Bien dit !!! Déjà que ceux qui ont un fort ego, n’ont sûrement pas besoin d’en avoir plus
Nuage
Ego
Jamais d’accent sur le e de ego ! Ce serait un pléonasme puisqu’un ego ne cesse de mettre l’accent sur lui.
Bernard Pivot
Bien dit !!! Déjà que ceux qui ont un fort ego, n’ont sûrement pas besoin d’en avoir plus
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Ego
Jamais d’accent sur le e de ego ! Ce serait un pléonasme puisqu’un ego ne cesse de mettre l’accent sur lui.
Bernard Pivot
Elles trouvent leurs ongles longs sexy. Il faut toujours qu’elles fassent attention pour manger, boire, se peigner, maquiller, s’habiller, lacer des bottes, aller au toilette,, texter et le reste …
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Des femmes aux ongles longs
Sur cette carte, vous pouvez savoir ou était votre ville entre 750 millions à o. Pas obliger d’écrire l’adresse au complet juste la ville et le pays est suffisant …
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Où se trouvait votre maison il y a 600 millions d’années?
La Terre à l’époque de la Pangée. © Ancient Earth Globe.
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Si vous vous êtes déjà demandé où se situait votre domicile au temps de la Pangée, voici la réponse.
Vous le savez certainement, notre belle planète bleue n’a pas toujours eu l’aspect que nous lui connaissons aujourd’hui. Avant nos continents, il y en avait un unique qui s’appelait la Pangée, un terme issu du grec ancien qui signifie « toutes les terres. »
Ce supercontinent a éclaté au cours du Trias, il y a 200 millions d’années et s’est divisé en deux continents: le Gondwana au sud et la Laurasie au nord. Plusieurs millions d’années plus tard, ces terres se morcelleront encore suivant la dérive des continents pour donner naissance à l’Eurasie et l’Amérique du Nord ainsi qu’à l’Amérique du Sud, l’Afrique, l’Océanie et l’Antarctique.
En 2018, une carte conçue à partir des données de l’université de l’Arizona du Nord permet d’observer la Terre à l’époque de la Pangée. Rien d’exceptionnel bien sûr, si ce n’est qu’elle permet également de situer par exemple votre maison à l’endroit où elle se trouvait voici plusieurs centaines de millions d’années. Un gadget amusant, qui le serait évidemment encore plus avec l’ajout d’une fonctionnalité similaire à Google Street View. Mais tout vient à point à qui sait attendre…
C’est un témoin qui raconte l’évènement passé au métro de Toronto au Canada. Des gens ont sauté sur les rails sans savoir si un train approchait et que le courant soit éteint pour sauver un non-voyant qui a fait une chute. Elle le raconte pour démontrer qu’il existe encore des bonnes personnes.
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Selon un porte-parole de la Commission, l’homme tombé sur les rails jeudi a été transporté à l’hôpital.
THE CANADIAN PRESS
OLIVIA BOWDEN
La Presse Canadienne
TORONTO
Les témoins d’un accident survenu jeudi après-midi, dans le métro de Toronto, n’ont pas hésité à se porter à la rescousse d’un homme aveugle tombé sur les rails, rapporte l’une d’entre eux.
Julie Caniglia raconte qu’un passager de son wagon a sauté sur les rails et traversé vers le quai opposé, duquel avait chuté l’homme.
Elle salue le courage de ce bon samaritain qui n’a pas hésité à intervenir dans le tumulte, sans savoir si un autre train approchait.
L’homme non-voyant s’était blessé dans sa chute, à la station Broadview, provoquant l’agitation des témoins qui criaient à l’aide, précise Mme Caniglia.
Un autre homme non loin d’elle s’est précipité vers l’extrémité du quai pour couper l’électricité sur les rails, ajoute-t-elle, et un chauffeur de la Commission de transport de Toronto a lancé un appel à la prudence.
« Le chauffeur a pesé sur des boutons pour avertir le train qui s’approchait d’arrêter et tout s’est éteint, relate-t-elle. Il y avait beaucoup de cris à propos du risque d’électrocution. »
Deux autres hommes sont à leur tour descendus sur les rails pour aider à hisser le blessé sur le quai, visiblement sous le choc, poursuit-elle.
Mme Caniglia a voulu faire connaître ces bons samaritains en publiant une photo d’eux sur les réseaux sociaux. Aucun des trois hommes n’a jusqu’à présent pu être identifié.
« C’est incroyable. Nous avons tous besoin d’un peu de renforcement positif (pour croire) que de bonnes personnes existent », a-t-elle souligné dans une entrevue accordée vendredi à La Presse canadienne.
« Le premier instinct des gens a été de courir pour venir en aide. C’est clair que des gens ont sauté sur les rails avant même que le courant ne soit éteint », renchérit Sheri Hebdon, qui a elle aussi assisté à la scène jeudi.
Il faut parfois des circonstances extrêmes pour faire ressortir le bon chez les gens, soutient-elle.
L’incident a toutefois préoccupé Julie Caniglia quant à la sécurité du métro torontois.
« J’ai de jeunes enfants, et s’ils trébuchaient par accident? Nous sommes si vulnérables, debout sur le quai », s’inquiète-t-elle.
Mme Hebdon abonde dans le même sens.
« Il vaut la peine d’envisager des barrières sur les quais », croit-elle.
Un accident mortel a fait renaître cette revendication, plus tôt ce mois-ci, lorsqu’un homme de 73 ans aurait été intentionnellement poussé sur les rails, vers sa mort.
La Commission de transport de Toronto (CTT) soutient que l’installation de barrières de sécurité dans chaque station coûterait plus d’un milliard de dollars. Le CTT a déjà commandé une étude à cet effet, qui devrait aboutir en 2020.
Selon un porte-parole de la Commission, l’homme tombé sur les rails jeudi a été transporté à l’hôpital.
7 jours que 12 enfants et leur entraîneur de football (soccer) sont piégés dans une des plus grandes grottes en Thaïlande. La montée des eaux n’avait pas aidé, mais ils ont mis des pompes. Il semble que les secouristes soient près du but, en attendant, ils se pratiquent au sauvetage.
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Les sauveteurs ont lancé de la nourriture et des téléphones aux enfants bloqués dans cette grotte. Photo : The Associated Press/Sakchai Lalit
À la faveur d’une baisse des eaux, les sauveteurs mobilisés depuis sept jours pour sauver 12 enfants et leur entraîneur de soccer piégés dans une grotte inondée en Thaïlande ont enfin réussi samedi à s’approcher de la zone où ils sont censés s’être réfugiés.
AGENCE FRANCE-PRESSE
Les plongeurs « sont à deux, trois kilomètres » de l’endroit où sont censés être les enfants. « Nous étions arrivés jusque-là une fois mardi, mais le courant était trop fort », a relaté le gouverneur de Chiang Rai, Narongsak Osottanakorn.
« La situation est meilleure aujourd’hui qu’hier et les jours précédents. L’eau a considérablement baissé », grâce aux pompes installées et à l’arrêt de la pluie, s’est-il réjoui.
Mais, si les secouristes se refusent pour l’heure à évoquer une issue autre qu’heureuse, aucun contact n’a encore pu être établi avec les jeunes footballeurs entrés samedi soir, après leur entraînement, dans la grotte de Tham Luang, située près des frontières de la Birmanie et du Laos.
Des boîtes contenant de la nourriture et des téléphones portables ont été lancées la veille depuis un puits à la verticale de la grotte, non loin de l’endroit où les sauveteurs espèrent que les enfants se trouvent.
Ils ont aussi répété samedi un exercice d’évacuation afin d’être prêts une fois le contact établi, tandis que des moines bouddhistes priaient en faveur d’un dénouement heureux.
Les sauveteurs ont simulé un exercice d’évacuation. Photo : Reuters/Soe Zeya Tun
« Il s’agit de mettre en place un protocole sur ce qu’on doit faire avant de les emmener à l’hôpital », a expliqué le gouverneur de Chiang Rai.
Après une semaine dans l’obscurité de la grotte, les victimes souffriront de troubles oculaires et pulmonaires, et leur évacuation doit être menée avec précaution.
« C’est un test, ne paniquez pas. Si nous sortons les garçons de là, nous saurons comment les envoyer à l’hôpital en hélicoptère », a-t-il ajouté, en précisant que plusieurs hôpitaux de la région participaient à l’exercice à la faveur d’un temps plus clément après des pluies diluviennes.
Mais cette grotte est l’une des plus grandes de Thaïlande, avec un réseau de plus de dix kilomètres, ce qui en fait un lieu apprécié des spéléologues aguerris.
Bon, ce n’est pas vraiment un canular, (je n’aime pas les canulars) et en plus, cela manque de piquant, j’en suis même déçu mais cela a prouver qu’il semble facile d’appeler le président même au bord de l’avion Air Force One.
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ERIC THAYER / REUTERS
Agence France-Presse
Piéger le président de la première puissance mondiale avec un canular téléphonique à bord d’Air Force One? C’est possible.
Se faisant passer pour le sénateur démocrate du New Jersey Robert Menendez, le comédien John Melendez a réussi à entrer en contact par téléphone avec Donald Trump mercredi soir alors que ce dernier se trouvait à bord de l’avion présidentiel Air Force One.
L’acteur a diffusé un enregistrement de la conversation sur son podcast, « The Stuttering John Podcast », dans laquelle on peut entendre une voix qui semble être celle de Donald Trump.
« Vous avez traversé des épreuves difficiles, et je pense que c’était un peu injuste, mais félicitations », dit-il au « sénateur », un temps poursuivi pour corruption avant que les charges à son encontre ne soient finalement abandonnées.
Les deux hommes poursuivent ensuite leur conversation, passant de l’immigration au remplacement du juge Anthony Kennedy à la Cour suprême.
Le comédien a raconté avoir appelé la Maison Blanche en se faisant passer pour un assistant du sénateur, après avoir laissé un numéro de portable, et, in fine, avoir été mis en contact avec le président à bord d’Air Force One.
Sollicitée par l’AFP sur cette histoire surprenante qui pose de nombreuses questions sur le protocole permettant d’avoir accès au président, la Maison Blanche n’avait pas répondu vendredi après-midi.
Il y a des animaux connu qui peuvent transmettre la grippe aux humains. Aux États-Unis, il y a une épidémie de grippe canine. Mieux vaut prendre des précautions quand toutou présente des symptômes de la grippe, car ils croient qu’ils pourront être le prochain vecteur de la transmission du virus vers les humains.
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Une étude montre que nos chiens sont porteurs d’une variété étonnante de virus de la grippe. Aucun cas de transmission à l’Homme n’a toutefois été rapporté. Mais pour combien de temps encore ?
Aux États-Unis, les cas de grippe se multiplient. Les cliniques vétérinaires ne désemplissent plus. Les cliniques vétérinaires ? Oui, car il s’agit là d’une épidémie de grippe canine. Et, à en croire des chercheurs de l’Icahn School of Medicine (New York, États-Unis), mieux vaut la prendre au sérieux. Nos chiens, en effet, pourraient constituer les réservoirs d’une future pandémie humaine.
Rappelons que le virus de la grippe est capable de franchir la barrière des espèces, les hôtes principaux étant les oiseaux et les porcs. Au cours du processus, des recombinaisons virales donnent naissance à de nouvelles variétés de virus. Puis, ces variétés nous atteignent et créent des pandémies, car, sans exposition préalable, notre système immunitaire se trouve démuni.
Aux États-Unis, une épidémie de grippe H3N2 fait rage dans la population canine. À tel point que les vétérinaires mettent en garde. Comme chez les humains, le virus pourrait être fatal aux chiens les plus faibles. © ulkas, Fotolia
De dangereuses recombinaisons de virus
Les chercheurs américains se sont penchés sur les génomes de virus de la grippe prélevés sur des chiens en Chine ; ces virus contenaient notamment des segments de la souche H1N1 responsable de la pandémie de 2009. Mais ils ont surtout découvert plusieurs nouvelles souches de la grippe issues de réassortiments de gènes et laissant craindre la possibilité d’une transmission à l’Homme.
« L’histoire que nous avons déjà écrite avec le porc, une dizaine d’années avant la pandémie de 2009, semble vouloir se répéter », prévient Adolfo Garcia-Sastre, l’auteur principal de l’étude.
Ainsi, en attendant d’en savoir plus, les chercheurs appellent à prendre toutes les précautions utiles dès l’apparition de symptômes chez nos chiens (traitement, mise en quarantaine, etc.) et même avant (vaccination).
Grâce à l’étude de la poussière interstellaire en laboratoire, les chercheurs ont découvert quelque chose qui ressemble à de la graisse dans la Galaxie, et la quantité est phénoménal des milliards et des milliards de tonnes de cette mixture
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La galaxie Andromède / Crédits : Istock
par Brice Louvet
Une équipe d’astronomes révèle que l’espace interstellaire est imprégné d’une fine brume de molécules ressemblant à de la graisse. L’étude fournit aujourd’hui l’estimation la plus précise de la quantité de « graisse spatiale » dans la Voie lactée : 10 milliards de milliards de milliards de milliards de tonnes, soit assez pour contenir 40 trillions de milliards de milliards de mottes de beurre.
La matière organique contient du carbone, un élément considéré comme essentiel à la vie. Il y a aujourd’hui une réelle incertitude quant à son abondance dans l’espace, seulement la moitié du carbone attendu se trouve entre les étoiles dans sa forme pure. Le reste est chimiquement lié sous deux formes principales : aliphatique et aromatique. Une équipe d’astronomes a récemment créé des analogues de poussière interstellaire en laboratoire et utilisé leurs résultats pour estimer la quantité de molécules aliphatiques (semblables à de la graisse) trouvées dans notre Galaxie.
« La combinaison de nos résultats de laboratoire avec des constatations d’observatoires astronomiques nous permet aujourd’hui de mesurer la quantité de carbone aliphatique entre nous et les étoiles », explique le professeur Tim Schmidt, de l’Université de Nouvelle-Galles-du-Sud (Australie) et co-auteur de l’étude.
Il y aurait alors environ 100 atomes de carbone graisseux pour chaque million d’atomes d’hydrogène, ce qui représente entre un quart et la moitié du carbone disponible.
« Dans la Voie lactée, cela représente environ 10 milliards de milliards de milliards de tonnes de matière grasse, soit assez pour 40 trillions de milliards de milliards de mottes de beurre ».
Le pare-brise d’un futur vaisseau spatial traversant l’espace interstellaire pourrait alors voir se former une sorte de revêtement collant.
« Entre autres choses, il y aura de la poussière interstellaire, partiellement grasse, de la suie et de la poussière siliceuse comme du sable », poursuit-il, ajoutant que la « graisse » est balayée dans notre propre système solaire par le vent solaire.
Ces découvertes rapprochent les scientifiques de la quantité totale de carbone – essentiel à la vie – dans l’espace interstellaire, qui alimente la formation des étoiles et des planètes. L’équipe prévoit maintenant de s’attaquer à la naphtaline, ce qui impliquera plus d’expériences en laboratoire.