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Ce serait même utopique de croire que l’on peut aider le monde, mais si on aide au moins une personne cela serait un bon début.
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On ne peut pas aider tout le monde, mais chacun peut aider quelqu’un

Ronald Reagan

Elle emmène son chien vegan à la TV pour prouver qu’il aime les légumes


Je ne sais pas qu’est ce qui est passé dans la tête de cette femme, mais aucun de la famille n’est végan ou végétarien. Alors pourquoi le chien ? Les chiens ont besoin d’une alimentation pour leur besoin et le régime végan n’a pas sa place surtout pas pour un chien ou tout autre animal carnivore. Elle était sûre que son chien aimait mieux les légumes que la viande qu’elle a voulu le prouver à la télévision. La réponse du chien est très claire.
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Elle emmène son chien vegan à la TV pour prouver qu’il aime les légumes

 

 

Le Saviez-Vous ► Baleines bleues, panthères noires et tigres blancs, existent-ils vraiment?


La baleine bleue, le panthère noire (animal emblématique qui trônait dans le sous-sol dans ma jeunesse) et le tigre blanc n’existe pas. Et ne sont pas non plus des espèces particulières. Sauf que …
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Baleines bleues, panthères noires et tigres blancs, existent-ils vraiment?

 

GETTY IMAGES/IMAGE SOURCE

Saviez-vous que la baleine bleue n’existe pas ? Pour être exact, il existe bien une espèce qui porte ce nom, mais elle n’est pas… bleue ! Et que dire de la panthère noire et du tigre blanc ?

Le Détecteur de rumeurs explore ces trois cas… insolites !

Des baleines bleues pas si bleues

« Elle est plutôt grise en surface, explique le chercheur et directeur de la station de recherche des Îles Mingan, Richard Sears, qui étudie les baleines bleues depuis 40 ans. Il y a très peu de pigments bleus dans la nature, chez les mammifères », précise-t-il.

D’où vient alors le « bleu » des baleines bleues ? Une question de soleil… et d’eau !

« La baleine bleue apparaît bleue à cause du jeu de lumière sous l’eau… Sur une journée très claire, elle peut même apparaître turquoise sous l’eau », explique le Dr Sears.

Le professeur en géographie à l’Université du Québec à Rimouski, Simon Bélanger, ajoute que l’eau absorbe le rayonnement solaire, mais de manière inégale. Dans les premiers mètres, les longueurs d’onde responsables du rouge et de l’orange sont totalement absorbées par l’eau. Alors que « la lumière bleue peut pénétrer jusqu’à des centaines de mètres » dans les eaux claires, précise le professeur qui s’est justement spécialisé dans la pénétration du rayonnement solaire en milieu aquatique.

C’est pour cette raison que tout objet ou animal situé à plus de 4-5 mètres de profondeur apparaîtra bleu depuis la surface.

Ça dépend aussi de la pigmentation de l’animal, ajoutent les différents intervenants. La couleur de la peau des baleines bleues est une mosaïque de taches gris foncé et clair. Selon Richard Sears, les individus dont la couleur est plutôt claire, apparaîtront plus bleus sous l’eau que ceux dont la couleur est plutôt foncée.

Et enfin, ça dépend de la couleur… de l’eau !

« La perception qu’on risque d’avoir sera différente dans un milieu très riche en phytoplancton, où l’eau est verte, versus un milieu pauvre en phytoplancton, où l’eau est bleue, » explique le Prof. Bélanger.

Les panthères noires n’existent pas

« Une ombre tomba au milieu du cercle. C’était Bagheera, la panthère noire. Sa robe est toute entière noire comme l’encre », cette image, que l’on doit au Livre de la jungle de l’écrivain britannique Rudyard Kipling, continue d’attiser l’imaginaire collectif.

Mais en réalité, le terme « panthère noire » fait presque toujours référence… « aux léopards, qui se trouvent en Asie et en Afrique », explique le professeur de génétique et de biologie évolutive de l’Université pontificale catholique du Rio Grande do Sul (Brésil), Eduardo Eizirik. « Parfois, ici, en Amérique du Sud, les jaguars noirs sont aussi appelés panthères noires. C’est un nom populaire. Si c’est un grand chat et qu’il est noir, il va être nommé panthère noire. »

La couleur de la fourrure de ces grands chats sauvages est programmée génétiquement, comme la couleur de nos cheveux. Mais différentes mutations responsables du jaune orangé du pelage engendrent une production excessive de pigments foncés. Résultat : les zones du pelage jaune orangé deviennent presque noires et se confondent avec les lignes ou taches noires. Ces individus, que l’on appelle mélanistiques, autrement dit ayant un excès de pigments appelés mélanine, ont été observés chez 13 des 41 espèces connues de félins sauvages, énonce le professeur Eizirik.

« Chaque espèce a sa propre mutation », poursuit l’expert.

Mais le résultat est le même : ils ont tous l’air noirs ! C’est seulement avec un éclairage particulier qu’on peut distinguer les taches.

« L’incidence du mélanisme chez les léopards semble corrélée avec les habitats caractérisés par une forêt tropicale dense, où les niveaux de lumière sont très faibles », explique le biologiste anglais Laurie Hedges, qui a consacré ses recherches aux léopards de Malaisie.

Selon lui, cette noirceur leur permettrait de passer inaperçus lors de la chasse.

Le tigre blanc n’est pas une espèce

Dernier exemple : le tigre blanc, qui arbore une robe blanche rayée de noir, fascine depuis longtemps. Dès le XVIe siècle, il apparaît sur des peintures mongoles. Aujourd’hui, on le retrouve dans les livres, les films et les jeux vidéo dont Warcraftou encore dans l’univers dessiné de Marvel.

Pourtant, le tigre blanc, comme la panthère noire, n’est pas une espèce non plus. Sa robe blanche rayée de noir résulte d’une anomalie génétique présente chez une sous-espèce appelée tigre du Bengale dont la robe est orangée rayée de noir. L’origine génétique du tigre blanc a été identifiée en 2013 par une équipe de scientifiques chinois de l’université de Pékin.

Cette mutation génétique, appelée leucistisme, engendre une sous-production de mélanine dans les zones du pelage qui sont normalement orangées. Résultat : celles-ci deviennent blanches.

Verdict

La panthère noire et le tigre blanc ne sont pas des espèces, mais des variantes génétiques d’une ou plusieurs espèces. Et la baleine bleue est… grise

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https://quebec.huffingtonpost.ca/

L’homme pourra-t-il bientôt respirer sous l’eau à l’aide de branchies?


Aller dans l’eau avec des branchies qui préservent l’oxygène tout en rejetant le dioxyde de carbone et qui remplacerait les bombonnes d’oxygène sera probablement possible dans un futur proche.
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L’homme pourra-t-il bientôt respirer sous l’eau à l’aide de branchies?

© Amphibio/Jun Kamei.

Morgane Goffin

Un chercheur japonais a inventé des branchies 3D.

À toutes les époques, les êtres humains se sont inspirés de la nature pour créer de nouvelles technologies. Aujourd’hui, plus loin que le tuba, les bouteilles d’oxygène ou le sous-marin, les branchies artificielles permettront au plongeur de respirer sous l’eau pour une durée indéterminée.

Jun Kamei est designer mais également chercheur à l’Université de Tokyo. Il s’est spécialisé dans le biomimétisme, un processus de création qui s’inspire du vivant pour élaborer, notamment, de nouvelles technologies. Anticipant la future montée des eaux dûe au changement climatique, il s’est lancé dans la modélisation de branchies. Selon Jun Kamei, elles ont été modélisées sur le même principe que celles utilisées par les insectes pour respirer sous l’eau.

Le projet, qui s’appelle Amphibio, est en fait une combinaison constituée d’un matériau spécial hydrophobe, qui repousse l’eau, et d’un autre matériau poreux. Il permet la respiration sous l’eau grâce à un réapprovisionnement continu de l’oxygène qu’il puise dans l’eau environnante. L’eau est stockée par le masque, comme le fait la peau des insectes, qui garde ensuite l’oxygène et rejette le dioxyde de carbone.

Réalisé avec une imprimante 3D, le projet en est actuellement au stade de prototype en phase de test dans un aquarium. Il devra être testé dans un futur proche par des humains pour être parfaitement adapté. On projette, par exemple, que la combinaison devrait couvrir l’entièreté du corps pour permettre le stockage d’une quantité suffisante d’oxygène pour alimenter une respiration humaine. Il n’empêche, le projet fait rêver!

Plus d’infos sur le site web de Jun Kamei.

https://www.7sur7.be/

Le colibri est le seul oiseau à savoir battre des ailes à l’envers !


Les colibris sont des oiseaux fascinants. C’est leur vol stationnaire et la vitesse des battements d’ailes à raison d’une centaine par seconde qui les rendent spectaculaires. Maintenant, grâce à la technologie, on sait que ces oiseaux peuvent aussi voler à l’endroit et l’envers tout en restant stationnaire
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Le colibri est le seul oiseau à savoir battre des ailes à l’envers !

 

colibri

Crédits : Wikipédia

par Yohan Demeure

Ce minuscule oiseau est connu pour être le seul à être capable de battre des ailes à l’envers, une caractéristique incroyable en plus de sa grande vitesse.

Durant très longtemps, observer les battements d’ailes du colibri était mission impossible, tant celui-ci est rapide et petit. En témoigne son poids, parfois évalué à moins de 2 grammes ! Et pourtant en 2012, des bio-mécaniciens de l’Université d’État de Caroline du Nord (États-Unis) ont réalisé cette prouesse, selon une publication dans le Journal of Experimental Biology.

Les chercheurs américains avaient utilisé une technique d’imagerie à rayons X associée à un système de caméra à haute vitesse capable de filmer un millier d’images à la seconde. Le moins que l’on puisse dire, c’est que les résultats ont été source d’étonnement.

Le colibri peut effectuer des mouvements d’ailes de haut en bas comme n’importe quel autre oiseau, mais peut surtout faire le mouvement inverse, c’est-à-dire de bas en haut accompagné d’une petite rotation. Mais pourquoi de temps à autre cet oiseau bas des ailes à l’envers, avec une technique qui se rapproche de celle des insectes ?

En rejetant l’air devant lui, le colibri est alors capable de voler vers l’arrière et de pratiquer le vol stationnaire. La stabilité de l’oiseau en vol stationnaire a été montrée par les images : les ailes du colibri tournent à plus de 90° dans un sens avant d’inverser le mouvement, un geste presque symétrique source d’une portance très efficace.

Les scientifiques ont également expliqué l’extrême rapidité de l’oiseau par la morphologie spéciale de ses ailes, les mouvements spécifiques effectués ainsi qu’une fréquence de battements par seconde affolante, à savoir près d’une centaine ! Des tests menés en soufflerie avaient même permis de savoir que le colibri se déplaçait en moyenne à une vitesse de 56 km/h, avec des pointes à presque 100 km/h dans le cas de certains mâles.

https://sciencepost.fr/

Un fossile humain de 12 000 ans réduit en cendres à Rio au Brésil


Le Musée national de Rio de Janeiro n’est que cendres. Parmi cette perte, il y a plusieurs milliers de fossiles d’animaux disparus ainsi que Luzia la première Brésilienne, qui est morte, il y a 12 000 ans et pour une deuxième fois dans cet incendie.
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Un fossile humain de 12 000 ans réduit en cendres à Rio au Brésil

 

Luzia était le premier fossile à être découvert au Brésil.

La « première Brésilienne » dont on ait retrouvé la trace, Luzia, est partie en fumée à mesure que son fossile datant de 12 000 ans se consumait dans l’incendie qui a ravagé dimanche soir le Musée national de Rio de Janeiro.

« Luzia est une perte inestimable pour tous ceux qui s’intéressent à la civilisation », a déclaré à l’AFP Paulo Knauss, directeur du Musée national, autre haut lieu du patrimoine brésilien.

Joyau de la collection du musée, qui comptait plus de 20 millions de pièces de valeur, Luzia est le premier fossile humain découvert au Brésil, en 1970, dans l’Etat de Minas Gerais (sud-ouest), lors d’une mission dirigée par l’anthropologue française Anette Laming-Emperaire.

À partir de son crâne, des chercheurs de l’Université de Manchester, en Grande-Bretagne, sont parvenus à réaliser une reconstitution numérique de son visage, qui a inspiré une sculpture exposée au musée.

« Luzia est morte dans l’incendie », a déploré Katia Bogea présidente de l’Institut du Patrimoine artistique national (Iphan), citée par le quotidien Estado de S.Paulo.

Elle dénonce une « mort annoncée », pointant du doigt les fortes coupes budgétaires qui affectent la préservation du patrimoine brésilien.

Pour Paulo Knauss, ce manque de moyens est dû « à une crise institutionnelle, une crise de valeurs » qui touche le pays depuis plusieurs années.

« C’est un problème ancien, mais il faut arrêter de parler au passé, et penser à l’avenir, (…) pour inverser un processus qui nous fait honte face aux prochaines générations »,conclut-il.

ANTONIO SCORZA VIA GETTY IMAGESReconstitution de la tête de Luzia, la plus vieille brésilienne antique découverte.

Considéré comme le principal musée d’histoire naturelle d’Amérique Latine, le Musée national de Rio de Janeiro, qui a célébré son bicentenaire en juin, était notamment réputé pour la richesse de ses collections de paléontologie.

L’ancien palais impérial abritait le squelette d’un dinosaure trouvé dans le Minas Gerais ainsi que 26.000 fossiles d’autres espèces disparues, comme le tigre à dents de sabre.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Une forteresse engloutie par la mer Noire découverte au large de la Bulgarie


La mer Noire a engloutie une ile bulgare, l’île de Saint-Thomas qui pendant des siècles a forgé son histoire aussi loin que l’âge de fer. Avant le Moyen-Âge, ce fût la forteresse, puis plus tard un monastère …
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Une forteresse engloutie par la mer Noire découverte au large de la Bulgarie

 

Crédits : Musée d’histoire nationale de Sofia

par  Servan Le Janne

 

Pendant des siècles, l’île bulgare de Saint-Thomas, au sud du golfe de Bourgas, a été considérée comme un simple morceau de rocher couvert de cactus et de serpents. La découverte des ruines d’une petite église, en 1955, n’a guère changé son statut. Mais ses secrets extraordinaires ont finit par émerger à l’été 2018

 Au cours des fouilles archéologiques lancées en juin dernier, une forteresse thrace ancienne a été observée, sous l’eau, entre l’île et le continent. Des vestiges de différentes époques s’y côtoient, rapporte le site Archeology in Bulgaria, les plus vieux remontant à l’âge du fer.

Crédits : Musée d’histoire nationale de Sofia

« Il y a 100 ans, l’île a été photographiée depuis un avion et les photos ont montré les contours d’un petit monastère », retrace le responsable des explorations sous-marines, Tencho Tenev.

Il a pu être approché au milieu du siècle dernier sans susciter d’intérêt particulier. Car il ne s’agissait que de la partie émergée de l’iceberg : avant le Moyen-Âge, l’île de Saint-Thomas était une péninsule sur l’isthme de laquelle trônait en réalité une impressionnante forteresse. Dans ses douves reposent des fragments d’amphores datant du Ve siècle avant Jésus-Christ. Elles étaient probablement utilisées destinées à recevoir le sang versé lors des rituels sacrificiels pratiqués par les Thraces.

Crédits : Musée d’histoire nationale de Sofia

« Le lieu a été choisi pour une bonne raison », pointe Ivan Hristov, du Musée d’histoire nationale de Sofia. « Il se trouvait sur la route de Sozopol à Constantinople. »

Son importance a mis longtemps à décliner puisqu’il recèle les marques de populations byzantines (Ve – VIe siècle après Jésus-Christ). Sous le deuxième empire bulgare  (1185 – 1396/1422), un petit monastère y a aussi été érigé, avant d’être recouvert par la mer Noire.

Source : Archeology in Bulgaria

http://www.ulyces.co/

Ce minuscule poisson est armé de 1800 dents


Une nouvelle espèce de poisson issu d’Australie a été observée dans un bocal d’un musée. À l’aide de la technologie et l’imprimante 3D, ils ont pu reconstituer à plus grande échelle la mâchoire qui contiendrait environ de 1 800 à 2300 dents pour un poisson d’à peine 40 mm. Maintenant reste à en trouver un vivant .. à la condition bien sûre de faire attention à ses doigts
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Ce minuscule poisson est armé de 1800 dents

 

Gobie à bec de canard.

Le gobie à bec de canard arbore pas moins de 1800 dents.

©KEVIN CONWAY ET ADAM SUMMERS

Par Victor Miget

Des chercheurs ont décrit une nouvelle espèce de poisson de quelques centimètres équipée d’une mâchoire de 1800 dents. 

Crocodiles, Requins, Piranhas … Aucun doute, le monde aquatique renferme les mâchoires parmi les plus terrifiantes et efficaces de la planète. Une nouvelle espèce de poisson pas plus grosse qu’un doigt (40 mm) pourrait bien leur faire concurrence côté dentition. Une concurrence déloyale même, puisque le gobie à bec de canard (Nettorhamphos radula) les coiffe tous au poteau avec pas moins de 1800 dents. Même si son nom lui a été donné en raison de l’étrange ressemblance de son museau avec celui d’un canard, une caractéristique tout de suite moins impressionnante.

La trouvaille revient à des scientifiques de l’Université de Washington, du Texas A & M University et du Musée d’Etat d’Australie occidentale. Ces derniers ont observé le minuscule squelette du vertébré originaire d’Australiem éridionale après l’avoir extrait d’un bocal de la collection du musée, où il prenait la poussière depuis 1977. Un spécimen similaire a ensuite été découvert dans un autre contenant. Ces poissons appartiennent à la famille des Gobiesocidae, qui regroupe pas moins de 166 espèces réparties dans 47 Genres. Leurs représentants possèdent généralement un disque adhésif ventral qui leur permet de s’agripper à une surface et de contenir jusqu’à 150 fois leur poids grâce à une force d’aspiration exceptionnelle. Mais le gobie à bec de canard se différencie des autres par une mâchoire supérieure plus large et plus longue et par de très nombreuses et minuscules dents coniques disposées en rangées multiples et régulières sur les mâchoires inférieures et supérieures.

 

Scan du squelette du gobie à bec de canard. © Kevin Conway et Adam Summers

Une dissection numérique

Avec seulement deux spécimens en leur possession, recourir à la dissection pour documenter leur découverte s’avérait difficilement envisageable pour les scientifiques. Qu’à cela ne tienne, ces derniers ont utilisé un scanner pour en saisir les moindres détails. Ensuite, à l’aide d’une imprimante 3D, ils ont reconstitué la mâchoire du poisson à une échelle plus importante pour en analyser les structures.

Résultat : de 1800 à 2300 dents ornent sa mâchoire. Soit 10 fois plus que tout autre membre de la famille Gobiesociadae. De plus, les dents tournent vers l’arrière. Une particularité qui peut faire supposer une aptitude à retenir des proies par exemple. Une étape s’avère cependant indispensable pour vérifier cette dernière hypothèse: observer un spécimen bien vivant dans son milieu naturel.

Scan de la mâchoire du Gobie à bec de canard. © Kevin Conway et Adam Summers

https://www.sciencesetavenir.fr/