Le silence


Le silence est nécessaire non pas devant les injustices, mais devant des querelles, des différents, une personne en colère ou autres.
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Le silence

 

 

Parfois, il est préférable de ne rien dire et de laisser le silence s’occuper des choses.

Inconnu

10 chats qui ont un pelage absolument incroyable


     

    Parmi les millions de chats sur terre, certain on un pelage différent que ce soit une forme inusité, un mélange de couleur donnant un aspect particulier font des chats uniques.
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    10 chats qui ont un pelage absolument incroyable

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    Le moins que l’on puisse dire, c’est que certains chats ont un look vraiment à part. Du genre sur lequel tout le monde se retourne en souriant.

    On vous présente BatCat

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Un nez en coeur

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Chat double face

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Le chat toujours étonné

Duitang

Une belle moustache !

Un point (d’exclamation) c’est tout !

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Un pelage magnifique

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Vous avez vu ces sourcils ?

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Le Saviez-Vous ► Les incroyables prothèses de James Gillingham


Ce ne sont pas les premières prothèses, mais en Angleterre, un cordonnier a su utiliser son savoir-faire pour créer des jambes et des bras artificiels. Imaginez fin des années 1860 être sans bras, ou sans jambes était un défi de chaque jour. Il a su aussi se faire de la publicité et améliorer aussi le côté esthétique de ses prothèses
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Les incroyables prothèses de James Gillingham

 


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PAR MARINE GASC

 

Qui est monsieur Gillingham ?

.C’est un cordonnier qui a sa petite entreprise « The golden boot », héritée de ses parents, à Chard, en Angleterre. On ne sait pas grand-chose de sa vie avant 1866 car il mène une vie plutôt discrète et paisible, qui du coup, n’a pas le moindre intérêt. Puis en 1866, il fait la connaissance d’un homme qui a perdu un bras en utilisant, plutôt mal manifestement, un canon. Les médecins ne peuvent rien faire pour sauver le bras du malheureux garde-chasse de Chard, il doit donc vivre avec un bras manquant. Mais lorsque James apprend cette histoire, il décide d’essayer de lui faire un nouveau bras, complètement gratuitement et avec son seul savoir-faire. Vous vous en doutez, c’est une réussite.

La première prothèse de James Gillingham

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Le bras est confectionné en différente pièces de cuir avec des articulations métalliques, ce qui fait que la prothèse est à la fois solide et rigide. Le monde médical est éblouit par le talent de James Gillingham et le sollicite régulièrement, c’est pourquoi il décide de produire toute une série de membres artificiels. Pour adultes, pour enfants, des bras, des jambes… Il travaille de très près avec les chirurgiens, il expose ses prothèses, pose des brevets et les médecins, notamment Sir William Fergusson le chirurgien extraordinaire de la Reine, suivent ses conseils pour que les amputations soient parfaitement adaptées aux prothèses. Ainsi, de nombreuses personnes retrouvent leur mobilité. Le business fonctionne bien car en 1910, le cordonnier a créé et vendu plus de douze mille membres. Faut dire qu’à partir de 1862, une ligne de train joint Chard à Londres et d’autres villes importantes de l’Angleterre. Il faut moins d’une journée pour rencontrer le cordonnier salvateur et personne n’hésite à faire le trajet. James Gillingham réussit l’exploit de remettre debout un homme qui a perdu ses deux jambes et à offrir deux bras à celui qui n’en avait plus. On trouve dans le journal The Lancet, un article qui est consacré à James Gillingham :

La «jambe de cuir» est préparée selon un procédé connu seulement de l’inventeur; il est solide, léger et durable, facile à porter et ne risque pas de se dégrader; simple dans la construction, et aussi belle que la vie en apparence. Il ne prend pas une quinzaine de jours à faire, mais si nécessaire peut être complété en quatre jours. La «jambe de cuir» ne peut pas se vanter d’être applicable aux patients à distance, mais le patient doit être sur place, pour avoir le membre correctement ajusté et adapté à son cas individuel. Tous les cas ne se ressemblent pas: certaines souches sont trop courtes, d’autres trop longues; des muscles rétrécis à l’os, des extrémités ouvertes, de mauvais lambeaux, des montures raides, des maladies dans la souche, et bien d’autres difficultés connues seulement du praticien, qui rendent toute règle fixe en rendant une jambe ou un bras impossible.

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Ce qui fait la renommée de James Gilimgham, c’est aussi et surtout que c’est un excellent photographe qui a su mettre en valeur son savoir-faire par des clichés exceptionnels. Lorsqu’il décède en 1924, sa famille récupère l’entreprise jusque dans les années 1960.

Les photographies médicales et artistiques

James Gillingham aime la photographie, il a un petit studio dans sa maison, à l’arrière de son atelier. Il prend régulièrement des photos mais c’est lorsqu’il fabrique les premières prothèses qu’il décide de travailler l’esthétisme. Certaines photos ont des buts médicaux, il les transmet aux chirurgiens mais aussi pour sa communication.

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Mais on peut voir sur d’autres clichés de la beauté et même de la sensualité avec des vêtements retroussés et des mises en scène érotiques, en tout cas pour l’époque. Aujourd’hui, voir les genoux(même en cuir) d’une femme, comme d’un homme, ça n’a pas la même valeur qu’au début du siècle dernier.

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Var : des touristes veulent éliminer les cigales, trop bruyantes à leur goût


Des touristes comme eux, cela ne vaut même pas la peine d’essayer de les satisfaire. Heureusement, que le maire de l’endroit n’a pas cédé aux demandes d’insecticide pour se débarrasser des cigales.
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Var : des touristes veulent éliminer les cigales, trop bruyantes à leur goût

 

Des touristes, n'en pouvant plus du bruit des cigales, ont demande au maire d'une commune un produit pour << s'en debarasser >>.

Des touristes, n’en pouvant plus du bruit des cigales, ont demandé au maire d’une commune un produit pour « s’en débarasser ».

© Eric Estrade / MAXPPP / PHOTOPQR/NICE MATIN/ Eric Estrade

Avec les fortes chaleurs qu’a connues le sud de la France cet été, les cigales ont été très bavardes. Ce qui n’a pas plu à tout le monde, révèle France Bleu.

En vacances, certains touristes veulent du calme et du silence. À tel point que même le bruit des cigales les dérange. La maire de Beausset dans le Var en a fait la bien mauvaise expérience. Selon les informations de France Bleu, Georges Ferrero a reçu deux plaintes de vacanciers concernant le cymbalisé (nom donné au chant des cigales).

« Ils m’ont demandé : Est-ce que vous avez des produits insecticides pour passer sur les arbres ? Comment se débarrasser des cigales ? » a expliqué le maire de la petite commune située près de Toulon.

Les touristes auraient ensuite déclaré ne plus supporter les cigales. À cause d’elles, ils ne s’entendaient plus parler. Ils ont donc essayé de les éliminer en arrosant les arbres dans l’espoir de les faire taire.

«  Elles font crac-crac-crac…, ça n’a rien à voir avec un chant »

Devant la persévérance des insectes, ils ont pris la décision d’aller se plaindre au maire du village.

« J’ai été très choqué. Les cigales font partie de l’emblème de la Provence. Quand on vient dans le Sud, on sait qu’il y a des cigales. Nous, on est fier de les avoir ! » s’est désolé l’élu au micro de France Bleu, qui ajoute que les vacanciers ont même critiqué l’appellation « chant de la cigale  ». Selon eux, « elles font crac-crac-crac…, ça n’a rien à voir avec un chant ». 

Malgré l’insistance des touristes dont on ne connaît pas l’origine, aucune suite n’a été donnée à cette demande qui a suscité de vives réactions dans la commune. Déjà en 2016, des vacanciers avaient porté plainte pour nuisances contre les cigales dans les Bouches-du-Rhône.

Un peu plus tôt dans l’été, ce n’est pas le chant des cigales qui a engendré la colère des touristes, mais la cloche d’une église. En effet, une famille de Parisiens, en vacances dans le village Les Bondons en Lozère, au nord-est de Millau, avait été exaspérée par l’heure trop matinale à laquelle les cloches de l’église sonnaient. Ainsi, ils ont tenté de convaincre le maire de la décaler. Une demande qui n’avait, là encore, pas abouti. Quant aux cigales du Var, elles devraient fort heureusement retrouver un peu de tranquillité avec le départ des touristes et la rentrée qui approche.

http://www.lepoint.fr/

Le sable, autant indispensable que surexploité


On s’inquiète avec raison de l’eau potable, de nos forêts, de l’air bref, de nos ressources naturelles. A t’on pensé au sable ? C’est une ressource naturelle qui semble inépuisable et tellement utilisée, voir surexploiter. On utilise le sable dans beaucoup d’objets courant ainsi que dans la construction. Juste 1 km d’une autoroute prend 30 000 tonnes de sable et de granulats. C’est le sable de près des côtes, des plages qui ont le plus utilisé provoquant l’érosion des côtes. C’est une ressource qu’il va falloir gérer avec parcimonie dans l’avenir.
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Le sable, autant indispensable que surexploité

 

Un travailleur dans une carrière de sable.

Le sable est perçu à tort comme une ressource inépuisable, alors que l’utilisation qu’on en fait dirige le monde vers une pénurie. Photo : Associated Press/Brett Coomer

Si vous pensiez que le sable était une ressource inépuisable, détrompez-vous. Une pénurie est même annoncée, au rythme où l’humain maximise son utilisation au détriment de l’environnement.

Un texte de Daniel Blanchette Pelletier

Après l’air et l’eau, le sable est la ressource naturelle la plus exploitée sur la planète.

Bâtiments, routes, bouteilles de verre, écrans d’ordinateur, puces électroniques, cosmétiques, détergents… Le sable se trouve dans plus de 200 objets et activités industrielles au quotidien. Même le délavé de votre jean est obtenu grâce au sable.

C’est cependant le secteur de la construction qui en engloutit la majorité.

« Le béton est le matériau synthétique le plus utilisé au monde », confirme le directeur général de l’Association béton Québec, Luc Bédard.

Les 6 milliards de mètres cubes de béton produits annuellement par cette industrie mondiale sont composés d’eau, mais surtout de sable et de granulats.

Il en faut, par exemple, 200 tonnes pour construire une maison. Chaque kilomètre d’autoroute nécessite pour sa part 30 000 tonnes de sable et de granulats.

Qu’est-ce que le sable?

Le sable se définit en granulométrie par toute particule comprise entre 0,063 mm et 2 mm. Le granulat, pour sa part, est un fragment de roche dont la taille est inférieure à 125 mm.

Notre consommation de sable est aussi astronomique que semblent l’être nos réserves. On estime qu’il y a plus de 120 millions de milliards de tonnes de sable sur la planète.

La majeure partie de ce sable n’est cependant pas exploitable.

« Le désert du Sahara, par exemple, a une quantité de sable immense. Mais c’est un sable trop fin, qui ne convient pas au béton », explique Luc Bédard.

Des grains de sable vus de près.

Il existe différents types de sable. Celui du désert, par exemple, est inutilisable en construction. Photo : iStock

Il faut donc faire une distinction entre le sable du désert, plus arrondi, et le sable marin, dont les propriétés angulaires font qu’il s’agrège bien. C’est celui-là qui est prisé par l’industrie.

Environ 75 millions de tonnes de sable marin sont donc extraites chaque année à même les rivages.

La demande surpasse la nature

Un enjeu majeur pour notre utilisation du sable est que la nature en génère très peu et à un rythme très lent.

« À l’échelle humaine, le sable n’est pas renouvelable, car il faut des milliers d’années à des centaines de milliers d’années pour le former », explique Éric Chaumillon, professeur en sciences de la Terre à l’Université de La Rochelle.

Le sable découle d’un processus naturel d’érosion. La roche, altérée par des intempéries, notamment, se fragmente en plus petites particules, qui sont ensuite transportées par les rivières jusque dans les lacs et les océans.

Or, l’humanité consomme environ 40 milliards de tonnes de sable et de granulats par an, soit le double de ce que l’ensemble des fleuves mondiaux exporte vers les océans.

L’humain est devenu une force géologique aussi importante que l’érosion planétaire. Éric Chaumillon, Université de La Rochelle

Les carrières de sable vidées, les berges et les anciens lits de rivières exploités à leur plein potentiel, il a fallu se tourner vers les océans pour combler les besoins.

De l’excès à la démesure

L'immense tour pointe vers le ciel.

La plus grande tour du monde, Burj Khalifa, a nécessité l’importation de quantités prodigieuses de sable à Dubaï pour assurer son édification. Photo : Getty Images/Robert Hoetink

« On s’oriente aussi de plus en plus vers la mer en raison du développement démographique », explique Éric Chaumillon.

Des pays à petite surface, ayant de moins en moins de place pour développer leurs infrastructures, préfèrent ne pas sacrifier leurs terres pour ouvrir de nouvelles carrières de sable ou de granulats à ciel ouvert.

C’est le cas de l’Angleterre et de la Belgique, cite en exemple l’expert européen. Mais la surutilisation de sable a aussi entraîné des dérives ailleurs dans le monde.

Singapour a même gagné une partie de son territoire sur la mer. L’archipel asiatique s’est étendu de plus de 20 % en 40 ans, passant de 580 à 720 kilomètres carrés en important de grandes quantités de sable des pays voisins pour les étendre dans la mer. Le petit pays d’une superficie à peine plus grande que celle de Toronto est le plus grand importateur de sable du monde.

Une visualisation de Singapour de la NASA.

Singapour s’est étendue sur la mer en l’espace de 40 ans.  Photo : NASA

La dérive s’illustre aussi à Dubaï, qui a importé d’énormes quantités de sable de l’Australie après avoir épuisé les siennes pour construire gratte-ciel et îles artificielles. L’aménagement de ces îles aux formes distinctives dans le golfe Persique a nécessité plus d’un demi-milliard de tonnes de sédiments.

Un visualisation de Dubaï par la NASA.

L’image de Dubaï est maintenant associée à ces îles artificielles sorties de nulle part.  Photo : NASA

La demande croissante en sable au Moyen-Orient et en Asie a même contribué au développement d’un marché noir et à l’émergence d’une mafia documentée en Inde.

C’est aussi dans cette région du monde que les conséquences ont commencé à être observées : des plages et des îles entières ont disparu après un pillage massif de sable.

Quel cadre législatif pour le sable?

Il est difficile d’évaluer la réelle problématique du sable, puisque son utilisation est peu répertoriée dans certaines régions du monde.

L’absence de législation est aussi un problème. Des gouvernements ont discrètement commencé à réglementer son exploitation, en interdisant le dragage dans les rivières et les océans ou les exportations massives vers l’étranger. Aucune convention internationale ne régule cependant l’extraction, l’utilisation ou les échanges de sable.

Augmenter le prix du sable et taxer l’exploitation des carrières font partie des solutions proposées par les Nations unies pour s’attaquer au problème.

Des conséquences à court et à long terme

Une dame ramasse des coquillages sur la plage.

Les plages du monde entier se vident de leur sable. Ici, sur l’un des atolls des îles Marshall, les arbres tombent dans l’océan Pacifique en raison de l’érosion côtière. Photo : Associated Press/Rusty Middleton

Prendre le sable des plages ou le pomper dans l’océan fragilise la défense naturelle des côtes.

Chaque trou créé par le pompage au fond de la mer est comblé par les vagues, qui vont chercher le sable des plages. Vidées de leur sable, les plages ne jouent plus leur rôle de frein de l’érosion côtière.

Avec le réchauffement climatique, la montée des eaux devient donc de plus en plus problématique.

« La barrière sédimentaire, soit l’ensemble plage sous-marine, plage et dune, est la meilleure protection contre les assauts de l’océan », prévient Éric Chaumillon.

« Appauvrir les barrières dans un contexte d’élévation du niveau marin est une erreur qui coûtera très cher, puisque la moitié de l’humanité vit à proximité des côtes », poursuit-il.

Sans une prise de conscience rapide du problème, plusieurs villes côtières risquent gros en raison de l’érosion et de la submersion appréhendées dans les prochaines décennies.

https://ici.radio-canada.ca/

Des problèmes de digestion ? Mangez des criquets !


Une vingtaine de volontaires pour un laps de temps de 4 semaines n’est pas très représentatif pour admettre que manger des criquets aide à la digestion. Cependant, les insectes sont riches en protéine et fibres qui ne font donc pas de tort pour le microbiote intestinale, et c’est un plus pour l’environnement.
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Des problèmes de digestion ? Mangez des criquets !

 

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Crédit : Wikipédia

par Yohan Demeure

Selon des chercheurs américains, la consommation de criquets agirait de manière positive sur notre microbiote intestinal, en plus d’être plus respectueuse de l’environnement.

L’entomophagie – c’est-à-dire la consommation d’insectes par l’être humain – a tendance à se développer petit à petit dans les sociétés occidentales. Dans certaines contrées d’Asie, d’Afrique ou du continent américain, cela fait longtemps que ce genre de régime est dans les mœurs.

Alors que le commerce d’insectes à des fins alimentaires émerge en occident, une étude estime que le fait de manger des criquets serait bénéfique pour la digestion. Elle a été menée par le Nelson Institute for Environmental Studies de l’Université de Wisconsin–Madison (États-Unis) et publiée dans la revue Scientific Reports le 17 juillet 2018.

« Il y a actuellement beaucoup d’intérêt pour la consommation d’insectes comestibles. Celle-ci gagne du terrain en Europe et aux États-Unis en tant que source de protéines durable et écologique, par rapport au bétail traditionnel », a déclaré Valerie Stull, récente doctorante et principale meneuse de l’étude, qui a par ailleurs mangé son premier insecte à 12 ans.

L’étude a porté sur une vingtaine de volontaires, qui durant quatre semaines ont consommé 25 grammes de poudre de criquet chaque jour au petit déjeuner. Les meneurs de l’étude ont conclu que manger des criquets est bénéfique pour le microbiote intestinal, en ce qu’ils améliorent sa santé et réduisent l’inflammation systémique du système digestif. Ceci s’explique tout simplement par le fait que la viande de criquet est riche en fibres.

Selon les scientifiques, les volontaires ayant ingéré la fameuse poudre de criquets durant presque un mois ont multiplié par 5,7 la croissance des bactéries probiotiques. Ce sont des micro-organismes vivants (bactéries ou levures) responsables d’une meilleure santé intestinale.

Par ailleurs, l’étude évoque l’intérêt de la culture d’insectes d’un point de vue environnemental. Nous savons tous à quel point l’élevage industriel est polluant et gourmand en eau, ce qui est beaucoup moins le cas en ce qui concerne la culture d’insectes. Il faut tout de même savoir que près de 2 milliards de personnes consomment des insectes dans le monde, dans un peu moins de la moitié des pays du globe. Toutefois, ce chiffre est amené à augmenter à l’avenir.

Sources : Technology NetworksConsoGlobe

https://sciencepost.fr/

Les chats naviguaient avec les Vikings à la conquête du monde, selon cette étude


Le chat est un animal vivant près des hommes depuis des millénaires. Son origine semble être du Moyen-Orient et de l’Égypte d’ou son expansion, mais il y aurait aussi une deuxième expansion de cet animal par les Vikings.
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Les chats naviguaient avec les Vikings à la conquête du monde, selon cette étude

 

Crédits : strangehistory.net

par  Malaurie Chokoualé 

Les chats règnent sur le monde.

En 2013, il y en avait 600 millions sur Terre d’après l’organisation de recherche Ecology Global Network. Aujourd’hui, aucun animal de compagnie n’est plus populaire qu’eux. Ce ne sont pas les Vikings qui diront le contraire. Selon une étude publiée en septembre 2016 dans la revue scientifique Nature, des chats vikings ont existé.

Les chercheurs ont toujours voulu retracer les origines de ces félins et leur mode d’expansion. Tout ce que l’on savait sur nos (meilleurs) amis à quatre pattes avant l’étude de 2016, c’est qu’ils avaient été domestiqués au Proche-Orient et en Égypte voici 15 000 ans, avant de se répandre à travers le monde. La présente étude a séquencé l’ADN de restes de 209 chats datés entre le XIIIe siècle avant J.-C. et le XVIIIe siècle après J.-C., retrouvés sur une trentaine de sites archéologiques en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique.

En analysant les différents ADN, l’équipe de chercheurs franco-britannique a constaté que les chats n’avaient pas connu une, mais bien deux vagues d’expansion. Tout d’abord, vous le savez peut-être déjà, lors de l’établissement de premières communautés agricoles il y a environ 3 700 ans, des chats se sont répandus car ils étaient attirés par les souris, elles-mêmes attirées par les grains.

Ensuite, une autre vague d’expansion a été attribuée à d’anciens marins et à des Vikings, car les chats ont probablement été emmenés à bord pour s’occuper des rongeurs. Eva-Maria Geigl, généticienne évolutionniste de l’institut français Jacques-Monod, a par exemple fait mention de restes de chats trouvés sur un site de Vikings dans les nord de l’Allemagne datant des VIIIe et XIe siècles après J.-C. Cette deuxième vague d’expansion était inconnue jusque-là. Il s’agit ici des conclusions initiales de l’équipe, qui pourraient être modifiées suivant de futures analyses.

Sources : Nature

http://www.ulyces.co/

La mort avance à deux millimètres à l’heure


Une observation assez étonnante pour savoir comment la mort survient sur les cellules et a quelle vitesse, car je présume que pendant toute une vie que la mort avance à pas feutré jusqu’à la date de péremption d’une personne.
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La mort avance à deux millimètres à l’heure

 

Vetta

JOSHBLAKE VIA GETTY IMAGES

Vetta

Ils ont vu la mort avancer, et elle ne ressemblait pas à une vieille dame habillée de noir.

Agence Science-Presse

Ils ont vu la mort avancer, et elle ne ressemblait pas à une vieille dame habillée de noir, portant une faux. C’était plutôt une « vague » microscopique, se déplaçant à l’intérieur d’une cellule : la destruction de chaque composant de la cellule entraînant la destruction de la suivante.

Plus exactement, il s’agit d’auto-destruction : le mécanisme que décrivent deux chercheurs de l’Université Stanford dans la revue Science, c’est ce qu’on appelle littéralement le « suicide » d’une cellule (ou apoptose), souvent déclenché dans le but de protéger le reste de l’être vivant. Ces deux biologistes expliquent avoir observé ce « signal » d’auto-destruction en train de se « diffuser », à une vitesse moyenne d’environ 30 micromètres à la minute, ou l’équivalent de deux millimètres à l’heure.

Ce type de « vague de déclenchement » (trigger wave) est probablement, écrivent-ils, un élément courant des signaux chimiques par lesquels communiquent les cellules — c’était juste trop petit et trop rapide pour avoir été observé jusqu’ici.

https://quebec.huffingtonpost.ca/