Perdre son temps


Comment de fois que nous participons à des discussions stériles qui n’apportent rien de bon que ce soit dans notre entourage et même sur les réseaux sociaux. Est-ce que cela vaut vraiment la peine de perdre son énergie pour tourner en rond, pire insulté ou se faire insulter ?
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Perdre son temps

 

 

Ne perdez pas votre temps avec des explications : Les gens entendent ce qu’ils veulent bien entendre

Paulo Coelho

Une araignée sème un vent de panique en direct à LCN


En principe, je n’aurais pas partagé cette vidéo, car ceux qui ont vraiment peur des araignées ne peuvent pas se contrôler qu’ils soient devant la caméra ou pas. Cependant, c’est l’animatrice qui a vécu cette frousse qui a partager la vidéo sur YouTube et sais en rire malgré tout.
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Une araignée sème un vent de panique en direct à LCN

 

Lisa-Marie Blais a eu toute une frousse!

Imaginez la scène : vous êtes au travail et soudainement une araignée débarque sans crier gare sur votre bureau. Voilà ce qui est arrivé à l’animatrice Lisa-Marie Blais… en direct.

Blais animait l’émission Le Québec Matin, diffusée ce mardi 5 juin sur les ondes de LCN, lorsqu’elle a aperçu la vilaine bestiole. Prise de panique, elle a quitté momentanément son poste pour retrouver son calme en coulisses.

Ne manquant pas d’autodérision, l’animatrice a partagé elle-même la vidéo sur YouTube.

«Voici ce que ça donne lorsqu’une « énorme » araignée décide de s’inviter sur mon ordinateur… direct ou pas», a-t-elle déclaré.

De son côté, son collègue Jean-François Guérin a réussi à poursuivre la lecture du bulletin de nouvelles, visiblement amusé par la situation.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Pourquoi le volcan au Guatemala est-il si meurtrier comparativement à celui d’Hawaï?


Récemment le volcan Fuego au Guatemala est éruption et il plus de 75 morts, alors que le volcan Kilauea cela fait plus 1 mois qu’il est en activité. Pourquoi au Guatemala il est plus meurtrier ? Leur forme, la hauteur ….
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Pourquoi le volcan au Guatemala est-il si meurtrier comparativement à celui d’Hawaï?

 

Le volcan de Fuego lors de son éruption, le 3 juin 2018.

Survenue le 3 juin 2018, l’éruption du volcan de Fuego, au Guatemala, a fait plus de 70 morts. Photo : Getty Images/AFP / Johan Ordonez

 

 Pourquoi leurs éruptions sont-elles si différentes?

RADIO-CANADA AVEC CBC

D’abord, il faut savoir que des formes différentes des volcans mènent à des éruptions bien distinctes.

Le Kilauea à Hawaï est un volcan-bouclier, tandis que le Fuego au Guatemala est un strato-volcan.

De la fumée sort du cratère.

Le volcan Kilauea en éruption. Photo : Getty Images/Handout

Le premier volcan éjecte de la lave en mouvement qui finit par durcir durant son parcours. Ce volcan plat et large possède une structure en dôme ressemblant à un bouclier couché sur le sol.

Le second représente l’image que l’on se fait habituellement d’un volcan puisqu’il se présente comme une montagne imposante avec un sommet pointu, dont les éruptions se caractérisent par des coulées de lave le long de pentes abruptes.

Le Volcan de Fuego crache une pluie de cendres.

Le Volcan de Fuego, haut de 3763 mètres, est situé à 35 kilomètres de la capitale Guatemala. Photo : Associated Press/Santiago Billy

Par comparaison, le Kilauea atteint 1200 mètres d’altitude, tandis que le Fuego dépasse 3700 mètres.

https://ici.radio-canada.ca

Il y a un milliard d’années, une journée durait un peu moins de 19 heures


Vous imaginez si les journées auraient encore environs 19 heures au lieu de 24 heures comme il y a des milliards d’années ? Plus la Lune s’éloigne plus la longueur du jour se rallonge par année. Bon, ce n’est pas quelque chose qu’on peut voir, mais dans un jour, les journées auront 25 heures …. jusqu’au jour que la Lune se stabilisera
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Il y a un milliard d’années, une journée durait un peu moins de 19 heures

 

La lune vue par la Nasa | Nasa via Unsplash CC License by

La lune vue par la Nasa | Nasa via Unsplash CC License by

Repéré par Nina Pareja

Repéré sur The Guardian

Et les jours rallongent encore de quelques fractions de secondes par an.

Si vous n’arrivez déjà pas à tout faire dans votre journée, rassurez-vous, il y a un milliard d’années, chaque jour comptait 18 heures et 41 minutes. La Lune était alors plus proche de la Terre de quelques 45.000 km. Or, plus elle s’éloigne, plus la rotation de la Terre ralentit. L’éloignement progressif des deux astres provoque un phénomène quasiment imperceptible: chaque année, les jours rallongent de 0,000013 seconde environ.

À l’origine de cette découverte, une équipe de scientifiques de l’académie nationale des sciences des États-Unis (la NAS), dirigée par Stephen Meyer et Alberto Malinverno. Les scientifiques ont utilisé une combinaison de théories astronomiques et les signatures géochimiques de très anciennes pierres pour réaliser leurs calculs.

En gagnant 1,74 millième de seconde par an depuis 700 millions d’années, les jours ont rallongé. Tout porte à croire que ce processus va continuer pendant encore… quelques millions d’années.

Les cycles Milankovitch

En 1941, l’ingénieur et astronome Milutin Milankovitch avait déjà commencé à élaborer des calculs en rendant compte de l’alternance des cycles glaciaires et interglaciaires durant le Quaternaire. En fonction de trois paramètres (l’excentricité, l’obliquité et la précision), il a pu établir des cycles dits «cycles de Milankovitch» qui expliquent les changements climatiques naturels sur Terre.

Les scientifiques américains se sont inspirés de cette théorie et y ont ajouté les mesures d’oscillation de la Terre. Ils ont également mesuré la proportion de cuivre et d »aluminium dans des sédiments marins chinois et à l’intérieur de la Dorsale de Walvis, au sud de l’Atlantique, pour effectuer leurs calculs. Leur travail a permis de remonter plus loin qu’aucun autre scientifique auparavant.

«Nous cherchions à reconstruire les cycles de Milankovitch parce qu’ils fournissent un outil très puissant pour évaluer l’histoire de notre planète et aussi le système solaire. Ce sont un peu comme des panneaux de signalisation qui nous permettent de se déplacer dans l’histoire géologique, a expliqué Stephen Meyer au Guardian. Par exemple, l’identification des cycles de Milankovitch dans des sédiments traversant ces derniers millions d’années ont révolutionné notre compréhension de la nature de l’âge de glace, de l’instabilité de la calotte glacière et du fonctionnement du système climatique.»

Dans quelques millions d’années, la Lune devrait se stabiliser et les jours arrêter de rallonger. Mais ce jour-là, la Lune ne sera plus visible que par une moitié de la Terre.

http://www.slate.fr/

Trump évoque la guerre de 1812 lors d’un échange corsé avec Trudeau


Le ton monte entre le Canada et les États-Unis sur des taxes de l’acier et l’aluminium que Donald Trump à augmenter au nom de la sécurité nationale. Et il a pris pour excuse que le Canada aurait fait brûler la Maison Blanche pendant la guerre 1812. Et encore là Donald Trump, ne connait pas sa propre histoire, car ce sont les Anglais qui ont mit le feu, pas nous ! Et puis même si cela aurait été le cas, nous sommes en 2018
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Trump évoque la guerre de 1812 lors d’un échange corsé avec Trudeau

 

Trump évoque la guerre de 1812 lors d'un échange corsé avec Trudeau

Justin TrudeauPhoto d’archives, AFP

La tension a monté d’un cran entre Donald Trump et Justin Trudeau lors d’un appel téléphonique où la question des tarifs douaniers sur l’acier et l’aluminium provenant du Canada était abordée, le 25 mai dernier.

Selon ce que des sources ont indiqué à CNN, le premier ministre du Canada a demandé au président américain en quoi ces tarifs constituaient un enjeu de «sécurité nationale». Donald Trump aurait alors répliqué : «N’avez-vous pas déjà incendié la Maison-Blanche?», faisant référence à la guerre de 1812.

Le hic, c’est que ce sont les Britanniques qui ont mis le feu aux bâtiments gouvernementaux de Washington lors de la guerre de 1812. L’offensive des Anglais était une réponse à l’attaque des Américains à York, la capitale du Haut-Canada, qui était à l’époque une colonie du Royaume-Uni.

Contactés par CNN, la Maison-Blanche et le Conseil national de sécurité américain (NSC) n’ont pas voulu commenter ces informations.

Le président américain a finalement imposé par proclamation, jeudi dernier, l’application de surtaxes de 25 % sur l’acier et de 10 % sur l’aluminium provenant du Canada et de l’Union européenne, au nom de la sécurité nationale des États-Unis. Ottawa a répliqué en imposant des tarifs similaires, tant sur les deux métaux que sur d’autres produits de consommation. Ces mesures entreront en vigueur le 1er juillet.

«L’idée que nous représentons une menace à la sécurité nationale des États-Unis est insultante et inacceptable», a déploré le premier ministre au cours d’un long entretien diffusé dimanche matin à l’émission «Meet the Press» de la chaine américaine NBC.

Le premier ministre canadien et le président américain se rencontreront au Sommet du G7 qui commence vendredi dans Charlevoix.

http://fr.canoe.ca/

Des mégots de cigarette recyclés en mobilier


Un mégot de cigarette prend environ 15 ans pour disparaitre, il y a 137 000 mégots jeter dans la nature par seconde dans le monde. La France à emboité comme le Canada, l’Inde et la Tunisie de recycler les mégots.
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Des mégots de cigarette recyclés en mobilier

 

Dans le monde, 137 000 mégots sont jetés dans la nature chaque seconde, une... (123RF/Arina Zaiachin)

SANDRA FERRER
Agence France-Presse
BOURG-BLANC

Dans le monde, 137 000 mégots sont jetés dans la nature chaque seconde, une pollution qui peut mettre jusqu’à 15 ans à disparaître. Une entreprise du Finistère, en France, s’attaque au problème en recyclant ces déchets bourrés de substances chimiques toxiques.

Nichée dans une petite zone artisanale d’une commune proche de Brest, l’entreprise MéGo recycle les mégots après les avoir débarrassés de la quasi-totalité (entre 90 et 100 %) des près de 4000 substances chimiques qu’ils renferment, dont 50 sont réellement toxiques comme la nicotine.

« Nous sommes la seule entreprise en France à recycler des mégots de cigarettes », se félicite Bastien Lucas, qui a créé l’entreprise il y a deux ans.

Depuis, elle a recyclé quatre tonnes de mégots, soit 9,5 millions de filtres.

Dans un premier temps, les mégots sont broyés pour séparer les résidus des cendres, tabac et papier des filtres. Ces derniers sont ensuite lavés dans plusieurs bains d’eau, en circuit fermé, puis séchés et à nouveau broyés avant un thermocompressage. Résultat : des plaques d’acétate de cellulose marron, parsemées de marbrures, avec lesquelles l’entreprise fabrique des bancs à installer dans des zones fumeurs autour de cendriers.

« Si votre matériau est abîmé, si quelqu’un a gravé, s’est acharné dessus, on n’a plus qu’à le broyer à nouveau, pour pouvoir à nouveau le thermocompresser et créer une nouvelle plaque », fait valoir Estelle Chabard, étudiante en ingénierie des matériaux et stagiaire chez MéGo.

Grâce à des partenariats, la société collecte des mégots dans toute la France, mais aussi en Belgique, auprès de quelque 150 clients, essentiellement des entreprises, mais également des villes, dont Paris, Castres, Nantes, Grenoble ou encore Plougonvelin, dans le Finistère.

Ne plus jeter son mégot par terre

Dans cette petite commune littorale, l’entreprise a fourni six cendriers disposés en bordure de plage, devant l’auto-école ou près du cinéma.

« On avait énormément de mégots par terre et notamment sur la plage », explique Christine Calvez, adjointe au développement durable. « Je ne vais pas vous dire que c’est parfait, mais c’est nettement mieux et je pense que dans la tête des gens, ça y est, on commence à réfléchir « on ne jette pas le mégot par terre » », ajoute l’élue de la commune qui verse 220 euros par trimestre à MéGo pour la collecte du contenu de ses cendriers.

« À terme, on s’y retrouve, car on dépense moins en nettoyage », souligne-t-elle.

« C’est vraiment le sens le plus profond de notre activité, d’amener les fumeurs à ne plus jeter leurs mégots de cigarette par terre et de démontrer que cette matière est recyclable », souligne Bastien Lucas lors d’une visite de l’unité de recyclage de Bourg-Blanc, où l’odeur de tabac froid est particulièrement prenante.

Plusieurs initiatives similaires commencent à émerger dans le monde et notamment au Canada, en Inde ou en Tunisie.

« En Europe, les mégots sont essentiellement recyclés en acétate de cellulose, tandis qu’en Asie, ils sont transformés en laine de roche ou de verre pour l’isolation des bâtiments », explique Pierre Félix Pieri, fondateur de la société Gumégo, installée à Bastia et partenaire de MéGo pour la collecte.

Depuis les années 1980, les mégots représentent entre 30 et 40 % de la totalité des déchets ramassés annuellement le long des côtes et dans les zones urbaines, note l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans un rapport de 2017.

Outre le fait que le tabac tue plus de sept millions de personnes chaque année dans le monde, il est ainsi également à l’origine d’une importante pollution -un seul mégot pollue 500 litres d’eau-, souligne le rapport, qui préconise un retour aux cigarettes sans filtre, pas plus dangereuses pour la santé que celles avec filtre, contrairement à ce qu’a voulu faire croire l’industrie du tabac dans les années 1950 lorsqu’elle a lancé ce nouveau produit.

De son côté, la Commission européenne a proposé fin mai de nouvelles règles pour réduire la pollution des océans, dont l’obligation pour les fabricants de cigarettes de prendre en charge une partie des frais de collecte et de recyclage des mégots.

http://www.lapresse.ca/

Le plus vieux chat du monde vient de fêter ses 30 ans


Le plus vieux chat dans le Livre des Records Guinness est mort il y a 13 ans à l’âge de 37 ans. En Angleterre, à 20 ans, une femme a reçu en cadeau un chaton. Ce chaton est toujours avec sa maitresse après 30 ans. Sa maitresse croit que Rubble va battre l’ancien record
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Le plus vieux chat du monde vient de fêter ses 30 ans

 

Crédits : SWNS

par  Nicolas Prouillac

 

Michele Foster ne s’attendait pas à ce que son chat souffle un jour ses 30 bougies lorsqu’on lui a offert en cadeau pour ses 20 ans, en 1988.

Mais aujourd’hui, Rubble, qui vit à Exeter en Angleterre, est officiellement « le plus vieux chat du monde », d’après SWNS.

D’après Michele, le secret de sa longévité réside probablement dans l’attention qu’elle lui accorde, elle qui n’a pas d’enfants mais dorlote Rubble comme un bambin.

« Il lui reste encore longtemps à vivre », présume-t-elle, « mais je ne vais pas contacter le Guinness des records parce que sa popularité risquerait de le stresser. »

Rubble en mai 1988 — Crédits : SWNS

L’actuel record est détenu par un chat de 38 ans, décédé en 2005 et né en 1967. La route est encore longue pour Rubble, mais sa propriétaire n’a aucun doute sur le fait qu’il y parviendra haut la patte.

Source : SWNS

http://www.ulyces.co/

Comment les microbes survivent-ils à un voyage dans l’espace ?


Essayant de nettoyer les engins spatiaux avec des produits qui détruisent les bactéries et autres micro-organismes, il s’avère que dans un environnement restreint les produits nettoyant leur permettent de se nourrir et donc de progresser pour aller voir les étoiles
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Comment les microbes survivent-ils à un voyage dans l’espace ?

 

 

Nathalie Mayer
Journaliste

Malgré des opérations de nettoyage poussées, des organismes réussissent à survivre et à prendre la direction de l’espace. De quoi compromettre certaines missions. Mais les chercheurs ont enfin trouvé la faille. Dans les produits de nettoyage eux-mêmes…

Dans les usines d’assemblage d’engins spatiaux, on trouve des environnements oligotrophes et à faible humidité. Et des opérations de nettoyage à l’alcool et aux détergents alcalins sont mises en œuvre régulièrement. Le tout, afin d’éviter les contaminations par des organismes terrestres, notamment s’agissant de préparer des missions de détection de la vie sur une autre planète.

Malgré ces précautions, un microbiome de base semble vouloir persister. Des bactéries, des archées et des champignons ont pu y être observés, les Acinetobacter constituant la population dominante. Et ce sont justement des souches d’Acinetobacter issues de Mars Odyssey et de Phoenix que des chercheurs de la California State Polytechnic University (États-Unis) ont étudié pour comprendre.

Les Acinetobacter – vues ici au microscope électronique – constituent un genre de bactérie que les ingénieurs ont bien du mal à éliminer des engins spatiaux. Et pour cause, elles semblent se nourrir des produits de nettoyage qu’ils emploient. © CDC’s Public Health Image Library, Wikipedia, Domaine public

Les Acinetobacter – vues ici au microscope électronique – constituent un genre de bactérie que les ingénieurs ont bien du mal à éliminer des engins spatiaux. Et pour cause, elles semblent se nourrir des produits de nettoyage qu’ils emploient. © CDC’s Public Health Image Library, Wikipedia, Domaine public

Des agents nettoyants devenus nutriments

Ils ont découvert que, pour survivre à un environnement dans lequel la quantité de nutriments est restreinte, ce genre de bactérie se développe grâce… aux agents nettoyants employés justement pour les éliminer ! Les cultures en effet ont poussé dans des conditions dans lesquelles l’alcool éthylique représentait la seule source possible de carbone. Et ces cultures présentaient en plus, une tolérance raisonnable vis-à-vis du stress oxydatif.

Les souches testées se sont aussi montrées capables d’exploiter les ressources de l’alcool isopropylique ou du Kleenol 30, un autre produit nettoyant très couramment utilisé par la Nasa. Des produits qui se révèlent donc être d’intéressantes sources d’énergie pour ce microbiome particulier.

https://www.futura-sciences.com/