L’Histoire


Quand on s’intéresse un temps soit peu à l’Histoire de l’humanité, on ne peut que constater que l’humain ne retient absolument rien du passé. On répète les mêmes erreurs, peut-être avec des outils différents, mais le but est toujours le même et curieusement au moment de l’apogée d’un groupe, d’un pays en force, c’est le début de sa perte. Tout comme les plus vieux essaie d’inculquer les expériences aux plus jeunes, il est plus probablement que les erreurs se répètent
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L’Histoire

Si l’Histoire était d’une quelconque utilité, si elle servait d’exemple aux générations futures, elle ne se répèterait pas inlassablement.

Camille de Peretti

Le Saviez-Vous ►10 morsure et piqures d’insectes communs que tout le monde devrait pouvoir reconnaitre


Chaque insecte piqueur laisse une trace qui est particulière à leur espèce. Autrement dit chaque piqûre à son insecte
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10 morsure et piqures d’insectes communs que tout le monde devrait pouvoir reconnaitre

 

Admettons-le, tout le monde a été piqué ou mordu par un insecte à un moment dans sa vie. La plupart des gens connaissent ça chaque été.

Clairement, c’est plus fréquent durant les périodes plus chaudes, mais dans tous les cas, il peut être difficile d’identifier qui vous a choisi pour être sa victime (pour peu que vous n’ayez pas pu prendre le coupable sur le fait bien entendu).

Certaines morsures infectieuses peuvent provoquer de sérieuses complications, occasionnant des enflures, des lésions cutanées ou de graves démangeaisons. La plupart des morsures provenant des insectes communs sont sans danger, alors que d’autres peuvent être vecteurs de graves bactéries/maladies.

De ce fait, il est important de pouvoir identifier ce qui vous a mordu/piqué exactement, et ce que vous devez faire afin d’agir sur les symptômes qui en résulteront.

Pour reprendre les célèbres mots du Guide du voyageur galactique « Ne paniquez pas ! » Vous trouverez ici un petit guide qui vous aidera à identifier quels sont les insectes qui vous embêtent

Bourdon

Se faire piquer par un bourdon n’est amusant pour personne. Après la piqure, la région impactée vire souvent au rouge et enfle énormément. La peau développera des cloches, et rafraichir cette zone peut apporter un petit soulagement.

Dans certains cas, la piqure d’un bourdon peut provoquer une réaction allergique que déclenchera votre système immunitaire.

Si votre estomac commence à s’engourdir ou que vous avez une sensation de froid, que vos lèvres virent au bleu et que vous respirez avec difficulté, dans ce cas, contactez les médecins immédiatement.

Abeilles

Si vous avez été piqué par une abeille, la peau autour de la piqure peut devenir rouge et enfler. Après quelque temps, cela peut commencer à démanger.

Le premier jour après la piqure, l’enflure peut augmenter et la douleur peut irradier en vague à partir de la zone concernée. Les piqures d’abeilles sont habituellement sans danger sur le long terme et sous réserve que vous ne ressentiez pas de complications, vous pouvez simplement attendre jusqu’à ce que les symptômes se dissipent.

Cependant, il est important que vous enleviez le dard, pour éviter que davantage de poison ne se propage dans votre corps. Pour un meilleur traitement, extirpez le dard avec un petit objet comme un couteau ou même vos ongles.

Guêpe

Sans doute le fléau le plus célèbre de tout l’été, la piqure d’une guêpe qui est souvent similaire aux morsures des autres insectes. La région impactée peut virer au rouge, enfler, pendant que la victime ressentira une douleur et potentiellement de terribles démangeaisons.

Dans certains cas, des saignements sont possibles. Contrairement aux abeilles, les guêpes peuvent piquer plusieurs fois, donc il est d’autant plus important de savoir si vous êtes allergique ou pas.

Le moustique

La majorité des gens sont habitués aux piqures de moustiques, mais en même temps, il peut être difficile de déterminer qui provoque quoi.

Les piqures de moustiques ressemblent à des points rouges qui enflent, approximativement de la taille d’une petite baie. Les moustiques aiment prélever le sang là où la peau est la plus fine et c’est plus facile pour elles d’atteindre les vaisseaux sanguins ainsi. Quand elles s’abreuvent, elles injectent leur salive dans la plaie, ce qui anesthésie la zone piquée et qui fait que ce soit difficile de détecter quand elles passent à l’acte.

Tiques

Ceux qui se font piquer par une tique très souvent ne savent pas à quel moment cela se serait produit. Si vous êtes piqué cependant, vous pouvez vous attendre à voir une tache rouge là où la tique s’était posée.

Habituellement, la zone ne devrait pas faire plus de quelques centimètres de diamètre, alors qu’il n’est pas inhabituel de voir une petite bosse au centre là où la tique se nourrissait

Puces

Les piqures de puces peuvent être difficiles à diagnostiquer soi-même, car elles sont souvent méprises pour des réactions allergiques ou des piqures de moustiques. Contrairement aux piqures de moustiques toutefois, ces piqures-là peuvent être très douloureuses et démanger terriblement.

Les puces piquent habituellement les jambes des gens pendant leur sommeil, alors que ces bestioles peuvent mordre plusieurs fois en un ‘passage’, donc il y a souvent un tracé de morsure espacé d’environ 1 à 2 cm.

Fourmis

La plupart des fourmis ne représentent pas de menace pour les humains. Cependant, les fourmis rouges sont des nuisibles qui sont répandues dans le monde et qui sont célèbres pour leurs morsures très douloureuses – elles peuvent même provoquer des cicatrices dans certains cas !

Le poison des fourmis contient des toxines qui peuvent provoquer des réactions allergiques et – dans des cas extrêmes – provoquer des chocs anaphylactiques. Habituellement toutefois, les symptômes sont légers et similaires aux piqures de moustique dans la plupart des cas.

Une piqure de fourmi se distinguera par un point rose, et la peau tout autour sera sensible et vous démangera. Au moment de la morsure, la victime peut ressentir une douleur sur le coup.

Taons

Si vous avez déjà été piqués par un taon, vous savez que vous ne voudrez pas que cela se reproduise. Dans de rares cas, les piqures de taons peuvent provoquer un empoisonnement du sang et des infections.

Elles peuvent ressembler à de grosses mouches épaisses, mais le taon hématophage peut infliger une morsure sévère et douloureuse, laissant souvent une marque et provoquant des œdèmes.

Nettoyez la zone concernée à l’eau froide et appliquez des glaçons.

Poux

Si vous constatez des petits points rouges qui ressemblent à des piqures de moustiques, là où poussent vos cheveux – par exemple, sur votre tête, sur votre nuque ou derrière vos oreilles – cela peut laisser comprendre que vous avez des poux.

Des démangeaisons sévères constituent un symptôme évident de la présence de poux, et sont provoquées par des piqures. Pour être sûr que vous avez des poux, passez un peigne à poux dans vos cheveux et voyez ce qui tombe dans le lavabo. Les poux font en moyenne entre un et trois millimètres de long, et ont des corps translucides.

Punaises

Personne ne souhaite avoir à gérer des punaises.

Les piqures de punaises ressemblent à celles qu’infligent les moustiques, bien qu’elles suivent souvent un tracé en zigzag. Les symptômes habituels incluent des enflures, des rougeurs, des douleurs et parfois développer du pus.

Malheureusement, vous ne pouvez pas vous débarrasser vous-mêmes des punaises, même si les morsures s’estomperont. Contactez une société d’extermination pour vous aider à traiter votre problème de punaise.

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Des États américains engageront une poursuite contre l’administration Trump pour sa politique migratoire


Donald Trump isole les États-Unis et brise des liens qui duraient depuis des années. En plus, le Président brise en miettes le pays. Plusieurs états américains ont décidé de faire face à Donald Trump en lançant une poursuite contre la manière qu’il gère avec son équipe, le décret migratoire.
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Des États américains engageront une poursuite contre l’administration Trump pour sa politique migratoire

 

Une femme tient une affiche avec le message « Nous appartenons tous à la même communauté » en marge d'une rencontre entre des maires d'un peu partout aux États-Unis, jeudi, près d'un centre de détention d'enfants migrants à Tornillo au Texas.

Une femme tient une affiche avec le message « Nous appartenons tous à la même communauté » en marge d’une rencontre entre des maires d’un peu partout aux États-Unis, jeudi, près d’un centre de détention d’enfants migrants à Tornillo, au Texas. Photo : Reuters/Mike Blake

Une dizaine d’États américains, dont la Californie, Washington et le New Jersey, vont poursuivre l’administration Trump pour sa politique migratoire après la séparation de milliers de familles entrées illégalement sur le territoire américain, a annoncé jeudi le procureur général de l’État de Washington.

AGENCE FRANCE-PRESSE

« C’est une politique aberrante, cruelle et anticonstitutionnelle » et « nous allons y mettre un terme », a déclaré Bob Ferguson dans un communiqué.

Plus de 2300 enfants et adolescents ont été séparés de leurs parents depuis le début du mois de mai, après l’arrestation de ces derniers pour avoir illégalement traversé la frontière avec le Mexique. Devant l’indignation mondiale suscitée par cette politique et le malaise au sein même de son parti, Donald Trump a signé mercredi un décret mettant fin à ces séparations.

L’incertitude demeure toutefois sur le sort des mineurs arrachés à leurs parents et sur la façon dont ils pourront être réunis.

M. Ferguson a dénoncé « l’incertitude » et le « chaos » créés par la politique de séparation des familles, mais aussi par le décret signé mercredi qui « cherche à détenir de manière indéfinie les enfants et leurs parents et continue à poursuivre pénalement les demandeurs d’asile ».

Le responsable dénonce aussi les « conditions inhumaines et horribles » dans les centres de détention de la police de l’immigration et des frontières, et il s’insurge contre le manque de contact – parfois pendant des semaines – entre les mères et les enfants dont elles ont été brusquement séparées à la frontière.

Parmi les États qui se sont associés à la plainte figurent le Massachusetts, le Maryland, le Nouveau-Mexique, la Pennsylvanie, l’Iowa et l’Illinois.

Bob Ferguson a dit s’attendre à ce que d’autres États les rejoignent.

L’État de Washington est l’un de ceux qui se sont montrés les plus agressifs, aux côtés de la Californie et de New York, contre l’administration du président républicain Donald Trump, engageant notamment des poursuites contre le décret migratoire empêchant l’entrée sur le territoire américain des ressortissants de plusieurs pays à majorité musulmane.

L’administration Trump a de son côté poursuivi la Californie pour sa politique d’État « sanctuaire », qui permet aux autorités locales de refuser de coopérer avec les autorités migratoires au sujet de sans-papiers n’ayant pas commis de crimes sérieux.

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Maladie d’Alzheimer: des chercheurs mettent en cause des virus dans le cerveau


L’idée que certains virus pourraient être un facteur qui enclenche la maladie d’Alzheimer est une nouvelle piste de recherche. Les chercheurs ont observé plusieurs cerveaux malades et on remarquer une correspondance avec l’herpès humain. Cela ne veut pas dire que tout ceux qui ont eu l’herpès un moment de leur vie auront automatiquement l’Alzheimer, mais seulement que cette piste pourrait amener dans l’avenir d’autres traitements qui pourraient être efficaces.
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Maladie d’Alzheimer: des chercheurs mettent en cause des virus dans le cerveau

 

Des virus qui se faufilent jusque dans le cerveau pourraient jouer un rôle dans... (PHOTO ARCHIVES LE DROIT)

PHOTO ARCHIVES LE DROIT

 

LAUREN NEERGAARD
Associated Press
Washington

Des virus qui se faufilent jusque dans le cerveau pourraient jouer un rôle dans la maladie d’Alzheimer, rapportent jeudi des scientifiques, dans une étude surprenant qui promet de relancer certaines théories longuement débattues sur ce qui déclenche cette maladie qui efface l’esprit.

Les résultats ne prouvent pas que les virus causent la maladie d’Alzheimer ni ne laissent entendre qu’elle est contagieuse.

Mais une équipe dirigée par des chercheurs du réseau de santé new-yorkais Mount Sinai a découvert que certains virus – dont deux virus de l’herpès extrêmement courants – influencent le comportement des gènes impliqués dans la maladie d’Alzheimer.

L’idée que les infections qui surviennent plus tôt dans la vie puissent en quelque sorte préparer le terrain à l’apparition de la maladie d’Alzheimer des décennies plus tard mijote en périphérie de la médecine traditionnelle depuis des années. Elle a été éclipsée par la théorie dominante selon laquelle la maladie d’Alzheimer provient de plaques collantes qui obstruent le cerveau.

L’étude de jeudi interpelle même quelques spécialistes qui n’ont jamais cru au lien avec une infection et qui disent maintenant qu’il est temps d’y regarder de plus près, d’autant plus que les tentatives pour empêcher la formation de ces plaques de bêta-amyloïdes ont échoué.

L’étude concorde également avec les preuves de plus en plus nombreuses voulant que l’agressivité du système immunitaire du cerveau face aux virus ou autres germes puisse être plus dangereuse que l’infection elle-même, explique le docteur Rudolph Tanzi, spécialiste de l’alzheimer à l’Hôpital général du Massachusetts.

Avec un collègue de Harvard, le docteur Robert Moir, le docteur Tanzi a réalisé des expériences qui montrent que le bêta-amyloïde collant capture et engloutit les germes envahissants – et c’est pourquoi la plaque commence à se former en premier lieu.

«Il restait encore une question: dans le cerveau (touché par l’alzheimer), quels sont les microbes qui sont importants, quels sont les microbes qui déclenchent la plaque ?», indique le docteur Tanzi, qui n’a joué aucun rôle dans la nouvelle recherche.

L’équipe de Mount Sinai et de l’université Arizona State a trouvé des suspects viraux – de façon accidentelle. L’étude financée par les Instituts nationaux de la santé (NIH) ne partait pas à la chasse aux virus, mais cherchait de nouvelles cibles de médicaments pour la maladie d’Alzheimer. Les chercheurs utilisaient des données génétiques complexes provenant de centaines de cerveaux dans plusieurs banques de cerveaux pour comparer les différences entre les personnes mortes avec l’alzheimer et les personnes ayant des fonctions cognitives normales.

Les premiers indices que les virus étaient dans les parages «nous ont sautés dessus en criant», lance un généticien de Mount Sinai, Joel Dudley, un des auteurs principaux de la recherche publiée jeudi dans la revue «Neuron».

L’équipe a trouvé des niveaux de matériel génétique viral beaucoup plus élevés dans les cerveaux atteints de la maladie d’Alzheimer que dans les cerveaux normaux. L’étude de jeudi interpelle même quelques spécialistes qui n’ont jamais cru au lien avec une infection et qui disent maintenant qu’il est temps d’y regarder de plus près, d’autant plus que les tentatives pour empêcher la formation de ces plaques de bêta-amyloïdes ont échoué.Les plus abondants étaient deux virus de l’herpès humain, connus sous le nom de HHV6a et HHV7, qui infectent la plupart des gens pendant l’enfance, souvent sans symptômes, puis restent dormants dans le corps.

Ce n’était pas inhabituel. Depuis 1980, d’autres chercheurs ont lié une variété de bactéries et de virus, y compris un autre type d’herpès qui cause l’herpès labial, à un risque accru d’alzheimer. Mais les chercheurs n’avaient encore jamais pu déterminer si les germes étaient simplement des spectateurs, ou s’ils stimulaient activement la maladie d’Alzheimer.

Les réseaux sociaux des virus

La nouvelle étude est allée plus loin: les chercheurs ont utilisé des modèles informatiques pour vérifier comment les gènes viraux interagissent avec les gènes humains, les protéines et l’accumulation d’amyloïdes, presque comme les réseaux sociaux des virus, explique le docteur Dudley.

«Nous sommes en mesure de voir si les gènes viraux sont les amis de certains des gènes de l’hôte, et s’ils envoient des gazouillis, nous pouvons voir qui retransmet leurs gazouillis», a-t-il ajouté.

Ils ont trouvé plusieurs interactions, ce qui suggère que les virus pourraient même activer et désactiver les gènes liés à la maladie d’Alzheimer. Pour voir si ces interactions importaient, les chercheurs ont élevé des souris dépourvues d’une molécule que l’herpès semblait détruire. Effectivement, les animaux ont développé davantage de ces plaques amyloïdes.

«Je lis cette étude et je tombe assis et je dis « wow »», admet le directeur des programmes scientifiques de l’Association Alzheimer, le docteur Keith Fargo.

Il affirme que la recherche rend beaucoup plus plausible l’hypothèse d’une connexion virale, mais avertit que l’étude ne changera pas dans l’immédiat la façon dont les patients d’aujourd’hui sont traités.

Si les résultats se confirment, ils pourraient changer la façon dont les scientifiques cherchent de nouvelles façons de traiter ou de prévenir l’alzheimer. Déjà, les NIH financent une première étude pour voir si un médicament antiviral est bénéfique pour les personnes atteintes légèrement de la maladie d’Alzheimer et de différents virus de l’herpès.

Le simple fait d’être porteur d’un virus de l’herpès «ne signifie pas que vous allez avoir la maladie d’Alzheimer, souligne le docteur Tanzi. Il n’a peut-être même pas pénétré le cerveau».

Mais dans une autre étude qui sera bientôt publiée, le docteur Tanzi démontre biologiquement comment le virus HHV6 et un virus qui cause des feux sauvages peuvent déclencher ou «ensemencer» la formation de la plaque amyloïde, ce qui soutient les découvertes du réseau de santé Mount Sinai.

Pourtant, il ne pense pas que les virus soient les seuls suspects.

«L’étude de Mount Sinai nous raconte le côté viral de l’histoire, nous devons encore travailler sur le côté microbien de l’histoire, explique le docteur Tanzi, qui recherche des bactéries et autres pathogènes dans ce qu’on appelle le projet Brain Microbiome. Le cerveau a toujours été considéré comme un endroit stérile. Ce n’est absolument pas vrai.»

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Disparu depuis des jours, il rentre chez lui à temps pour ses propres funérailles


Je n’ose pas imaginer ce qu’ils ont pu ressentir quand ils ont cru leur fils mort, et par la suite vivant. C’est une suite émotions qui devaient être très fortes.
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Disparu depuis des jours, il rentre chez lui à temps pour ses propres funérailles

 

par  Ulyces

Paye ton ascenseur émotif. Au Paraguay, lorsqu’un jeune homme de 20 ans porté disparu depuis trois jours est finalement rentré chez lui, il a trouvé sa famille en pleine funérailles. Les siennes. Ils avaient cru l’enterrer quelques heures plus tôt, raconte le journal argentin Perfil.

Juan Ramón Alfonso Penayo, un adolescent du village paraguayen de Santa Teresa, proche de la frontière avec le Brésil, a causé une tristesse effroyable à ses parents et ses proches en disparaissant sans crier gare le 14 juin. Sans nouvelles de lui, sa famille a contacté les autorités. Et le lendemain, la police les a prévenus qu’un corps avait été découvert dans les environs du village…

Seulement voilà, la victime – car il s’agissait probablement d’un meurtre lié au trafic de drogue – avait été brûlée par ses bourreaux après son assassinat. Après s’être rendus à la morgue à la demande des autorités pour identifier le corps, les parents, face au défunt défiguré par les flammes, ont cru reconnaître leur fils sur la table métallique. Frappés de plein fouet par la tragédie, ils ont organisé l’enterrement et les funérailles de leur fils le lendemain.

Juan est alors rentré à la maison en pleine veillée funèbre. S’il n’a pas confié à la police la raison précise de sa disparition, on peine à imaginer ce qu’ont dû ressentir ses parents, outre l’immense soulagement de le voir vivant. Le cadavre, lui, a été repris par la morgue, et personne n’est encore venu le réclamer.

Source : Perfil

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Le T. rex ne pouvait pas tirer la langue


Le T-Rex ne pouvait pas faire de grosse grimace, Heureusement, il aurait été plus épeurant. D’ailleurs, la plupart des dinosaures n’avaient pas de langue qui pouvait bouger comme les crocros et les alligators.
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Le T. rex ne pouvait pas tirer la langue

 

Un squelette de Tyrannosaurus Rex de 67 millions d'années, au musée d'histoire naturelle de Paris.

La clé de cette découverte se trouve dans l’os hyoïde, qui est à la base de la langue. Photo : Reuters/Philippe Wojazer

 

La langue du T. rex était collée au fond de sa gueule, comme chez l’alligator, selon des fossiles qui ont été découverts par des archéologues dans le nord de la Chine et qui contredisent les animations et sculptures parfois vues dans les musées.

AGENCE FRANCE-PRESSE

Le Tyrannosaurus rex ne tirait donc pas la langue comme les lézards.

« Cela fait longtemps qu’on les représente de la mauvaise façon », affirme l’une des scientifiques auteures de la découverte, Julia Clarke, de l’Université du Texas à Austin.

La conclusion est aussi valable pour la plupart des dinosaures, avancent les chercheurs de l’Université du Texas à Austin et de l’Académie chinoise des sciences dont les travaux ont été publiés mercredi dans la revue scientifique PLOS ONE.

La clé se trouve dans un os en particulier, l’os « hyoïde », qui est à la base de la langue.

Un tyrannosaurus rex se promène dans une clairière du parc Jurassic Forest, à Gibbons, en Alberta.

Le parc thématique Jurassic Forest expose une cinquantaine de dinosaures géants.  Photo : Jurassic Forest/Facebook

Les chercheurs se sont rendu compte, en analysant les fossiles de plusieurs espèces de dinosaures, dont un T. rex, qu’ils étaient plus proches de ceux des alligators et des crocodiles modernes que de ceux des oiseaux, qui descendent eux aussi des dinosaures. Ils sont courts, simples et reliés à une langue qui n’était donc pas très mobile.

Chez la plupart des dinosaures, les os de la langue sont très courts. Et chez les crocodiliens qui ont un os court, la langue est complètement collée au fond de la gueule.

Julia Clarke, de l’Université du Texas à Austin

À l’inverse, les ptérosaures, des dinosaures volants, avaient des os d’une grande diversité. Les chercheurs supposent que la forme dépendait de leur capacité à voler : en perdant en dextérité avec la transformation des pattes en ailes, les animaux et oiseaux pourraient avoir développé leur langue afin de mieux manipuler proies et nourriture.

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Plancton décimé, poissons sonnés: les effets du vacarme sous-marin créé par l’homme


La pollution sonore dans les fonds marins fait beaucoup plus de dégâts chez les poissons, zooplanctons … Qui sont pour la majeur partie est causée par des canons à air qu’utilisent les pétrolières. Donc diminuer l’utilisation semble logique, alors que les États-Unis font totalement le contraire. Il y a  aussi d’autres bruits dont nous sommes responsables qui est tout aussi important à diminuer
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Plancton décimé, poissons sonnés: les effets du vacarme sous-marin créé par l’homme

 

Les poissons peuvent souffrir de lésions internes et... (Photo Todd Heisler, archives The New York Times)

Les poissons peuvent souffrir de lésions internes et changer de comportement, comme déboussolés par le bruit, conduisant certains à l’immobilisme, d’autres à fuir.

PHOTO TODD HEISLER, ARCHIVES THE NEW YORK TIMES

 

IVAN COURONNE
Agence France-Presse
Washington

Les nuisances acoustiques sous-marines créées par les activités humaines sont à l’ordre du jour d’une réunion internationale sous l’égide des Nations unies cette semaine à New York, une victoire pour les ONG qui militent pour la reconnaissance mondiale de ce problème encore mal quantifié.

Quelles sont les origines du bruit?

Le bruit humain est principalement créé par les navires de transport maritime, les porte-conteneurs et les pétroliers, avec leurs moteurs et leurs hélices.

Les explosions déclenchées pour démonter des plateformes pétrolières en mer produisent les sons les plus forts, mais sont plus rares.

Les ONG se concentrent sur les canons à air utilisés par les compagnies pétrolières pour détecter des réserves sous-marines. Un bateau remorque un tel canon qui envoie des ondes vers les fonds marins; en rebondissant plus ou moins profondément selon les sédiments et les roches, les ondes dessinent une carte en 3D d’éventuelles réserves pétrolières. Ces décharges de canons à air peuvent se succéder à quinze secondes d’intervalles, sur d’immenses zones, pendant des semaines, à un très fort volume.

Exemple: le zooplancton

L’ONG OceanCare, basée à Bern en Suisse, a compilé en mai 115 études réalisées principalement depuis les années 1990 et 2000, montrant des effets plus ou moins graves sur 66 espèces de poissons et 36 espèces d’invertébrés.

Le zooplancton apparaît comme très vulnérable aux canons à air. Une étude de 2007 a montré qu’une seule décharge de puissance inférieure aux canons habituellement utilisés par les bateaux de prospection pétrolière pouvait décimer la moitié du plancton dans la zone traversée. Certaines espèces de zooplancton ont été tuées à 95%. Or ces planctons sont à la base de la chaîne alimentaire, notamment pour les baleines et de nombreux invertébrés comme les huîtres et les crevettes.

Exemple: les réserves de cabillauds

Les poissons peuvent souffrir de lésions internes et changer de comportement, comme déboussolés par le bruit, conduisant certains à l’immobilisme, d’autres à fuir.

Dans des études de 1996 et 2012, les tirs de canons à air ont provoqué la fuite de bancs de haddocks (aiglefins) et de cabillauds, jusqu’à faire baisser le taux de prise de 20 à 70% selon les zones. Certains poissons sont descendus plus bas, où ils étaient plus vulnérables; d’autres ont été pêchés le ventre vide, ayant apparemment cessé de s’alimenter.

Quelles solutions?

La solution la plus directe consisterait à limiter le nombre et l’intensité des prospections acoustiques. Mais, du moins aux États-Unis, c’est la direction inverse qui est prise: l’administration de Donald Trump a annoncé l’ouverture prochaine du plateau continental de la côte atlantique à de telles «études sismiques» en vue, in fine, de forages.

L’industrie pétrolière, elle, argue que les preuves scientifiques ne sont pas probantes et que les compagnies prennent des précautions.

«En outre, les études sismiques sont fréquemment utilisées par le service géologique américain, la fondation nationale des sciences et le secteur de l’éolien en mer», dit à l’AFP Michael Tadeo, porte-parole de l’Institut américain du pétrole, une fédération professionnelle.

Concernant les navires, un ralentissement de la vitesse réduirait le volume du bruit. Le port de Vancouver mène des expériences dans ce but depuis l’an dernier, dans le cadre d’un projet nommé «ECHO».

Les ONG militent de leur côté pour que la notion de pollution sonore créée par l’homme soit incluse dans une résolution de l’ONU sur les océans, plus tard cette année.

Alors qu’initialement, c’était principalement l’effet sur les dauphins et les baleines qui était mis en avant, l’ONG agite le spectre d’une perturbation générale de la faune sous-marine, avec une réduction possible des stocks de poissons.

«C’est vraiment un problème de chaîne alimentaire», dit à l’AFP Nicolas Entrup, de l’ONG OceanCare. Mais il se félicite: «Le problème du bruit dans les océans est en train de monter vite à l’ordre du jour, en tant que menace environnementale».

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