L’optimiste


Il serait faux de prétendre que les optimistes ne voient pas les mauvais côtés, de voir la vie tout en rose, ce serait stupide. Simplement, qu’un optimiste aime mieux voir ce qui peut le faire avancer en ne restant pas à ruminer des pensées négatives
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L’optimiste

 

 

L’optimiste ne refuse jamais de voir le côté négatif des choses. Il refuse simplement de s’attarder dessus.

Alexandre Lockhart

Le Saviez-Vous ► Comment les dromadaires peuvent-ils manger des cactus sans se blesser ?


Ayoye, difficile à croire que des animaux sont capables de manger des cactus avec de grandes épines sans être blessés. Les dromadaires aux États-Unis apprécient beaucoup les figuiers de Barbarie. Moi, juste à prendre le fruit de ce cactus vendu à l’épicerie, je me plante quasi toujours les minuscules épines dans les doigts, alors directement du cactus, il faut vraiment être adapté pour cette nourriture
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Comment les dromadaires peuvent-ils manger des cactus sans se blesser ?

 

Dromadaire

Ce dromadaire peut se nourrir de cactus. Sans broncher.

© YOUTUBE/CAMELSANDFRIENDS

 

Par Anne-Sophie Tassart

Eleveuse de dromadaires, une Américaine a filmé ses bêtes pendant que ceux-ci se nourrissaient de cactus recouverts d’épines de plusieurs centimètres.

Difficile pour un être humain de s’imaginer mastiquer un cactus sans sourciller. Mais les dromadaires sont capables de relever le défi sans problème comme le démontre la vidéo Youtube ci-dessous mise en ligne le 23 mai 2018. Dans celle-ci, on aperçoit deux camélidés, le mâle Baby âgé de 11 ans et la femelle Nessie plus jeune de 3 ans, se repaître de cactus couverts d’épines de plusieurs centimètres.

 

© Youtube / camelsandfriends

Pour éviter d’être piqués, les camélidés utilisent leurs papilles situées dans la cavité buccale comme l’expliquait sur Twitter en août 2016 le Dr Darren Naish, un zoologiste.

« La bouche des dromadaires est pourvue de papilles kératinisées qui rendent l’animal insensible aux piquants », confirme à Sciences et Avenir le Dr Bernard Faye de l’unité de recherche Systèmes d’élevage méditerranéens et tropicaux au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD).

Cette protéine constitue, entre autres, les cheveux et les ongles humains. Les cornes des rhinocéros sont également constituées de kératine.

« La muqueuse buccale interne est suffisamment sure et résistante pour permettre la consommation de branches et d’épines qui ne blessent pas la partie interne de la bouche. Les 34 dents sont suffisamment robustes pour broyer des plantes ligneuses et des sclérophytes (plantes résistantes à la sécheresse) souvent caractérisées par des tiges coriaces », précise le chercheur sur son site. « L’intérêt du figuier de Barbarie (plante consommée dans la vidéo, NDLR) est qu’il apporte du fourrage vert même en pleine période sèche et contient suffisamment de protéines et de fibres pour l’entretien des animaux, explique-t-il à Sciences et Avenir. Cette variété est de plus en plus utilisée en haie vive ».

« Maintenant il n’y a plus un seul cactus sur le terrain »

Alex Warnock, la propriétaire des deux camélidés filmés, vit en Arizona (Etats-Unis) où elle s’occupe d’eux depuis que ces derniers sont bébés. Tout d’abord élevés au biberon, ils consomment désormais de l’herbe des Bermudes.

 « Mais si je leur donne le choix ils vont toujours préférer le figuier de Barbarie. Quand j’ai emménagé dans la propriété que j’ai aujourd’hui, ils ont labouré plus de 8000 m2 de terrain rempli de tant de figuiers de Barbarie qu’ils pouvaient à peine circuler – maintenant il n’y a plus un seul cactus sur le terrain », a confié à l’Independant Alex Warnock.

Grâce à sa chaîne Youtube Camelsandfriends, la jeune femme souhaite améliorer la réputation de ces animaux auprès du public.

« J’ai de grands projets pour le futur, explique-t-elle sur sa page Facebook. Mon rêve est de ouvrir un zoo dédié aux enfants, avec un accent mis sur la sensibilisation ». 

https://www.sciencesetavenir.fr/

Votre smartphone est un repaire de bactéries !


Bon des bactéries, il y en a partout, mais on peut tout même essayer de minimiser leur nombre. Sur nos chers Smartphone ou tablette que l’on traine partout et qu’on touche avec nos doigts, ramassent toutes bactéries qu’il rencontre et partage aisément ces bactéries plusieurs fois
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Votre smartphone est un repaire de bactéries !


 

 

Crédits : Pxhere

par Yohan Demeure

L’utilisation du smartphone peut se faire partout selon les envies, sur son lit, dans la salle de bain, à table ou encore même aux toilettes ! Saviez-vous cependant que les écrans de smartphone sont de véritables nids à bactéries ?

Il existe certaines bactéries capables de rendre malade, occasionnant infections, rhumes et autres intoxications alimentaires. Dans la plupart des cas, celles-ci sont présentes sur nos mains, se transmettent par la nourriture et atterrissent finalement dans notre bouche. Évidemment, les muqueuses (narines, oreilles, etc.) ainsi que les plaies (éraflures et autres coupures) sont des entrées idéales.

Or il s’avère que nos écrans de smartphone (et tablettes) sont des endroits où les bactéries élisent domicile. Ainsi, ces mêmes écrans sont des vecteurs de transmission pour les organismes infectieux, comme le rappelait Time Magazine par le biais d’un récent article dans lequel Philip Tierno, professeur en pathologie à la New York University school of medicine (États-Unis), avait été interrogé.

Le spécialiste mettait en lumière qu’après s’être lavé les mains, le fait de toucher une nouvelle fois son smartphone les contaminait à nouveau. Par ailleurs, un grand nombre de personnes touchant la même surface augmentent les risques de transmission. Un parallèle avec les transports en commun peut être fait :

« Si vous touchez une barre de métro suintante et qu’ensuite vous consultez vos mails sur votre téléphone, ce dernier sera recouvert par les microbes des personnes qui ont touché cette barre de métro », ajoutait Philip Tierno.

Ceci avait été prouvé dans une étude menée en 2014 par des biologistes de l’Université de l’Oregon et publiée dans la revue PeerJ. Ces recherches avaient montré que 82 % des bactéries les plus courantes sur les doigts des utilisateurs se trouvaient également sur l’écran de leur smartphone. Il est donc conseillé de nettoyer ses écrans le plus souvent possible, en ayant bien évidemment éteint son appareil au préalable.

Sources : SlateTribune de Genève

http://sciencepost.fr/

Un autre meurtre résolu grâce à la généalogie génétique


Que faire avec un ADN relevé lors d’un crime quand il n’est pas dans les données de la police ? Souvent, ces crimes finissent en dossiers non résolus. La technologie change les choses, grâce à la généalogie génétique. C’est de faire un arbre généalogique avec les basses de données des archives généalogique en incluant ceux qui ont cherché leur ascendance.
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Un autre meurtre résolu grâce à la généalogie génétique

 

Les avancées technologiques en matière d'ADN ont permis... (PHOTO ARCHIVES AFP)

Les avancées technologiques en matière d’ADN ont permis de relancer l’enquête sur ce meurtre commis en 1986.

PHOTO ARCHIVES AFP

 

Agence France-Presse

Le mystère de l’agression sexuelle suivie du meurtre d’une adolescente américaine en 1986 a été résolu 32 années plus tard grâce à la technique extrêmement novatrice de la généalogie génétique, ont annoncé les autorités de l’État de Washington.

Un homme de 66 ans, Gary Hartman, a été interpellé mercredi et écroué. Il doit comparaître lundi pour se voir signifier les charges pénales pesant contre lui dans cette affaire qui avait choqué la commune de Tacoma, à l’extrémité nord-ouest des États-Unis.

Le 26 mars 1986, Michella Welch, 12 ans, avait disparu alors qu’elle jouait avec ses deux jeunes soeurs dans un parc public de la ville. Un chien policier avait retrouvé dans la soirée son corps, abandonné dans un ravin.

L’enquête s’était ensuite enlisée, le dossier devenant un « cold case », c’est-à-dire une affaire non résolue.

Les avancées technologiques en matière d’ADN ont permis de relancer l’enquête en deux étapes.

D’abord, en 2006, la police scientifique a réussi à reconstituer une empreinte ADN à partir d’éléments collectés sur les lieux du crime. Celle-ci n’a cependant révélé aucune correspondance avec les fichiers de délinquants connus aux États-Unis.

Douze ans plus tard, la percée a été réalisée grâce à la technique de la généalogie génétique, qui a recours aux bases de données et archives généalogiques incluant notamment des personnes ayant cherché à connaître leur ascendance.

« La généalogie génétique utilise la technologie de l’ADN pour associer un profil inconnu à un membre de sa famille. On a alors recours à la généalogie traditionnelle pour construire un arbre généalogique grâce aux sites internet disponibles publiquement », a expliqué vendredi dans une conférence de presse Donald Ramsdell, le chef de la police de Tacoma.

Ceci a permis d’isoler deux frères, dont l’âge et le lieu de résidence en 1986 en faisaient des suspects éventuels. Ils ont été placés sous surveillance, les policiers guettant la possibilité de vérifier leur profil génétique.

Gary Hartman s’est récemment rendu dans un restaurant, sans savoir qu’un client d’une table voisine était un enquêteur à l’affût. Il a utilisé une serviette en papier, que le policier a ensuite collectée et confiée à un laboratoire d’analyse.

L’ADN correspondait avec celui prélevé sur Michella Welch.

« Cette affaire est véritablement à la croisée du bon vieux travail policier traditionnel, combiné avec les progrès technologiques », a commenté le chef Ramsdell.

« Nous avons désormais atteint un point où, si vous êtes un criminel et que vous laissez votre ADN sur les lieux de votre méfait, alors autant vous rendre: on vous aura », a prévenu de son côté Mark Lindquist, le procureur du comté de Pierce.

La généalogie génétique a permis d’arrêter fin avril en Californie un homme suspecté d’être le « tueur du Golden State », soupçonné d’être l’auteur de 12 meurtres et une cinquantaine de viols dans les années 1970 et 80.

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Ce homard arc-en-ciel magnifique et incroyablement rare est 1 dans 100 millions


La couleur des homards n’est rouge que quand ils sont cuits. Vivant ils tirent leurs couleurs d’après leur régime alimentaire. Ce homard de couleur arc-en-ciel n’est pas dû à son alimentation, mais plutôt d’une mutation génétique.
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Ce homard arc-en-ciel magnifique et incroyablement rare est 1 dans 100 millions

 

par Brice Louvet

Un homard pêché au large des côtes de l’île Grand Manan, au Canada, a eu la chance d’échapper aux étalages de marchés de fruits de mer grâce à une bizarrerie génétique lui conférant une coloration unique. Plutôt que le bleu foncé, l’orange ou le vert typique, le crustacé – nommé Lucky – est teinté de bleu pastel et de rose.

Qu’il est beau. Au lieu de le vendre sur le marché où il était destiné à une mort certaine, le pêcheur Robinson Russell a fait don du homard au Huntsman Fundy Discovery Aquarium, à Saint Andrews, au Nouveau-Brunswick.

« Je ne savais vraiment pas quoi faire au début, alors j’ai décidé de le donner à l’aquarium », a-t-il déclaré au Portland Press-Herald.

Il sera exposé au public jusqu’en octobre prochain avant, on l’espère, d’être relâché en mer.

Les gens ont tendance à penser que les homards sont rouges, mais ils ne prennent cette couleur caractéristique qu’une fois qu’ils sont cuits. En temps normal, un pigment rouge retrouvé dans les coquilles de homard – appelé astaxanthine – se lie à d’autres protéines pour créer d’autres couleurs, mais la cuisson du crustacé brise ces protéines, ne laissant finalement que du rouge. Les couleurs de ces animaux peuvent en revanche varier, parfois en corrélation avec la nourriture disponible. Tout comme les flamants roses, qui tirent leur couleur rose des crevettes qu’ils mangent, les variations de couleur des populations de homard peuvent se produire en raison de leur régime alimentaire.

Parfois, il y aura un homard avec une mutation génétique qui changera complètement de couleur. C’est notamment le cas de Lucky. Des pêcheurs ont par ailleurs déjà capturé des homards chimères bleus, jaunes, rouges, orange et même un moitié rouge et noir. Les plus rares de tous les homards sont les albinos – on estime leur nombre à un sur 100 millions. Il semblerait toutefois que ce soit le cas de Lucky.

Source

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Inde: des rats grignotent plus d’un million de roupies dans un guichet


Un distributeur de billets semblait à cour d’argent dans une banque en Inde. Ce n’est pas un vol d’argent qui a causé cette carence, mais des rats qui ont bouffé. Si l’argent n’a pas d’odeur, elle peut nourrir des petites bêtes quoique cela doit être indigeste.
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Inde: des rats grignotent plus d’un million de roupies dans un guichet

 

 

Les rats ont grignoté une somme d'un montant... (Photo Agence France-Presse)

Les rats ont grignoté une somme d’un montant total de 1,2 million de roupies (18 000 dollars), ont rapporté des médias.

PHOTO AGENCE FRANCE-PRESSE

 

Agence France-Presse
New Delhi

Des rats qui se sont introduits dans un distributeur de billets de banque dans l’État de l’Assam, dans le nord-est de l’Inde, ont grignoté des billets d’une valeur totale de 1,2 millions de roupies (18 000 dollars), a annoncé jeudi la police.

Ce casse inhabituel a été découvert après que des usagers se furent plaints que le distributeur était hors service et qu’il ne délivrait plus de billets, a indiqué à l’AFP la police du district de Tinkusia.

Les employés de la banque «sont venus contrôler le distributeur de billets la semaine dernière et ont découvert un rat mort et des billets de banque déchiquetés lorsqu’ils l’ont ouvert», a déclaré le commissaire de police Mugdhajyoti Dev Mahanta.

La police a procédé à des vérifications et n’a pas trouvé d’indices suggérant «un délit ou un complot». 

«Il semble que des rats se soient introduits dans l’appareil par une petite ouverture où passent des cables», a-t-il dit.

Les rats ont grignoté une somme d’un montant total de 1,2 million de roupies (18 000 dollars), ont rapporté des médias. Des images montraient un distributeur rempli de billets de 500 et 2000 roupies déchiquetés.

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