Le bonheur est un papillon


Chercher le bonheur ailleurs ne donne pas grand chose, souvent, il vient nous rendre visite dans des petits moments, mais nous sommes trop occupés pour l’apprécier à sa pleine valeur
Nuage

 

Le bonheur est un

papillon

 

«Le bonheur est un papillon qui, lorsqu’il est poursuivi, est toujours juste au-dessus de votre portée, mais qui, si vous vous asseyez tranquillement, peut se poser sur vous»

Nathaniel Hawthorne

Le Saviez-Vous ► 7 catégories de tourisme noir


Peut-être vous êtes de ceux que les vacances ne riment pas avec plage. Le tourisme pour vous seraient plus relié à l’histoire. Il y a des sites à visiter qui donne des leçons à l’humanité, alors que d’autres, c’est carrément pour l’argent et non vraiment pour la cause. Tous ces lieux doivent  être marqué de  notre respect, des gens y vécut.
Nuage

 

7 catégories de tourisme noir

 

Voici sept endroits qui aident à saisir les différents types de tourisme noir.

Sites commémoratifs

Comme à Hiroshima, à Auschwitz ou à New York, ce sont des endroits où on met l’accent sur la mémoire des victimes, où leur histoire est honorée. Ce sont eux qui nous enseignent les leçons.

Catastrophes naturelles

Comme à Armero, à Pompéi ou à Fukushima (Colombie, Italie, Japon). Ces trois endroits ont subi les foudres de dame Nature et on y a préservé d’une quelconque façon les ruines et les souvenirs.

Mausolées

Ce sont des endroits liés directement aux rituels entourant la mort, avec des éléments solennels, comme les cimetières, ou d’autres qui présentent la mort sans fioritures, comme les Catacombes de Paris (où l’on retrouve plus de 6 millions de squelettes).

Champs de bataille

Des lieux de batailles sanglantes qui ont changé le cours de l’histoire et fauché la vie de milliers de soldats, comme à Gettysburg et à Waterloo. Plusieurs de ces sites reconstituent les batailles annuellement, comme c’est le cas pour se remémorer la Guerre civile américaine.

Génocides

Du musée commémoratif de Kigali, qui rappelle le génocide du Rwanda de 1994 et ses victimes, aux champs de la mort du Cambodge. Les sites de torture sont aussi englobés dans cette catégorie.

Scènes de meurtres

Du bâtiment Dakota, où John Lennon a été assassiné, à l’East End Street de Londres, où Jack l’éventreur a commis plusieurs de ses crimes.

Prisons

Des sites les plus impénétrables, comme Alcatraz, jusqu’aux plus macabres et anciens, comme les cellules sombres et humides de Castillo de San Felipe, à Carthagène, en Colombie.

 

Par Luz Lancheros

Metro World News

http://journalmetro.com

Une «marée rouge» décime la population aquatique de la côte ouest de la Floride


Un désastre naturel qui généralement est de moindre envergure, mais ce que connais certaines villes en Floride est un désastre pour les animaux marins. Même si cela est naturel, il se peut que l’agriculture, les déchets mal traités aide à la prolifération de ces algues toxiques.
Nuage

 

Une «marée rouge» décime la population aquatique de la côte ouest de la Floride

 

 

Agence France-Presse
SARASOTA

Les autorités ont décrété l’état d’urgence en Floride, où une «marée rouge» dévastatrice noircit l’eau de mer et tue dauphins, tortues marines et poissons à un rythme effréné.

Rien que ce mois-ci, plus de cent tonnes d’animaux marins ont été ramassées sur des plages désertes et empestées par une odeur nauséabonde autour de la ville de Sarasota, sur la côte ouest de la Floride, normalement très prisée des touristes.

Depuis le 7 août, douze dauphins se sont échoués sur le rivage du comté, tous morts, un bilan équivalent à celui d’une année entière normalement.

«C’est physiquement et mentalement épuisant», lâche Gretchen Lovewell, du Mote Marine Laboratory, en charge d’une équipe recueillant les tortues et les mammifères marins en détresse ou décédés.

La marée rouge, «red tide» en anglais, est un phénomène naturel provoqué par le Karenia brevis, un organisme unicellulaire microscopique surtout présent dans le golfe du Mexique. Il relâche une neurotoxine puissante pouvant se propager dans l’air, causant migraines, toux et crises d’asthme chez l’homme.

Le Karenia brevis se retrouve tout au long de l’année en faible quantité. Mais si ces organismes se multiplient, le péril est grand pour les animaux. Les tortues marines et les lamantins risquent de respirer leurs neurotoxines ou de mourir en ayant mangé des poissons ou des algues infectés.

Il s’appelait Speck

Dimanche, près de Siesta Key, classée parmi les plus belles plages des États-Unis, Mme Lovewell a été appelée pour récupérer un dauphin en décomposition.

Il s’appelait Speck. Il avait 12 ans.

«C’était bouleversant», raconte Randall Wells, directeur du programme de recherches sur le dauphin de la baie de Sarasota.

Le scientifique sort une carte attestant de tous les endroits où Speck a été aperçu par les chercheurs ces dernières années.

La mère et la grand-mère du dauphin avaient également été suivies à la trace. Elles sont mortes en avalant du matériel de pêche.

«Speck, on le connaissait depuis sa naissance», se remémore Wells. «On lui avait donné le nom de mon père.»

Le phénomène qui touche actuellement la Floride a débuté en octobre 2017, mais il s’est largement accentué ces dernières semaines, se propageant sur la côte ouest de l’État, de Tampa à Naples, sur une distance de 320 kilomètres.

L’agriculture industrielle et un mauvais traitement des déchets peuvent favoriser la prolifération des algues toxiques, bleues ou vertes, un autre problème qui touche les eaux de Floride. Et il en serait de même pour la marée rouge, selon des experts.

Le tourisme en souffre

L’odeur du poisson en décomposition a fait mal à l’économie locale, privée de millions de dollars des revenus provenant de la pêche et du tourisme en haute saison.

«Notre vie, c’est le tourisme ici dans le sud-ouest de la Floride», se lamente Omar Botana, propriétaire d’un commerce de location de bateaux à Bonita Springs, au nord de Naples.

«Ça a touché notre commerce à hauteur de 40 % je dirais», confie-t-il.

Les riverains touchés espèrent que des mesures vont être prises, comme la construction de lacs de retenue afin de traiter l’eau, ou une utilisation réduite d’engrais favorisant la prolifération d’algues nuisibles.

Après la dernière marée rouge d’envergure, en 2005-2006, les dauphins avaient continué à en souffrir, note Randall Wells.

Seuls deux dauphins auraient été tués à l’époque à cause des toxines. Mais de très nombreux poissons étaient morts, poussant les cétacés affamés à se rabattre sur les filets de pêche, qui représentent pour eux un risque conséquent.

http://www.lapresse.ca/

Un hippocampe de la taille d’un grain de riz découvert au Japon


Un nouveau venu chez les hippocampes, plus précisément chez les hippocampes pygmées. C’est au Japon que ces petites bêtes pas plus grosses qu’un grain de riz vivent. Leur petitesse permet de se protéger des prédateurs et des humains qui cherchent des hippocampe pour la médecine chinoise ou encore pour mettre dans les aquariums.
Nuage

 

Un hippocampe de la taille d’un grain de riz découvert au Japon

 

 

Vidéo de deux Hippocampus japapigu près de rochers. © Akira Bingoeral 2007/Youtube/ Zookeys2018

Marie-Céline Ray
Journaliste

    Ce minuscule hippocampe coloré a été nommé Hippocampus japapigu pour sa ressemblance avec un bébé cochon (Japan pig). Il appartient à la famille des hippocampes pygmées qui compte désormais sept espèces.

    Ce minuscule « cochon du Japon » est une nouvelle espèce d’hippocampe pygmée décrite dans un article paru dans la revue ZooKeys. De la taille d’un grain de riz (15 millimètres), cet animal coloré vit dans des eaux peu profondes au large des côtes japonaises.

    Le petit hippocampe avait déjà été observé, il y a plusieurs années, lors d’études de la faune vivant au large de l’île Hachijo-jima, à 287 kilomètres au sud de Tokyo. Des animaux comparables ont été vus par des plongeurs locaux au sud-est du Japon. Toutes ces images ont attiré l’attention des scientifiques qui se sont penchés sur son cas pour se rendre compte qu’il était vraiment unique dans la famille des hippocampes pygmées.

    Le saviez-vous ?

    Les hippocampes pygmées mesurent entre 13,6 et 26 millimètres. Comme leur nom l’indique, ils sont plus petits que les autres hippocampes qui font entre 24 et 350 millimètres de long. La première espèce d’hippocampe pygmée, H. bargibanti, a été décrite en 1970 et toutes les autres après 2000.

    Dans leur article, les chercheurs décrivent la nouvelle espèce grâce à trois spécimens qui mesuraient entre 13,9 et 16,3 millimètres. Les scientifiques l’ont appelé Hippocampus japapigu, une forme latinisée de Japan pig.

    Graham Short, ichtyologiste de l’Académie des sciences de Californie a expliqué au National Geographic que l’animal méritait cette appellation parce que pour les personnes qui l’ont observé sur place, «  il ressemble à un petit cochon ».

    Le nouvel hippocampe pygmée vit près de coraux et de rochers couverts d’algues à des profondeurs de 5 à 22 mètres. D’autres hippocampes pygmées vivent dans des eaux plus profondes.

    La septième espèce d’hippocampe pygmée

    Les chercheurs ont confirmé qu’il s’agissait bien d’une nouvelle espèce, la septième décrite chez les hippocampes pygmées, dont cinq sont présentes au Japon. Le petit cochon japonais diffère des autres, par exemple à cause d’une arête spéciale sur le haut de son dos et composée de triangles osseux.

     Comme les autres hippocampes pygmées, le Japan pig possède sur son dos une structure ressemblant à des ailes, mais contrairement aux autres qui en ont deux paires, Japan pig n’en possède qu’une. Le nouvel animal décrit partage avec les autres hippocampes pygmées une caractéristique curieuse : la présence d’une fente en haut du dos pour sa respiration branchiale, alors que les autres hippocampes ont deux ouvertures, de chaque côté de la tête : 

    « C’est comme si vous aviez un nez derrière votre cou », explique Graham Short.

    Les petits « cochons du Japon » ne semblent pas particulièrement rares, même si leur habitat est un peu inhabituel pour un hippocampe : l’eau est plutôt froide dans ces régions en hiver et chaude en été, alors que souvent les hippocampes ne tolèrent pas les changements importants de température. Les hippocampes pygmées mangent du plancton, comme des copépodes et d’autres petits crustacés.

    Les populations d’hippocampes plus grands sont en déclin dans beaucoup de régions du monde, car ils sont pêchés pour la médecine chinoise et pour l’aquariophilie, explique Graham Short, mais selon lui « cela ne sera jamais un problème pour les hippocampes pygmées, car ils sont trop difficiles à trouver ».

    En étant plus petits, ils échappent à des prédateurs mais aussi à l’attention des hommes…

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Une nouvelle espèce d’hippocampe pygmée, la septième, a été découverte au Japon.

  • Elle mesure entre un et deux centimètres de long.

  • Ces petits hippocampes ont été nommés Hippocampus japapigu, à cause d’une certaine ressemblance avec des bébés cochons (Japan pig).

https://www.futura-sciences.com/

 

4

Un voleur affamé est recherché après avoir dérobé 100 000 $ de nouilles ramen


Ce n’est peut-être pas vraiment pour les nouilles ramen qui étaient convoitée, mais le camion-remorque. En tout cas, le voleur pourra quand même bouffer ou vendre le contenu et le camion pour se faire beaucoup d’argent, s’il n’est pas arrêter avant,
Nuage

 

Un voleur affamé est recherché après avoir dérobé 100 000 $ de nouilles ramen

 

JAT306 VIA GETTY IMAGES

Les policiers enquêtent le vol d’un camion contenant beaucoup d’emballages de soupe.

 

Quelqu’un avait vraiment envie de nouilles.

Un voleur ayant un faible pour la soupe court toujours en Géorgie après que les policiers de Fayette County eurent découvert que quelqu’un avait dérobé près de 100 000 $ en nouilles ramen.

Les policiers enquêtent sur le vol d’un camion-remorque contenant des caisses de soupe, selon Fox 5 Atlanta. Le camion de 53 pieds était stationné à une station-service Chevron en bord de l’autoroute 85 nord. Le crime est survenu entre le 25 juillet et le 1er août.

Le shérif du coin soutient que le camion était verrouillé pendant cette période. Le propriétaire a estimé la valeur à 98 000 $ de nouilles ramen à bord.

Que fait quelqu’un avec autant de ramens? On l’ignore! On ne connaît pas non plus la marque de nouilles à bord. Toutefois, un paquet de marque Maruchan est vendu 0,29$ chez Target, alors vous pouvez vous imaginer le volume impressionnant de ramen pour que cela équivaille à 98 000 $.

Ce texte initialement publié sur le HuffPost États-Unis a été traduit de l’anglais.

 

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Des hackers peuvent infiltrer un réseau à l’aide d’un simple fax


Mieux vaut prévenir que guérir et c’est aussi valable en informatique. Ce fut une bonne question de savoir si un fax peut se pirater. Une réponse qui permet de corriger la faille
Nuage

 

Des hackers peuvent infiltrer un réseau à l’aide d’un simple fax

 

Pour exploiter les failles existantes au niveau des protocoles de communication des fax, les hackers n’ont besoin que du numéro de fax de la société visée, lequel numéro est très souvent facile à obtenir. © getty.

Source: Belga

Les fax sont peut-être démodés mais de nombreuses entreprises en disposent encore d’un exemplaire. Et ces appareils représentent un risque en matière de sécurité informatique, selon une enquête menée par Check Point.

Les chercheurs de cette société américaine de sécurité informatique ont montré que des pirates informatiques peuvent infiltrer n’importe quel réseau d’une entreprise ou d’un domicile en utilisant une imprimante-fax.

Pour exploiter les failles existantes au niveau des protocoles de communication des fax, les hackers n’ont besoin que du numéro de fax de la société visée, lequel numéro est très souvent facile à obtenir.

Les chercheurs de Check Point sont parvenus à pirater un réseau au départ d’une imprimante-fax HP mais les mêmes protocoles de communication sont utilisés par des millions d’autres appareils de ce type d’autres marques, soulignent-ils.

Check Point dit encore avoir mis au point, en collaboration avec HP, un logiciel correcteur, sous la forme d’une mise à jour, permettant de supprimer ce risque de sécurité.

https://www.7sur7.be/

Dormir dehors, mourir à petit feu


Les sans-abris qui dorment dehors ont un plus haut taux de mortalité que ceux qui vont dans les refuges. Leur santé n’est pas assez surveillée qu’il est souvent trop tard pour faire quelque chose. Les noirs et les femmes qui dorment à l’extérieur ont un taux de mortalité moins grands qu’un blanc.
Nuage

 

Dormir dehors, mourir à petit feu

Selon une nouvelle étude, les sans-abri qui dorment... (Photo Marco Campanozzi, Archives La Presse)

Selon une nouvelle étude, les sans-abri qui dorment régulièrement à l’extérieur ont un taux de mortalité près de trois fois supérieur aux sans-abri qui fréquentent les maisons d’accueil.

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

 

MATHIEU PERREAULT
La Presse

Les sans-abri qui couchent dehors ont un taux de mortalité près de trois fois supérieur aux sans-abri qui fréquentent les maisons d’accueil, révèle une nouvelle étude.

L’un des gros problèmes est que ces sans-abri, réfractaires aux maisons d’accueil, développent des problèmes de santé chroniques, comme le cancer ou la cardiopathie, qui sont détectés trop tard pour être traités.

MOURIR À 53 ANS

En 2000, Jill Roncarati a identifié 445 sans-abri dormant régulièrement à l’extérieur durant la nuit, plutôt que dans un refuge, à Boston. La psychologue de l’Université Harvard les a suivis pendant neuf ans. Pendant cette période, 134 d’entre eux sont morts, à un âge moyen de 53 ans.

« Cela signifie qu’ils ont un taux de mortalité 10 fois plus élevé que la moyenne de la population et 2,7 fois plus élevé que la population générale des sans-abri », explique Mme Roncarati, qui vient de publier ses résultats dans la prestigieuse revue JAMA Internal Medicine.

COEUR ET CANCER

L’hypothermie n’explique pas ce taux de mortalité élevé des sans-abri ne fréquentant pas les refuges la nuit.

« Seulement une des 134 morts est directement liée au froid, dit Mme Roncarati. […] La grande différence, c’est sur le plan des maladies chroniques – le coeur et le cancer. Elles sont diagnostiquées beaucoup plus tard chez les sans-abri qui ne fréquentent pas les refuges la nuit. Même s’il y a des équipes qui les visitent régulièrement et que beaucoup d’entre eux fréquentent des refuges de jour, ils n’ont pas un suivi aussi serré. »

NOIRS ET FEMMES

Les Noirs qui dorment à l’extérieur ont un taux de mortalité deux fois moins élevé que les Blancs non hispaniques qui dorment à l’extérieur.

 « C’est une différence raciale qu’on a souvent vue ailleurs dans des études sur les sans-abri, mais que personne n’a jamais réussi à expliquer, dit Mme Roncarati. Les femmes aussi dans notre étude avaient un taux de mortalité trois fois moindre. Dans ce dernier cas, l’hypothèse souvent retenue est qu’il est moins difficile pour une femme que pour un homme de demander de l’aide pour un problème de santé. »

À MONTRÉAL AUSSI

Le constat de l’étude du JAMA Internal Medicine est probablement similaire à la situation montréalaise, estime Éric Latimer, chercheur de l’Institut Douglas qui a dirigé un dénombrement des sans-abri montréalais en mars 2015.

« Je n’ai jamais vu de chiffres, mais c’est ce qu’on entend sur le terrain », dit M. Latimer.

Pierre Gaudreau, directeur du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM), confirme ce constat. « Si on regardait la santé des sans-abri qui dorment à l’extérieur, on trouverait beaucoup de problèmes de santé cardiaque et de cancers non diagnostiqués. »

3016

NOMBRE DE SANS-ABRI À MONTRÉAL SELON UN DÉNOMBREMENT EN MARS 2015

429

NOMBRE DE SANS-ABRI QUI DORMAIENT À L’EXTÉRIEUR À MONTRÉAL SELON LE DÉNOMBREMENT DE MARS 2015

Source : Institut Douglas

L’ALCOOL DANS LES REFUGES

Deux voies s’ouvrent pour s’attaquer aux problèmes de santé des itinérants qui ne dorment pas dans les refuges, selon Mme Roncarati.

« Soit on augmente le suivi médical itinérant, mais on en fait déjà beaucoup […]. Soit on essaie d’en convaincre de dormir dans les refuges. Un certain nombre d’entre eux n’y vont pas parce qu’ils ne peuvent pas se passer d’alcool, de drogue ou de cigarettes pendant toute une nuit. On pourrait penser à des politiques permettant de sortir fumer pendant la nuit sans perdre son lit. Ou alors, à des refuges où il est permis de boire une certaine quantité d’alcool. Il y en a un à Toronto. »

http://www.lapresse.ca/