premier mois du mariage, autant qu’il en demanderait. Pas de quoi en faire son miel !

(Source)

https://lesavaistu.fr/

«La plus grande menace, c’est l’indifférence», déclare Obama


Aux élections québécoises je suis bien embêtée pour savoir a qui je vais donner mon vote, par contre, si j’étais américaine, je profiterai de ces élections législatives pour enlever des plumes au gouvernement Donald Trump.
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«La plus grande menace, c’est l’indifférence», déclare Obama

« La plus grande menace pour notre démocratie n'est... (photo John Gress, REUTERS)

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« La plus grande menace pour notre démocratie n’est pas Donald Trump […] : c’est l’indifférence, le cynisme », a déclaré l’ancien président Barack Obama dans un discours passionné, très largement applaudi, à l’Université de l’Illinois, vendredi.

PHOTO JOHN GRESS, REUTERS

Agence France-Presse

WASHINGTON

L’ancien président Barack Obama a dénoncé vendredi le comportement des républicains qui soutiennent Donald Trump sans réserve et n’ont pas le cran pour défendre « les institutions qui font que notre démocratie fonctionne ».

« Qu’est-il arrivé au parti républicain ? » a-t-il lancé depuis l’Illinois, lors de sa première intervention politique dans la course aux élections de mi-mandat dans moins de deux mois.

L’ex-président démocrate de 57 ans a vivement dénoncé l’idée selon laquelle « tout ira bien parce qu’il y a des gens au sein de la Maison-Blanche qui, secrètement, ne suivent pas les ordres du président ».

« Ce n’est pas comme cela que notre démocratie doit fonctionner ! » a-t-il tonné, en référence aux récentes révélations du journaliste d’enquête Bob Woodward sur le fonctionnement erratique de la Maison-Blanche sous Donald Trump.

Après avoir dressé un tableau très sombre de la situation politique aux États-Unis, l’ancien président a aussi exprimé son espoir.

« Dans cette noirceur politique, je vois un réveil des citoyens dans le pays », a-t-il affirmé, lançant un vibrant appel à tous les démocrates à se rendre aux urnes lors des élections législatives de novembre.

« Vous devez voter, car notre démocratie dépend de vous ! » a-t-il lancé.

« Si vous pensez que les élections n’ont pas d’importance, j’espère que les deux années écoulées ont modifié votre perception », a-t-il martelé.

« La plus grande menace pour notre démocratie n’est pas Donald Trump […] : c’est l’indifférence, le cynisme », a-t-il encore dit dans un discours passionné, très largement applaudi.

Relativement discret depuis son départ de la Maison-Blanche le 20 janvier 2017, le 44e président des États-Unis a manifestement l’intention de s’impliquer dans la campagne pour soutenir les démocrates pour les élections législatives à venir.

Il sera en Californie samedi et dans l’Ohio jeudi pour soutenir les candidats de son camp.

En jeu lors des élections du 6 novembre : les 435 sièges de la Chambre des représentants, un tiers de ceux du Sénat, et les postes de gouverneurs dans 36 États.

Les sondages prédisent une « vague bleue » (démocrate), et les républicains, aujourd’hui aux commandes du Congrès, redoutent de perdre la Chambre des représentants.

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Un homme coincé dans un trou d’homme en tentant de récupérer des clés


Voulant rendre service à un ami qui avait échapper ses clés dans un trou d’homme, il se retrouve pris au piège et arrêter pour méfait public.
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Un homme coincé dans un trou d’homme en tentant de récupérer des clés

 

Une fois rendu au fond du trou de... (Brent Lewin, archives Bloomberg)

Une fois rendu au fond du trou de 4,6 mètres, l’homme de 26 ans se serait rendu compte qu’il était incapable de remonter.

BRENT LEWIN, ARCHIVES BLOOMBERG

 

La Presse Canadienne

Un homme s’est retrouvé coincé dans un trou d’homme durant la nuit de jeudi à vendredi à Montréal alors qu’il tentait de récupérer des clés.

Les policiers ont été dépêchés sur la rue Saint-Laurent, non loin de l’avenue des Pins, dans l’arrondissement Le Plateau-Mont-Royal vers 3h15 après avoir été informés de l’incident.

Une fois arrivés sur les lieux, ils ont demandé l’assistance des pompiers pour extirper l’homme de sa fâcheuse position.

Étant donné le passage de câbles électriques dans le trou, Hydro-Québec a interrompu le courant afin de rendre l’opération sécuritaire.

Selon les informations recueillies par le Service de police de la ville de Montréal (SPVM), un homme aurait échappé ses clés dans le trou d’homme. Un de ses amis lui aurait alors proposé d’aller les récupérer. Le couvercle a été retiré.

Une fois rendu au fond du trou de 4,6 mètres, l’homme de 26 ans se serait rendu compte qu’il était incapable de remonter.

Les pompiers l’ont remonté à la surface avec l’aide d’échelles. Il a ensuite été arrêté pour méfait public, a confirmé le porte-parole du SPVM, Jean-Pierre Brabant.

L’opération a duré environ une demi-heure. L’homme n’a pas été blessé. Les clés ont été retrouvées.

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«The Truth About Killer Robots» sonne l’alarme sur les dangers de l’automatisation


Êtes-vous inquiet de la robotisation dans plusieurs domaines comme des autos-autonomes, des cuisiniers robotisé et la liste est longue, sans oublier ceux qui font ressembler leurs robots a de vraies personnes ?
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«The Truth About Killer Robots» sonne l’alarme sur les dangers de l’automatisation

 

TIFF.NET

Le documentaire est le premier à être raconté par un robot.

Agence France-Presse

L’automatisation nous tue, prévient le cinéaste Maxim Pozdorovkin dans son nouveau documentaire The Truth About Killer Robots (La vérité sur les robots tueurs), qui sera présenté samedi en première mondiale au Festival du film de Toronto.

Signe de ce que l’avenir réserve peut-être à l’industrie cinématographique, le film est le premier à être raconté par un robot.

Le réalisateur d’origine russe dit surtout s’intéresser « à la façon dont la technologie influence » l’humain, « comment l’automatisation nous transforme. C’est un problème plus profond, fondamental pour qui nous sommes en tant qu’espèce », confie-t-il à l’AFP.

Le film examine les lois encadrant les robots qu’Isaac Asimov avait imaginés dans sa nouvelle intitulée Runaround (Cercle vicieux), parue en 1942 et selon laquelle les machines ne doivent pas nuire aux humains.

Il présente les points de vue d’ingénieurs, de journalistes, de philosophes et d’Asimov lui-même, grâce à des images d’archives.

Dans le film, Maxim Pozdorovkin illustre plusieurs accidents mortels causés ces dernières années par des technologies de plus en plus autonomes, comme dans une usine de Volkswagen en Allemagne ou avec des voitures semi-autonomes Tesla aux Etats-Unis. Il aborde également l’affaire de la police de Dallas, qui a choisi en 2016 d’envoyer pour la première fois un robot transportant une bombe pour tuer un tireur ayant abattu plusieurs policiers.

Ces histoires soulèvent de nombreuses questions, mais pour le cinéaste, il est clair que l’automatisation tue des emplois, tout en rendant nos esprits paresseux et en amoindrissant nos rapports aux autres.

« Nous parlons de changements sociétaux importants », note-t-il. « Et je pense que ça va se poursuivre ».

Un bon nombre de conséquences sont graduelles, comme dans le cas des camionneurs américains, maintenant obligés d’être assistés par des logiciels de navigation, en échange de moins d’argent sur leur paie.

Déshumanisation

« L’automatisation remet peu à peu en question les salaires, les compétences et la dignité des camionneurs et finira pas avoir raison de leur métier », soutient le réalisateur.

Il note que les percées de l’intelligence artificielle et des robots bien au-delà des usines, s’étendent maintenant à des cabinets d’avocats, des pizzerias ou des taxis.

Les avantages économiques sont faciles à comprendre: les robots sont plus rapides et plus productifs. Mais que va-t-il arriver à toutes ces personnes qui perdent leur emploi, interroge-t-il.

Ce qui est plus inquiétant encore, selon John Campbell, un philosophe de l’université de Berkeley en Californie, c’est la « perte de liens authentiques avec une autre personne » qu’entraîne l’utilisation de plus en plus répandue des robots et de l’intelligence artificielle.

Il explique dans le film que des robots conçus pour imiter les émotions humaines –ou pour nous piéger– risquent de rendre les gens moins empathiques en général.

« En se fiant à la technologie, votre esprit devient plus paresseux », commente dans le film un témoin d’une collision en Floride entre un semi-remorque et une voiture semi-autonome Tesla, dont le conducteur est mort alors qu’il regardait un film.

Après l’utilisation d’un robot pour abattre un tireur en 2016 à Dallas, le chef de la police a demandé au conseil municipal davantage de technologie, et non de policiers, pour faire face aux menaces futures, une demande qui a interpellé le réalisateur.

« Nous devenons plus robotisés », dit un tireur d’élite de la police de Dallas dans le film, qui sera diffusé le 26 novembre par la chaîne HBO.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Le plus vieux fromage du monde aurait… plus de 7.000 ans !


On avait trouvé un fromage vieux de 3 200 ans en Égypte, et voilà qu’un fromage encore plus vieux aurait plus de 7 000 ans. Qui convergerait assez bien avec la domestication des vaches, chèvres et moutons.
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Le plus vieux fromage du monde aurait… plus de 7.000 ans !

 

Selon les chercheurs, des poteries spécialement destinées à contenir le fromage ont rapidement été fabriquées après l’invention de ce mets à base de lait. Elles seraient caractérisées par de larges ouvertures et de vagues formes d’animaux. © Penn State University, Sibenik City Museum

Selon les chercheurs, des poteries spécialement destinées à contenir le fromage ont rapidement été fabriquées après l’invention de ce mets à base de lait. Elles seraient caractérisées par de larges ouvertures et de vagues formes d’animaux. © Penn State University, Sibenik City Museum

 

Nathalie Mayer
Journaliste

Des chercheurs ont trouvé, dans des poteries vieilles de quelque 7.200 ans, des résidus de graisses. Selon eux, cette découverte permettrait de reculer la fabrication du fromage en Méditerranée de plusieurs millénaires.

C’est peu après la domestication des vaches, des chèvres et des moutons que les Hommes semblent avoir commencé à boire du lait, il y a un peu plus de 10.000 ans. Mais quand ont-ils commencé à le transformer en fromage ? La réponse reste incertaine.

Des chercheurs de la Penn State University (États-Unis) prétendent aujourd’hui (certains de leurs confrères mettent en doute leur analyse isotopique) avoir identifié des traces de fromage sur des ustensiles et dans des poteries trouvées sur les côtes de la Croatie. Plus exactement, il s’agirait de traces de graisses laissées par des produits laitiers fermentés il y a environ 7.200 ans ; les plus anciennes jamais identifiées, dans cette région du monde du moins.

Le fromage, plus digeste que le lait

Cette découverte pourrait expliquer pourquoi tant de preuves de la traite d’une partie du bétail avaient déjà pu être trouvées alors même que des analyses génétiques avaient démontré qu’au-delà de l’âge de 10 ans, les paysans de l’époque étaient incapables de digérer le lactose contenu dans le lait. En effet, le lactose est réduit par la fermentation et la transformation du lait en fromage.

L’invention du fromage, un aliment riche et stockable, aurait ainsi aidé les paysans à survivre aux temps les plus difficiles. Elle aurait aussi fait baisser la mortalité infantile. De plus en plus d’enfants étant nourris tardivement aux produits laitiers, ils ont donc pu développer une meilleure tolérance au lactose, qui s’est transmise de générations en générations. Ainsi, concluent les chercheurs, les populations agricoles ont pu s’étendre à des climats plus rigoureux.

https://www.futura-sciences.com/

Au Cambodge, un café à reptiles pour apprivoiser ces animaux "incompris"


Les cafés chats ou même chien, je trouve que c’est une belle initiative surtout si cela aident ces bêtes à trouver un foyer. Mais des reptiles, je suis moins sure. Ce ne sont pas des animaux qui devraient être domestiqués.
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Au Cambodge, un café à reptiles pour apprivoiser ces animaux « incompris »

 

Au Cambodge, un café à reptiles pour apprivoiser ces animaux Au Cambodge, un café à reptiles pour apprivoiser ces animaux « incompris » © AFP / TANG CHHIN Sothy

Terrifiés par les scorpions et pythons albinos ? Un Cambodgien vient d’ouvrir un café qui leur est consacré à Phnom Penh afin de permettre d’approcher, voire de caresser, ces animaux « incompris ».

Il s’agit du premier bar de ce type au Cambodge, mais le modèle fait déjà fureur au Japon. A Phnom Penh, les clients peuvent boire leur café au milieu de reptiles importés de Thaïlande. Les murs du café sont couverts de terrariums contenant des serpents de toutes tailles aux multiples couleurs.

Certains clients les regardent avec appréhension, d’autres s’en approchent et acceptent même que les reptiles leur grimpent dessus: une femme éclate de rire quand un python albinos se glisse derrière sa tête, un homme caresse un dragon barbu, lézard robuste et massif doté de griffes acérées, perché sur une table.

Mais à Phnom Penh, où manger des insectes comme des araignées frites ne choque personne, le « Reptile Café », la démarche s’affirme pédagogique, pour que les clients osant pousser la porte « ne perçoivent plus ces animaux comme des créatures effrayantes » ou consommables, espère Chea Rathy, le propriétaire des lieux.

Son café commence à se tailler une certaine popularité, notamment chez les jeunes, qui « se mettent des pythons autour du cou pour prendre des selfies », raconte Chea Rathy.

Des voix se sont élevées cependant pour critiquer le concept du « reptile-café », s’indignant que les animaux ne soient pas en liberté. Mais Chea Raty avance que ces animaux, nés en captivité, ne pourraient pas survivre dans la nature s’ils étaient relâchés.

Un autre café, consacré aux chats, a ouvert ses portes au Cambodge. Originaires de Taïwan, les « neko cafés » ou bars à chats sont devenus légion au Japon et le concept s’importe de plus en plus à travers le monde.

  Phnom Penh

http://www.lepoint.fr/insolite/