D’une même source


Nous portons en nous des gènes d’ancêtres lointains qui ont immigré et partager avec d’autres cultures, d’autres races et ont fait ce que nous sommes aujourd’hui.
Nuage

 

D’une même source

 

 

Tout le monde vient de la même source. Si vous détestez un autre être humain, vous détestez une partie de vous-même.

Elvis Presley

Miniature calendar : nouvelles images et making-of en vidéo


J’aime ce genre de montages, de belles photos avec des articles, des personnages et objets miniatures pour ses mises en scènes, ainsi qu’une vidéo qui montre comment ce photographe japonais travaille.
Nuage

 

Miniature calendar  : nouvelles images et making-of en vidéo

 

Le photographe japonais Tatsuya Tanaka crée quotidiennement ces scènes miniatures depuis 2011, dans ce projet appelé Miniature Calendar. (Précedemment). Elles incluent toujours des éléments de la vie quotidienne qui sont détournés d’une façon poétique ou comique avec une grande justesse.

Cet auteur a également réalisé une vidéo making-of pour présenter ses méthodes de travail. Il n’indique pas combien sa commode de petits personnages en plastique en contient mais le nombre semble impressionnant. (Et aussi qu’il parvienne à retrouver facilement ceux qui sont dans la bonne pose).

http://www.laboiteverte.fr/

Le Saviez-Vous ► Les enfants et les microbes : 4 choses à savoir


    Les enfants qui n’ont pas appris à se salir comme en allant jouer dehors, dans l’eau, la boue, le sable pourraient seraient peut-être une cause de l’apparition de certaines allergies et asthme. Les microbes sont importants pour notre microbiote et c’est à l’enfance qu’on peut préparer la santé de demain. Ainsi que les virus, les aides à parfaire leur système immunitaire
    Nuage

     

    Les enfants et les microbes : 4 choses à savoir

      VICTORIA SNOWBER

      C’est bien connu, les enfants ont une propension à se salir. Pour peu qu’on les laisse faire, ils reviendront souillés de leur promenade au parc durant laquelle ils auront touché — et parfois même goûté ! — aux feuilles, insectes, cailloux et diverses saletés à leur portée.

      Plusieurs affirment que c’est là une bonne façon de développer une meilleure défense immunitaire qui les protégerait de troubles comme l’asthme et les allergies. Mais qu’en est-il alors de notre obsession de la propreté, s’est demandé le Détecteur de rumeurs.

      Les « bons » microbes, plus nombreux que les méchants

      Depuis le XIXe siècle, on a appris que les microbes peuvent être responsables de maladies, comme la grippe. Or, on sait aujourd’hui que sur les milliers de variétés de microbes auxquelles nous sommes exposés, seule une centaine sont dangereuses. Les autres sont de « bons » microbes, des alliés insoupçonnés de notre santé. Leur rôle serait si important que les scientifiques considèrent le microbiote intestinal — soit l’ensemble des microbes qui habitent nos intestins — comme un organe à part entière, au même titre que le foie, les poumons et le cœur.

      Un ventre à peupler et un système immunitaire à entraîner

      Les bébés sont exposés dès la naissance aux microbes. Lors d’un accouchement naturel, à ceux qui peuplent le vagin de leur mère ; lors de l’allaitement, aux microbes qui résident sur sa peau. Une alimentation riche en fibres dont les microbes se nourrissent permettra à l’écosystème intestinal de l’enfant de proliférer. Puis, explorant le monde à quatre pattes et portant ses mains à sa bouche, il se confrontera aux microbes logés dans la poussière, dans la bave du chien ou sur les jouets qu’il partage avec ses amis. Si un virus s’y cache, ils tomberont malades, mais ces expositions entraîneront aussi son système immunitaire à tolérer les microbes inoffensifs.

      Diversifier son microbiote

      Le hic, c’est qu’avec notre obsession de l’hygiène, les enfants d’aujourd’hui sont exposés à une moins grande variété de bons microbes qu’autrefois. De plus en plus d’études portent à croire que le système immunitaire des enfants qui vivent dans des environnements trop stériles serait trop peu diversifié et resterait partiellement immature, puisqu’il n’aurait pas appris à réagir adéquatement durant la petite enfance. Cette immaturité du système immunitaire pourrait être la cause de troubles de santé qui se développent beaucoup plus tard dans la vie de l’enfant, comme les allergies et l’asthme. Tout ça est encore à confirmer par des études plus poussées, mais l’importance d’un microbiote diversifié dès le plus jeune âge semble désormais faire consensus auprès de la communauté scientifique.

      Une question de gros bon sens

      Bien entendu, les maladies chroniques, comme l’asthme et les allergies, sont multifactorielles. Cependant, les gels antibactériens qu’on accroche maintenant aux sacs à dos des enfants, notre volonté de les garder propres en tout temps et le fait qu’ils passent deux fois moins de temps à jouer dehors qu’il y a 20 ans, s’exposant ainsi à une moins grande variété de microbes, sont autant d’habitudes qui pourraient nuire à leur santé à long terme. Pour y remédier, il ne s’agit pas de bazarder l’hygiène élémentaire, de les laisser mâcher une gomme trouvée sur le sol ou de jouer dans la litière du chat. Se laver les mains avant les repas ou après une visite aux toilettes demeure une mesure d’hygiène à préconiser. Il faut toutefois réapprendre à les laisser jouer librement dans la boue, marcher pieds nus dans le sable, mâchouiller des brins d’herbe, s’ébouriffer dans la poussière. Bref, les laisser se salir comme seuls les enfants savent le faire, pour leur propre santé et celle de leurs microbes !

      Pour en savoir plus, le Détecteur de rumeurs vous recommande :

      Les microbes, nos alliés : arrêtons d’aseptiser nos enfants, de Marie-Claire Arrieta et B. Brett Finlay

      Mille milliards d’amies : comprendre et nourrir son microbiome, de Marianne Desautels-Marissal

      Ce texte est initialement paru dans la dernière édition papier du magazine Planète F, consacrée aux territoires, une collection de réflexions sur la famille et la parentalité.

      https://quebec.huffingtonpost.ca/

    La Chine utilise des oiseaux bioniques pour espionner ses citoyens


    Des drones qui ressemble vraiment à des colombes vole au-dessus des gens dans le but de les espionner. C’est une autre technologie pour mieux contrôler la population chinoise. Il est triste de voir comment cette surveillance est devenu maladive.
    Nuage

     

    La Chine utilise des oiseaux bioniques pour espionner ses citoyens

     

    C'est un oiseau, c'est un avion, non c'est un drone | Capture d'écran via The Independent License by

    C’est un oiseau, c’est un avion, non c’est un drone | Capture d’écran via The Independent License by

    Repéré par Aurélie Rodrigues

    Repéré sur The Independent

    On se rapproche un peu plus du Big Brother moderne.

    Si vous vous rendez en Chine et que vous apercevez une nuée d’oiseaux, il se pourrait bien qu’il s’agisse en réalité de drones. Ces oiseaux bioniques volent dans le ciel afin de surveiller les citoyens et citoyennes. D’après le South China Morning Post, l’opération «Colombe» serait déjà en place dans cinq provinces du pays. Cette technologie permet d’étendre un peu plus le réseau de surveillance –déjà bien ficelé.

    Ces oiseaux bioniques ont été conçus et pensés par une équipe de chercheurs et chercheuses de l’université Polytechnique du Nord-Ouest dans la province de Shaanxi, située en plein coeur de la Chine. Ces scientifiques avaient déjà travaillé sur un projet de création d’avions furtifs de combat pour l’aviation civile chinoise.

    «Le développement de cette technologie n’en est pour l’instant qu’à ses débuts. Pour l’instant, le champ d’action reste restreint mais nous pensons que ce système a le potentiel pour être utilisé à grande échelle. Il offre des avantages uniques pour satisfaire les besoins en drones pour les secteurs militaires et civils», explique Yang Wenqing, professeure agrégée ayant travaillé sur le projet «Colombe».

    The Independent explique que ces colombes robotisées sont équipées d’un GPS, d’une caméra haute définition et d’un système de commande relié à plusieurs satellites qui permet un pilotage à distance. Ces oiseaux plus vrais que nature battent des ailes grâce à un petit moteur électrique qui «parvient même à tromper le bétail au sol».

    La Chine: un Big Brother moderne

    En mars dernier, nous vous faisions part de la création d’un «système de crédit social» censé évaluer les citoyens et citoyennes chinoises sur leurs comportements quotidiens. Une mauvaise «note sociale» les empêchent par exemple de prendre le train ou l’avion. Les modalités de notation ne se limitent pas aux crimes et délits. Les Chinois et Chinoises pourront aussi recevoir une mauvaise note s’ils et elles diffusent des fake news, utilisent des titres de transport expirés ou fument à bord d’un train.

    «Les citoyens sont apparemment tout aussi susceptibles d’être signalés pour des infractions mineures, comme le fait de laisser des vélos garés sur un trottoir ou d’émettre des excuses qui sont jugées “insincères” […] Et il est souvent difficile de savoir s’ils sont sur une liste noire et encore moins quel type de recours est possible», expliquait alors The Verge.

    En avril dernier, un homme recherché par la police a été repéré au milieu d’une foule de 60.000 personnes grâce à des caméras de sécurité. En Chine, la reconnaissance faciale s’est immiscée dans la vie quotidienne des gens: fast-food, banques, universités, salles de concert, transports en commun et même distributeurs de papier toilette –limité à deux feuilles par personne.

    http://www.slate.fr/

    Rendre son chien vegan, une fausse bonne idée ?


    Je ne me pose même pas la question pour chien ou un chat s’ils peuvent s’habituer à une alimentation vegan. Pourquoi vouloir dénaturer le mode alimentaire d’un animal, alors qu’il doit avoir une alimentation propre à son espèce ?
    Nuage

     

    Rendre son chien vegan, une fausse bonne idée ?

     

    Rendre son chien vegan, une fausse bonne idée ?

    Alors que la tendance vegan fait de plus en plus d’adeptes, certains propriétaires s’interrogent sur ce mode d’alimentation pour leurs animaux de compagnie : donner un régime vegan, donc sans viande, à un chien, est-ce bon pour lui ? Est-ce de la maltraitance ?

    Le veganisme est une tendance intéressante. Partant d’un constat urgent, la maltraitance animale et l’exploitation des animaux, ce nouveau mode de vie tend à diminuer, voire à supprimer la consommation de produits d’origine animale. Notre espèce peut en effet se satisfaire d’un régime végétarien sans souffrir de grosses carences, mais qu’en est-il du chien ?

    Pour le savoir, nous vous avons posé la question avant d’interroger notre expert : 

    Le veganisme : un régime viable pour chien ?

    Le chien n’est pas un carnivore strict, on dit qu’il est opportuniste. Cela signifie qu’il va manger en priorité des carcasses de viandes, mais aussi d’autres aliments (notamment des végétaux), qui entrent dans ses besoins alimentaires, mais en moindre proportion. Il s’adapte donc très mal à un régime exclusivement sans viande, car son organisme risque de générer des carences. Son tube digestif aura du mal à récupérer l’énergie dans les autres nutriments, et certains oligo-éléments ne seront plus apportés.

    Un régime herbivore risque donc de générer des problèmes de maldigestion, avec une insuffisance en calories dans la ration, et une fonte musculaire pour compenser (l’animal détruit ses propres protéines pour fabriquer son énergie). Des phénomènes inflammatoires ou allergiques sont également à prévoir, comme on le constate avec les alimentations industrielles qui remplacent les protéines animales par des protéines végétales. Parfois, les conséquences de cette malnutrition ne s’observent que des mois, voire des années après.

    Un chien vegan : est-ce de la maltraitance ?

    L’autre constat dénoncé par la mode du veganisme est l’incohérence de notre alimentation par rapport à nos besoins. Et pour cause : cela fait très peu de temps que l’humain mange autant de viande, et ce n’est pas un régime réservé à toute la population. Cette habitude alimentaire est culturelle, mais ne renvoie pas à nos besoins naturels ; au contraire on a montré qu’elle est clairement excessive.

    Donc vouloir appliquer ce principe au chien, en supposant que son alimentation habituelle répond aux mêmes problématiques, est en soi une bonne idée. En effet, on pourra reprocher à un certain nombre d’aliments industriels canins un déséquilibre par rapport aux besoins naturels.

    Seulement, on ne part plus en chasse contre les protéines animales, et c’est même plutôt l’inverse ! Des polémiques récentes ont dénoncé l’utilisation de protéines végétales, bien moins chères, à la place des protéines animales. Les alimentations « naturelles » (dixit, plus cohérentes par rapport aux besoins) tendent donc vers un apport majoritaire de produits carnés, et peu transformés. Peut-on encore parler de veganisme dans ce cas ?

    En tous cas, nourrir son chien avec des produits d’origine strictement végétale n’est sûrement pas une bonne idée. Le pire est que ce régime permettra au chien de survivre un certain temps, avant que les carences ne se manifestent : pas toujours évident de se rendre compte du problème, d’autant que les recherches diagnostiques en clinique négligent souvent l’alimentation. Et de toute façon, une fois les symptômes d’une carence avérée, c’est que le mal est déjà fait.

    Dr Stéphane Tardif
    Docteur vétérinaire et rédacteur pour Wami

    https://wamiz.com/

    Thaïlande: aucune nouvelle des 12 enfants piégés dans une grotte


    La pluie et saison de mousson à inonder une grotte en Thaïlande et depuis 3 jours 12 jeunes et un entraîneur de football (soccer) n’ont toujours pas été retrouvé. Cette grotte peut subir des inondations éclairs et à mon avis, je me demande pourquoi ils laissent des gens la visiter sans plus de précautions. Personne ne sait si ces personnes sont vivantes, mais la grotte est très longue de plusieurs kilomètres, il faut juste espérer pour eux qu’ils ont pu trouver refuge avec cette montée des eaux.
    Nuage

     

    Thaïlande: aucune nouvelle des 12 enfants piégés dans une grotte

     

    Les 12 garçons membres d'une équipe de football,... (AFP)

    Les 12 garçons membres d’une équipe de football, âgés de 11 à 16 ans, seraient entrés dans la grotte de Tham Luang, située dans le district de Mae Sai, après leur entraînement de football samedi.

    AFP

     

    Agence France-Presse
    MAE SAI

    Des centaines de personnes étaient mobilisées mardi pour la troisième journée consécutive dans le nord de la Thaïlande à la recherche d’un groupe de douze enfants et de leur entraîneur de football pris au piège dans une grotte inondée.

    Des plongeurs de la marine thaïlandaise se relayaient pour sonder le fond de la grotte dans laquelle l’eau atteint par endroit cinq mètres de haut, en raison des fortes pluies de mousson des derniers jours.

    À quelques encablures de là, installés sur de simples toiles de jute sur le terrain boueux situé près de la frontière avec la Birmanie, les parents des jeunes joueurs de foot se relayaient, eux, pour prier.

    «Mon fils, je suis venue ici pour te chercher», promettait la mère de l’un des garçons en pleurs.

    «J’ai prié Dieu pour eux, mais dans mon coeur je sais qu’ils vont survivre. Ils sont déjà allés dans cette grotte», a raconté le père d’un autre.

    Les 12 garçons membres d’une équipe de football, âgés de 11 à 16 ans, seraient entrés dans la grotte de Tham Luang, située dans le district de Mae Sai, après leur entraînement de football samedi.

    «C’est une course contre la montre. Mais nous ne paniquons pas», a dit le ministre de l’Intérieur Anupong Paojinda, arrivé sur place mardi.

    Tout juste de retour d’un voyage au Royaume-Uni et en France, le chef de la junte Prayut Chan-O-Cha a indiqué qu’il avait demandé la «mobilisation de tous» pour les retrouver vivants.

    Barrage contre la montée de l’eau

    La grotte est accessible par un chemin très pentu puis s’étend ensuite sur plusieurs kilomètres de galerie. Les recherches sont menées par trois équipes. L’une s’attelle à l’extérieur à rechercher une autre entrée pour la grotte, puis deux équipes sont à l’intérieur dont une équipe de plongeurs, a constaté un journaliste de l’AFP.

    «Notre équipe est descendue très tôt ce matin et va explorer le fond de la grotte. Il n’y a pas de réseau à l’intérieur donc nous devons attendre que l’équipe remonte», a annoncé sur sa page Facebook la marine thaïlandaise.

    Dans l’après-midi, l’armée a également commencé à construire un barrage pour faire obstacle à l’eau qui descend de la montagne et continue d’arriver dans la grotte, selon un responsable de la région.

    Il pleuvait encore sur cette région très reculée du nord de la Thaïlande et d’autres précipitations sont prévues dans les heures qui viennent.

    Les premières journées de recherche n’ont pas permis de découvrir la moindre trace du groupe à l’intérieur. Les autorités pensent qu’ils pourraient avoir trouvé refuge un peu plus loin dans cette grotte longue de plusieurs kilomètres, afin d’échapper à la montée des eaux.

    C’est une mère de famille qui a donné l’alerte, ne voyant pas revenir son fils samedi soir après l’entraînement de football. Leurs affaires – vélos et chaussures – ont été retrouvées quelques heures plus tard juste à l’entrée de la grotte, située dans un grand parc.

    Les recherches ont commencé dès samedi soir, mais ont dû être interrompues à cause de la nuit. Entretemps, le niveau de l’eau dans la grotte a fortement monté, rendant les recherches difficiles et nécessitant l’intervention de plongeurs pour passer dans les parties inondées et boueuses.

    En 2007, six touristes étrangers et leurs deux guides thaïlandais ont été tués après avoir été emportés par des inondations éclair dans une grotte du parc national de Khao Sok, dans le sud de la Thaïlande.

    http://www.lapresse.ca/

    Un enfant trouve une arme sur un canapé Ikea et tire dans le magasin


    Ce n’est vraiment pas sécuritaire si une arme peut glisser dans un meuble à l’insu du propriétaire. Si un adulte se croit assez mature pour porter une arme, il doit aussi s’assurer qu’elle ne puisse pas sortir sans qu’il s’en aperçoive. Même un voleur à la tire pourrait lui prendre facilement. Au moins, il n’a pas eu de blessé. Gageons que l’enfant a eu une bonne frousse avec tout ce qui a suivi après.
    Nuage

     

    Un enfant trouve une arme sur un canapé Ikea et tire dans le magasin

    © afp.

    ETATS-UNIS Frayeur lundi dans un magasin Ikea de Fishers, près d’Indianapolis, aux Etats-Unis. Un enfant s’est saisi d’une arme chargée « oubliée » sur un canapé. Il a tiré au moins un coup de feu sans faire de blessé.

    Un client du magasin Ikea de Fisher a involontairement abandonné son pistolet chargé sur un canapé d’exposition. L’arme a ensuite été récupérée par un enfant qui s’est servi de l’arme au moins à une reprise. Aucune victime n’est à déplorer, mais le magasin a dû fermer pour que les policiers puissent mener l’enquête. Selon les premiers éléments, le propriétaire du pistolet s’est assis sur le canapé et l’arme s’est faufilée entre deux coussins. Un petit garçon l’a ensuite retrouvée et l’a utilisée pour « jouer ». 

    Ikea a réagi officiellement via un communiqué relayé par la chaîne CBS et a présenté ses excuses à l’enfant.

    « La sécurité des clients et des collaborateurs est la première priorité pour Ikea (…) Dès que nous nous sommes rendu compte de la situation, les employés ont oeuvré pour la sécurité des clients. Nous collaborons avec la police qui enquête sur cet incident. »Source: CBS, 20 minutes.fr

    https://www.7sur7.be/7s7/fr/

    Australie: les chats errants tuent un million de reptiles par jour


    Les chats n’ont foulé le sol qu’avec les premiers colons européens, et ces matous ont aussi colonisé ce continent. Malheureusement, les chats redevenus sauvages et les chats domestiques ont tué environs 650 millions de ces bêtes à chaque année. Ils ont réussit à mettre en danger de disparition certaines espèces. Sans compter près un million d’oiseaux aussi a chaque jour sont tué par les chats. Ce sont des grandes pertes pour l’Australie.
    Nuage

     

    Australie: les chats errants tuent un million de reptiles par jour

     

    D'après l'étude publiée par le journal Wildlife Research, 250 espèces... (Photo Agence France-Presse)

    D’après l’étude publiée par le journal Wildlife Research, 250 espèces différentes de reptiles sont les victimes des chats, y compris des grands scinques du désert, des dragons barbus et des geckos.

    PHOTO AGENCE FRANCE-PRESSE

     

    Agence France-Presse
    Sydney

    Des chats errants tuent plus d’un million de reptiles par jour en Australie et la survie de nombreuses espèces est menacée, révèle une étude scientifique publiée lundi.

    Depuis l’arrivée des chats dans l’île-continent avec les premiers colons européens il y a deux siècles, les félins ont exterminé de nombreuses espèces. Les tentatives pour stériliser les populations et réduire leur nombre n’ont pour l’heure pas produit les effets espérés.

    Les chercheurs de l’Université Charles Darwin ont réalisé leur étude à partir de plus de 10 000 échantillons alimentaires collectés par des scientifiques à travers tout le pays, via les déjections ou le contenu de l’estomac des félins.

    «En moyenne, chaque chat retourné à l’état sauvage tue 225 reptiles par an», déclare John Woinarski, directeur de l’étude, qui ajoute que ces félins consomment davantage de ces animaux en Australie que leurs pairs américains ou européens.

    «Certains chats mangent des quantités astronomiques de reptiles. On a trouvé de nombreux exemples de chats individuels se gavant de lézards, avec un record de 40 lézards différents trouvé dans l’estomac d’un seul chat».

    D’après l’étude publiée par le journal Wildlife Research, 250 espèces différentes de reptiles sont les victimes des chats, y compris des grands scinques du désert, des dragons barbus et des geckos.

    Parmi ces 250 espèces, 11 sont menacées. L’impact exact des chats est toutefois difficile à mesurer, car le nombre des populations de la plupart des reptiles n’est pas connu.

    Si on prend en compte les victimes de chats domestiques, un total d’environ 650 millions de reptiles sont tués chaque année.

    Des millions de chats errants vivent en Australie. Ils sont également considérés comme les principaux coupables du taux élevé d’extinction des mammifères du pays.

    La même équipe de chercheurs avaient découvert en 2017 que plus d’un million d’oiseaux étaient tués chaque jour en Australie par les chats errants et les félins domestiques.

    Le gouvernement a débloqué une enveloppe de plus de 30 millions de dollars australiens (20 millions d’euros) pour financer des projets de lutte contre l’impact des chats errants sur la faune sauvage.

    L’Australian Wildlife Conservancy, qui d’après son site internet est le plus grand propriétaire privé australien aux fins de protection de l’environnement, vient d’achever de construire une clôture électrique de 44 kilomètres de long pour créer dans le désert une zone de près de 9400 hectares libre de chat.

    Cette zone sera plus tard élargie à environ 100 000 ha et des espèces menacées d’extinction y seront introduites.

    http://www.lapresse.ca/

    Cette bosse sur son visage était un ver qui rampait sous sa peau


     

    Cela donne des frissons. Heureusement qu’elle avait des égoportraits pour prouver que sa bosse se déplaçait, car peu de médecins l’aurait cru. Ce parasite infeste surtout les chiens et les chats et rarement l’humain. Et c’est un moustique qui l’aurait infesté d’une larve brrrrrrr
    Nuage

     

    Cette bosse sur son visage était un ver qui rampait sous sa peau

     

    Photos du ver de la patiente russe. © Vladimir Kartashev et Fernando Simon, N Engl J Med 2018.

    Photos du ver de la patiente russe. © Vladimir Kartashev et Fernando Simon, N Engl J Med 2018.

    En Russie, une femme de 32 ans a fait plusieurs selfies montrant une bosse en différents endroits de son visage. Le ver parasite qui se promenait sous sa peau a été retiré par chirurgie et analysé. Il a probablement été transmis par une piqûre de moustique…

    Vous ne regarderez plus votre visage de la même façon après voir lu l’histoire de cette femme dont le cas médical a fait l’objet d’un article dans la revue The New England Journal of Medicine. La patiente s’est présentée en rendez-vous chez son ophtalmologue alors que depuis deux semaines un nodule se déplaçait sur son visage. Elle avait pris des selfies montrant le parcours de la bosse suspecte.

    Tout d’abord, elle l’avait repérée sous son œil gauche (voir figure, en A). Cinq jours plus tard, la bosse était passée au-dessus pour, dix jours après, venir gonfler sa lèvre supérieure. Le nodule provoquait parfois une sensation de brûlure ou des démangeaisons, mais elle n’avait pas d’autres symptômes inquiétants.

    La patiente a expliqué qu’elle avait récemment fait un séjour dans une région rurale près de Moscou et qu’elle avait eu beaucoup de piqûres de moustiques. Lors de l’examen, le médecin a observé un nodule en longueur qui se déplaçait au niveau de sa paupière gauche. Le parasite a pu être fixé et retiré par chirurgie.

    La dirofilariose humaine se transmet par la piqûre de moustiques

    Pour identifier l’animal, les scientifiques ont effectué une analyse par PCR et trouvé qu’il s’agissait d’un ver de l’espèce Dirofilaria repens. Ce nématode est un parasite sous-cutané du chien et du chat. Il infecte de manière accidentelle l’Homme et se transmet sous la forme d’une larve par la piqûre de moustiques de la famille des Culicidés (Aedes, Anopheles et Culex). La maladie qu’il provoque est appelée dirofilariose.

    Dirofilaria repens est un parasite émergent de l’Ancien Monde

    Vladimir Kartashev, professeur de chirurgie et médecin qui a vu la patiente, a expliqué à CNN que le parasite pouvait « apparaître et disparaître en quelques minutes ». Il ajoute que « les médecins qui ne connaissent pas la maladie ne croient pas les patients ».

    D’où l’intérêt de faire des selfies pour soutenir ses dires. Le médecin affirme avoir vu au moins dix patients avec des symptômes proches.

    D’après lui, « Dirofilaria repens est un parasite émergent de l’Ancien Monde ».

    Ces infections humaines sont rares, mais d’autres cas ont été signalés dans la littérature scientifique. La plupart de ces vers parasites ne touchent que la peau mais des localisations inhabituelles ont aussi été relevées. Par exemple, un cas très rare de dirofilariose spermatique a été détecté en 1996 chez un homme italien. Un article paru dans la revue Emerging Infectious Diseases en 2009 décrit aussi le cas d’un Allemand qui avait fait un voyage en Inde et au Sri Lanka et qui a eu une méningoencéphalite liée à la présence de ce nématode ; le patient s’est rétabli après un traitement anti-inflammatoire et antiparasitaire.

    D’après le CDC, la forme adulte de ce ver parasite peut mesurer jusqu’à 17 cm et vivrait jusqu’à dix années.

    CE QU’IL FAUT RETENIR

    • Une femme de 32 ans a fait des photos de son visage montrant une bosse près de l’œil.
    • C’était un ver nématode Dirofilaria repens qui se déplaçait sous sa peau.
    • Ce parasite infeste plutôt les chiens et les chats, mais une piqûre de moustique peut accidentellement transmettre la larve à l’Homme.

    https://www.futura-sciences.co