Épreuves


Comment se apprendre, se perfectionner, tirer une leçon si nous ne faisons jamais d’erreurs, si nous ne passons pas des épreuves pour devenir plus patient, plus sage …
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Épreuves

 

 

«Le diamant ne peut être poli sans frottement, ni l’homme perfectionné sans épreuves»

Proverbe chinois

Cette chienne championne d’agility regarde sa performance à la télé, sa réaction est à mourir de rire


Kirk est une femelle Border Collie a remporter le Incredible Dog Challenge Western Regionals, organisé par Purina Pro Plan. c’est une compétition d’agilité et de vitesse avec obstacles. Ses maitres ont voulu immortalisé son parfait parcours. Regardant ses prouesses à la télévision, Kirk est tellement fière qu’elle sautille comme si elle essayait de refaire son trajet vers la victoire
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Cette chienne championne d’agility regarde sa performance à la télé, sa réaction est à mourir de rire

 

 

Le Saviez-Vous ► Les cinq choses à vérifier lorsque vous entrez dans une chambre d’hôtel


En vacances, en visite, ou pour affaires, on séjourne dans des hôtels, certains dispendieux, d’autres économiques. Il essentiel avant de prendre ses aises de faire une petite inspection des lieux
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Les cinq choses à vérifier lorsque vous entrez dans une chambre d’hôtel

© getty.

Source: Bustle

Que vous séjourniez dans un hôtel cinq étoiles ou dans une auberge de jeunesse, vous devriez toujours vérifier certains éléments de votre chambre avant de déballer vos affaires et de vous jeter dans le lit.

Les punaises de lit

Oui, même les hôtels les plus luxueux peuvent être infestés de punaises de lit. Contrairement aux idées reçues, ces petits parasites ne sont pas attirés par la saleté mais bien par la chaleur, humaine de préférence. Afin d’éviter de dormir entourés de punaises de lit, et de risquer de les ramener chez vous, vous feriez donc mieux d’inspecter la literie de l’hôtel dans lequel vous séjournez. Pour ce faire, soulevez la couette et vérifiez s’il n’y a pas de trace de punaises de lit dans les plis des draps et du matelas à l’aide de la lampe torche de votre téléphone.

La propreté

Bien que les chambres d’hôtel soient passées à l’aspirateur et nettoyées entre chaque client, certaines surfaces sont souvent négligées par le personnel d’entretien. Pour vous assurer que votre chambre est bien propre, emportez quelques lingettes nettoyantes avec vous afin de désinfecter la télécommande, le bureau, la tête de lit ou encore la lunette des toilettes. Juste au cas où.

Le minibar

Assurez-vous que le minibar est bien rempli. S’il manque ne fut-ce qu’une seule petite bouteille, cette dernière pourrait en effet être ajoutée à votre facture finale. Si vous remarquez qu’il manque quelque chose, appelez simplement la réception afin de le signaler. Le personnel en prendra alors note et s’assurera que cela ne sera pas ajouté à vos frais.

Le plan d’évacuation

Consultez toujours le plan d’évacuation. Normalement, il doit être affiché sur un mur ou sur le dos de la porte et être facilement consultable. En cas d’urgence ou d’incendie, vous saurez ainsi exactement quoi faire et dans quelle direction vous diriger pour quitter les lieux.

Débarrassez-vous du couvre-lit

Contrairement aux draps, le couvre-lit n’est pas souvent lavé et ne sert qu’à décorer la pièce. Dès votre arrivée, ôtez-le du lit et rangez-le dans une armoire. Cela vous évitera de vous blottir dans une couette pleine de poussière.

https://www.7sur7.be/

La plus vieille plainte d’un client remonte à 4.000 ans


La plus vieille plainte connu face à un marchand date de 3 800 ans en Mésopotamie. Cette tablette a été trouver dans de Londres, au British Museum
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La plus vieille plainte d’un client remonte à 4.000 ans

 

Une réalisation haute de 11,6 cm et épaisse de 2,6 cm | BRITISH MUSEUM CC BY-NC-SA 4.0

Une réalisation haute de 11,6 cm et épaisse de 2,6 cm | BRITISH MUSEUM CC BY-NC-SA 4.0

Repéré par Victor Métais

Repéré sur Quartz

Une histoire de lingots qui ne correspondaient pas à la commande.

 

C’est à Londres, au British Museum, que l’on trouve trace de la première plainte d’un client de l’histoire. Étiqueté «artefact 131236», cette ancienne tablette babylonienne est le message d’une personne prénommée Nanni, à une autre du nom d’Ea-nasir, écrit il y a environ 3.800 ans dans la ville d’Ur au sud de la Mésopotamie, aujourd’hui Tell al-Muqayyar, dans le sud de l’Irak.

Une tablette qui dit bien des choses

Le site web Reddit a dévoilé une traduction de cette tablette écrite en akkadien, dialecte de la famille des langues sémitiques et en écriture cunéiforme, en s’appuyant sur l’expertise de Adolf Leo Oppenheim dans son ouvrage de 1967, Letters From Mesopotamia: Official, Business, and Private Letters on Clay Tablets from Two Millennia. On comprend ainsi qu’il s’agit d’une plainte:

«Quand vous êtes venu, vous m’avez dit la chose suivante: “Je donnerai à Gimil-Sin (à son arrivée) des lingots de cuivre de bonne qualité”. Vous êtes parti mais vous n’avez pas fait ce que vous aviez promis.

Vous avez proposé des lingots qui n’étaient pas de bonne qualité à mon représentant en lui disant: »Si vous les voulez, prenez-les; si vous n’en voulez pas, partez! »

Pour qui me prenez-vous, pour me traiter avec un tel mépris? […] Y a-t-il quelqu’un parmi les marchands qui commercent avec Telmun qui m’a traité de cette façon?»

On ne sait pas si Nanni a finalement bénéficié d’un geste commercial.

http://www.slate.fr/story/

L’alerte par notification mobile sauve des vies en Syrie


Chez moi, si nous avons une alerte qui émet sur les téléphones mobiles, radio, télévision, c’est surtout pour les alertes Amber, mais aussi pour des catastrophes naturelles. En Syrie, c’est une application qui a pour but d’alerter les civils d’un raid aérien à un endroit assez précis, grâce à des capteurs, des réseaux humains et sociaux. Cela sauve des vies, mais ils aimeraient que ce soit aussi accessible sans Internet, ce qui pourrait rejoindre encore plus de gens qui ont cette application.
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L’alerte par notification mobile sauve des vies en Syrie

 

 

© afp.

Khaled et son frère ont tout juste eu le temps d’enfourcher leur moto et de filer à toute allure. Grâce à système d’alerte, ils ont échappé à un raid aérien qui a détruit la maison des voisins dans la province syrienne d’Idleb.

Ce journaliste citoyen de 23 ans et son frère auraient bien pu être tués si, quelques minutes plus tôt chez eux, ils n’avaient pas été avertis via une notification sur leur téléphone portable d’une frappe imminente sur leur quartier de Maaret al-Chourine, dans la province d’Idleb, ultime bastion insurgé menacé d’une vaste offensive du régime et de son allié russe.

Système Sentry

Ils ont été sauvés par le système Sentry, lancé il y a deux ans par deux Américains et un programmeur syrien. Dans la province du nord-ouest du pays en guerre, ce système pourrait jouer un rôle crucial en cas d’assaut. Quand les avions de combat syriens ou russes décollent, Sentry calcule et localise la cible potentielle de frappes à venir, en analysant les trajectoires de vols, à partir de données fournies par des observateurs humains sur le terrain mais aussi un réseau de capteurs. Le système déclenche des alertes près de la zone concernée, et les utilisateurs reçoivent l’avertissement via des applications gratuites sur leur téléphone portable, notamment via Telegram, ce qui leur donne quelques minutes pour se mettre à l’abri.

« Alerte sur Telegram »

Le jour de la frappe, Khaled était chez lui pour récupérer des affaires abandonnées après avoir fui un premier raid.

« J’ai reçu une alerte sur Telegram, me disant qu’un nouvel avion avait décollé et se dirigeait vers le même secteur », raconte-t-il à l’AFP.

Avec son frère, ils ont vite pris la fuite à bord d’une moto.

« Seuls trois enfants ont été blessés ce jour-là » dans le raid.

Lancé en août 2016

Selon les concepteurs, le dispositif d’alerte lancé en août 2016, profite actuellement à quelque deux millions de personnes en Syrie, la plupart d’entre elles à Idleb. L’initiative a prouvé son efficacité, assurent les créateurs, y compris lors de la vaste offensive menée plus tôt cette année contre le fief rebelle de la Ghouta orientale, où des bombardements, principalement aériens, ont fait plus de 1.700 morts, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH).

Développeur

John Jaeger est le co-fondateur de la société Hala Systems qui a développé Sentry. Ce geek et ancien diplomate cherchait à développer de nouveaux moyens d’empêcher des morts de civils en Syrie. Il a créé le système épaulé par un entrepreneur américain, Dave Levin, et un codeur syrien dont l’identité est gardée secrète. Si des statistiques fiables sont difficiles à obtenir, l’analyse des données montre que l’utilisation de Sentry réduit de 27% le nombre de personnes tuées dans les raids, affirme M. Jaeger.

Réseau humain sur le terrain

Le système, financé par le Royaume-Uni, le Canada, les Pays-Bas et le Danemark selon lui, nécessite un réseau humain sur le terrain, pour surveiller les zones couvertes et installer les capteurs. En recevant l’avertissement via les réseaux sociaux, les radios locales ou les sirènes d’alerte déclenchées à distance par Hala Systems, les résidents ont en moyenne huit minutes pour trouver un refuge, selon le co-fondateur de la société. Le système est très utilisé par les secouristes en zones rebelles, les Casques blancs, impliqués dans le développement du système.

Et sans Internet?

« Les techniciens de la défense civile tentent de rendre le service accessible aux civils dépourvus d’Internet », a affirmé à l’AFP le coordinateur du système d’alerte dans le nord syrien, Ibrahim Abou Laith.

Selon lui, près de 200 sessions de sensibilisation ont eu lieu ces dernières semaines dans le nord du pays pour apprendre à la population disposant d’Internet à se servir du système. Selon l’OSDH, parmi les plus de 350.000 personnes tuées depuis le début de la guerre en 2011, 33.000 civils ont péri dans des raids syriens ou russes. Reste que le système Sentry peut parfois ne pas avoir les résultats escomptés, admet M. Jaeger.

« Nous cherchons à prévenir le maximum de morts possible ».

 

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Des centaines de tortues trouvées mortes dans le Pacifique


Encore une fois une hécatombe chez les tortues au Mexique. Cette fois-ci, c’est causé par des filet de pêche illégaux. Ils sont mort noyés et en décomposition. Même si cela peut encourir des peines de 9 ans de prison, rien n’arrête ce massacre
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Des centaines de tortues trouvées mortes dans le Pacifique

 

© ap.

  Source: Belga

Les autorités environnementales mexicaines ont trouvé 300 tortues de l’espèce golfina menacée d’extinction, flottant mortes dans les eaux mexicaines du Pacifique, a rapporté le parquet fédéral chargé de la protection de l’Environnement.

« Elles sont mortes noyées il y a environ huit jours car elles étaient immobilisées dans des filets de pêche interdits d’environ 120 mètres de long », a ajouté le parquet.

Les cadavres « étaient dans un état avancé de décomposition », a-t-il précisé. Pour éviter tout risque de contamination, « les tortues marines ont été enterrées dans deux fosses ».

Ce n’est pas la première fois qu’un tel incident se produit. Le 17 août, le gouvernement mexicain a signalé que 122 tortues avaient été trouvées mortes sur des plages de l’Etat de Chiapas. Environ 10% des cadavres portaient des signes de coups à la tête et sur la carapace.

Les peines pour le trafic de produits émanant de tortues marines peuvent aller jusqu’à neuf ans de prison. Néanmoins, un commerce illégal d’oeufs persiste, certains leur attribuant des propriétés aphrodisiaques

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Les chèvres n’aiment pas les humains qui font la gueule, d’après ces chercheurs


Les chèvres sont capables de se reconnaitre entre eux, mais aussi elles ont la capacité de comprendre les expressions du visage humain et y sont sensible.
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Les chèvres n’aiment pas les humains qui font la gueule, d’après ces chercheurs

par  Malaurie Chokoualé

De précédentes études avaient déjà mis en lumière le fait que les chèvres possèdent des capacités cognitives impressionnantes ; elles peuvent par exemple reconnaître leurs ami·e·s.

Une nouvelle étude va plus loin : les chèvres sont capables de distinguer les expressions humaines et elles préfèrent mille fois un visage souriant à des sourcils froncés. L’étude a été publiée ce 29 août dans la revue scientifique Royal Society Open Science.

« Nous savions déjà que les chèvres étaient très sensibles au langage du corps humain, mais nous ne savions pas comment elles réagissaient aux différentes expressions émotionnelles humaines telles que la colère ou la joie », explique l’un des auteurs Christian Nawroth, un scientifique de l’université Queen Mary de Londres qui étudie le comportement des chèvres.

Crédits : Christian Nawroth

Les chercheurs ont travaillé avec 35 chèvres du sanctuaire pour chèvres Buttercups, au Royaume-Uni. Après leur avoir donné des friandises, les chèvres étaient amenées une par une devant un panneau d’affichage montrant deux photos. L’une avec un visage humain souriant, l’autre grimaçant. Les chercheurs changeaient parfois les visages, accrochant aussi bien des hommes que des femmes. L’idée était de laisser la chèvre, même si elle était tenue en laisse, s’avancer vers l’image qui l’attirait le plus. Les chercheurs ont observé que, indépendamment du genre, la chèvre se dirigeait systématiquement vers le visage le plus positif.

« C’est la première preuve que les chèvres sont capables de distinguer visuellement les expressions faciales d’une espèce très différente de la leur, les êtres humains, qui expriment leurs émotions de manière très différente », a déclaré Natalia Albuquerque, auteure et éthologue à l’université de Sao Paolo. « Cela signifie que les chèvres sont des animaux plus complexes que nous le pensions. »

Les chercheurs prévoient de continuer à étudier la perception émotionnelle chez les chèvres afin de comprendre d’autant mieux comment les animaux de la ferme gère leurs émotions.

Source : Royal Society Open Science

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Un monde en feu : la Nasa dévoile une carte mondiale des incendies


Partout sur terre, il y a des incendies, certains sont volontaire pour dégager la végétation pour de nouvelles cultures, élevages, et extension urbaine. Alors, que d’autres c’est la catastrophe et de grande pertes en suivent
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Un monde en feu : la Nasa dévoile une carte mondiale des incendies

 

La mission Worldview montre les incendies dans le monde en temps réel. © Nasa, EOSDIS

La mission Worldview montre les incendies dans le monde en temps réel. © Nasa, EOSDIS

Céline Deluzarche

Journaliste

 

Les milliers de points rouges affichés sur cette carte représentent chacun un incendie en cours. Cette image, captée le 22 août 2018 par les satellites de la mission Worldview, Earth Observing System Data and Information System (EOSDIS) se base sur la température du sol enregistrée grâce au rayonnement infrarouge.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la plupart de ces impressionnants incendies sont volontaires. En Afrique, qui apparaît clairement en rouge sur la carte, les fermiers les allument délibérément pour se débarrasser de la végétation afin de dégager le terrain pour de nouvelles cultures ou des pâturages. Hélas, si les incendies favorisent en effet la fertilisation du sol, ils dégradent gravement la qualité de l’air. 

Au Brésil, des milliers d’hectares de forêt amazonienne partent ainsi chaque année en fumée pour laisser place à l’élevage de bovins et à l’extraction minière. Des incendies qui tournent souvent au désastre par manque de contrôle et qui sont responsables d’un tiers de 4,5 millions d’hectares de forêt amazonienne partis en fumée en 2017 au Brésil, d’après le Global Forest Watch. Cette pratique s’additionne à celle des feux de décharge, dans un pays où la gestion de déchets est défaillante.

Sécheresse, chaleur, mauvaise gestion des forêts, étalement urbain : le cocktail explosif

Dans les autres régions du globe, les zones en rouge sont principalement dues aux incendies de forêt. Le Chili, qui connaît depuis plusieurs années une sécheresse persistante et des températures élevées est particulièrement touché. Les incendies sont aggravés par le fait que de nombreuses espèces natives ont été remplacées par des eucalyptus et des pins pour la production de bois et de papier. Or, leurs feuilles et épines contiennent des résines hautement inflammables, qui propagent les flammes une fois tombées au sol, comme l’a révélé une étude publiée dans PLoS One, le 22 août dernier. L’Australie est elle aussi victime de graves incendies, favorisés par l’extension urbaine, et ce alors que nous sommes là-bas en plein hiver.

https://www.futura-sciences.com/