Raison de vivre


Comme tout ce qui vit sur cette Terre, nous avons besoin de soins propres à notre nature pour alimenter notre raison de vivre. Sans cela, nous sommes qu’une enveloppe sans âme
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Raison de vivre

 

 

 

Comme le ruisseaux et les plantes, les âmes ont besoin de la pluie, mais d’une autre sorte: l’espoir, la foi, la raison de vivre. Sinon, même si le corps continue à vivre, l’âme dépérit.

Paulo Coelho

Le Saviez-Vous ► Pouvait-on faire un burn-out au Moyen Âge?


L’article est plus intéressant au 2 ème sous-titre. Le travail a évoluer au temps du Moyen-Age, alors que la plus des gens étaient dans le milieu agricole, les heures de travail ne se comptaient pas. Tout était fait de la force de l’humain et animale, sans technologie comme aujourd’hui, puis dans les villes d’autres professions ont émergé. Curieusement, ce sont les artisans qui demandaient plus de travail pour faire plus d’argent. Puis vint un jour l’horloge qui dicte les heures de travail. Les patrons n’étaient pas trop favorables aux pauses, des soulèvements ont commencé pour un 8 heures de travail et les pauses.
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Pouvait-on faire un burn-out au Moyen Âge?

 

Le mois d’Octobre. Les Très riches heures du duc de Berry, 1412-1416, musée Condé de Chantilly. Détail.

Le mois d’Octobre. Les Très riches heures du duc de Berry, 1412-1416, musée Condé de Chantilly. Détail.

Simon Hasdenteufel

 

Le syndrome d’épuisement professionnel, difficile à définir tant il recouvre des réalités différentes, pose la question de la place du travail dans nos sociétés. Une interrogation qui ne date pas d’hier.

On bosse comme des damnés!

Le mot travail n’apparaît dans le langage courant qu’à la fin du XVe siècle et son étymologie pourrait être très parlante à tout amateur de longues grasses matinées. Il viendrait en effet du mot latin tripallium qui désigne un instrument de torture à trois pieux pour punir les esclaves rebelles –difficile d’avoir une vision plus négative du travail! Cette funeste étymologie reste néanmoins sujette à débat. Elle a en effet été contestée par le chercheur André Eskénazi, tandis que Marie-France Delport, spécialiste de linguiste hispanique, en partant de l’équivalent espagnol trabajo, avait auparavant proposé de chercher les origines du mot dans le préfixe « tra » qui renvoie à l’idée d’un obstacle à tra-verser. Plusieurs articles se sont par ailleurs fait le relais médiatique de ces corrections étymologiques dans une visée politique et sociale, afin de défendre l’idée que l’on pouvait concevoir le travail autrement que comme une souffrance et plutôt comme un dépassement de soi et un bienfait.

Cette complexité conceptuelle autour du travail se retrouve aussi dans les mots du Moyen Âge. En effet, jusqu’à la fin de l’époque médiévale, le terme de «travail» n’a pas encore émergé. On utilise d’autres vocables qui se rapportent chacun à des visions très différentes du travail. Le travail peut être le labor, qui donnera le mot «labeur», c’est-à-dire une peine. Mais il peut aussi être une ars, autrement dit le métier de «l’artisan», ou encore un opus, d’où est issu le mot très noble d’«œuvre». Ces différentes conceptions peuvent ainsi tout à fait nous ramener à notre actualité où certains subissent leur travail tandis que d’autres peuvent le vivre comme une source de fierté et d’accomplissement.

Par rapport à ces deux conceptions opposées, le labor médiéval est lui-même une notion plus complexe qu’il n’y paraît. D’un côté, le travail représente le prix à payer pour le péché originel: dans la Genèse, Dieu condamne Adam au travail manuel des champs et Ève au travail de l’enfantement. De l’autre, le Moyen Âge a également fait du labor une activité valorisante. Ainsi, entre le XIe et XIIIe siècle, période de croissance économique, le travail a une véritable dimension spirituelle: le paysan travaille la terre pour l’amour de Dieu et on attend des moines qu’ils ne fassent pas que prier et méditer mais œuvrent aussi à recopier des manuscrits ou à bêcher les champs. Ces deux visions cohabitent sans que jamais l’une ne l’emporte sur l’autre, ce qui a fait du Moyen Âge une période de réflexion et de débat intense sur le travail. La figure du Christ elle-même est au centre de cette dualité: d’un côté, aucun texte du Nouveau Testament ne présente Jésus en train de travailler et ce dernier fait l’éloge des oiseaux du ciel qui «ne sèment ni ne moissonnent» (Matthieu 6 :26); de l’autre, Jésus est associé à son père humain, Joseph, travailleur par excellence car tantôt charpentier, tantôt forgeron.

Des paysans «overbookés»

Laissons un peu de côté les mots et intéressons-nous à ce «réel» du travail qu’affectionnent tant nos politiques dans leurs discours. Dans la mesure où 90 % de la population du Moyen Âge vit à la campagne, le travail est avant tout agricole. Son rythme quotidien suit celui du soleil, tandis que le calendrier obéit au défilé des saisons. Dans cette organisation, point de vacances, en revanche plusieurs jours fériés liés aux fêtes chrétiennes –jours pendant lesquels il est littéralement interdit de travailler. Les travaux sont extrêmement divers, mais tous ont pour point commun d’être particulièrement physiques: le paysan qui laboure son champ retourne environ huit tonnes d’engrais et de terre par heure, tandis que celui qui sème les graines change trente fois son sac et parcourt 15 kilomètres par jour –soit le double de la distance préconisée aujourd’hui pour être en bonne santé !

Au-delà d’une liste qui serait digne des travaux d’Hercule, les difficultés de la condition paysanne ont pu attirer le regard de certains observateurs lettrés. Ludwig, frère franciscain d’origine allemande, écrivait ainsi à la fin du XIIIe siècle que les agriculteurs «se laissent ronger et opprimer par les [seigneurs] sous le poids très lourd des corvées». Il est intéressant de noter que la condition sociale des humbles accablés par leur travail a pu susciter de véritables interrogations chez les intellectuels, notamment dans l’intervalle 1260-1400 où se développent les universités. À la fin du XIVe siècle, le poète anglais John Gower compose un immense poème de presque 30 000 vers sur la condition humaine où il prend notamment à partie les nobles en leur reprochant leur goût du luxe au mépris du paysan qui «labourt pour sa vesture et son pain» (v. 23412).

Néanmoins, ce mouvement intellectuel n’a guère de conséquences concrètes: les élites médiévales considèrent en effet que l’ordre social associant ceux qui prient (oratores), ceux qui combattent (bellatores) et ceux qui travaillent (laboratores) est voulu par Dieu et ne doit en aucun cas être bouleversé. Aussi, lorsque les paysans d’un seigneur veulent changer leurs conditions de travail, c’est par le recours à la violence et à la révolte –avec la possibilité d’un échec et d’une répression seigneuriale.

Le mois d’Octobre. Les Très riches heures du duc de Berry, 1412-1416, musée Condé de Chantilly

«Travailler plus pour gagner plus»

Les véritables questionnements et débats autour du travail émergent en fait dans le monde des villes médiévales. En milieu urbain, à partir du XIIIe siècle, la monnaie commence à circuler de manière plus abondante dans toutes les couches de la société, tandis que les métiers de l’artisanat se développent, se diversifient et s’organisent au sein de corporations qui se dotent de véritables réglementations professionnelles. Les modalités du travail changent donc progressivement en ville.

À la différence du travail des champs, l’artisanat n’obéit pas forcément aux rythmes de la journée et des saisons –c’est un travail qui peut en effet se faire de nuit, en plein hiver. Des rythmes urbains s’affirment alors à côté des rythmes traditionnels et les patrons, marchands et corporations de la ville demandent l’installation de cloches pour sonner les différents moments de la journée de travail. La messe doit en conséquence partager le monopole du son dans l’espace public. À Florence, une horloge mécanique est ainsi installée en 1354: ce sont les débuts —certes encore timides— d’une nouvelle manière de mesurer le temps, à l’aune des obligations professionnelles. Toutefois, on peut signaler un fait curieux: dans ces nouveaux rythmes urbains, ce sont les artisans eux-mêmes qui auraient d’abord réclamé des allongements de la journée de travail afin de pouvoir augmenter leur rétribution —on retrouve ici la question de nos heures «sup» ou encore du tristement célèbre «travailler plus pour gagner plus». La comparaison ne s’arrête d’ailleurs pas là, puisqu’il arrivait que les artisans cherchent à travailler et être payés davantage afin de pouvoir faire face à des montées des prix.

Cette mise en place de nouveaux rythmes urbains et professionnels entraîna de véritables tensions, au sein du monde du travail médiéval, notamment dans le secteur du textile, en pointe à l’époque. Les donneurs d’ouvrage et autorités urbaines pouvaient en effet chercher à réglementer au plus près la journée de travail en fixant des horaires de travail et en limitant les temps de pause, afin de contrôler la main-d’œuvre et mieux mesurer leur productivité, faisant par là même perdre aux artisans la maîtrise de leur emploi du temps.

À Amiens, le 24 avril 1335, le roi de France Philippe VI accéda à la requête de la municipalité qui lui avait demandé de faire une «ordonnance» fixant quand les «ouvriers» devaient aller au travail, prendre leur pause déjeuner et repartir. À nouveau, le rythme est donné par une cloche qui devient dans certains cas un sujet d’affrontement. À Commines, en 1361, il est établi que si les ouvriers venaient à s’emparer de la cloche pour sonner leur révolte, ils devraient s’acquitter de l’amende la plus lourde. Dès lors, les travailleurs se saisissent de différents moyens pour exiger des conditions décentes: ils s’arrêtent de travailler et se rassemblent devant l’Hôtel de Ville de Paris, place de Grève; ou, comme les vignerons de Sens et d’Auxerre, ils portent en procès leur lutte pour la journée de 8 heures de travail.

Le pays de Cocagne par Pieter Brueghel l’Ancien, 1567. Wikimedia

Au XIIIe siècle, en pleine période de promotion du travail qui devient l’une des grandes valeurs du monde occidental, plusieurs propos tentent de discréditer une telle vision. C’est dans les années 1250 que naît ainsi cette image utopique du «pays de cocagne» que l’on doit à un fabliau, court récit satirique destiné à faire rire, et qui évoque un monde idéal où tous les oisifs sont comblés de nourritures, de vêtements, de biens, sans aucun travail. On est bien loin de tous les impératifs de réussite sociale et personnelle qui se sont cristallisés autour du travail, au XIIIe siècle comme aujourd’hui! En tout cas, ce texte drôle et onirique contient matière à réflexion. Sans doute le travail est-il nécessaire, sans doute peut-il et doit-il parfois être difficile, en vue de se dépasser; mais il ne doit certainement pas devenir une source de souffrance et, bien évidemment, il doit s’accompagner pour chacun d’entre nous de loisir et d’évasion.

La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.

The Conversationhttp://www.slate.fr/

Des plongeurs font une découverte unique au large de la Croatie


Partir en expédition touristique et trouver une épave vieille de 2 000 ans. Cela fait sa journée. En Croatie, un navire romain et son contenu est assez bien conservé
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Des plongeurs font une découverte unique au large de la Croatie

© Croatian Chamber of Economy, HGK.

Des plongeurs sont tombés sur l’épave d’un navire romain datant de 2.000 ans près de l’île de Pag, en Croatie.

Vedran Dorusic était parti en expédition avec des touristes lorsqu’ils ont fait l’incroyable découverte il y a trois semaines. L’épave contenait environ 600 amphores et d’autres objets relativement bien conservés.

« Nous avons déjà trouvé de nombreuses choses dans les fonds marins, mais faire une découverte pareille, nous n’avions jamais osé en rêver », a déclaré ce plongeur professionnel au magazine Croatia Week.

Un ancien port romain?

Une découverte pas si étonnante que cela puisque certaines traces indiqueraient que l’île de Pag, idéalement située en mer Adriatique, était à l’époque un port de l’empire romain.

Des recherches supplémentaires sont encore nécessaires, mais d’après les premières observations, l’épave remonterait au premier siècle avant notre ère. Cette découverte archéologique fait en tout cas les affaires du tourisme dans la région, qui dispose désormais d’une nouvelle attraction.

© Croatian Chamber of Economy, HGK.

© Croatian Chamber of Economy, HGK.

https://www.7sur7.be/7

Donald Trump met en garde Google, Twitter et Facebook


Donald Trump, n’aime pas ce qu’il trouve a son sujet sur Google. Il se plaint et faire des menaces aussi aux réseaux sociaux Facebook et Twitter et pourtant ce dernier, lui est très actif. Quand ce qu’on présente de négatif sur lui lors d’une recherche, ce sont des mensonges et de fausses nouvelles. Doit-on en rire ou en pleurer ?
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Donald Trump met en garde Google, Twitter et Facebook

 

« Google, Twitter et Facebook naviguent en eaux très... (photo Leah Millis, REUTERS)

« Google, Twitter et Facebook naviguent en eaux très troubles et doivent faire attention », a déclaré Donald Trump depuis le Bureau ovale.

PHOTO LEAH MILLIS, REUTERS

 

JEROME CARTILLIER, SÉBASTIEN DUVAL
Agence France-Presse
WASHINGTON

« Ils doivent faire attention ! » : le président Donald Trump a mis en garde mardi, depuis le Bureau ovale, Google, Twitter et Facebook contre ce qu’il estime être un manque d’impartialité.

Après un premier gazouilli matinal visant Google, accusé de truquer les résultats de son moteur de recherche au détriment des conservateurs, M. Trump a encore haussé le ton et élargi le champ de ses récriminations à deux autres géants de la technologie.

« Google, Twitter et Facebook naviguent en eaux très troubles et doivent faire attention », a-t-il lancé à l’issue d’une rencontre avec le président de la FIFA, Gianni Infantino.

« C’est injuste pour une grande partie de la population », a-t-il ajouté, évoquant sans autres précisions des milliers de plaintes. « Vous ne pouvez pas faire ça aux gens, vous ne pouvez pas ! » a-t-il martelé.

Ces accusations de partialité ont été fermement contestées par Google, qui a assuré ne pas orienter les résultats de son moteur de recherche vers « une quelconque idéologie politique ».

« Notre but est de nous assurer que les utilisateurs qui tapent une recherche dans la fenêtre Recherche de Google reçoivent le résultat le plus pertinent en quelques secondes », a insisté le géant des technologies, soulignant qu‘il apporte chaque année des centaines d’améliorations aux algorithmes qui pilotent la recherche.

Donald Trump a, semble-t-il, fait de bon matin une recherche Google sur son nom.

« Rechercher « actualités Trump » sur Google ne donne en résultats que le point de vue [et] les articles des médias de fausses nouvelles. En d’autres termes, c’est TRUQUÉ, à mon encontre et contre d’autres, afin que presque tous les articles et informations soient NÉGATIFS », a-t-il gazouillé, estimant que les médias républicains et conservateurs étaient « écartés ». « Illégal ? » a-t-il ajouté.

« Très inquiétant »

« Google et d’autres suppriment les voix des conservateurs et cachent les informations positives. Ils contrôlent ce que nous pouvons voir ou pas. C’est une situation très grave de laquelle on s’occupera ! » a-t-il ajouté.

« Nous nous penchons sur la question », a confirmé peu après Larry Kudlow, conseiller économique de Donald Trump, tout en restant très évasif sur les éventuelles enquêtes en cours.

Pour le Centre pour la démocratie et la technologie, la question de la partialité des algorithmes de recherche mérite d’être posée, mais une potentielle régulation gouvernementale représente un réel danger.

« Il est très inquiétant qu’un représentant du gouvernement, quel qu’il soit, essaie de mettre publiquement la pression sur une plateforme concernant des informations importantes pour notre démocratie », a indiqué à l’AFP sa présidente, Nuala O’Connor.

Pour Eric Goldman, responsable de l’Institut de droit des hautes technologies à l’Université de Santa Clara, « toute tentative de Trump de « rectifier » les résultats des moteurs de recherche violerait le premier amendement » de la Constitution américaine garantissant la liberté de la presse.

Cette attaque contre l’un des moteurs de recherche les plus populaires au monde s’inscrit dans une offensive plus générale lancée depuis plusieurs mois par Donald Trump contre « les géants des réseaux sociaux » qu’il accuse de « réduire au silence des millions de gens » et de pratiquer une forme de « censure ».

http://www.lapresse.ca/i

Le contenu des couches de votre bébé possède des pouvoirs insoupçonnés


La restauration de l’équilibre intestinale pourrait bien se faire avec les excréments des bébés. Il semble en effet, que les bébés pourraient aider à une bonne digestion en stimulant la production d’acides gras à chaîne courte, dans un système digestif qui en a pas.
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Le contenu des couches de votre bébé possède des pouvoirs insoupçonnés

 

par Brice Louvet

Une récente étude suggère que certains types de bactéries extraites des excréments de bébé pourraient favoriser la production d’acides gras à chaîne courte dans les intestins humains.

Du caca de bébé pour mieux digérer ? Des chercheurs de la Wake Forest School of Medicine, en Caroline du Nord (États-Unis), expliquent dans Scientific Reports avoir mis au point un « cocktail » probiotique dérivé de souches de bactéries intestinales présentes dans les excréments des bébés. Celui-ci serait capable d’aider notre corps à produire des acides gras à chaîne courte (AGCC). Ce fut du moins le cas chez la souris et dans un milieu simulant l’intestin humain. Le caca de bébé pourrait-il alors contribuer à une meilleure digestion ? Possible.

« Les acides gras à chaîne courte sont un élément clé d’une bonne santé intestinale », note Hariom Yadav, professeur adjoint de médecine moléculaire à la Wake Forest School of Medicine et principal auteur de l’étude.

« Les personnes atteintes de diabète, d’obésité, de maladies auto-immunes et de cancers ont souvent moins d’acides gras à chaîne courte. Leur augmentation peut être utile pour maintenir ou même restaurer un environnement intestinal normal et, espérons-le, améliorer la santé ».

Ainsi, un probiotique contenant les microbes contenus dans les excréments de nourrissons pourrait permettre de stimuler la production d’acides gras à chaîne courte, dans un système digestif qui en serait dépourvu.

Pour en arriver à de telles conclusions, les chercheurs expliquent avoir isolé 10 souches bactériennes sur 34 échantillons d’excréments de bébés – cinq espèces de bactéries Lactobacillus et cinq espèces d’Enterococcus. Ils ont ensuite sélectionné les souches jugées capables de fabriquer un cocktail probiotique de microbes pouvant non seulement survivre dans des intestins plus âgés, mais qui pourrait également stimuler la production d’acides gras à chaîne courte. Des tests effectués chez la souris et dans un environnement simulant les intestins humains ont alors montré que l’équilibre intestinal pouvait effectivement être restauré.

« Ce travail fournit des preuves que ces probiotiques d’origine humaine pourraient être utilisés comme traitements pour les maladies humaines associées au déséquilibre du microbiome intestinal et à la diminution de la production d’acide gras à chaîne courte dans l’intestin », conclut le chercheur.

Source

https://sciencepost.fr

Une nouvelle étude démontre l’inefficacité des oméga-3


On donne souvent des aliments ou autres qui sont une panacée pour la santé, ce qui en réalité n’est pas toujours le cas. Les oméga 3 ne sont pas nuisibles, mais ne servent pas à grande chose pour prévenir les maladies cardiovasculaires pour les diabétiques et ceux à risques. Cependant, rien n’est dit sur leur habitude alimentaire ce qui peut-être pourrait jouer un peu sur les résultats, mais sans doute pas significativement.
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Une nouvelle étude démontre l’inefficacité des oméga-3

 

GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO

Plus de 15 000 personnes diabétiques, sans maladie cardiovasculaire, ont participé à un essai en Grande-Bretagne.

  • Agence France-Presse

Les compléments d’oméga-3, des acides gras trouvés dans les poissons et recommandés pour prévenir les maladies cardiovasculaires, ne protègent en réalité pas les personnes diabétiques contre ces maladies, selon un grand essai britannique, qui s’ajoute à plusieurs études allant dans le même sens.

Plus de 15 000 personnes diabétiques, sans maladie cardiovasculaire, ont participé à un essai en Grande-Bretagne, dirigé par des chercheurs de l’université d’Oxford et financé par la British Heart Foundation. Les résultats ont été publiés dimanche dans le New England Journal of Medicine, la plus prestigieuse revue médicale aux Etats-Unis.

La moitié des participants se sont vus prescrire une capsule quotidienne d’oméga-3, tandis que l’autre moitié recevait, sans le savoir, une capsule placebo, composée simplement d’huile d’olive.

En moyenne, les patients ont été suivis pendant un peu plus de sept ans.

L’étude est d’autant plus significative que l’échantillon est très grand, plus de 15 000 personnes. En outre, les participants avaient été répartis de façon aléatoire entre les deux groupes, ce qui correspond à la méthode la plus rigoureuse pour observer l’effet éventuel d’un traitement donné.

Le résultat est que le nombre d’accidents cardiovasculaires graves, de cancers ou de morts était à peu près égal dans les deux groupes. Il n’y avait aucune différence statistiquement significative entre les deux.

Ces résultats montrent que pour les personnes diabétiques, prendre des oméga-3 tous les jours ne réduit par leurs risques de maladies cardiovasculaires.

En janvier 2018, une analyse de dix études portant sur 78 000 personnes, publiée dans la revue JAMA Cardiology, avait conclu que les oméga-3 ne prévenaient pas les maladies cardiovasculaires chez les personnes à risque, et pas seulement chez les personnes diabétiques.

D’autres études, en 2012, 2010 et auparavant, allaient dans le même sens. Mais le doute était entretenu par des études qui ne testaient pas selon une méthode aléatoire de placebo.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Ils découvrent un conservateur naturel plus efficace que les conservateurs chimiques !


Un conservateur naturel pour les aliments qui serait meilleur que les conservateurs chimiques ? Il semble que cela soit possible et donc moins dommageable sur la santé.
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Ils découvrent un conservateur naturel plus efficace que les conservateurs chimiques !

 

 

jus d'orange

Crédits : PxHere

par Yohan Demeure

Une équipe de chercheurs basée à Singapour a mis en évidence les propriétés des flavonoïdes (pigments végétaux) afin d’améliorer naturellement la durée de conservation des aliments. Or il s’avère que ce moyen naturel est plus efficace que les méthodes chimiques !

Pouvez-vous imaginer un seul instant que les conservateurs chimiques puissent devenir obsolètes afin de faire durer les produits alimentaires plus longtemps ?

Il s’agit justement de l’objectif que se sont donné des chercheurs de la Nanyang Technological University (Singapour), qui pensent tenir une piste très sérieuse. Selon un communiqué de l’établissement publié le 16 août 2018, les scientifiques estiment avoir trouvé un conservateur aux performances inégalables et surtout, naturel : les flavonoïdes. Ceux-ci sont des métabolites secondaires des plantes présents naturellement dans les fruits et légumes, et font office d’antioxydants.

Utilisés pour conserver la nourriture, ces flavonoïdes seraient – selon les chercheurs – plus efficaces que les conservateurs chimiques. Ces recherches, qui feront l’objet d’une publication dans la revue Food Chemistry en janvier 2019, sont plutôt une bonne nouvelle dans le paysage alimentaire actuel. En effet, les conservateurs chimiques sont présents un peu partout, comme c’est le cas des nitrates de sodium et autres nitrites, dont l’impact négatif sur la santé est fortement soupçonné.

Les scientifiques ont testé les flavonoïdes afin de montrer leur efficacité, notamment à température ambiante (sans réfrigération) sur de la viande et des jus de fruits. Les résultats ont montré que la nourriture enrichie en flavonoïdes pouvait être consommée durant deux jours à température ambiante, contre seulement 6 heures dans le cas des conservateurs artificiels ! Par ailleurs, les scientifiques ont indiqué que la méthode pourrait également s’appliquer dans la conservation des médicaments et autres cosmétiques.

Sources : Science DailyChannel NewsAsiaConsoGlobe

https://sciencepost.fr/