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La vie est comme un livre. Certains chapitres sont tristes, certains sont heureux et certains sont très intéressants, mais si vous ne tournez pas la page, vous ne saurez jamais ce que le prochain chapitre vous réserve

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Le Saviez-Vous ► 20 chiffres stupéfiants sur les plantes


Les botanistes ont fait une compilation des plantes connues et plus de 2 000 plantes s’ajoutent à chaque année.
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20 chiffres stupéfiants sur les plantes

 

Les lupins des jardins Lupinus polyphyllus du nord ouest américain ont envahi la Nouvelle Zélande. Le premier "baromètre" des plantes du monde recense 4979 espèces invasives générant des milliards d'euros de dégâts.

Les lupins des jardins Lupinus polyphyllus du nord ouest américain ont envahi la Nouvelle Zélande. Le premier « baromètre » des plantes du monde recense 4979 espèces invasives générant des milliards d’euros de dégâts. CRÉDIT: KEW GARDEN.

Par Rachel Mulot

Combien de plantes sont connues dans le monde ? Et combien sont utiles ? Disparaissent-elles plus vite qu’on ne les découvre ?

Un rapport inédit des Kew Gardens déchiffre le monde à la fois grouillant et fragile du végétal.

RÉCRÉATIF. Saviez-vous que sur les 31.128 plantes dont l’utilité est documentée dans le monde , 1382 sont fumées, bues ou concoctées pour un usage récréatif, social ou rituel (voir l’infographie plus bas) ? C’est l’un des étonnants enseignements que l’on peut tirer du premier et palpitant rapport annuel sur « L’état du monde des plantes » édité par le Centre de recherche botanique des jardins botaniques royaux de Kew (Grande-Bretagne) et dont Sciences et Avenir a choisi d’illustrer les principaux résultats (voir ci-dessous).

« On avait déjà un état du monde des oiseaux, des tortues marines, des villes (…) et même des antibiotiques », souligne Kathy Willis, directrice scientifique des jardins, réputés détenir l’une des plus importantes collections de plantes de la planète dans ses serres et ses jardins de l’ouest londonien. « Mais, malgré son importance vitale, on attendait encore d’avoir un état des lieux du monde de ces plantes qui nous nourrissent, nous habillent ou nous abritent. C’est désormais chose faite »,  s’est-elle félicitée.

Plantes : enfin la compil !

Ce recensement inédit a mobilisé 80 spécialistes pour éplucher plusieurs années durant la littérature scientifique et les bases de données mondiales sous la houlette du conservateur Steve Bachman. Le compteur des plantes vascularisées — c’est-à-dire dotées d’un réseau permettant leur irrigation par la sève – connues sur les cinq continents s’est ainsi fixé à 391.000 espèces, 32.000 d’entre elles venant du seul Brésil. 

Biodiversité, plantes invasives, génomique, évolution du couvert végétal, aires d’intérêt, commerce mondial… »Enfin la compil ! », a t-on envie de s’écrier. L’analyse globale des botanistes est en effet précieuse car des chiffres très disparates voire contradictoires circulaient. Ainsi, selon les états des lieux, on estimait que de 10% à… 64% des végétaux étaient menacés.

« Le risque concernerait en fait près d’une plante sur cinq », précise aujourd’hui Steve Bachman. 

Son évolution pourra être mesurée grâce au baromètre annuel que compte désormais publier les Kew Gardens.

Pour le moment, l’agriculture et le défrichage restent les principaux ennemis, le changement climatique ne pèse encore que de façon marginale. Même si dans les pays où il est mesuré — comme la France via son réseau de phénologie —, on observe déjà des changements dans les saisons, les floraisons, ou encore la répartition des espèces végétales. Les chercheurs s’attendent à ce que les effets de la hausse des températures se fassent sérieusement sentir à partir de 2030.

Plus de 2000 espèces sont découvertes chaque année

Par ailleurs, « plus de 2000 espèces sont découvertes chaque année », précisent les auteurs, après recoupement des principales bases de données mondiales de végétaux et élimination des possibles doublons.

En 2015, grâce à Facebook ou l’ADN, au fond de serres privées comme en pleine nature, ce sont ainsi 2034 nouvelles espèces ont été décrites.

https://www.sciencesetavenir.fr

Les images saisissantes du typhon Jebi au Japon


Le Japon a subi des dommages causé par un typhon, d’une force qui n’a pas été vu depuis 25 ans. Il y a quelques morts et une centaine de victimes.
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Les images saisissantes du typhon Jebi au Japon

 

Aéroport inondé, véhicules emportés par le vent, vagues gigantesques: le typhon qui a balayé mardi l’ouest du Japon, le plus violent à avoir frappé directement l’archipel en 25 ans, a fait au moins six morts et 170 blessés.

Les médias locaux ont fait état d’au moins six décès, dont celui d’un homme de 71 ans pris au piège d’un bâtiment qui s’est effondré, après le passage du cyclone Jebi, qui a plongé le pays sous des pluies diluviennes et des vents violents, avec des rafales atteignant 220 km/heure par endroits.

Une autre personne se trouvait dans un état critique, et quelque 170 blessés sont à déplorer.

De nombreux habitants ont été appelés à quitter leur logement dans des zones inondables ou susceptibles d’être touchées par des coulées de boue: au total, les autorités ont ainsi recommandé à 1,2 million d’habitants de rejoindre des refuges et 16.000 autres ont reçu l’ordre de partir, même si cette injonction n’est pas contraignante.

Voyageurs bloqués

Le typhon a fait en outre des dégâts matériels impressionnants, en particulier dans la région d’Osaka.

Dans une mer déchaînée, un pétrolier s’est retrouvé encastré dans le tablier du pont conduisant à l’aéroport international du Kansai. Cet aéroport, construit en mer, a été inondé et fermé après que le sous-sol et les pistes ont été envahis par les eaux, a précisé à l’AFP un responsable du ministère des Transports.

Environ 3.000 voyageurs restaient bloqués à l’intérieur dans la soirée.

Des vérifications étaient en cours sur le pont endommagé, « mais nous ne savons pas quand nous pourrons reconduire les personnes » sur le terre ferme, selon le ministère.

Des images de télévision montraient des échafaudages et grues de chantier fracassés par le vent, des devantures de magasins arrachées, des toitures envolées, des arbres à terre et poteaux tordus. Sur les routes, des camions et voitures renversés, des feux de signalisation au sol.

Même les gratte-ciels, pourtant conçus pour résister à de puissants séismes, ont été mis à l’épreuve.

A Osaka, une grande roue de 100 mètres, bien qu’à l’arrêt, semblait incontrôlable, tournant à la seule force du vent.

Des dizaines de voitures garées sur un parking de la région touchée se sont également embrasées, un incendie dont la cause restait toutefois à déterminer.

https://www.7sur7.be/

Bob Woodward dresse le portrait d’un Trump colérique et paranoïaque


Il faut donner à César ce qui est à César et a Trump à Trump. Il y a quelque chose de très positif dans ses idioties, il va faire monter les ventes des personnes qui le décrivent probablement assez proche de la réalité.
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Bob Woodward dresse le portrait d’un Trump colérique et paranoïaque

 

The Associated PressDonald Trump

Le livre très attendu du journaliste d’enquête Bob Woodward sur Donald Trump dresse le portrait accablant d’un président inculte, colérique et paranoïaque que ses ministres et collaborateurs s’efforcent en permanence de contrôler pour éviter les pires dérapages.

Le Washington Post, qui a obtenu une copie du livre rédigé par celui qui a révélé, avec Carl Bernstein, le scandale du Watergate ayant contraint Richard Nixon à la démission, publie de nombreux extraits peu flatteurs pour le 45e président des États-Unis.

A l’issue d’une rencontre entre M. Trump et son équipe de sécurité nationale sur la présence militaire sur la péninsule coréenne, le ministre de la Défense, Jim Mattis, particulièrement exaspéré, aurait dit à des proches que le président se comportait comme un «élève de CM2 ou de 6e» (10 à 11 ans, NDLR).

Toujours selon les éléments rassemblés par Bob Woodward, après l’attaque chimique d’avril 2017 attribuée au régime du président syrien Bachar al-Assad, M. Trump aurait appelé le général Mattis et lui aurait dit qu’il souhaitait l’assassiner.

«Tuons-le bordel! Allons-y! On leur rentre dedans et on les bute», aurait-il déclaré.

Après avoir raccroché. M. Mattis se serait tourné vers un conseiller et aurait dit:

«Nous n’allons rien faire de tout cela. Nous allons être beaucoup plus mesurés».

Bob Woodward décrit aussi, dans ce livre intitulé Fear: Trump in the White House, la frustration récurrente du secrétaire général de la Maison-Blanche, John Kelly, qui est traditionnellement l’homme le plus proche du président au sein de la «West Wing».

Lors d’une réunion en petit comité, il aurait ainsi affirmé, à propos de Donald Trump:

«C’est un idiot. C’est inutile d’essayer de le convaincre de quoi que ce soit. (…) Je ne sais même pas ce que nous faisons là. C’est le pire boulot que j’aie jamais eu».

Fin août, Donald Trump s’en était pris avec virulence, dans un tweet, à Carl Bernstein, qui a enquêté avec Bob Woodward sur le Watergate et est devenu, comme lui, une figure du journalisme d’enquête.

«On se moque à travers tout le pays de Carl Bernstein le négligé, un homme qui vit dans le passé et pense comme un vieux dégénéré, inventant histoire après histoire! Fake News», avait-il écrit.

Sollicité par l’AFP, la Maison-Blanche n’avait pas réagi en milieu de journée à la publication des extraits de ce nouveau livre de Bob Woodward, dont la sorte sortie est prévue le 11 septembre.

 

http://journalmetro.com/

Une redoutable bactérie se propage insidieusement dans les hôpitaux


Une bactérie qui préfère le milieu hospitalier partout dans le monde semble vouloir prendre de plus en plus de place. Le problème, c’est qu’elle est résistante aux antibiotiques.
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Une redoutable bactérie se propage insidieusement dans les hôpitaux

 

Une redoutable bactérie se propage insidieusement dans les hôpitaux

Photo Fotolia

Paris | Une bactérie capable de causer des infections quasi incurables se propage sans être détectée dans les hôpitaux du monde entier, ont prévenu lundi des scientifiques australiens.

Des chercheurs de l’Université de Melbourne ont découvert trois variantes de cette bactérie multirésistante dans des échantillons provenant de 10 pays, incluant des souches d’Europe qui ne peuvent être maîtrisées de manière fiable par aucun médicament actuellement sur le marché.

«Nous avons commencé avec des échantillons en Australie », puis avec d’autres prélèvements obtenu un « aperçu global et constaté que la bactérie est présente dans de nombreux pays et de nombreuses institutions à travers le monde», a dit à l’AFP Ben Howden, directeur de l’Unité de diagnostic microbiologique du Laboratoire de santé publique de l’Institut Doherty de l’université de Melbourne.

La bactérie (S. epidermidis) est naturellement présente sur la peau.

Mais la variété de la bactérie résistante aux antibiotiques infecte le plus souvent les personnes âgées, aux défenses immunitaires affaiblies ou des patients porteurs de dispositifs implantés, tels que des cathéters, des valves cardiaques ou des prothèses articulaires.

La bactérie, un staphylocoque blanc dont le nom savant est Staphylococcus epidermidis, est apparentée au staphylocoque doré (Staphylococcus aureus) résistant à l’antibiotique méticilline (le SARM) plus connu et plus mortel.

«Elle peut être mortelle, mais c’est généralement chez des patients qui sont déjà très malades à l’hôpital … cela peut être assez difficile à éradiquer et les infections peuvent être graves», a déclaré M. Howden.

Son équipe a examiné des centaines d’échantillons de S. epidermidis provenant de 78 hôpitaux du monde entier.

Les chercheurs ont constaté que certaines souches de la bactérie avaient modifié légèrement leur ADN, provoquant ainsi une résistance à deux des antibiotiques les plus courants, souvent administrés en tandem dans les hôpitaux.

«Ces deux antibiotiques n’étant pas liés, on ne s’attend pas à ce qu’une mutation cause l’échec des deux à la fois», selon Jean Lee, doctorant à l’Institut Doherty de Melbourne, et co-auteur de l’étude.

La plupart des antibiotiques les plus puissants sont extrêmement coûteux et même toxiques, et selon l’équipe l’utilisation simultanée de plusieurs médicaments pour prévenir la résistance pourrait ne pas fonctionner.

D’après les chercheurs, cette bactérie multirésistante se répandrait rapidement en raison de l’utilisation particulièrement importante d’antibiotiques dans les unités de soins intensifs, où les patients sont les plus malades et des anti-infectieux puissants sont prescrits en routine.

L’étude publiée dans la revue Nature Microbiology montre la nécessité de mieux comprendre comment les infections se propagent et quelles sont les bactéries que les hôpitaux choisissent de cibler.

«Il ne fait aucun doute que la résistance aux antibiotiques est l’un des plus grands dangers pour les soins hospitaliers dans le monde entier», a ajouté M.Howden.

http://fr.canoe.ca/

Prévisions météo: l’hiver 2019 sera très froid


L’Almanach des fermiers vient de donner ses prévisions pour l’hiver au Canada. Ce sont des prévisions, et avec les changements climatiques, le temps peut être différent. Il faut apprivoiser l’hiver, car s’il l’Almanach a raison, on va geler et pelleter cet hiver. Misère !
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Prévisions météo: l’hiver 2019 sera très froid

 

PHOTOGRAPHER CHRIS ARCHINET VIA GETTY IMAGES

Préparez-vous mentalement!

Par Jessica Chin

Vous vous souvenez de l’hiver?

Selon l’Almanach des fermiers, les Canadiens seront confrontés à une température plus froide que la normale dans la majeure partie du pays.

Selon les prévisions, le mois de février sera plus froid que la normale au Québec et dans l’est de l’Ontario, et le Québec sera exceptionnellement enneigé. Les Maritimes alterneront probablement entre la pluie et la neige tout au long du mois.

Mais ce sont les Prairies qui écoperont le plus. En Alberta, en Saskatchewan, au Manitoba et dans le nord-ouest de l’Ontario, les températures seront nettement inférieures aux moyennes saisonnières durant l’hiver 2018-2019.

Les températures seront les plus froides en février 2019, « -40 C, voire -45 C, seront possibles».

«Ce que nous disons pour cet hiver, c’est qu’il va tout simplement être très, très froid», a déclaré le rédacteur de l’almanach Peter Geiger à CTV News.

MATT277 VIA GETTY IMAGES

Le reste du pays devrait recevoir une quantité normale de neige et de précipitations.

Geiger a déclaré à CTV que la prévision de l’Aparle de «beaucoup de froid, beaucoup de neige» pour les Prairies.

En mars, tous les secteurs, d’un océan à l’autre, pourraient voir des forts vents et des rafales, ainsi que divers types de précipitations.

Automne chaud devant

Il reste tout de même un peu de beau temps avant l’hiver. AccuWeather prévoit un automne chaud pour la majeure partie de l’est du Canada, ce qui devrait prolonger la saison actuelle de feux de forêt et retarder un peu le gel.

Ce texte initialement publié sur le HuffPost Canada a été traduit de l’anglais.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Les zones cerveau responsables de la procrastination ont été identifiées


Tout remettre à demain ! Et bien, il semble que la procrastination soit visible dans le cerveau.
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Les zones cerveau responsables de la procrastination ont été identifiées

 

détente procrastination

Crédits : PxHere

par Yohan Demeure

Une étude menée en Allemagne a tenté d’expliquer, après avoir découvert deux zones du cerveau concernées, pourquoi certaines personnes ont tendance à tout remettre au lendemain.

Dans leur étude publiée le 17 août 2018 par la revue Psychological Science, les chercheurs de l’Université de Bochum (Allemagne) ont apporté une explication scientifique à la procrastination. Il s’agit de cette tendance à remettre systématiquement au lendemain des actions qui spécialement, ne procurent pas de satisfaction immédiate.

Selon les scientifiques, si certaines personnes procrastinent, cela serait le fait d’un défaut de connexion de deux parties de leur cerveau : le complexe amygdalien et le cortex cingulaire antérieur dorsal (ACC). Durant leur expérience, les chercheurs ont examiné les cerveaux de 264 volontaires par le biais de l’imagerie par résonance magnétique (IRM), et les résultats ont permis de comprendre d’où venait le problème. Évoquons également le fait que les volontaires ont aussi répondu à un sondage concernant leur capacité de contrôle sur leurs propres actions.

Les chercheurs ont découvert que les personnes ayant un faible contrôle sur leurs actions étaient dotées d’un complexe amygdalien plus grand que la normale. Ceci causerait une disposition à évaluer principalement les conséquences négatives qu’une action pourrait apporter.

Ces mêmes personnes auraient également une connexion moins solide entre le complexe amygdalien et le cortex cingulaire antérieur dorsal – qui détermine quoi faire dans telle ou telle situation. Or, les chercheurs estiment que si cette connexion est altérée chez un individu, ce dernier ne pourra pas totalement contrôler ses actions.

 

Sources : BBCConsoGlobe

https://sciencepost.fr/